Ah, les Grecs… Ah, les Grecs… Ah, les Grecs… Ah, ah, ah, les Grecs…

Papandréou, sans doute rigolard, s’est pris l’avoinée du siècle, c’est sûr, par nos deux cadors européens. Seulement voilà, Papandréou et ses citoyens grecs n’ont plus rien à perdre, étant donné que, dès début décembre, si les cadors ne lui ont pas donné – pardon, PRÊTÉ – les milliards promis en 2010 (j’ai écrit 2010, l’an dernier, hein ?), la Grèce est en faillite, ce qui, mathématiquement (là, débrouillez-vous, je ne suis pas une matheuse), flanque l’ Europe entière en faillite, petit-à-petit mais assez vite, puisque le commerce extérieur de l’Allemagne se porte bien mais la dette allemande est à 81%. Chérot.

Nous, on fait plus, bien plus : notre Chouchou et trop génial pour ne pas dépasser l’Allemagne. Pour les Etats – Unis, on ne sait plus, je crois, puisque la planche à billets est prise de folie et nul n’arrive à lui passer la camisole.

Tout ce que nous pouvons espérer est qu’ils vont donner son flouze à "Papa", sans lui coller les verges, avec le "t’es pas sympa" de rigueur, "tu sais bien qu’on avait besoin de montrer à nos populations qu’on est des méchants, qu’on ne joue plus avec leurs sous, comme pour les banques, en 2008. Bref, t’aurais pu prévenir !"

Le bruit court que, ce soir, Chouchou a plongé dans le port enmazouté de Cannes, suivi de près par Angela. Il a été admis chez les moinillons du monastère des Îles de Lérins et essaie de convaincre le supérieur des bienfaits de la mixité pour y accueillir Angela qui a froid, là, dans le noir, sous le porche, dans une nuit d’encre (noire).

Ciao.

 

Que la paix règne sur la terre et l’amour dans le coeur des Hommes (pauvre Charlie…)