Non contents de nous vêtir « made in china », de nous chausser, « made in India », de nous brancher, « made in Taiwan », voici venu le temps où même ce qui faisait notre fierté : « La Bonne Bouffe » n’a plus rien a voir avec les « produits du terroir » français !!
La fin de la dernière semaine de juillet fut « écologique » sur C4N, et j’ai décidé, moi aussi, de me mettre
"Au Vert " !
Souvenez vous :
Fabien Bardoux nous incitait à manger « Bio-cohérence », le label qui fait référence aux nouvelles normes européennes.
Fata, nous a (presque) convaincue de devenir végétariens, et Vieilleforge, nous vantait les mérites du vin français.
Désolée, mais je vais casser l’ambiance, en ce début du mois d’Août, tout en restant dans la mouvance « consommons intelligemment »
Après lecture de ce qui suit, vous verrez que nous sommes loin de nous douter, que ce qui faisait la réputation de nos produits agricoles, n’ a plus rien à voir avec ce que nous avons dans nos assiettes.
LE SAVIEZ VOUS ?
Les champignons de Paris
De Paris ? Ils n’en ont plus que le nom !
Pire : 88% d’entre eux viennent de l’étranger.
Les rayons des supermarchés regorgent le plus souvent de champignons issus des États-Unis, de Chine ou des Pays-Bas, les trois principaux pays producteurs.
En France, s’ils ont pendant longtemps été élevés dans la capitale les fameux champignons blancs et dodus ne poussent désormais plus, qu’à Saumur.
La ville du Maine-et-Loire regroupe 70% de la production nationale (mais 12% seulement du global consommé).
La charcuterie corse
Elle est présentée comme un des plus purs produits du terroir français.
Et pourtant la charcuterie corse ne dispose d’aucune «appellation d’origine contrôlée ».
Le consommateur ne trouvera donc sur les rayons des supermarchés du continent, que des produits dont les matières premières proviennent d’ailleurs à plus de 90% .
Par exemple, malgré les têtes de Maure et les mentions « Produit de l’île de Beauté » sur les étiquettes, le saucisson d’âne est importé d’Argentine et les jambons sont pour la plupart composés de carcasses issues de Chine.
Le jambon d’Aoste
Voilà une des plus belles et des plus juteuses escroqueries « marketing » !
C’est l’un des jambons les plus consommés de France, mais ce dernier n’a rien à voir avec la charcuterie de la ville italienne d’Aoste.
Ce produit est en fait fabriqué chez nous, mais à partir de carcasses chinoises et américaines, dans une commune du même nom située en… Isère.
Et contrairement à son homologue transalpin, qui est un jambon cru, il s’agit d’un jambon mi-cuit.
Le subterfuge a fonctionné pendant des années puisque la marque déposée « Jambon d’Aoste » a été la propriété du groupe Ao, (Cochonou/Justin Bridou), leader français de la charcuterie .
Il aura fallu que la Commission européenne interdise récemment (2008) l’utilisation de cette appellation qui prête à confusion pour que l’ambiguïté cesse.
La marque a depuis été renommée « Jambon Aoste » et non plus « Jambon d’Aoste ».
Le camembert.
Emblème suprême de la gastronomie française, le camembert de Normandie est de loin le fromage le plus copié dans les rayons des supermarchés.
Une explication à ce phénomène :
Tombé dans le domaine public, le nom « Camembert » peut-être utilisé par n’importe quel producteur de n’importe quel pays.
Et malgré une AOC « Camembert de Normandie », qui existe depuis 1983, de nombreux fabricants utilisent le terme très proche de «Camembert fabriqué en Normandie ».
Les différences :
Du lait pasteurisé au lieu du lait cru, un affinage raccourci et une fabrication qui n’est soumise à aucune règle.
Ils sont présentés comme les fleurons du terroir, mais quand on y regarde de plus près on découvre que leur appellation est douteuse.
Matières premières importées de l’étranger (30% du lait vient de Chine, 50% de toute l’Europe).
Étiquetage souvent mensonger, additifs non précisés, fabrication hors des limites de la région ou seuls existent de vagues bureaux de courtiers.
Dans les rayons des hyper et super, il faut vraiment les chercher !
Les vrais Camembert ont l’estampille « Appellation d’Origine Contrôlée » et sont spécifiés « au lait cru ».
Le melon charentais.
C’est l’emblème du melon français.
Jaune ou vert, le melon charentais fait la fierté des producteurs de la région de Cognac où les sols argilo-calcaires sont parfaitement adaptés à sa culture.
Mais contrairement à son cousin de Cavaillon, le melon de Charente ne possède pas d’AOC.
Résultat : 80% des melons charentais que l’on trouve sur les étals ne viennent pas de Cognac mais d’Espagne, du Maroc, des Caraïbes, de Chine et du Sénégal…
L’huile d’olive de Provence ou du Languedoc.
Rare et chère, l’huile d’olive est certainement le produit qui compte le plus d’étiquetages frauduleux.
En 2006, seulement 56% des échantillons analysés étaient «conformes» à la réglementation.
Certaines bouteilles contiennent jusqu’à 50% d’huile de tournesol ou présentent une fausse indication d’origine ou de variété d’olive.
Le symbole de la cuisine méditerranéenne ne comptant que sept appellations d’origine protégée et une AOC «Huile de Provence», de nombreux producteurs jouent en effet sur la confusion en ajoutant sur les étiquettes des paysages évoquant le Sud ou des origines non reconnues comme « huile de Provence Côte d’azur ».
Sans parler de l’une des fraudes les plus courantes qui consiste à remplacer l’huile d’olive par l’huile de grignons d’olive, un résidu de la pâte d’olives difficile à détecter pour le simple amateur.
De plus, la circulation des fruits étant totalement libre en Europe, des camions entiers d’olives espagnoles ou italiennes arrivent de préférence la nuit, dans les moulins à huile provençaux et languedociens pour faire de la bonne huile « Bien de chez nous » !
source : Le Ministère de l’Agriculture France
La solution ?
Se rapprocher le plus souvent des Producteurs (fermiers, éleveurs, agriculteurs) et aller faire ses achats à « la ferme », pour tous les produits régionaux.
Pas simple de les repérer ?
Voici un endroit, qui vous permettra de les localiser.
Ils vendent tous directement aux consommateurs, et ce, dans toute la France.
C’est encore le meilleur moyen de manger sainement, et si en plus, ces producteurs respectent le Label « Bio-Cohérence », alors là, achetez, et consommez : les « yeux fermés ».
A Humaniste-Réaction-Pascal, un amoureux de l’authentique, qui m’a « alertée »
Vidéo : Mangez local, même en ville, c’est possible, voyez vous même…très possible!
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Et enfin sachez, Siempre, qu’un enseignant ne peut pas se permettre « des entendus parler » pour éduquer nos enfants et nos petits enfants….
Mais j’ai fait des recherches avant de poster mon commentaire. J’attendais précisément des références de votre part, n’ayant personnellement rien trouvé (encore) car, contrairement à ce que vous semblez penser, Catalan, je ne demande qu’à apprendre. Encore faudrait-il ne pas mépriser ceux qui vous demandent des précisions.
Car je n’ai pas, contrairement à vous, un savoir universel!
« [i]siempre a dit: Catalan, c’est de l’humour, là? Parce que je n’ai jamais entendu parler de la nécessité d’héberger des vers pour mûrir…[/i] »
Vous appelez cela » [i]c’est de l’humour[/i] » une demande précision ? Nous ne parlons pas le même français…
Il est vrai, Siempre, je suis d’origine catalano-hispanico-française…, alors j’aurais peut-être des difficultés à comprendre le français…
« »des entendus parler » pour éduquer nos enfants et nos petits enfants…. »
En ce qui concerne mon métier, JAMAIS je n’ai affirmé ni enseigné des « on dit »…vos petits enfants peuvent dormir tranquilles…Le mûrissement des cerises n’est pas au programme des élèves de 3 à 11 ans, tranche dans laquelle je « sévis » depuis plus de 30 ans!
N’empêche, Catalan, que je suis curieuse et que cette histoire de cerises m’intrigue…
[b]Peut être Siempre, que le petit ver sort de la cerise dès qu’il a terminé son travail de mûrissement ?
Quand vous avez découvert « votre » petit ver dans la cerise, m’est avis qu’elle n’était pas encore mure, et qu’il n’avait pas eu le temps de sortir discrètement du fruit…
On pourrait presqu’en faire un conte pour enfant.
Ne croyez vous pas ?[/b]
Enfin, sachez que je suis fils de terrien et que, jusqu’à l’âge de 17 ans et quelques mois avant que je « [i]ne monte à Paris[/i] » et que j »ai la chance de croiser sur ma route Haroun… j’ai trimé dans les champs, le dos courbé, les mains calleuses, le soleil brûlant ma peau, le froid gelant mes doigts, les pieds nus courant les ruisseaux pour assurer l’arrosage des cultures…
Alors… la nature on apprend à la connaitre… d’autant plus que le reste de ma vie, après 1965, c’est toujours la terre, toujours au milieu d’une populace pauvre, – [i]même si elle vit au pied et sur les flancs des volcans[/i] -, et versée dans les durs labeurs des champs tout en recevant des revenus misérables qui pousseraient les français à se révolter, pas que celle de France, qui m’a permis d’avoir un salaire pour vivre…
Pour avoir dévoré des tonnes de cerises dans ma vie, cueillies dans l’arbre, je n’ai rencontré ces vers que dans les « Napoléons » apportées par une voisine. Mais peut-être ont-ils fui à mon approche???
Bonne idée le conte!
« [i]SOPHY a dit: Peut être Siempre, que le petit ver sort de la cerise dès qu’il a terminé son travail de mûrissement ? Quand vous avez découvert « votre » petit ver dans la cerise, m’est avis qu’elle n’était pas encore mure, et qu’il n’avait pas eu le temps de sortir discrètement du fruit…[/i] »
Pas tout à fait SOPHY… Comme pour la figue, pour la cerise le « [i]ver mûtisseur[/i] » se trouve dans la drupe, raison pour laquelle il n’y a pas de trou visible…
Il est quasi invisible à l’œil nu tant que la cerise n’est pas extra mûre… Et quand les cerises sont trop mûres c’est à ce moment là qu’il grossit et qu’il devient visible à l’intérieur… sans jamais l’être de l’extérieur… raison pour laquelle on ne voit jamais de trou dans la peau d’une drupe…
Catalan, encore une fois, je ne mets pas en doute vos propos, je m’interroge. Si j’ai eu la chance de poursuivre des études, j’avais un père bien ancré, lui aussi , dans les travaux de la terre. J’ai une admiration sans borne pour les autodidactes et j’ai toujours pensé qu’il y avait beaucoup de chemins qui mènent à la connaissance.
[b]Je suis heureuse de voir que vous vous soyez compris « tous les deux ».
J’ai une grande admiration pour CATALAN, l’autodidacte, et j’ai grande estime pour VOUS aussi Siempre, nous avons quelques points en commun que j’aime à revisiter de temps en temps avec vous, comme ici, plus haut…
CATALAN je l’ai « rencontré » (guillemets), sous son premier article.
Il parlait d’Harun Tazief, que mon père admirait et adorait, ne manquant jamais une émission commentée par cet homme de talent à l’accent délicieux.
Là encore que de souvenirs de jeunesse, scotchés devant nos écrans pour admirer ces éruptions spectaculaires du Vésuve, et autres volcans « capricieux ».
J’ai enfin compris l’histoire de ce petit vert minuscule qui se nourrit de la cerise verte, et l’en fait rougir de bonheur, pour notre plus grande joie gustative.[/b]
La dégustation des cerises est parfois gâchée par la découverte d’un fruit véreux. On découvre en croquant un petit asticot blanc, qui ronge l’intérieur des cerises, lesquelles pourissent en outre alors facilement.
Pour bien comprendre la manière de traiter, il faut d’abord saisir comment ces vers blancs arrivent dans les cerises.
Le parasite est une petite mouche de la famille des diptères, rhagoletis cerasi, qui atteint 5mm d’envergure environ. Elle est reconnaissable à ses ailes transparentes marquées de bandes foncées transversales, ainsi qu’à la tache jaune qui orne l’arrière de son thorax noir.
Les vols ont lieu de fin avril à mi-juin selon les régions. C’est durant cette période que les femelles percent la peau des cerises en formation et y déposent leur oeufs.
Les oeufs donnent des larves de 5 à 6mm qui, après 3 semaines de développement dans les fruits, tombent à terre. Elles se nymphosent et passent l’hiver suivant dans le sol, à faible profondeur, sous forme de pupes. Au pritemps suivant, les mouches éclosent, etc.
•Les variétés précoces de cerises (‘Burlat’, ‘Summit’, ‘Noire de Meched’…) sont faiblement attaquées, contrairement aux variétés tardives comme les bigarreaux ‘Cœur de Pigeon’, ‘Napoléon’, ‘Reverchon’…
•Evitez de planter à proximité du cerisier des chèvrefeuilles (lonicera), des épine-vinette (berberis)…
•Vous pouvez épandre du sulfate de fer en fin d’hiver pour détruire une partie des pupes
Lutte directe : piège; Cartons enduits de glu
Le moyen le plus respectueux de la Nature va consister à pièger au maximum les mouches avant qu’elles ne pondent.
Le piège contre la mouche de la cerise est simple d’utilisation et n’a aucune incidence sur les insectes utiles (entièrement écologique).
Vous trouverez dans le commerce des cartons jaunes enduits de glu que l’on suspend dans la couronne de l’arbre à raison de 1 par mètre de feuillage (soit 3 pièges pour un petit cerisier).
Le blastophage ne « s’occupe » que des figues, pas des cerises!!!!
c’est effectivement un insecte qui à l’etat de vers, permet la pollinisation des figues!
Normal que vous n’ayez pas trouvé de references, le vers microscopique de la cerise n’existe pas! nous avons bien ri! La blague etait geniale, bravo CATA
[b][u]Un IMMENSE MERCI, à Victor2, pour ces précisions.[/u]
La cerise est donc un produit naturellement « Bio »
La saison des cerises, est particulièrement courte, bien que des espèces murissent les unes après les autres.
N’achetez, ni ne mangez des cerises, en dehors de la saison, chez NOUS en France.
Et regardez bien leur provenance, si vous ne pouvez les acheter directement chez le producteur..[/b]
« [i]victor2 a dit: Le blastophage ne « s’occupe » que des figues, pas des cerises!!!! c’est effectivement un insecte qui à l’etat de vers, permet la pollinisation des figues! Normal que vous n’ayez pas trouvé de references, le vers microscopique de la cerise n’existe pas! nous avons bien ri! La blague etait geniale, bravo CATA[/i] »
Désolé de vous démentir victor…
mais le « [i]ver mûrisseur[/i] », – [i]j’ai traduit littéralement du catalan au français car je ne connais pas le nom en français[/i] -, n’existe pas que dans la figue, ou la cerise… mais il se retrouve dans une grande majorité de fruits, tout particulièrement « [i]dits exotiques dans leur globalité[/i] », pour les cerisiers, dits exotiques car provenant du Moyen-Orient et d’Asie…
Et pour la cerise, certes il existe la rhagoletis cerasi… mais c’est tout autre chose… et il ne faut surtout pas confondre…
Alors la blague, victor, vous la conterez à qui vous le voudrez…
« nous avons bien ri! La blague etait geniale, bravo CATA »
Bon, tant mieux pour vous, Victor2!!!
[b]Je suis perdue…
De qui se moque-t-on ???[/b]
[img]http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTEtZQvRCJ-6xTa_OkaGytivklehbUtDxQF922DJWHhVa0tKRyfMg[/img]
CECI N’EST PAS UNE CERISE
Je l’ignore, Sophy!
Il faut se connaître un minimum pour faire de l’humour, il faut de la connivence!
Oui, Mozarine les « vers » des cerises sont invisibles…LOL!
Oups « Nous »= mes potes fruiticulteurs (comme on dit chez nous); vous avez raison, faut se connaître un minimum pour faire de l’humour.
La cerise n’est pas franchement un fruit exotique; les Grecs s’en régalaient deja, 300 ans avant JC…
Peut etre y a t’il une variete catalane specifique, plus exotique?
Par contre, vendre des cerises à vers est plus ou moins defendu (comme le fruit); on voit tres vite ce petit vers qui bouzille tout dont parle votre ami catalan
[url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouche_de_la_cerise[/url]
pour la tomate, nos amis yankees ont un joli vers noir [url]http://www.riverrunnerbaits.net/fourinchwesternwormripeningtomato[/url]
bon appetit
« Oups « Nous »= mes potes fruiticulteurs (comme on dit chez nous); »
Ah, je comprends mieux!
J’ai abouti aux mêmes conclusions que vous,Victor2. sourire.
Ben victor2… vous me faîtes un drôle de fruiticulteur… et par cela j’ai vaguement l’impression que vous vous y méconnaissez dans le domaine agricole…
quand vos explications n’émanant pas de « [b]fruiticulteurs[/b] » mais de personnes qui sévissent sur un forum du type barbus cerise par exemple… d’autant que dans le cas c’est un poisson et non le fruit du cerisier… dois-je vous donner une seconde chance ([i]d’autant que vos explications sur le rhagoletis cerasi sont un copier-coller[/i])en regard du webmaster, [i]Blonde serial killeuse[/i] comme elle se qualifie!, du site porté sur la double chance, auteur de l’article sur du petit asticot blanc et non sur le procédé du mûrissement des fruits certains par production d’un gaz appelé éthylène juste avant de mûrir et d’autres par un phénomène fort complexe déclenché par un hôte de quelques microns de longueur…
« victor2 a dit: La cerise n’est pas franchement un fruit exotique; les Grecs s’en régalaient deja, 300 ans avant JC… »
Tout à fait normal… mais 300 ans avant JC… nous étions aux temps de hellènes et non des grecs…, des hellènes qui avaient des racines mésopotamiennes et moyenorientales…
[i]http://www.come4news.com/images/comprofiler/plug_profilegallery/3804/pg_334337262.png[/i]
Sophy,
il est grand temps de te mettre au vert!Avec ton article bio!
[img]http://www.come4news.com/images/comprofiler/plug_profilegallery/3804/pg_334337262.png[/img]
[b]Ah, quelle horreur, Mozarine, je suis verte de rage (lol)
Mais je suis horrible, en vert….
Coquine va !!
[/b]
[b]Tu n’as pas honte de démolir un si bel avatar.
Je me demande comment tu fais..
Attends tu ne perds rien pour attendre,
[/b]
T’as pas très bonne mine mais…avec la pluie actuelle…!
Vaut mieux être verte de rage qu’empoisonné par des cerises véreuses!!
[img]http://img.over-blog.com/550×640/3/98/51/54/pg_334337262–2–copie-1.jpg[/img]
Toujours verte mais comme la cerise… un petit peu de rose
Est-ce du à l’éthylène ou à un phénomène complexe déclenché par un hôte de quelques microns de longueur… ?
[i]Est-ce du à l’éthylène ou à un phénomène complexe déclenché par un hôte de quelques microns de longueur… ?[/i]
C’est à force de rester trop longtemps sur le net:ça déforme…!
[img]http://www.come4news.com/images/comprofiler/plug_profilegallery/3804/pg_2005586733.png[/img]
Là, on dirait lady gaga!
[img]http://www.come4news.com/images/comprofiler/plug_profilegallery/3804/pg_593204028.png[/img]
Là,c’est couleur cerise!
Plus appétissant,tu meurs…!
» Mozarine a dit: Là, on dirait lady gaga! »
Normal, Mozarine, j’ai repiqué sur le vôtre tout vert…
HOUUUUUUU HOUUUUUUU Sophy!Tu dors déjà?où tu es furax?
Au fait, le victor2 qui a des amis fruiticulteurs… qui avait ramené sa fraise avec des copier coller… qu’est-il devenu ?
N’aimerait-il point et l’éthylène et le phénomène complexe déclenché par un hôte de quelques microns de longueur.
« Mozarine a dit: Là,c’est couleur cerise!
Plus appétissant,tu meurs…! »
Un petit bonbon à sucer, n’est ce pas Mozaeine ?
C’est du à la polymérisation de l’éthylène en polyéthylène basse densité qui s’effectue par un polymérisation radicalaire à haute pression. Quant à la production de polyéthylène haute densité, ou basse densité linéaire, elle est possible grâce à la polymérisation coordinative en utilisant des catalyseurs type Ziegler-Natta, métallocène ou post-métallocène
[i]Un petit bonbon à sucer, n’est ce pas Mozaeine ?[/i]
Je dirais Catalan,un bon morceau de viande à déguster…miam!
Mais…ma meilleure copine est partie?
[b]Dites donc, hier soir, pendant que je m’endormais dans les bras de…Morphée, vous m’en « faites voir » de toutes les couleurs…
Quand Mozarine s’en mèle je m’attends au « pire » !!
Noctambule, à l’heure où j’écris vous êtes encore endormis.
Je sens qu’il va falloir que je passe à autre chose, sinon cet article va devenir un véritable nid de….. vers à fruits…(çà c’est pour revenir dans le sujet….)
[/b]
[b]Juste pour revenir dans le sujet, sachez qu’en Avril 2008, j’étais déjà « Verte »
Un beau succès que cet article.
Soyez curieux :
[url]http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=15826[/url][/b]
[i]Sophy a écrit:D’ici à la mi-juin, la France aura importé d’Espagne plus de 83 000
tonnes de fraises. Enfin, si on peut appeler « fraises » ces gros trucs
rouges, encore verts près de la queue car cueillis avant d’être mûrs, et
ressemblant à des tomates[/i]
miam les bonnes fraises vertes…
Tu étais déjà rouge,veux tu dire!
[b]Rouge, Verte, sais plus, mais j’apprends que Kadafhi et son fils seraient morts dans un raid en Lybie ????
BFM Tv ????
ce sont les rebelles qui le disent.
Je ne m’en mêle pas, c’est pour Jeff Tombeur ou Anidom Nidolga, çà .
moi je retourne à mon sujet favori…
Chut…
je n’en dirai pas plus…
Bisous caillou[/b]
[img]http://www.come4news.com/images/comprofiler/3804_4e3ba84aec144.jpeg[/img]
Catalan dans le désert
Excellent article [b]SOPHY[/b]… Comme quoi, après l’affaire du nouveau vin rosé (v[b][i]in rouge + vin blanc = vin rosi[/i][/b]) [ cf : [b][i] »Le vin rosé… rosi… made in Bruxelles »[/i] – [url]http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=26229 [/url]-[/b] ], nous voila obligés de manger, de boire… selon des standards imposés par les partisans de la mondialisation à outrance !!! Comme si on voulait mettre tous les peuples dans un même moule, dans un même format…
Pourtant, chaque pays a sa gastronomie…
La gastronomie, tout comme l’œnologie, ce sont des arts qu’il convient de respecter…
Alors, quand aurons-nous des politiques courageux, qui oseront dire « NON » à tous ces standards ?
GBGB
[b]Dominique[/b]
[b]Sophy,
Avez-vous remarqué dans quoi les produits BIO sont emballés?
Tout simplement et pour la majorité dans les emballages plastiques qui ne sont pas du tout écologiques, démunis du triangle recyclage…..
Une enquête avait été réalisée et on avait pu constater qu’il y avait plus d’emballage conforme pour les produits BIO chez Auchan que dans les magasins dits spécialisés.
A l’issu de cette étude on peut lire:
« La « Marque » BIO semble donc destiné uniquement aux familles riches roulant en 4×4 (véhicule très polluant), certes au début de l’apparition du Label BIO, on a pu concevoir que les frais de Fabrication des produits Bio revenaient assez cher au fabricant BIO, comparé aux prix des produits vendus en Supermarché.
Mais aujourd’hui, dix ans après la création du Label, le prix des produits ne cesse de grimper alors que ces produits Bio sont vendus aussi dans les Supermarchés actuellement …
C’est dire l’hypocrisie commerciale qui tourne autour du BIO, car c’est partager en « 2 » la population, celle qui a droit aux produits des Industries classiques (dites polluantes d’après BIO) et celle qui peut se payer du BIO mais qui se fiche royalement de l’Écologie.
Il est à espérer que ce LABEL BIO fera comme les industriels « classiques » et que le Label BIO sera dans un avenir proche, lui aussi vendu dans un emballage Recyclable et Bio-Dégradable ( représenté par le Logo du TRIANGLE.
Car vendre un produit dit BIO mais NON-ÉCOLOGIQUE revient à dire : MANGEONS SAIN MAIS CONTINUONS à POLLUER LA TERRE dans laquelle pousse les PRODUITS BIO…
Autrement dit, le prix du BIO ne cessera pas d’augmenter quand on sait que le Montant de la Pollution, ne fût ce qu’en France, à coûter déjà et coûte encore des Milliards d’Euros à la collectivité, si aucun effort n’est fait.
En conclusion de cet Article, un vrai Écologiste se mesure à son habitude de consommation portant le Triangle du Recyclable et non pas à son habitude de consommer que du BIO. »
Je crois que tout est dit et certainement mieux que si je l’avais fait moi-même.
Pour moi la messe est dite, et pas plus tard que ce matin, j’ai repiqué mes poireaux et mes choux qui seront certainement plus BIO avec une culture sans aucun traitement sinon que naturels comme le purin de feuilles de tomates ou d’orties, du poivre … bref, une culture 100% écologique.
GBQCTF
Ludo[/b]
[b]Cher Ludo,
Rien n’aura jamais la saveur de vos poireaux, et de vos choux.
Quand on a la chance d’avoir un « lopin » de terre, bien sûr qu’il est préférable de cultiver soi même ses légumes et fruits (tomates).
En fait je préfère la formule « MANGER LOCAL » à la formule « MANGEZ BIO »
De toutes façon en général quand on achète ses produit aux petits producteurs, la culture est « Bio » (j’ai bien dit en général)
Je connais des fermiers qui viennent régulièrement sur le marché vendre les produits de leur ferme.
leur étal est petit car la production est à l’échelle de leur exploitation (petite);
Du beurre, des oeufs, du fromage, et de produits et légumes cultivés à la ferme.
C’est LÀ, qu’il faut acheter.
Des marchés il y en a même dans les grandes villes, et les éleveurs, cultivateurs se déplacent pour venir vendre leur production.
Pour tout ce qui est produits frais ils ont une règlementation assez sévère (inspection spontanée sur les marchés) et depuis qu’on les a obligé à s’équiper de matériel réfrigérés, on en trouve de moins en moins.
A nous de nous rendre à la ferme quand c’est possible.
GBQCTF
SOPHY[/b]
[b]Mieux que le sois-disant Bio Ecolo et tout ce qui ne tient pas une promesse…
Lorsqu’on est stressé on nous recommande de manger du chocolat
Stressé en anglais s’écrit stressed
Alors maintenant écrivez ce mot à l’envers….et vous obtenez Desserts
Vraiment indispensable le chocolat…
Soit dit en passant extrait de la fève de cacao, une plante!
Donc la fève est un légume et par conséquent, le chocolat est un légume !
Et vous savez quoi? les légumes sont bons pour la santé.
CQFD
Vive le chocolat! et ne vous laissez pas avoir par la « pilule » de l’UMP
[img]http://storage.canalblog.com/20/46/507228/39339834_p.jpg[/img]
[/b]
[b]LUDO,
J’ADORE, votre définition du chocolat : « légume » excellent pour la santé !!!!
Je vais de ce pas m’en croquer un.., Non quatre carrés à 72% de cacao.
Si avec çà je n’ai pas avalé quelques légumes, alors je n’y comprend plus rien (lol)
Trop drole le dessin.
Si je continue de manger autant de chocolat (surtout quand j’écris sur C4N), je serai obligée d’acheter la pilule UMP, car je vais devenir « OBÈSE »
[/b]