Kate et Gerry Mac Cann n'ont pas l'air d'avoir des états d'âme. Plus de six mois, que Maddie cette adorable fillette a disparu. La mise en examen du couple, les soupçons pesants qui enserrent un dénouement tragique, rien ne touche ses parents… Dilapidant allégrement le Fonds Madeleine…qui a servi à éponger une dette immobilière alors que les honoraires de leurs avocats n'ont toujours pas été réglés, la conscience tranquille…


L'affaire Maddie, six mois et rien ne laisse présager une issue heureuse. Au vu du comportement aberrant de ces géniteurs, une seule question est digne d'intérêt :  COUPABLE OU NON COUPABLE…  Le Fonds Madeleine, destiné à l'origine, à la recherche de la petite fillette, ne sert au final qu’à assouvir les besoins de la famille Mac Cann. Vous trouverez quand même cette attitude révoltante, des parents sans âme, qui n'ont eu de cesse de manipuler les médias…La vérité se trouve certainement la, non pas dans un hypothétique ravisseur…l'homme fantôme, qui apparaît à un moment clé, pour venir disculper ces parents indignes. La police portugaise n'est pas exempte de tous reproches, une enquête plus qu'approximative et toujours autant d'interrogations. Les Mac Cann ne font que se démentir, ou préfèrent éluder les questions. Du statut de victimes, ils se dirigent droit vers une culpabilité qui s'établit au fil des jours. Le dernier témoignage miracle, ne faisant qu'accentuer les recherches vers une autre direction…Murat pour ne pas le citer, est consternant tellement ce témoignage semble irréel… Les versions changent tous les jours, l'enquête piétine lamentablement, alors que les médias semblent mieux informés que les enquêteurs eux mêmes. Accident, meurtre …pédophilie, les hypothèses s'accumulent, mais force est de constatée, qu'au final on se retrouve toujours face aux Mac Cann… La disparition de leur fillette doit être bien loin de leurs pensées pour agir de cette sorte. Il faut que la mascarade cesse et que justice soit faite. Un comportement aussi aberrant, de la part de parents soi disant éplorés. Je vous laisse juge, moi depuis longtemps je ne me pose plus de questions.