A la lecture des différents organismes de presse, une constance s'impose naturellement.

Nicolas Sarkozy essuie quotidiennement des attaques intempestives. Le retour d'un journalisme boutiquier, teinté de bolchévisme, ayant la mémoire bien courte.

Les vacances de feu Georges Marchais, chez son grand ami Ceausescu, ou de feu François Mitterrand dans un hotel de luxe en Egypte…

Des allusions pernicieuses, des propos diffamatoires et surtout une amnésie totale sur un passé pas si lointain. L'obsessionnel devient le fil conducteur d'une presse boutiquière. François Hollande poursuit dans la quête de l'absurdité. Les insinuations sont d'une telle platitude. Le socialisme sauce deux-tiers mondain, un tiers… provisionnel !!

Que Georges Marchais paradait dans l'opulence et le faste de son ami Ceausescu n'indignait pas la presse..

Que François Mitterrand jouait les nababs dans un hotel de luxe en Egypte, sans compter les largesses avec Mazarine Pingeot… Il est vrai que cela devait certainement ressembler à un voyage culturel !!

Cahotique. Le New Hampshire devient la cible de toutes les attentions. Près d'un million de français voyagent aux Etats-Unis, le dollar faisant grise mine par rapport à l'euro, quoi de plus naturel. Il est vrai que cette fameuse villa soulève une polémique. Tout y passe, le prix, Microsoft, les milliardaires, la Lybie… Quel méli-mélo !!

Les vacances de Monsieur Hulot !!

Qui a payé les fameuses vacances ?

Voila la seule question qui ronge le parti socialiste. La rénovation n'est déja plus d'actualité. L'incapacité a résoudre une situation d'ingérance conduit les vestiges du parti, vers le sectarisme le plus profond. L'idéologie, le militantisme, des mots qui ne signifient rien dans la bouche de ces médisants. Le parti socialiste s'est embourgeoisé, exhalant des parfums de décadence.

Prétendre s'occuper de la classe ouvrière, en affichant des richesses non négligeables. Vouloir se donner un ton moralisateur après les nombreuses magouilles de la gestion mitterrandienne. Jouer les offusqués…

Que Molière aurait aimé ce monde grouillant, quelle belle pièce. Les actes se succèdent, la bouffonnerie s'impose au fil des vers…