L’anacarde ou noix de cajou est un arbre qui vient du brésil. Ce fruit est très prisé en Europe, où on le vend  la plupart du temps pour l’ apéritif. L’anacarde est une culture que l’on rencontre dans les régions chaudes d’Afrique. Ce fruit devrait permettre à l’Afrique de pouvoir sortir de sa pauvreté à mon sens. La culture de l’anacarde est développée dans certaines régions de l’Afrique. Mais, je pense que l’on devrait encore mieux faire. L’Afrique possède désormais des experts dans les domaines de l’agronomie et c’est le moment bien choisi pour que l’Afrique exploite au mieux les ressources humaines qu’elle possède.  

Le climat favorable : 

La majeure partie du climat des pays africains est propice à la culture de l’anacarde. L’on pourrait exploiter cet atout climatique et développer cette culture sur de larges surfaces exploitables. En Afrique, il faut le dire ce ne sont pas des surfaces pour les cultures qui manquent. De plus, la culture de l’anacarde est très simple. Le seul problème que je perçois est le manque de moyens financiers mis à la disposition de ceux qui aimeraient entreprendre dans ce domaine d’activité. Les autorités doivent songer à cela. Dans certains pays africains, pour palier à l’exode rural, l’on appelait les jeunes à retourner à la terre. Certains ont bien suivi le mouvement mais ont été vite découragés car ils n’avaient pas les moyens pour s’acheter les outils de production d’une part et les produits d’entretien d’autre part. Une politique axée sur le développement des micro-finances doit être mise sur pieds afin de palier à ce problème.

 

Le coût de production faible : 

 

La main d’œuvre en Afrique est disponible à un coût assez bas. Il faudrait que des experts en agronomie leur donnent des indications sur des techniques nouvelles de production qui leur permettront de bien élaborer leur production. Ainsi, l’on aura des personnes maîtrisant les techniques agricoles que l’on pourra payer à un prix assez intéressant. 

 Le rôle des coopératives : 


 

Les agriculteurs doivent penser à se mettre en coopérative. Cela leur permettra d’avoir une gestion nette de leur production et de leur revenu. Nous constatons que pendant la traite des personnes viennent acheter à bas prix la production de certains agriculteurs parce ce que ceux-ci sont dans les difficultés. L’organisation en coopérative leur permettra de parler d’une seule voie afin d’avoir un prix commun acceptable. En d’autres termes, je dirai qu’ils doivent penser à réglementer leurs ventes afin de pouvoir vivre de manière décente de leur travail.