Je n’accuse pas Michael Rasmussen de s’être livré à quelconque forme de dopage. Mais une évidence s’impose.

La victoire de Rasmussen est dérangeante. La suspicion qui plane autour du coureur Danois, le spectre de l’affaire Floyd Landis exhales ses relents. Un nouveau scandale serait dramatique. Les conséquences….

Les coupables.

Rabobank. L’équipe savait pertinement que le coureur Danois n’avait pas respecté ses obligations administratives. Le doute étant présent, Rabobank devient complice. Les conséquences pourraient s’avérer lourdes de conséquences pour l’équipe hollandaise. Pourquoi avoir pris un tel risque ?

L’UCI. Une conduite qui flirte avec l’ingérance la plus compléte. Un vent manichéen entoure cette affaire. Les différents opposant l’UCI et le Tour de France ne sont pas un mystère. La manière dont se dérouile ce déballage n’est-il pas une façon pernicieuse de régler ses comptes. Je me pose même la question, si L’UCI n’espére pas que Rasmussen tombe sur le coup d’un controle positif. Une conduite inqualifiable.

La Fédération Danoise. Complice avec l’UCI, elle sembl n’avoir fait que suivre les directives. Pourquoi avoir attendu si longtemps pour dévoiler ces informations. La démarche est bien étrange et donne un tournant conspirateur à cette affaire. L’occasion de déstabilier l’épreuve étale ses relents nauséabonds….

Richards. Le témoin miracle. Quelle opportunité pour l’UCI. Ses accusations tombent, comme par hasard, au bon moment. Tout ces faits me conduisent a penser à une vaste manoeuvre de déstabilisation du Tour de France.

La popularité de l’épreuve ne se dément pas. Malgré toutes les affaires de dopage, la ferveur est toujours présente. Les amoureux de cyclisme ne sont pas dupes. L’UCI en étalant le spectre du dopage dévoile ses jalousies. La Grande Boucle fait partie de notre patrimoine et cela se vérifie chaque année. La plus belle course du monde fait recette … au grand dam de certains.