Depuis notre plus tendre enfance, la plupart d’entre nous s’interroge sur les mystères de la vie et se pose de nombreuses questions concernant l’origine de l’homme et sur la mort qui nous guette à chaque instant au cours de notre existence. Une récente étude scientifique américaine vient de révéler que l’heure de notre mort pourrait être déterminée par notre patrimoine génétique. Et pourquoi pas l’année et le jour ?

Des récents travaux scientifiques américains réalisés sur l’ADN et portant sur un échantillon de  1 200 personnes de plus de 65 ans, mettent en évidence que selon le génome lié à notre rythme de sommeil, nous sommes davantage prédisposé à mourir avant 11 heures ou avant 18 heures, compte tenu du fait que l’on fait partie des gens qui sont plus du matin ou du soir.

Cela est une avancée importante, qui va probablement ouvrir d’autres portes d’ici quelques années, mais pour l’instant elle porte simplement sur une probabilité concernant l’heure de notre mort.

 

Que deviendrait notre existence si l’on connaissait précisément le jour de notre mort ? Serait-elle meilleure ou serait-elle pire, les avis sont très partagés sur ce sujet. 

Vous avez des personnes qui veulent  tout maitriser, qui plus est leur destin et ne supportent pas de ne pas savoir et vous avez les autres, beaucoup plus fatalistes qui pensent que cela ne changerait pas grand-chose et que l’on ne serait pas pour autant plus heureux, dans la mesure où au quotidien la soif de vivre disparaitrait.

A quoi bon faire des projets de vie, si l’on sait que demain on ne sera plus là pour profiter des bonnes choses et chérir nos proches ! Tout deviendrait platonique et manquerait de poésie, car on serait constamment en perpétuelle attente du dernier jour.

Tout cela bien sûr, n’est pour l’instant que pure fiction, car même si des avancées scientifiques permettent grâce à notre patrimoine génétique de connaître beaucoup de choses sur nous,  et d’apporter certaines vérités, on est encore loin de tout pouvoir décrypter.

Actuellement, les découvertes concernant l’ADN, des individus permettent d’aider la police et la justice en matière criminelle et restent une aide précieuse dans le domaine médical pour soigner des maladies.

Notre horloge biologique interne contient une  somme inépuisable d’informations sur l’homme, que les chercheurs du monde entier essaient de  décrypter, pour en percer les mystères.

Il convient cependant d’être assez prudent dans ce domaine et de laisser une part d’imprévu à la vie pour lui garder tout son piment.