Un grand merci à tous ces magazines féminins qui pullulent de plus en plus, qui nous disent à nous les femmes, comment aimer notre homme, comment se maquiller, quelle coupe de cheveux avoir. Ce qui, il y a quelques années était tendance pour une année, est devenue tendance pour une saison. Donc, cheveux court pour l’été et cheveux long bouclés pour l’hiver. Oui, enfin, on a que quatre mois pour récupérer ces vingt centimètres de cheveux que l’on avait avant l’arrivée de l’été !
Bref, ces magazines mettent en avant ces corps à tendance anorexique, le top 10 du régime parfait, qui deviendra l’année prochaine le top 10 du régime super parfait. Les petits messages des lectrices qui ne savent plus comment séduire leur époux après avoir accouché. Est-ce que je donne le sein ou pas ?
Un comparatif entre le mascara maxi volume avec le mascara hyper volumique. La fringue à porter, les 10 petites astuces pour faire grimper au rideau son mec….
STOP !!!!!!
Pourquoi prendre les femmes pour des blondes ? Trop dure pour elles. A croire que toutes les femmes ont des problèmes de couple. A croire que toutes les femmes ont des problèmes existentiels avec leur poitrine. A croire que le poids d’une femme, la silhouette est l’avantage de base pour parler à une femme.
Gérer la maison, le travail, le couple, la belle mère, les enfants c’est le challenge de la femme du XXIème siècle. C’est la fashion mania à la Ally Mcbeal
STOP !!!!!!!
Les magazines féminins, le quotidien, le système, la société, la révolution sexuelle, bref, on tue l’essence même de la femme. On la transforme en une espèce de poison sensuel, une convoitise, une gourmandise. Tantôt chien féroce, parfois douce féline…
Une femme c’est le symbole de la douceur. Qu’on se le dise.
Et elle fait tout aujourd’hui pour fuir cette douceur. Pour être l’égale de l’homme. Ou parce que des magazines leur …
disent comment penser. Je hais ces magasines démago ! la femme ne sera pas l'égal de l'homme. "L'homme et la femme ont à la fois une construction et des attitudes comportementales différentes!" Dora Pannozzo-Mochon auteur de Coaching de femmes.
Au lieu de vénérer les produits cosmétiques qui sont mauvais pour l’environnement, qui sont testés sur les animaux ; au lieu de se demander comment faire jouir son mec sans amour (mission impossible tout à fait entre nous, sans l’amour), pourquoi, pourquoi ne pas, se demander ce que la femme au quotidien peut faire pour protéger l’environnement ? Quels messages peuvent elles donner à leur enfant ? Ou trouver les fringues qui sont à 50% en coton et 50% en fibre de soja ! Au lieu de voir des pages de pub avec la phrase « c’est la peau de mon bébé qui me le dit » ! Ces mêmes magazines pourraient souligner combien devenir un mec dans le corps d'une femme donne mauvaise mine.
Marre de ces magazines, de ces pubs qui me polluent, m’agressent au quotidien. Revenons à des valeurs plus en phase avec ce que nous sommes.
Ca me rappelle une chanson de Renaud sur les femmes :
« Femme du monde ou bien putain
Qui bien souvent êtes les mêmes
Femme normale, star ou boudin,
Femelles en tout genre je vous aime
Même à la dernière des connes,
Je veux dédier ces quelques vers
Issus de mon dégoût des hommes
Et de leur morale guerrière
Car aucune femme sur la planète
N' s'ra jamais plus con que son frère
Ni plus fière, ni plus malhonnête
A part peut-être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Lorsque le sport devient la guerre
Y a pas de gonzesse ou si peu
Dans les hordes de supporters
Ces fanatiques, fous-furieux
Abreuvés de haines et de bières
Déifiant les crétins en bleu,
Insultant les salauds en vert
Y a pas de gonzesse hooligan,
Imbécile et meurtrière
Y'en a pas même en grande Bretagne
A part bien sûr Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Une bagnole entre les pognes
Tu n' deviens pas aussi con que
Ces pauvres tarés qui se cognent
Pour un phare un peu amoché
Ou pour un doigt tendu bien haut
Y'en a qui vont jusqu'à flinguer
Pour sauver leur autoradio
Le bras d'honneur de ces cons-là
Aucune femme n'est assez vulgaire
Pour l'employer à tour de bras
A part peut être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Tu vas pas mourir à la guerre
Parc' que la vue d'une arme à feu
Fait pas frissonner tes ovaires
Parc' que dans les rangs des chasseurs
Qui dégomment la tourterelle
Et occasionnellement les Beurs,
J'ai jamais vu une femelle
Pas une femme n'est assez minable
Pour astiquer un revolver
Et se sentir invulnérable
A part bien sûr Madame Thatcher
C'est pas d'un cerveau féminin
Qu'est sortie la bombe atomique
Et pas une femme n'a sur les mains
Le sang des indiens d'Amérique
Palestiniens et arméniens
Témoignent du fond de leurs tombeaux
Qu'un génocide c'est masculin
Comme un SS, un torero
Dans cette putain d'humanité
Les assassins sont tous des frères
Pas une femme pour rivaliser
A part peut être Madame Thatcher »
C’est marrant, mais aujourd’hui, cette chanson est presque démodée. Impossible de ne pas penser que des femmes dans le monde se font exploser pour leur Dieu, que la femme maintenant se fait raser le crâne pour aller sur le front, tirer, humilier des prisonniers (cf., l’enquête avec les prisonniers à Guantanamo (Le 12 mars 2005, 527 personnes étaient emprisonnées à Guantanamo. En juin 2006, la Cour suprême américaine a déclaré illégales les procédures judiciaires d'exception mises en place à Guantanamo.)) et une femme est tout à fait capable de faire un bras d'honneur si elle le souhaite.
La société transforme la femme en une super woman, qu’elle ne peut pas être, parce que c’est contre nature. On la transforme, on l’humilie ! Que font les féministes lorsqu’elles voient des clips avec des nanas qui sont utilisées pour danser de façon suggestive. Où est la dignité de la femme ? Pourquoi dans les années 60, nos grands-mères, nos mères se sont elles battues ? Pour perdre la dignité et les valeurs aujourd’hui ?!
Je vais me réserver toute critique pour la journée de la femme, rendez vous donc l’année prochaine. Je veux juste dire merde à ces mag féminins démagos, qui ne font rien pour changer les choses ! Et qui réduisent la femme à rien.
Je finirais juste avec une phrase de Karl Lagerfeld : « une belle femme, séduisante, séductrice, envoûtante, c’est celle qui montre le moins son corps, plus c’est habillé, plus on devine, plus on est attiré ».
La Femme ne sera jamais……
Je vous trouve bien amere pour une jeune journaliste de 28ans! J’en ai 6O et j’avoue me délecter chaque semaine de mon mag. préféré. En plus il m’inspire soyez curieuse allez voir mon « mini » article sur Rajeunir sans passer par le bistouri!! je n’ai pas été publiée cette fois ci je suis tombée dns une période ou des événements beaucoup plus alarmistes étaient en vedette . A part çà chapeau , on sent la journaliste pro. Un peu aigrie tout de même!!!dommage à votre age!!!
Aigrie non… loin de là. Je peins une façon de penser. Prendre l’info pour l’info, s’informer, comprendre, nourrir son avidité de connaissance, alors les mag. ont une belle place dans notre société puisque finalement ils représentent une emprunte de la société actuelle. Prennons comme exemple un magasine des années 60, et ceux d’aujourd’hui. Le sexe est bien plus en avant. En tant que journaliste (ex-journaliste d’ailleurs), je sais que l’empire des médias est avant tout une entreprise qu’il faut mener à bien. Avec l’arrivée des France Dimanche et autres, le mag féminin ressemble plus à de l’intrusion qu’autre chose. Aussi, je pense qu’il est bien plus intéressant de survoler un mag pour comprendre comment le monde tourne. Et lire un bon livre en science humaine pour en comprendre les tenants et les aboutissants. Ou du moins être mis sur la voie.
Ce qui m’énèrve quelque peu, ce sont didactes que la presse féminine nous impose.
Mais, il est vrai qu’en tant qu’observateur, on ne peut pas ne pas vivre sans cette presse, puisqu’elle est le reflet quelque part de ce que nous sommes. Et je pense que c’est en cela que ça me choque. La femme n’est pas un object. Elle a sa place en tant que telle. Et je reproche peut être au système l’idée selon laquelle la femme doit singer l’homme. Pour avoir travailler dans un monde d’homme, pour actuellement monter mon entreprise, je suis épanouie en tant que femme, mais je ne veux pas inculquée à mes filles l’idée de prendre les mecs pour des cons! Et surtout de se manquer de respect.
Merci beaucoup Sophy pour votre commentaire. Très riche en effet, il permet de faire avancer les choses. Merci encore.
Bien à vous.
Mind.
Eh bien oui, les femmes en sont arrivées à devenir des objets, bien plus qu’avant, et ne trouvent plus le même respect qu’autrefois.
Sexuellement c’est la société qui est déplorable, nos magazines cherchent à tous prix à savoir comment jouir le mieux possible, c’est déplorable. Cela n’amène qu’à aider les vendeurs de babioles en tous genre. J’ai pitié quand je vois ces femmes se réunir pour s’acheter des godes entre copines, à la limite je l’accepte, mais elles pourraient au moins faire preuve d’un minimum de pudeur.
Eh bien, je ne trouve absolument pas aigrie, et même plutôt lucide.
Bien cordialement
Blaise
@ Minddrop
Votre article est courageux ! Mais, je ne suis pas du tout d’acccord avec son titre ou avec ses propos…
Pour moi, qui suis un homme, la femme est l’égale des hommes, mais avec un pouvoir en plus : celui d’enfanter, donc, de donner la vie par oeuvre de procréation !
ASPECT SOCIETAL DU « DEVELOPPEMENT DURABLE »
ASPECT SOCIETAL DU « DEVELOPPEMENT DURABLE »
– Place de l’Humain.
Le « développent durable » s’appuie sur trois piliers : économique, environnental et sociétal. Car rien n’est faisable sans l’Humain !
Et, c’est dans cette logique, que lorsque les partenaires sociaux sont invités à s’exprimer sur des sujets comme la mixité dans l’entreprise et la place des femmes ou bien la conciliation des temps de vie, ce n’est pas au Ministère du Travail qu’ils se rendent, mais à celui du Développement durable !
Détaillons quelque peu.
– Constat du déséquilibre.
A ce jour, persiste toujours un écart de 25% entre le salaire moyen des hommes et celui des femmes… S’il faut être positif, alors soulignons que cela est infiniment mieux que dans les années 60 où cette différence flirtait avec les 50% ! Est-ce pour autant satisfaisant ? Bien évidemment non !
Est lié à cet aspect financier du déséquilibre, la ségrégation pratiquée dans l’attribution de responsabilités : d’une manière plus ou moins consciente, les différents acteurs de la vie professionnelle -tant masculins que féminins, du postulant à un poste au décideur- ont encore tendance à spécialiser le rôle social de l’homme et de la femme au détriment du potentiel de l’individu, quelque soit son sexe. Ce frein à l’égalité génère un « plafond de verre », un « plancher collant » qui empêche les femmes d’accéder en plus grand nombre à des postes de direction : L’exercice du pouvoir reste un apanage masculin…
Hommes et femmes ne sont pas en égalité dans l’entreprise : Plusieurs enfants, c’est plutôt favorable à la carrière d’un homme, et défavorable à celle d’une femme. C’est ce qui appelé la « notion de l’escalier inversé ».
– Une explication culturelle.
Ne nous voilons pas la face, la phallocratie y est pour beaucoup… En effet, à qui les lois -faites historiquement par les hommes- n’ont-elles régulièrement reconnu qu’une citoyenneté de second rang sinon aux femmes ?
Sans s’y étendre, il fallait mentionner ce travers… Cela étant fait, arrêtons nous sur un autre aspect.
Dans le cadre d’une société agricole, la répartition des tâches s’effectuait pour beaucoup sur base de la force physique : les hommes aux labours, à la forge, etc., les femmes -qui alors travaillaient toutes- s’occupant des animaux plus petits de la « basse-cour », de la préparation des repas nombreux car en ces temps, les ouvriers agricoles l’étaient également, sans oublier l’entretien des vêtements pourtant appropriés à des travaux difficiles dans les champs. La notion alors très forte d’ « habits du dimanche » illustre, en creux, cette réalité d’une autre époque… Autre époque car la « révolution industrielle » est apparue et avec elle l’exode rural.
Mais les mentalités sont restées. Et les femmes se sont retrouvées en ville trop souvent « enfermées dans la cuisine »…
Bien sur, elles sont entrées dans ce qui est appelé « le monde du travail », parfois par la force de circonstances dramatiques, comme dans le contexte du premier conflit mondial, mais souvent aussi par une volonté active et positive d’émancipation comme la revendication du droit à l’éducation et du droit de vote pour n’en citer que deux.
Aujourd’hui, fort heureusement, plus personne ne taxe de « mauvaise mère » celle qui travaille, ce qui reviendrait à transformer la maternité en piège, et rares sont ceux qui osent encore professer que les femmes devraient rester « à la maison ». Il est admis dans la culture française que les femmes sortent de la sphère du privé.
Pourtant, l’écart de salaire indiqué dans les premières lignes de cet article illustre qu’encore aujourd’hui, les femmes sont considérées comme une force d’appoint et non comme un véritable moteur de l’économie.
Il faut en conséquences accepter de revisiter les rôles de l’homme et de la femme : l’homme doit prendre plus de place dans la famille, aux femmes de l’accepter et, conséquence logique, la leur évoluera dans l’entreprise.
– L’équilibre visé.
Le vocable « équilibre » nous vient du latin libra qui signifie balance. Il faut donc comprendre « forces égales » ou « égalité de forces ». En d’autres termes, il s’agit de casser la marginalisation dont les femmes font l’objet, sans pourtant jouer la carte de l’opposition, et encore moins de la guerre des sexes car cet objectif ne pourra être atteint qu’avec les hommes et non pas contre eux… Sans oublier les métiers où se sont ces derniers qui, sans raisons objectivement défendables, sont minoritaires… Il faut donc favoriser une plus grande mixité, dans les différentes branches professionnelles, comme dans la hiérarchie.
« L’équilibre visé » disions-nous il y a quelques instants. Mais il faut parler au pluriel car un autre équilibre est aussi dans le viseur : la conciliation des temps de vie. Manquer d’équilibre en favorisant sa « carrière » au détriment de sa famille revient à risquer la pérennité de celle-ci : pour favoriser la conciliation de ces deux pôles indispensables à la réalisation et à l’épanouissement de soi, les solutions existent : création, de crèches interentreprises, de services de garde d’enfants malades, de repassage, d’horaires individualisés. Tout cela afin que les couples bi actifs aient à leur disposition toute une panoplie d’outils facilitateurs qui doivent se révéler comme étant de véritables passerelles reliant deux mondes qui ne sont pas antinomiques : vie professionnelle et vie familiale. Pour la femme, comme pour l’homme !
– Concrètement.
Comment dépasser le stade des « vœux pieux », des paroles sans lendemain, des intentions qui restent lettres mortes ? Comment œuvrer pour obtenir autre chose qu’un équilibre instable ou un équilibre précaire, ce qui serait pour le moins renversant ? Ou comment passer des actions sporadiques à l’enracinement de l’égalité professionnelle dans le quotidien de l’entreprise ?
Il nous est possible, par un changement de culture, de faire évoluer les mentalités. A commencer par la notre (croyons nous qu’au féminin « il regarde assis dans le salon la télévision » se dit « elle fait debout dans la cuisine la vaisselle » ?).
La concrétisation visée ne se fera pas non plus contre les employeurs mais avec eux, dans une perspective de dialogue, par la mise en place d’une communication visant à ce que ceux-ci demandent le « Label Egalité Professionnelle » AFAQ/AFNOR
Et il est préférable de parler mixité plutôt que parité car il serait regrettable que des quotas écartent des compétences…
Si ce qui est ambitionné ici semble irréaliste, il faut se remémorer qu’une des leçon apportée par l’Histoire est que « l’utopie d’aujourd’hui est la réalité de demain »…
– Pour conclure.
La LIBERTE de l’Humain passe par une EGALITE de droits pour les deux entités qui le compose. Et seule cette égalité, en excluant tout apartheid, permet une pleine FRATERNITE des sexes.
« Rester à la maison » est respectable et doit être respecté.
Si c’est un choix éclairé et partagé.
« Travailler » est respectable et doit être respecté.
Si c’est un choix éclairé et partagé.
Et dans des conditions juridiquement identiques avec des chances qui le sont donc également !
COLPIN Didier
Didier, merci pour votre intervention. Ainsi qu’aux autres d’ailleurs. Mais je voudrais juste ajouter quelque chose à Didier. Je suis une femme, et non une féministe. Je suis bien entendu pour l’égalité des tâches.
C’est en cela que je suppose que votre intervention demeure un commentaire complémentaire à mon article.
Je souhaite à nouveau remettre les choses dans leur contexte: je parle de la place de la femme, comme elle est représentée au XXIème siècle. Il n’est pas question de remettre en question l’économie, encore que pour des tâches égales, elles sont moins payées que les hommes.
Mais l’image… il semble que la femme aujourd’hui pert sa dignité. C’est en tout les cas l’image qui met renvoyée. Pour gagner ses galons dans l’économie, la femme se sent obliger de singer l’homme.
Aussi, je pense que vous vous égarez lorsque vous évoquez l’idée selon laquelle une mère de famille qui travaille ne recevrait aucun reproche. Mon job m’a permis de rencontrer bien des femmes qui se sentent pas à leur place. Ayant reproches affirmés ou sous entendus!
Mon article remettait en question la féminité, l’essence même de la femme, d’un point de vu humain, et non économique. Ceci étant dit, merci tout de même de vos remarques très riches.
Bien à vous.
…
Je pense que vous portez plus d’attention que nécessaire à ce genre de revues, et qu’elles n’ont pas autant d’impact que ça. Un peu comme gala ou paris match…malgré le nombre de ventes.
Néanmoins, il faut concevoir que toutes les femmes n’ont pas forcément la même conception que vous de la féminité. Certaines en manque d’amour et de confiance en elles seront probablement plus préoccupées par la façon de séduire que par l’environnement. Et c’est là que ce genre de magasines à tendance à les pousser vers ce coté « femme objet » que vous avez bien décrit (Le terme d’humiliation ma parait néanmoins un peu fort) et qui quelque part se base aussi sur les attentes d’une partie des hommes.
Mais les hommes ne sont pas beucoup mieux lotis en la matière puisqu’il nous faudra avoir des abdos sans failles, ne pas perdre nos cheveux, une pilosité minimale et être un homme et amant accomplis, infatigable, sans faille, tout en etant plein de sensibilité bien entendu.
Au dela de ça, il y a beaucoup de gens qui se rendent bien compte de la futilité de ces revues et meme si certains sujets peuvent être de vrai problèmes comme celui du désir dans le couple après l’accouchement, je ne crois pas qu’on puisse en attendre des réponses très poussées. Autant se rediriger vers des magazines comme psychologies.
Mais vous avez raison, tout cela est un des reflets de notre société et de nous même et c’est important de rappeler que l’on peut négocier la notion de plaisir avec des valeurs plus fondamentales que celles basées uniquement sur les apparences.