Menace de mort sur NICOLAS SARKOZY.  

 

 

Eh ! Bien, cher Nicolas on ne peut pas dire que vous soyez à la fête en ce moment.

Après, les sifflets lors de votre discours, qui ne vous ont pas ravi, mais alors pas du tout. 

Après, les manifestations de jeudi, largement suivies par la population, alors que vous précisiez que les grèves, ne se voyaient pas en France.  Ainsi, vous espériez fortement, que le mouvement ne soit que très peu suivi. Les chiffres du nombre de manisfestants, ont dû, vous faire bondir.

 

Après tous ces malheurs, c'est maintenant un homme qui vous menace de mort. 

Ainsi, vous avez reçu à l’Elysée, un e-mail d'une personne qui précisait, qu'elle allait vous tuer.

L’auteur de ce courriel, un père de trois jeunes enfants âgé de quarante ans. Vous a envoyé un texto de 15 lignes, dans lequel il spécifiait, vouloir vous tuer, ainsi qu’éliminer deux élus de l’Oise et détruire la maison de la Ministre de l’Intérieur, dans les Pyrénées-Atlantiques. C’est ce que précise, le parquet de Compiègne. 

 

Il reconnaît, avoir fait "une grosse bêtise", surtout que dans le courriel, il insultait votre femme, Carla Bruni. 

Il s’explique : 

 

-J’ai fait "contacter l’Elysée" sur Google et là j’ai eu le site Présidentiel. J’avais un peu la haine. Il y a la crise et Sarkozy a augmenté son salaire. Chez nous, il y a du chômage partiel, tout ça, quoi !!! Et puis j’avais pas mal bu".  Il s’agit d’un ouvrier, employé par un sous-traitant automobile de l’Oise. 

 

C’est ainsi, que mardi, alors qu’il dormait. Il eut la surprise de voir débarquer à son domicile, les policiers de la section antiterroriste de la brigade criminelle de la PJ, armés et vêtus de gilets pare-balles.

Son logement a été fouillé, puis il a été emmené à Paris pour 24 heures de garde à vue, dans le cadre d’une atteinte à la sûreté de l’Etat.

-"On s’aperçoit très vite, que l’on est loin du terrorisme, et qu’il s’agit plus de problèmes psychologiques et d’alcool". A expliqué le parquet.

Cet homme a été relâché et il comparaitra devant le tribunal le 16 mars.

Il encourt cinq ans de prison.

 

Il avait beaucoup bu et était très en colère contre votre politique et si on ne peut lui donner raison de vous avoir menacé.

On peut certes, comprendre, pourquoi il a agit ainsi. 

 

Oui, Nicolas !!! Il ne s’agissait que d’un pauvre homme, avec de nombreuses difficultés pour faire vivre sa famille et nourrir ses enfants.