« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu' il y aurait une révolution avant demain matin » (Henry Ford, industriel).
« Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés qu'une armée debout. Celui qui contrôle l'argent de la nation contrôle la nation » (Thomas Jefferson, ex-président des Etats-Unis).
Les banques commerciales CREENT l'argent qu'elles prêtent lors des crédits et en perçoivent les intérêts.
Si l'Etat avait le même privilège, il n'y aurait plus de dette publique depuis 2006 et les français s'épargneraient 40 à 50 milliards d'euros d'impôts chaque année.
COMMENT SE FAIT LA CREATION MONETAIRE ?
Il faut rejeter complètement l'idée, sans doute enfouie au fond de votre esprit que, pour qu'un banquier puisse vous proposer un crédit, il faut qu'un épargnant soit passé avant vous à la banque pour y déposer des économies, et qu'en fin de compte, c'est l'épargne d'un autre que le banquier vous prête, en prélevant sa commission au passage (l'intérêt)…
Alors en réalité d'où vient cet argent que les banques nous prêtent ? Elles le créent tout simplement ! Un système extrêmement obscur que l'on veille à maintenir dans l'ombre, soit que l'on pense qu'il est affaire de spécialistes que l'esprit du commun des mortels ne saurait appréhender, soit que le mettre en pleine lumière risquerait de pousser les esprits "éclairés" à se rebeller…
Les banques commerciales possèdent le privilège de vous vendre (par l'intérêt) de l'argent qu'elles ne possèdent pas !! Elles le créent à chaque demande de crédit (que ce soit pour un particulier, une entreprise ou un Etat), ce qui augmente la masse monétaire globale.
Bien sûr il existe des limites à cette création monétaire : les banques commerciales doivent avoir un certain niveau de réserves fractionnaires de l'ordre de 8 %. Donc en fait à partir d'un dépôt l'ensemble des banques privées peut créer 9 fois plus d'argent qu'il n'en possède réellement. Par exemple si une banque reçoit 1 million d'euros de la banque centrale, le système bancaire pourra créer 9 millions d'euros pour les proposer en crédit. Si vous déposez 1000 euros sur votre compte, elles pourront créer à partir du néant 9000 euros qu'elles pourront d'ailleurs vous préter en réclamant un intérêt. Et vos 1000 euros, eux, ne bougent pas de votre compte, ils ne sont pas prêtés, ça leur autorise juste à créer plus d'argent ! Cette création monétaire privée non contrôlée (+ 10% par an en zone euro) est totalement déconnectée de la production de richesses réelles et est donc un facteur important d'inflation (alors qu'on a justement interdit aux nations de créer la monnaie pour éviter l'inflation).
92% de la monnaie est donc créée par les banques privées sans aucun travail, en quelques secondes, par une simple écriture sur votre compte avec leur ordinateur (8 % est créé par les banques centrales).
Réclamer un intérêt (qui bien souvent double la somme empruntée) sur de l'argent qui est tiré du néant peut sembler non légitime pour des organismes privés alors que les intérêts pourraient être partagés par l'ensemble de la collectivité…
Ces intérêts sont la cause première d'une dette publique impossible à rembourser ! Si la France n'avait pas léguer en 1973 son droit régalien d'émettre la monnaie, les français s'épargneraient 40 à 50 milliards d'euros d'impôts chaque année et la dette serait totalement remboursée depuis 2006 !
PETIT HISTORIQUE POUR LES USA ET LA FRANCE :
Venant d’Amérique, Benjamin Franklin, en 1750, s’étonnait de voir une foule de chômeurs et de mendiants dans les rues de Londres. Il décrivait ainsi les colonies d’Amérique: « Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe… Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l'appelons Colo Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs… Nous contrôlons notre pouvoir d'achat et nous n'avons aucun intérêt à payer à personne ».
Sous la pression des banquiers anglais, le Parlement anglais interdit cette pratique, obligeant les colons à utiliser une monnaie à intérêts, en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié en un an, « à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs » dit Franklin.
Et à propos de la décision de Lincoln (alors Président des Etats-Unis) d’émettre une monnaie sans intérêts, Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le London Times : « Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s'installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s'acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l'argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l'histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe ». La monarchie des contrôleurs du crédit… En 1861, l’Etat reprit le contrôle de l’émission et de la circulation d’une monnaie sans intérêts.
La production agricole et industrielle redémarra, le chômage disparut. En 1865, après l’assassinat du président Lincoln, les banques privées imposèrent de nouveau une monnaie avec intérêts. En dix ans, le pouvoir d’achat chutant de moitié, il y eut 55 000 faillites avec tout un cortège de chômage et de misère… Logique, car les banquiers, avec les intérêts, prenaient la moitié de l’argent que les gens gagnaient en travaillant.
Finalement, le 23 décembre 1913, le Congrès américain votait la loi de la Réserve Fédérale, qui enlevait au Congrès lui-même le pouvoir de créer l'argent. Les banquiers privés avaient gagné la partie. Un membre du Congrès, Charles A. Lindbergh déclara : « Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président Wilson signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé… Le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire ».
Salmon P. Chase, Secrétaire du Trésor sous Lincoln, déclara publiquement, peu après le passage de la loi :
« Ma contribution au passage de la loi des Banques Nationales fut la plus grande erreur financière de ma vie. Cette loi a établi un monopole qui affecte chaque intérêt du pays. Cette loi doit être révoquée, mais avant que cela puisse être accompli, le peuple devra se ranger d'un côté, et les banques de l'autre, dans une lutte telle que nous n'en avons jamais vue dans ce pays ».
En France, même processus : certains hommes politiques ont essayé de lutter : Vincent Auriol, 1934, ministre des finances du Front Populaire : « Les banques je les ferme, les banquiers je les enferme ! » ; en 1945 le Général de Gaulle nationalise la Banque de France, le crédit est sous tutelle publique, l'’État a recouvré son autorité sur la monnaie, ce qui ne durera pas. L'article 25 de la loi du 3 janvier 1973 de Pompidou et Giscard d'Estaing "interdit au Trésor public d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France". La France ne peut plus emprunter à sa banque centrale sans intérêt ! Elle doit désormais emprunter sur les marchés financiers avec intérêt : fini l’ordre des salariés et des entrepreneurs, finies les Trente Glorieuses, la monnaie se renforce, le chômage augmente, les salaires stagnent, la dette explose…
Un exemple, "l'emprunt Giscard" : pour 6 milliards de francs empruntés en 1973, l'Etat a finalement remboursé au total 80 milliards de francs en 1988 !
Comment voulez-vous que les finances de la nation se portent bien avec un tel déséquilibre entre le montant emprunté et le montant remboursé ?
La raison évoquée de limiter l'inflation n'est pas valable (puisque ce qu'on interdit aux Etats, on le permet aux banques commerciales qui, par leur nombre, sont beaucoup plus créatrices de monnaie), le peuple français s'est-il fait arnaqué par des politiciens au service d'intérêts privés ?
Pour information, rapellons que la biographie de George Pompidou révèle qu'il était, avant d'être un homme politique, un banquier, il a travaillé pour la banque Rothschild de 1954 à 1958 et de 1959 à 1962… Coïncidence ?
En 2003,10% du PIB a basculé du côté du profit et de la rente. La mondialisation, d’une certaine manière, est un basculement de l’économie au profit des créanciers, des boursiers, des rentiers, des financiers…
Les statuts de la Banque de France, calqués (et aggravés en quelque sorte) sur ceux de la Bundesbank, gardienne du temple de la monnaie forte, seront copiés par la Banque Centrale Européenne. L’ordre des créanciers règne en Europe.
LES CONSEQUENCES POUR LA FRANCE :
Entre 1980 et fin 2008, la dette a augmenté de 1056 milliards d'euros, alors que nous avons payé 1300 milliards d'euros d'intérêts ! Si nous n'avions pas eu à emprunter ces 1056 milliards d'euros sur les marchés monétaires, c'est-à-dire si nous avions pu créer notre monnaie, faire exactement ce qu'ont le droit de faire les banques privées, la dette qui était de 229 milliards d'euros début 1980 serait totalement remboursée depuis 2006 grâce aux économies réalisées chaque année et nous disposerions en plus d'un solde de trésorerie positif de plus de 100 milliards d'euros !
Pensez-y : 1300 milliards d'euros d'intérêts payés pendant 29 ans, c'est en moyenne 45 milliards d'euros par an soit 120 millions d'euros par jour que nous transférons aux créanciers !
En 2008, c'est 113 milliards d'euros qui seront remboursés (71 milliards de capital + 42 milliards d'intérêts), le service de la dette est l'équivalent de tous les impôts directs des français (impôt sur le revenu + impôt sur les sociétés + autres impôts directs dont l'ISF).
Pour rembourser ces 113 milliards d'euros et assurer le fonctionnement des administations publiques, la France a consenti 110 milliards d'euros de nouveaux emprunts en 2008 : 70 milliards pour rembourser les 70 milliards de capital qui arrivent à échéance cette année (il s'agit donc d'un report dans le temps) et 40 milliards de dette supplémentaire qui génèreront des intérêts.
Les 42 milliards d'euros d'intérêts sont donc la somme réellement prélevée sur les impôts des français (presque équivalent à l'impôt sur le revenu).
Autrement dit, si la France pouvait emprunter à une banque centrale sans intérêts :
– nous n'aurions plus de dette publique
– nous pourrions éventuellement supprimer l'équivalent de l'impôt sur le revenu et résoudre le problème du pouvoir d'achat
– ou utiliser cette somme pour construire des infrastructures ou les maintenir tels les hôpitaux, les maternités, les bureaux de poste, les écoles…
– ou commencer à réparer les dégats environnementaux causés par la course à la croissance c'est-à-dire la course au remboursement des dettes…
Dans tous les cas en faire bon usage au lieu d'engraisser les rares qui ont les moyens d'acheter notre dette !
Concernant l'intérêt, il est le premier responsable de la pauvreté dans le monde et de l'élargissement de la fracture sociale. Puisque les prix que vous payez sont constitués à 40-45 % du seul poids des intérêts, comme l'ont mis en évidence dans leurs études Magrit Kennedy et Ralph Becker, vous imaginez la somme colossale qui est transférée du monde économique au monde financier ! Il contribue à l’asphyxie du premier et à la congestion du second ; il provoque surtout le transfert de la richesse des plus démunis vers les plus nantis.
Magrit Kennedy, dans l'étude qu'elle présente dans son livre "Libérer l'argent de l'inflation et des taux d'intérêts", met en évidence que pour la population allemande, classée en 10 tranches de revenus, lorsque l'on fait la balance entre les intérêts créditeurs, versés à l'épargne, et les intérêts débiteurs prélevés au crédit, le solde n'est positif que pour la 10e tranche, celle des plus riches, équilibré pour la 9e et négatif pour les 8 autres. Elle souligne aussi que le solde est d'autant plus négatif que l'on est pauvre et d'autant plus positif que l'on est riche.
UN CHANGEMENT NECESSAIRE ET LEGITIME ?
Beaucoup d'économistes "hors-système" réclament que toute création de monnaie doit relever des Etats par l'intermédiaire des banques centrales. Cette création monétaire doit être interdite ou restreinte pour les banques commerciales.
La monnaie créée est prêtée sans intérêts (!) par la Banque Centrale aux Etats et aux collectivités publiques afin de financer des dépenses d’investissement, d’aide à des secteurs à vocation d’intérêt collectif tels que l’éducation, la santé et la protection de l’environnement, et en cas de crise ou de catastrophe naturelle seulement. Cela est exclu pour les dépenses de fonctionnement et d’amortissement qui devront être financées par les rentrées fiscales.
La Banque Centrale détermine la quantité de monnaie proposée et les taux d’intérêt auxquels les banques commerciales peuvent emprunter entre elles et auprès d’elle-même afin de soutenir la création d'emploi, de limiter l'inflation et de permettre un développement économique durable.
"Si jamais le peuple américain autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banques et les corporations qui se développeront autour d'elles vont dépouiller les gens de leurs possessions jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leurs pères avaient conquis" (Thomas Jefferson, Lettre au Ministre des Finances Albert Gallatin en 1802).
Cela ne vous fait-il pas penser à la crise financière due aux subprimes que nous connaissons ?
"Si vous voulez rester esclaves des banquiers et payer le coût de votre propre esclavage, laissez-les continuer à créer de l'argent et contrôler le crédit de la nation" (Sir Josiah Stamp, directeur de la Banque d'Angleterre de 1928 à 1941).
Incontestablement un très bon travail de synthèse historique et de vulgarisation.
Vous auriez dû étendre jusqu’au FMI et pourquoi pas au système Illuminati : après tout, où cela s’origine t-il ? Pourquoi Giscard, tel un traître affilié à l’Opus Deï (Mme Chirac), a t-il consenti une telle rétrocession d’un pouvoir régalien ?
J’en ai parlé dans mes propres articles et dans mes vidéos sur Daily : les accords européens. Ces sont en effet des accords européens qui, en vu de la construction d’une europe monétariste (Euro) visaient à ce que chaque Etat abandonne cette prérogative à laquelle ni Louis XIV ni Napoléon n’aurait renoncé, étant constitutive de leur pouvoir et souveraineté !
A travers ce seul levier de la monnaie, les lobbys anglais se sont achetés la France (Monarchie et République), l’Allemagne, etc… ! Sans guerre nous avons été vaincu !
L’Empire colonial anglais s’est emparé de l’avenir des peuples d’Europe après cleui des USA.
La traîtrise de Giscard et Pompidou doit être révélée : aucun référendum, à ma connaissance, n’a eu lieu à l’époque.
J’ai voté +1
Imaginez un monde sans banque ?
Mais s’il n’y avait pas de banque, il n’y aurait pas de prêts. Donc, les seuls qui peuvent critiquer ce système, ce sont ceux qui n’en ont jamais profité et n’ont donc jamais effectué d’emprunt. Or, qui d’entre nous n’a pas un crédit hypothécaire, une voiture achetée à crédit, un ordinateur, …
[b]Ceux qui empruntent font comme les banques, ils dépensent de l’argent qu’ils n’ont pas ![/b] Les clients des banques créent donc eux aussi une masse monétaire à partir du néant… et c’est cela qui fait tourner l’économie. Supprimez les banques, et tout le système s’effondre puisque rien de ce qui aura été vendu à crédit ne pourra l’avoir été.
Il est facile de tirer sur le système financier, mais si l’État ou le peuple n’avaient pu faire ces emprunts, il n’aurait pu investir non plus. Et que dire des pays en voie de développement qui ne doivent leur survie qu’à ces prêts même s’ils sont étranglés maintenant par les intérêts de leurs dettes ? Ne tirez pas sur les banques, mais sur les mauvais gestionnaires qui ont permis à tous les pays du monde de s’endetter outre mesure.
À ma connaissance, seuls les États souverains sont autorisés à frapper monnaie.
Copié- collé (au mot prêt) du texte d´un groupe facebook qui ne date pas d´hier
Pas une seule référence à ce groupe ? Qui est-ce qui nous dit si vous en êtes bien l´auteur ?
[b]Il est facile de tirer sur le système financier, mais si l’État ou le peuple n’avaient pu faire ces emprunts, il n’aurait pu investir non plus. Et que dire des pays en voie de développement qui ne doivent leur survie qu’à ces prêts même s’ils sont étranglés maintenant par les intérêts de leurs dettes ? Ne tirez pas sur les banques, mais sur les mauvais gestionnaires qui ont permis à tous les pays du monde de s’endetter outre mesure.
[/b]
Merci. Trop facile de tirer sur les banques quand elles nous servent à créer notre propre confort !
Je suis sidéré par vos commentaires, à croire que vous n’avez pas lu l’article, ou bien que vous n’avez rien compris !
Cette histoire ne date pas d’hier : USA (Réserve fédérale)1923
Et que dire de la France ! 1972
Les banques servent à créer notre confort ? Vous avez passé les dix dernières années sur la planète Mars ou quoi ?
La création monétaire revient à l’Etat : pas aux banques privées ! Avec le système actuel les français achètent leur argent, et avec intérêt en plus !
VOUS POURRIEZ PENSER EN CITOYENS PLUTOT QU’EN USAGERS OU CONSOMMATEURS (terminaux) PASSIFS ?
Quant à vous @Mitäton, c’est le pompom ! Apprenez à rester sur le texte, son message, n’allez pas chercher de quoi noyer le sujet en invoquant les droits d’auteur qui n’ont rien à voir avec l’importance de ce qui est dit ici.
CONCENTREZ VOUS SUR LE TEXTE, PAS L’AUTEUR ! On se fout de savoir qui est ou non à l’origine de ça. Evidemment que personne n’invente rien, ni vous, ni moi : il s’agit de culture, de relayer des infos… certains économistes indépendants en ont déjà parlé… VOUS ROULEZ POUR LA FRANCE OU CONTRE ELLE ? Le système veut nous noyer dans ce genre de réaction que vous exprimez afin que nous ne regardions pas là où nous devrions regardez ! Pourquoi croyez vous qu’existe la société de divertissement (50 chaines pour vous distraire tous les jours !) ? vous croyez que c’est là par hasard ? La bonne blague !
Bonjour
Je vous souhaite la Bienvenue sur le site de C4N.
Un premier et très bon article. Voici une petite vidéo pour vous.
{youtube}xjeztK6gj88{/youtube}
Un vote Super.
Amicalement.
ANDREA.
La dette pas de problème ! : Johnny a révélé dans une interview accordée au journal suisse Le Matin qu’il payait environ 900.000 francs suisses (soit 607.000 euros) d’impôts par an en Suisse…. plus tous ceux qu’il n’a pas payé .
Didier Migaud : »Que c’est une crise d’une gravité extrême, dont on n’a pas encore vu le point le plus dur. Il faut donc conserver son sang froid et prendre des mesures fortes, efficaces, justes. Les Français peuvent tout à fait entendre que telle mesure n’est pas possible, et qu’il faut faire des efforts. Mais il faut que ces efforts soient partagés. Là, avec le bouclier fical, le contenu des mesures fiscales — y compris les heures supplémentaires, mesure coûteuse au regard de son efficacité et qui, en plus, détruit de l’emploi — on dépense sans pertinence, de façon très injuste et sans efficacité réelle. C’est un luxe inconcevable en période de crise. »
@jmarc2006 Quand le citoyen cessera de s’endetter (taux d’endettement de 70% en 2008) on en reparlera !!! Pour que la situation de la crise se règle, il ne faut pas « tout » du gouvernement, mais aussi faire son effort en tant que citoyen: payer les dettes contractées par trop de crédits aguicheurs. Acheter selon nos revenus et non pas en fonction de la PUB.
EH BIEN LA REVOILA NOTRE PYRAMIDE DES ILLUMINATI :
-« Sous la pression des banquiers anglais, le Parlement anglais interdit cette pratique, obligeant les colons à utiliser une monnaie à intérêts, en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié en un an, « à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs » dit Franklin. »
– « Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe ». La monarchie des contrôleurs du crédit… En 1861, l’Etat reprit le contrôle de l’émission et de la circulation d’une monnaie sans intérêts.
La production agricole et industrielle redémarra, le chômage disparut. En 1865, après l’assassinat du président Lincoln, les banques privées imposèrent de nouveau une monnaie avec intérêts. »
– « Les banquiers privés avaient gagné la partie. Un membre du Congrès, Charles A. Lindbergh déclara : « Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président Wilson signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé… Le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire ». »
– « la biographie de George Pompidou révèle qu’il était, avant d’être un homme politique, un banquier, il a travaillé pour la banque Rothschild de 1954 à 1958 et de 1959 à 1962… Coïncidence ? » (NON NON NON !!!)
– « »Si vous voulez rester esclaves des banquiers et payer le coût de votre propre esclavage, laissez-les continuer à créer de l’argent et contrôler le crédit de la nation » (Sir Josiah Stamp, directeur de la Banque d’Angleterre de 1928 à 1941) »
http://eco.rue89.com/2009/03/03/administrateurs-independants-lhistoire-dune-lucrative-illusion
Que feras tu sans les banques ? Il faut vivre au présent et non remettre l’histoire en question.
Tourner en rond ne fera rien avancer
On peut revenir au troc aussi ;D
« Ce qui fût, sera » !!!! Livre des proverbes de Salomon
« il n’y a rien de nouveau sous le soleil »
« Vanité des vanités, tout est vanité et poursuite de vent »
On s’arrête là , Pourquoi pas !
Réponses aux commentaires sur mon article
@ Mitaton :
Je suis l’auteur de cet article et aussi le créateur du groupe sur facebook, si tu ne me crois pas tu peux contacter le créateur du groupe et c’est moi qui te répondra… 😉
De plus j’ai l’accord des dirigeants de c4n pour reproduire mon article donc maintenant parlons des faits, rien que des faits !
@ Candide et Pourquoi :
Vous ne savez pas lire ou vous n’avez rien compris à l’article car je ne propose pas la suppression des banques mais je condamne leur privilège de créer la monnaie et d’en percevoir les intérêts (350 milliards d’euros en zone euro en 2003) ! Si les Etats avaient aussi ce privilège, ces sommes seraient au service de la collectivité et non d’intérêts privés ! De quel droit possèdent-ils ce privilège ? J’ai démontré dans l’article qu’aucun argument ne le justifie… C’est du bon sens !
@ Buzz
Vous ne savez pas lire ou vous n’avez rien compris à l’article car je ne propose pas la suppression des banques mais je condamne leur privilège de créer la monnaie et d’en percevoir les intérêts (350 milliards d’euros en zone euro en 2003) ! Si les Etats avaient aussi ce privilège, ces sommes seraient au service de la collectivité et non d’intérêts privés ! De quel droit possèdent-ils ce privilège ? J’ai démontré dans l’article qu’aucun argument ne le justifie… C’est du bon sens !
Ne t’inquiète pas je sais lire.
Aucun argument ne justifie de leur enlever les droits de fabrication et de placements ni le retour sur intérêts de ceux-ci. Chacun son métier. On ne va pas démultiplier les fonctions pour que ça coûte encore plus cher (infrastructures, employés, bilan, etc.)
Comme je ne critique pas les droits du gouvernement à gouverner. À l’entrepreneur de créer des emplois et de bénéficier du 1/3 des revenus de ventes de leur production (2/3 employés).
C’est illogique tout simplement ton argument.
Les fonds de placement ne sont pas des banques et pourtant ils ont perdu 20-25% de leurs placements en 2008. Ce n’est pas la faute des banques, mais de la spéculation boursière faites sur les prêts à risque (surconsommation des citoyens).
Tous les grands économistes, incluant le nobel 2008, se refusent de nationaliser les banques.
Ces grands connaisseurs économiques doivent bien avoir une raison pour ne pas recommander !
[b]Si les Etats avaient aussi ce privilège, ces sommes seraient au service de la collectivité et non d’intérêts privés ![/b]
On a vu les résultats du système communiste…. Les élites du gouvernement sont gras et riches, les pauvres sont maigres et les plus démunis !!!
Besancenot sort de ce corps !
De toutes façons , ils n’y couperont pas ! un soleil se lève à l’est, un soleil qui va tout irradier !
@ Pourquoi :
Vous mélangez tout mon cher ami… Lisez sur le sujet avant de vous exprimer ici pour pouvoir avoir une vraie discussion…
La banque crée l’argent lorsqu’elle accorde un crédit. Si elle possède 1000 euros de fonds propres la règle des réserves fractionnaires implique qu’elle peut créer 900 euros pour les offrir en crédit SANS TOUCHER A SES FONDS… On a donc une création monétaire que certains qualifie d’ex nihilo tellement elle choque…
Lorsque l’emprunteur rembourse son crédit, la banque détruit petit à petit la somme créé au fur et à mesure du remboursement et conserve les intérêts…
Créer de la monnaie ne côute rien à la banque : il s’agit d’une simple écriture sur un compte bancaire qui prend 2 secondes… Il n’y a aucun billet à imprimer, 92% de la monnaie est scripturale !
Encore une fois vous n’avez pas su lire (bien que vous soyez persuadé du contraire), on a dit nulle part qu’on voulait nationaliser les banques !
La seule proposition que vous pouvez lire dans l’article c’est que les Etats puissent emprunter sans intérêts, intérêts ruineux pour la collectivité…
La monnaie n’est pas un but, c’est un outil ! Un outil pour le bon fonctionnement de l’économie, pour faire passer aisément les marchandises des producteurs aux consommateurs… N’oubliez jamais d’avoir une vision globale des problèmes et ne jugez selon des préjugés…
Ce problème est sérieux, cet article se base sur les travaux d’économistes très brillant, on peut citer Maurice Allais qui est considéré comme le meilleur économiste que la France n’ait jamais eu…
je parlais des banquiers !
quant au prix nobel d’économie 2008 , voici son diagnostic Pourquoi pas !
» A la dérive, par Paul Krugman 3 mars 2009 14:22
Dans les premières mois de cette crise nous écrivions que la culture économique des responsables politiques américains, leur foi inébranlable dans les dogmes de l’école de Chicago, les rendaient peu aptes à comprendre la situation et donc à agir efficacement. L’équipe constituée par Obama semble atteinte du même mal. Nationalisation reste un mot tabou, honteux, que la nouvelle administration se refuse à évoquer, alors même que le cours de l’action de la banque Citigroup flirte avec le dollar – c’est à dire l ’éviction de la cote new yorkaise – et que de tous côtés les appels se font de plus en plus pressants pour une prise de contrôle publique. Ce blocage psychologique, ce vertige devant la transgression, se traduisent en acte par un aveuglement qui confine à l’absurde. On ne peut entendre la récente déclaration d’Obama affirmant que le privé est « plus efficace » pour gérer le système bancaire sans ressentir un malaise devant cette forme d’humour involontaire. Au nom de quoi faudrait-il donc continuer à révérer des idoles qui pourtant s’effondrent avec fracas sous nos yeux, entraînant dans leur chute de trop nombreuses victimes ? Car il y a urgence à agir. ….
Il faut donc trancher dans le vif au plus tôt, ….et nationaliser. Roubini estime qu’il faudra sans doute six mois pour que l’inévitable soit enfin accepté. Si c’est le cas, ce sont six mois de perdus alors que gagne l’incendie. »
INEVITABLE , POURQUOI !!!!!
le système bancaire pilier de nos économies
Il est vrai qu’il y a bien création de monnaie par le système bancaire à partir de l’argent dont elles disposent (base monétaire).
Mais cette création n’est pas sans limite et se réduit au fur et à mesure des crédits émis et la multiplication du crédit finit par s’arrêter.
La formule du multiplicateur de crédit du système bancaire est: k = 1 / b + h (1-b) avec b, coefficient de fuite sous forme de billets, et h le coefficient de fuite des réserves obligatoires.
Sachant que dans la zone euro b = 15% et h = 2% , le système bancaire ne peut multiplier le crédit qu’au maximum 5,48 fois (et non pas 9 fois comme vous l’affirmez).
Les banques commerciales sont tenues également à des règles dites prudentielles afin que les crédits qu’elles font ne dépassent pas différents ratios par rapport aux fonds propres et aux dépôts de leur clientèle. De même, pour limiter l’expansion du crédit et donc de la masse monétaire, la banque centrale (seule émettrice de monnaie papier) peut agir pour réduire la liquidité générale (opération d’open market) ou augmenter les taux de refinancement en monnaie centrale (ce levier a été le moyen privilégié de contrôle de la plupart des banques centrales ces dernières années).
De même, les autorités peuvent aussi agir directement sur la quantité de crédit offerte par les banques. C’était par exemple le cas en France dans le cadre des lois Debré dans les années soixante.
Donc, il est faux de dire que ce système échappe à tout contrôle !
Et si l’État n’avait pu s’endetter à certains moments, comme le font les particuliers, c’est bien la collectivité qui en aurait souffert.
D’autre part, il ne faut pas oublier les impayés, c’est d’ailleurs ce qui a fait plonger le système américain. Les banques travaillent, prennent des risques, il est normal qu’elles soient rémunérées pour cela, mais il ne faut pas oublier que le taux d’intérêt directeur est fixé par la banque centrale… donc indirectement pas l’État.
Les banques sont un mal nécessaire, pilier de nos économies. Il ne faut pas confondre les mauvais gestionnaires qui se surendettent avec le service offert par les banques. Combien de commerçants ou d’agriculteurs ne doivent pas faire appel au crédit pour renouveler leurs stocks ou poursuivre leur travail avant que leur production ne soit vendue ? Sans le système financier actuel qui permet de gonfler artificiellement pour un temps limité la masse financière, rien ne serait possible.
D’autre part, les États ont le privilège de créer de la monnaie, et sans payer d’intérêts, ce fut le cas dans de nombreuses dictatures qui n’ont pas hésité à « faire tourner la planche à billets « , mais on sait où cela se termine lorsque la monnaie virtuelle dépasse trop la réalité : une dévaluation impressionnante conduisant à une hyperinflation pouvant pousser toute une nation à la faillite… Comme ce fût le cas au Zimbabwe où l’inflation avait atteint les 231 millions pour cent avec les conséquences désastreuses que l’on connaît.
Poussez les États à créer de la monnaie « virtuelle » manque donc totalement de bon sens, laissons les banques s’en charger pour autant que les prêts qu’elles accordent et leur création corrélative de monnaie « dérivée » soient strictement contrôlés, comme c’est le cas actuellement.
Non je comprendrais un régulation des banques, mais pas une nationalisation de celles-ci.
Les banques offrent un service, garder ton fric et lui faire faire des intérêts (livret A est un cas, mais n’est pas le seul). En plus, elles prêtent aux demandeurs qui eux ne pouvant acheter « cash » préfèrent payer des intérêts.
d’accord avec Le candide 😉
quand je lis le programme de besancenot, il me fait peur ce petit facteur à vouloir revenir au modèle communiste
@ Le Candide et Pourquoi :
A chaque message vous affirmez des choses qui n’ont pas été dites ni sous-entendues dans l’article (« supprimer les banques, nationaliser, sans contrôle »)… Alors comme je vous croit quand vous dites que vous savez lire, j’en déduit donc que vous êtes tous les deux de très mauvaise foi et qu’il n’est pas facile de progresser dans un débat avec des interlocuteurs de mauvaise foi…
Nulle part il a été dit que je voulais la suppression des banques, leur nationalisation ou qu’elles étaient sans contrôle ! L’article fait foi… Relisez-le jusqu’à le comprendre car là on perd du temps…
Ce n’est pas parce-que leur privilège a des limites (encore heureux) qu’ils doivent le conserver…
Il est faux de dire que le taux directeur est « décidé par la banque centrale… et donc l’Etat », sachez que la BCE n’a aucun ordre a recevoir d’aucun Etat ! Elle est totalement indépendante et libre de toutes actions ! Seules l’unanimité des pays membres peut en changer les statuts… autrement dit on ne maîtrise rien du tout de la politique monétaire de l’Europe !
Deuxièmement beaucoup de banques centrales sont privées et les actionnaires en sont les banques commerciales… Ce qui peut engendrer des politiques monétaires en faveur des intérêts des banques et non des populations…
Le crédit est une bonne chose pour le développement de l’économie, jamais je n’ai dit le contraire ! Par contre j’accuse en effet les intérêts perçus de non légitimes et non productifs ! Combien d’entreprises et d’emplois en plus les économies pourraient créer si il n’y avaient pas d’intérêts à payer ? Combien de pouvoir d’achat auriez-vous en plus si le crédit de votre maison ne comportait pas d’intérêts ? Sur 15 ans elle coûterait souvent 2 fois moins chère…
Ces intérêts sont non justifiables par les frais des banques car ceux-ci sont compris dans les frais de dossier ! Les intérêts c’est pour eux la grosse cerise sur le gateau !
Il est faux de dire que quand l’Etat avait ce privilège l’inflation était trop élevée, les chiffres sur http://inflation.free.fr/inflation-depuis-1901.php montrent que l’inflation était tout à fait correcte avant 1973 ! Surtout nous n’avions pas de dette publique !
Les intérêts de la dette représentent le 2ème poste de dépense de l’Etat après l’éducation !! On en a payé 1300 milliards d’euros depuis 1980 !! Et pourtant la dette continue de croitre à un rythme insoutenable… Croire qu’en réduisant les fonctionnaires et toutes les dépenses de l’Etat permettra de rembourser cette dette c’est croire au père-Noël ! C’est le système bancaire basé sur le système de réserves fractionnaires qui est insoutenable et qu’on doit de toute urgence remplacer !
Pour contrôler l’inflation la production de monnaie doit correspondre à la production de richesses réelles, comparez nos pays avec le Zimbabwe qui n’a aucune industrie c’est vraiment faire preuve de mauvaise foi…
@ buzz
mais tu veux en imposer avec ton idée à la besancenot ;D
La banque centrale américaine a un taux directeur à 0%
La banque centrale canadienne a un taux directeur de 0.5%
Comme quoi les banques ne sont pas à profit exubérant … regardons les taux des prêts usuraires ?
@ Pourquoi :
Tu te trompes, ce n’est pas le sujet mais cette proposition est défendue dans un groupe de Facebook qui réclame que les citoyens prênent eux-mêmes en main leur destin en laissant les politiciens de droite comme de gauche aux oubliettes !
Pour moi la droite comme la gauche c’est la même chose, une fois au pouvoir ils oublient leurs idéaux…
C’est de nous, citoyens libres et cultivés, que viendra les meilleures décisions pour le bien-être commun ! Ainsi je ne suis supporter d’aucun parti politique, je suis même plutôt opposé à tous…
Ne mélangeons pas banques commerciales et banques centrales…
Facebook ? Ça a une existante légale ce groupe (virtuel) internet ? ;D
[b] »C’est de nous, citoyens libres et cultivés, que viendra les meilleures décisions pour le bien-être commun ! »[/b]
Bonne chance car vous n’avez aucun pouvoir décisionnel pour mettre en place vos idéologies !!!
😀
Pourquoi dit « Bonne chance car vous n’avez aucun pouvoir décisionnel pour mettre en place vos idéologies !!! »
Ce n’est pas grave, nous nous appuyons sur la vérité, l’honnêteté et le bon sens et ce sont des valeurs porteuses…
Les gens progressivement s’ouvriront aux alternatives et délaisserons les idéologies dont nous sommes débarassés…
La grande différence avec vous et les politiciens qui ne savent que critiquer, c’est que nous on s’informe, on réfléchi puis on propose quelque chose de crédible… que ça vous plaise ou non.
houla la secte facebook ;D
Le directeur général de Gardel, qui témoigne en prenant appui sur la situation de son entreprise, a souhaité rencontrer Ségolène Royal, José Bové et Olivier Besancenot qui, à tour de rôle, sont venus en Guadeloupe soutenir le collectif «Liyannaj kont profitasyon», et les a solennellement invités.
Deux objectifs parmi d’autres : demander à ces interlocuteurs venus de l’hexagone à quel titre ils ont pu prétendre que «les patrons doivent et peuvent payer les 200 euros», puis leur permettre d’examiner la situation qui le concerne.
En fait, Ivan de Dieuleveult considère que c’est «un comble», que ces trois personnalités, «qui n’ont jamais dirigé la moindre entreprise, ne savent pas ce qu’est un bilan et un compte d’exploitation, affirment et assènent de façon péremptoire des inepties».
http://www.maximini.fr/fr/guadeloupe/actualite/info-antilles/info_antilles.asp?num=15329
C’est plus parlant pour moi : la réalité
😉
Débattons sérieusement
@ Autres : N’hésitez pas à poser des questions, à demander des éclaircissements si nécessaire…
Voici des liens pour de plus amples informations sur ce sujet primordial :
http://etienne.chouard.free.fr/Europe/messages_recus/La_crise_mondiale_d_aujourd_hui_Maurice_Allais_1998.pdf (point de vue de Maurice Allais)
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/dette-deficits-publics/dette-publique-multipliee.shtml
http://pagesperso-orange.fr/jegu.jean/index.html (site de Jean Jégu)
http://www.bayard-macroeconomie.com/ (site de Jean Bayard)
http://www.bankster.tv/
http://www.liberonslamonnaie.blogspot.com/ (site d’Alain Vidal)
http://www.michaeljournal.org/ilenauf.htm (point de vue de Louis Even)
http://www.m-lasserre.com/index.html (site de Michel Lasserre)
http://www.wikiberal.org/wiki/Banque_centrale#Le_syst.C3.A8me_de_r.C3.A9serves_fractionnaires
http://assoc.pagespro-orange.fr/aded/
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article67373
http://wiki.societal.org/tiki-index.php (site d’André-Jacques Holbecq)
http://www.fauxmonnayeurs.org
http://etienne.chouard.free.fr/Europe/forum/index.php?2007/05/01/72-non-ce-n-est-pas-trop-cher-le-financement-des-besoins-collectifs-est-rendu-sciemment-ruineux (site d’Etienne Chouard)
http://www.chomage-et-monnaie.org
http://www.justiceplus.org/bankers.htm (en anglais)
http://www.europe2020.org/spip.php?page=imprimer&id_article=499&lang=fr
http://1libertaire.free.fr/VidalVerite.html
http://www.syti.net/Endettement.html
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=41389
http://www.aises-fr.org/
http://www.consciencedupeuple.com/html/jekyll_island.html
http://www.econologie.com/articles.php?lng=fr&pg=2706
http://www.jeanpierrepoulin.com/creation_monetaire.html
http://blog.mondediplo.net/2009-01-05-Pour-un-systeme-socialise-du-credit
Livres :
« Les 10 plus gros mensonges sur l’économie » (Philippe Derruder, André-Jacques Holbecq)
« La dette publique, une affaire rentable » (André-Jacques Holbecq, Philippe Derruder)
« La crise mondiale aujourd’hui » (Maurice Allais, « Prix Nobel » d’économie)
« Libérer l’argent de l’inflation et des taux d’intérêts » (Magrit Kennedy)
« Rendre la création monétaire à la société civile » (Philippe Derruder)
« La Grande Désillusion », « Quand le capitalisme perd la tête » (Joseph Stiglitz)
« La monnaie et ses mécanismes » (Dominique Plihon)
@ Buzz
Si l’État pouvait emprunter sans payer d’intérêt, il n’y aurait plus de limites, et plus aucune politique budgétaire. De plus, vous insinuez que nous pourrions faire de même pour des crédits hypothécaires. D’une part, vu l’endettement des États, ils deviendraient rapidement les uniques débiteurs des banques, et, comme vous l’avez souligné, étant donné que l’argent prêté est créé ex nihilo, les fonctionnaires seraient payés avec de l’argent qui n’existe pas, avant d’effectuer tous leurs achats avec ce même argent qui n’existe pas. La monnaie ne serait bientôt plus qu’une monnaie de singe et nous serions en route vers l’hyperinflation, comme au Zimbabwe.
De plus, quelle Banque voudrait prêter de l’argent sans intérêt ? Aucune, il faudrait donc imaginer un emprunt obligatoire ! Et après, comme l’endettement de l’État n’aurait plus de limite, et le nôtre non plus, on arriverait rapidement à saturation du système.
D’autre part, si les crédits étaient gratuits, les placements devraient l’être aussi… n’est-ce donc pas la mort des banques que vous prônez, même si vous ne le dites pas textuellement ?
Concernant la BCE, les organes de décision de la Banque centrale européenne sont le conseil des gouverneurs, le directoire et le conseil général. Or, ses membres sont nommés par accord entre États membres au niveau des chefs d’État ou de gouvernement. Sa mission est principalement de mettre en œuvre la politique monétaire conformément aux orientations politiques arrêtées par l’Eurosystème qui regroupe l’ensemble des banques nationales. Dire que la politique monétaire européenne échappe entièrement à la France est donc exagéré, car il est certain que le choix des membres des organes de direction de la BCE influe sur son fonctionnement. Mais ce qui est vrai, comme vous le dites, c’est la BCE qui fixe le taux directeur, et c’est ce taux qui fixera à quel prix les banques nationales emprunteront de l’argent, il serait donc totalement impossible de forcer ces banques à prêter de l’argent à taux zéro alors qu’elles-mêmes devront payer un intérêt à la BCE qui seule maîtrise la quantité de monnaie en circulation.
C’est beau l’utopie, mais être réaliste permet le plus souvent de faire avancer le débat. Comme le dit « Pourquoi » : « C’est plus parlant pour moi la réalité ».
[b]Et après, comme l’endettement de l’État n’aurait plus de limite, et le nôtre non plus, on arriverait rapidement à saturation du système.[/b]
C’est bien le contexte, plus personne n’est responsable. Tous achèteraient à crédit à taux 0% ;D
Pas belle la vie !!! Donc, plus besoin d’étudier, de se lever, l’état serait le fournisseur virtuel de tout !
Concernant Maurice Allais
Maurice Allais, auquel vous faites référence, n’a jamais parlé que d’endettement excessif et n’a jamais prôné la disparition des taux d’intérêt puisqu’il reconnaissait le caractère relatif de la notion de coût en parlant d’un « [b]coût d’opportunité[/b] ». Ainsi, selon celui que vous considérez comme le meilleur économiste que la France n’ait jamais eu, il est normal que les banques ne facturent pas le coût d’un bien ou d’un service réel, mais bien le [b]coût de leur décision[/b], ce qui est tout autre chose !
De plus, si je ne me trompe, il proposait dans son ouvrage « [b][i]La crise mondiale d’aujourd’hui[/i][/b] » de modifier le système en dissociant les banques de dépôt des banques de prêts, ce qui empêcherait la création de monnaie ex nihilo, mais il n’a jamais évoqué la suppression des taux d’intérêt [b]puisqu’il estimait historiquement normal un taux d’intérêt de l’ordre de 3 à 4 %[/b].
@ Le Candide et Pourquoi
Vous êtes tétus comme des mûles… lol
« Si l’État pouvait emprunter sans payer d’intérêt, il n’y aurait plus de limites, et plus aucune politique budgétaire. »
FAUX : il suffit de créer une commission indépendante qui décidera quand il est légitime d’emprunter et quand cela ne l’est pas.
« étant donné que l’argent prêté est créé ex nihilo, les fonctionnaires seraient payés avec de l’argent qui n’existe pas, avant d’effectuer tous leurs achats avec ce même argent qui n’existe pas. La monnaie ne serait bientôt plus qu’une monnaie de singe et nous serions en route vers l’hyperinflation, comme au Zimbabwe. »
FAUX : « l’argent qui n’existe pas » ça n’existe pas ! Si on a de l’argent et qu’on peut payer des choses avec il existe ! Encore une fois la monnaie a pour mission de faire passer les marchandises et services des producteurs aux consommateurs… La création de monnaie doit donc suivre la création des richesses produites ! Cela n’est absolument pas le cas dans le système actuel car les banques augmentent la masse monétaire de 10% par an en zone euro alors que le PIB n’augmentait que de 2% jusqu’à 2008 ! De plus et je me répète comparer une puissance industrielle qui produit des biens réels (et doit donc augmenter sa masse monétaire EN PROPORTION) n’est pas comparable avec le Zimbabwe qui a 90% de chômeur, aucune industrie et qui crée de la monnaie quand même… Il faut comparer des choses comparables et ne pas faire des raccourcis !
« De plus, quelle Banque voudrait prêter de l’argent sans intérêt ? Aucune »
FAUX : ce doit être le rôle des banques centrales comme avant 1973 en France…
« Et après, comme l’endettement de l’État n’aurait plus de limite, et le nôtre non plus, on arriverait rapidement à saturation du système. »
FAUX : Avant 1973, l’Etat pouvait emprunter sans intérêts à sa banque centrale, il n’y avait pas de dette publique (!!) et l’inflation était de l’ordre de 4 à 5% (!!)…
Autrement dit tous vos arguments (qui se résument à « la dette et l’inflation vont augmenter ») sont totalement infidèles à la réalité des faits !
« D’autre part, si les crédits étaient gratuits, les placements devraient l’être aussi… n’est-ce donc pas la mort des banques que vous prônez, même si vous ne le dites pas textuellement ? »
FAUX si on laisse les banques s’occuper de conserver et gérer l’argent des gens et non de créer beaucoup plus d’argent qu’elles n’en possèdent réellement ce qui d’ailleurs les rendrait bien plus sûre qu’actuellement !
« Dire que la politique monétaire européenne échappe entièrement à la France est donc exagéré » FAUX quand on se rapelle les critiques répétées de Sarkozy et d’autres chefs d’Etats en Europe vis-à-vis de la politique monétaire de la BCE !
La BCE fait ce qu’elle veut, c’est un fait !
« C’est beau l’utopie, mais être réaliste permet le plus souvent de faire avancer le débat. »
Les idéalistes ont plus fait avancer la société que les résignés… D’ailleurs quand on est résigné on n’avance pas et vous vous essayer même de ralentir les autres en défendant l’indéfendable avec des arguments qui ne reposent sur rien de concret…
« ILS NE SAVAIENT PAS QUE C’ETAIT IMPOSSIBLE… ET ILS L’ONT FAIT ! » (Twaine)
Concernant Maurice Allais
Je n’ai jamais dit (encore une fois) qu’il fallait supprimer les taux d’intérêts j’ai dit que les Etats doivent pouvoir emprunter sans intérêts ! Et que ces intérêts sont non légitimes pour des entreprises privées alors que tout le monde pourrait en bénéficier… Donc on conserve les taux d’intérêts mais ceux-ci doivent revenir à la collectivité, ce qui diminuerait fortement l’imposition…
Maurice Allais disait : « Dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle par le système bancaire est identique, je n’hésite pas à le dire pour bien faire comprendre ce qui est réellement en cause, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement condamnée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents ».
Ses souhaits sont dans la même direction que les miens :
http://etienne.chouard.free.fr/Europe/messages_recus/La_crise_mondiale_d_aujourd_hui_Maurice_Allais_1998.pdf
Si l’État pouvait emprunter sans payer d’intérêt, il n’y aurait plus de limites, et plus aucune politique budgétaire. »
FAUX : il suffit de créer une commission indépendante qui décidera quand il est légitime d’emprunter et quand cela ne l’est pas.
Et ben oui tient donc ! Quand la gauche serait au pouvoir ce serait pour assister encore plus les gens. Et quand la droite serait là, ce sera pour encore plus s’endetter dans les infrastructures. In fine, la commission serait ;a la botte des gouvernants. BRAVO facebook !
J’espère que personne de votre groupe facebook ne pense devenir économiste ;D
POURQUOI , tu es disqualifié !!!
pourquoi ? PARCE QUE TU ECRIS : » Pourquoi a dit:
Tous les grands économistes, incluant le nobel 2008, se refusent de nationaliser les banques. Ces grands connaisseurs économiques doivent bien avoir une raison pour ne pas recommander ! »
et que c’est le contraire !!!
« quant au prix nobel d’économie 2008 , voici son diagnostic Pourquoi pas !
» A la dérive, par Paul Krugman 3 mars 2009 14:22
Dans les premières mois de cette crise nous écrivions que la culture économique des responsables politiques américains, leur foi inébranlable dans les dogmes de l’école de Chicago, les rendaient peu aptes à comprendre la situation et donc à agir efficacement. L’équipe constituée par Obama semble atteinte du même mal. Nationalisation reste un mot tabou, honteux, que la nouvelle administration se refuse à évoquer, alors même que le cours de l’action de la banque Citigroup flirte avec le dollar – c’est à dire l ’éviction de la cote new yorkaise – et que de tous côtés les appels se font de plus en plus pressants pour une prise de contrôle publique. Ce blocage psychologique, ce vertige devant la transgression, se traduisent en acte par un aveuglement qui confine à l’absurde. On ne peut entendre la récente déclaration d’Obama affirmant que le privé est « plus efficace » pour gérer le système bancaire sans ressentir un malaise devant cette forme d’humour involontaire. Au nom de quoi faudrait-il donc continuer à révérer des idoles qui pourtant s’effondrent avec fracas sous nos yeux, entraînant dans leur chute de trop nombreuses victimes ? Car il y a urgence à agir. ….
Il faut donc trancher dans le vif au plus tôt, ….et nationaliser. Roubini estime qu’il faudra sans doute six mois pour que l’inévitable soit enfin accepté. Si c’est le cas, ce sont six mois de perdus alors que gagne l’incendie. »
ALORS LA CE N’EST PLUS LA SECTE, C’EST CARREMENT LA MANIPULATION !
Vos arguments sont incorrects.
— Vous affirmez : « Avant 1973, l’État pouvait emprunter sans intérêt à sa banque centrale, il n’y avait pas de dette publique (!!) et l’inflation était de l’ordre de 4 à 5 % (!!)…»
Or : « Au cours de son histoire, l’État français a souvent eu recours à la dette pour faire face à de fortes dépenses, les guerres par exemple. La dette a fluctué, passant par exemple par une valeur presque nulle (par rapport au PIB) en 1540 ou en 1820, et atteignant jusqu’à environ 290 % du PIB en 1944. Après les périodes de forte augmentation, la part de la dette dans le PIB a été rapidement réduite, principalement en raison d’une forte hausse de l’inflation (qui réduit la valeur réelle de la dette, et donc spolie partiellement les détenteurs de la dette) et d’une croissance forte du PIB. Un tel niveau de dettes étant « amorti » par le jeu de dévaluations successives du franc par rapport aux autres monnaies. Ce « jeu » de dévaluations n’étant plus possible depuis la création de l’euro unique en 2002, il constitue le principal sujet de désaccord exprimé par les opposants à l’euro comme monnaie unique au lieu de l’euro monnaie commune. »
En fait, la dette publique a littéralement commencé avec l’histoire de France, et nos rois ont été de grands dépensiers… par exemple, « en 1561, les finances royales étaient dans une situation critique, avec 43 millions de livres de déficit. Le clergé a alors dû assister le pouvoir royal pour l’amortissement de la dette royale. En 1776, la Caisse d’amortissement est créée face à une dette déjà colossale et suscite des polémiques. Le but est d’instaurer un lien plus direct entre l’intérêt des particuliers et l’intérêt collectif incarné par le souverain. Le projet fut approuvé par Turgot et combattu par Jacques Necker. Depuis 1796, et l’épisode des assignats, la France a toujours honoré ses dettes, en monnaie constante jusqu’en 1919, et au moins en valeur faciale (en monnaie courante) par la suite (les dévaluations et l’inflation constituant néanmoins une banqueroute partielle réduisant la dette réelle à due proportion, au détriment des créanciers). »
« Dans les années 1970 et 1980, les pays industrialisés rentrent dans un régime inédit de dette permanente : pour la première fois dans l’histoire fiscale moderne, les gouvernements usèrent explicitement de la dette pour financer les dépenses publiques courantes, incluant les transferts sociaux. La dette elle-même finit par atteindre des niveaux tels que les intérêts versés et le service de la dette redeviennent significatifs et préoccupants. De plus, pour conforter la confiance sur la stabilité de la valeur de la monnaie, la France s’interdit avec la loi du 3 janvier 1973 les concours de la Banque de France au Trésor public, notamment les émissions de crédit sans intérêt. Ceci revient à s’interdire de « faire marcher la planche à billet ». »
C’est bien ce que j’avais dit, refaire un crédit gratuit, c’est faire marcher la planche à billets et créer une monnaie de singe.
— Vous affirmez : « … l’inflation était de l’ordre de 4 à 5 % (!!)… »
En 1958, l’inflation atteignait 14 %, de 1969 à 1973 elle dépassait les 6 % et depuis 1994 elle est inférieure à 2 %… Donc votre argument que les intérêts de la dette publique sont liés à l’inflation ne tient pas à l’analyse des chiffres. D’ailleurs, la réforme de 1973 se justifiait par la lutte contre l’inflation.
— Vous affirmez « que ce doit être le rôle des banques centrales comme avant 1973 en France de prêter sans intérêt » (c’est-à-dire de faire marcher la planche à billets).
Or le Traité de Lisbonne précise bien : « Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées “banques centrales nationales”, d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »
Donc, non seulement vous proposez un bond en arrière qui nous ferait sortir de l’Euro et ferait perdre la confiance en notre monnaie, mais en plus vous voulez que la France dénonce le Traité de Lisbonne !
Comme le disait un autre commentateur, à quand le retour à l’âge du troc ? En fait, vous voulez agir comme le faisaient nos rois, qui pratiquaient parfois l’extorsion pure et simple du patrimoine des créanciers, ce qui annulait la dette, du « fait du prince ». Car c’est bien de cela dont il est question, maintenant que les banques ont beaucoup prêté à l’État et que la charge de la dette est devenue trop lourde, forçons les banques à nous faire un crédit sans intérêt ce qui nous permettra de leur rembourser l’argent qu’elles nous ont prêté, comme si on forçait les banques à se rembourser elles-mêmes l’argent qu’elles ont prêté.
C’est un peu trop facile, et c’est une attitude typique des mauvais gestionnaires que d’emprunter sans réfléchir pour, au final, traiter les créanciers de voleurs !
@ Pourquoi qui dit « J’espère que personne de votre groupe facebook ne pense devenir économiste »
Raté mon vieux, il y a dans ce groupe une pléthore d’économistes, des profs de faculté, un prof de l’ESSEC, puis plein d’étudiants de HEC, Droit ou Economie qui connaissent l’économie bancaire monétaire…
Je remarque de plus qu’en 18 messages vous n’avez pas été capable de dépasser 5 lignes… Cela démontre combien vous êtes capables d’argumenter… Critiquer, se moquer, c’est beaucoup plus facile effectivement !
@ Le candide
Vous usez à profusion des raccourcis pour comparer les choses… Bravo c’est du bon journalisme citoyen !!
Cette fois vous nous mettez en évidence toutes les guerres pour dire que la dette était élevée par le passé… Mais évidemment que les guerres font toujours augmenter la dette ! Comparer un temps de paix avec une guerre c’est vraiment manquer de bon sens…
Or il se trouve que la France, en temps de paix, avait une dette publique insignifiante avant 1973 MALGRE SON POUVOIR DE FAIRE MARCHER LA PLANCHE A BILLET comme vous dites !! Depuis que nous n’avons plus ce pouvoir, qu’il est exclusivement dans des mains privés, la dette a explosée !! Et pourtant nous sommes en temps de paix ! Alors ne venez pas nous raconter que la gestion privée et plus efficace que la gestion publique… La crise actuelle nous montre bien que le pouvoir privé ne pense qu’au profit à court terme et est capable de créer des pyramides de dettes qui s’effondrent et nous mettent tous dans le trou actuellement ! Et en plus c’est au pouvoir public de boucher les trous désormais ! Bravo la logique !
http://www.societal.org/docs/dette-publique.htm
Deuxièmement vous mentez sur les chiffres de l’inflation qui sont tout à fait inférieurs à ce que vous dites avant 1973 :
http://inflation.free.fr/inflation-depuis-1901.php
Voici une interlocution avec Valéry Giscard d’Estaing qui montre le non-sens de sa loi de 1973 :
http://vge-europe.eu/index.php?post/2008/07/25/Reponse-de-VGE#c4296
Vous faites un autre raccourci en assimilant création monétaire publique à monnaie de singe… En effet il est absolument nécessaire de créer de la monnaie supplémentaire quand on produit des biens et services de consommation supplémentaires ! Ainsi les banques commerciales qui accordent un crédit à la consommation crée de la monnaie de singe si l’emprunteur ne s’en sert pas pour produire quelque chose, pour investir…
Vous dites « Donc, non seulement vous proposez un bond en arrière qui nous ferait sortir de l’Euro et ferait perdre la confiance en notre monnaie, mais en plus vous voulez que la France dénonce le Traité de Lisbonne ! »
Un bond en arrière au niveau chronologique mais un bon en avant pour un système plus juste, plus sur, plus harmonieux !
Oui je dénonce absolument le traité de Lisbonne qui n’a pas été choisi par les français !!
Vous dites « En fait, vous voulez agir comme le faisaient nos rois, qui pratiquaient parfois l’extorsion pure et simple du patrimoine des créanciers, ce qui annulait la dette, du « fait du prince ». »
Mais que croyez-vous qu’il va se passer d’ici quelques mois ou années ? On se retrouver avec une inflation monstre pour diluer ces dettes ! Exactement ce que vous dénoncez ! Et pourtant les Etats n’ont pas ce pouvoir de création monétaire… Alors cessez de mettre tous les maux sur la gestion étatiste…
Maintenant débarassez-vous de vos préjugés et acceptez ces faits :
Si la France n’avait pas eu d’intérêts à payer depuis 1973, nous n’aurions pas de dette publique et on aurait donc 40 à 50 milliards d’euros d’impôts en moins à payer chaque année !
Pourquoi ? Parce-que la somme des budgets positifs de L’Etat depuis 1973 est supérieure à la somme des budgets déficitaires ! Nous aurions actuellement un solde positif de plus de 100 milliards d’euros bien utile en ces temps de crise économique !
Le déficit public de la France depuis une demi-douzaine d’années est sensiblement égal au montant des intérêts de la dette que nous payons chaque année ! Donc pas d’intérêts à payer, pas de déficit !
Si vous n’êtes pas équipé d’esprit logique, je ne peux plus rien pour vous…
Tient donc, quand on n’a plus d’arguments, on traite les autres de manque de logique ;D
Vite vu que votre secte facebook se prend pour des génies (virtuels)
« Pourquoi » , faut pas nous prendre pour des illuminés !!!
Tu nous parles du prix Nobel 2008 d’économie .
Je trouve et publie ses dires (de Monsieur Paul Krugman)
qui sont le contraire de ce que tu affirmes à son sujet .
TU ES DISQUALIFIE !
Au lieu de pleurer sur des liasses d’euros, trouver donc une solution à la crise.
Quand les USA investisse 1 000 milliards $US et que malgré tout les bourses plongent chaque jour !!!
La réalité a pris le dessus sur les idéologues facebook 😀
[b]Raté mon vieux, il y a dans ce groupe une pléthore d’économistes, des profs de faculté, un prof de l’ESSEC,
puis plein d’étudiants de HEC, Droit ou Economie qui connaissent l’économie bancaire monétaire… [/b]
Vous devez sortir de l’ombre! 😉
Si vos idéologies étaient à ce point révolutionnaires, on aurait attendu 2009 et la crise pour les sortir?
Soyez réalité 😉
@ Pourquoi qui dit « Au lieu de pleurer sur des liasses d’euros, trouver donc une solution à la crise.
Quand les USA investisse 1 000 milliards $US et que malgré tout les bourses plongent chaque jour !!! »
Si on ne laissait pas les banques commerciales créer la monnaie il n’y aurait pas eu de crises des subprimes puisque les montants prêtés n’auraient pas été supérieurs aux fonds propres des banques… Ainsi le système en lui-même est vecteur de crise ! Ce n’est d’ailleurs pas la première…
Nos solutions empêcheraient donc toute crise comme celle-ci à l’avenir !
Vous dites « Vous devez sortir de l’ombre! Si vos idéologies étaient à ce point révolutionnaires, on aurait attendu 2009 et la crise pour les sortir? Soyez réalité »
Et vous soyez conscient du monde dans lequel on vit ! Croyez-vous que tout le monde souhaite la fin des inégalités et un monde plus juste ? Bien sûr que non ! Ceux qui sont privilégiés veulent garder leurs privilèges ! D’ailleurs ce sont eux les privilégiés qui ont le plus de pouvoir pour propager les idées qui les arrange et taire les idées qui les dérangent !
Jusqu’à présent ce texte a été envoyé à de nombreuses personnes influentes… Aucune n’a trouvé d’arguments pour dire que nous avions tord, le meilleur arme est le silence, quand les informations se propageront dans la société le changement se fera…
C’est pour cela que j’envoie cette article. Cela prendra le temps qu’il faudra.