Et si aujourd’hui nous parlions un peu d’environnement et surtout de la perte de plus en plus fréquente du corail, surtout celle de la grande Barrière de corail en Australie ? 

 

Cette perte est dû principalement aux fortes tempêtes, aux très conséquents cyclones tropicaux , au réchauffement de la planète, mais aussi par la faute de certaines étoiles de mer!  Particulièrement l’étoile de mer pourpre, qui dévore tous les coraux. Ce qui reste une énorme préoccupation pour la survie de dizaines de milliers d’espèces. Ces phénomènes sont responsables de plus de la moitié de la perte de coraux. Bien-sûr me direz-vous, cette barrière de corail pourrait se reconstituer, mais combien d’années cela prendrait il ?

Inscrite au patrimoine mondiale de l’Unesco, la grande barrière a une superficie d’environ trois cent quarante cinq kilomètres, c’est dit-on le plus grand ensemble coralien ; elle abriterait quatre cent espèces de coraux, mais aussi mille cinq cent poissons, quatre mille mollusques et bien d’autres animaux qui sont ainsi en danger. Comme par exemple, pour ne citer qu’elle, la belle tortue verte.

Ce qui reste très inquiétant, et cela ne date pas d’aujourd’hui hui puisque la perte de ces coraux a commencé en mille neuf cent quatre vingt dix huit. Mais le souci est que le rythme s’accélère au fil du temps.

Pour y remédier il est important de lutter contre l’étoile de mer pourpre qui est également appelée coussin de belle mère. Cette dernière a une belle envergure: environ 40 cm, elle a sept à quinze bras, et n’est pas vraiment jolie.

D’ailleurs, les japonais ont déjà essayé de la supprimer mais je suppose que sa prolifération est alimentée par tout ce que l’on peut jeter dans la mer.

C’est vraiment un prédateur qui se reproduit à une allure fulgurante, et il faut vraiment en venir à bout, afin de ne pas détruire complètement toutes ces merveilleuses qui nous éblouissent lorsque nous faisons de la plongée sous marine.