La vérité sur la dette

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« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu' il y aurait une révolution avant demain matin » (Henry Ford, industriel).

« Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés qu'une armée debout. Celui qui contrôle l'argent de la nation contrôle la nation » (Thomas Jefferson, ex-président des Etats-Unis).

Les banques commerciales CREENT l'argent qu'elles prêtent lors des crédits et en perçoivent les intérêts.

Si l'Etat avait le même privilège, il n'y aurait plus de dette publique depuis 2006 et les français s'épargneraient 40 à 50 milliards d'euros d'impôts chaque année.

 

COMMENT SE FAIT LA CREATION MONETAIRE ?

Il faut rejeter complètement l'idée, sans doute enfouie au fond de votre esprit que, pour qu'un banquier puisse vous proposer un crédit, il faut qu'un épargnant soit passé avant vous à la banque pour y déposer des économies, et qu'en fin de compte, c'est l'épargne d'un autre que le banquier vous prête, en prélevant sa commission au passage (l'intérêt)…


Alors en réalité d'où vient cet argent que les banques nous prêtent ? Elles le créent tout simplement ! Un système extrêmement obscur que l'on veille à maintenir dans l'ombre, soit que l'on pense qu'il est affaire de spécialistes que l'esprit du commun des mortels ne saurait appréhender, soit que le mettre en pleine lumière risquerait de pousser les esprits "éclairés" à se rebeller…

Les banques commerciales possèdent le privilège de vous vendre (par l'intérêt) de l'argent qu'elles ne possèdent pas !! Elles le créent à chaque demande de crédit (que ce soit pour un particulier, une entreprise ou un Etat), ce qui augmente la masse monétaire globale.

Bien sûr il existe des limites à cette création monétaire : les banques commerciales doivent avoir un certain niveau de réserves fractionnaires de l'ordre de 8 %. Donc en fait à partir d'un dépôt l'ensemble des banques privées peut créer 9 fois plus d'argent qu'il n'en possède réellement. Par exemple si une banque reçoit 1 million d'euros de la banque centrale, le système bancaire pourra créer 9 millions d'euros pour les proposer en crédit. Si vous déposez 1000 euros sur votre compte, elles pourront créer à partir du néant 9000 euros qu'elles pourront d'ailleurs vous préter en réclamant un intérêt. Et vos 1000 euros, eux, ne bougent pas de votre compte, ils ne sont pas prêtés, ça leur autorise juste à créer plus d'argent ! Cette création monétaire privée non contrôlée (+ 10% par an en zone euro) est totalement déconnectée de la production de richesses réelles et est donc un facteur important d'inflation (alors qu'on a justement interdit aux nations de créer la monnaie pour éviter l'inflation).
92% de la monnaie est donc créée par les banques privées sans aucun travail, en quelques secondes, par une simple écriture sur votre compte avec leur ordinateur (8 % est créé par les banques centrales).

Réclamer un intérêt (qui bien souvent double la somme empruntée) sur de l'argent qui est tiré du néant peut sembler non légitime pour des organismes privés alors que les intérêts pourraient être partagés par l'ensemble de la collectivité…

Ces intérêts sont la cause première d'une dette publique impossible à rembourser ! Si la France n'avait pas léguer en 1973 son droit régalien d'émettre la monnaie, les français s'épargneraient 40 à 50 milliards d'euros d'impôts chaque année et la dette serait totalement remboursée depuis 2006 !

PETIT HISTORIQUE POUR LES USA ET LA FRANCE :

Venant d’Amérique, Benjamin Franklin, en 1750, s’étonnait de voir une foule de chômeurs et de mendiants dans les rues de Londres. Il décrivait ainsi les colonies d’Amérique: « Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe… Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l'appelons Colo Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs… Nous contrôlons notre pouvoir d'achat et nous n'avons aucun intérêt à payer à personne ».

Sous la pression des banquiers anglais, le Parlement anglais interdit cette pratique, obligeant les colons à utiliser une monnaie à intérêts, en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié en un an, « à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs » dit Franklin.

Et à propos de la décision de Lincoln (alors Président des Etats-Unis) d’émettre une monnaie sans intérêts, Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le London Times : « Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s'installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s'acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l'argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l'histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe ». La monarchie des contrôleurs du crédit… En 1861, l’Etat reprit le contrôle de l’émission et de la circulation d’une monnaie sans intérêts.
La production agricole et industrielle redémarra, le chômage disparut.
En 1865, après l’assassinat du président Lincoln, les banques privées imposèrent de nouveau une monnaie avec intérêts. En dix ans, le pouvoir d’achat chutant de moitié, il y eut 55 000 faillites avec tout un cortège de chômage et de misère… Logique, car les banquiers, avec les intérêts, prenaient la moitié de l’argent que les gens gagnaient en travaillant.

Finalement, le 23 décembre 1913, le Congrès américain votait la loi de la Réserve Fédérale, qui enlevait au Congrès lui-même le pouvoir de créer l'argent. Les banquiers privés avaient gagné la partie. Un membre du Congrès, Charles A. Lindbergh déclara : « Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président Wilson signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé… Le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire ».

Salmon P. Chase, Secrétaire du Trésor sous Lincoln, déclara publiquement, peu après le passage de la loi :
« Ma contribution au passage de la loi des Banques Nationales fut la plus grande erreur financière de ma vie. Cette loi a établi un monopole qui affecte chaque intérêt du pays. Cette loi doit être révoquée, mais avant que cela puisse être accompli, le peuple devra se ranger d'un côté, et les banques de l'autre, dans une lutte telle que nous n'en avons jamais vue dans ce pays ».

En France, même processus : certains hommes politiques ont essayé de lutter : Vincent Auriol, 1934, ministre des finances du Front Populaire : « Les banques je les ferme, les banquiers je les enferme ! » ; en 1945 le Général de Gaulle nationalise la Banque de France, le crédit est sous tutelle publique, l'’État a recouvré son autorité sur la monnaie, ce qui ne durera pas. L'article 25 de la loi du 3 janvier 1973 de Pompidou et Giscard d'Estaing "interdit au Trésor public d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France". La France ne peut plus emprunter à sa banque centrale sans intérêt ! Elle doit désormais emprunter sur les marchés financiers avec intérêt : fini l’ordre des salariés et des entrepreneurs, finies les Trente Glorieuses, la monnaie se renforce, le chômage augmente, les salaires stagnent, la dette explose…

Un exemple, "l'emprunt Giscard" : pour 6 milliards de francs empruntés en 1973, l'Etat a finalement remboursé au total 80 milliards de francs en 1988 !

Comment voulez-vous que les finances de la nation se portent bien avec un tel déséquilibre entre le montant emprunté et le montant remboursé ?

La raison évoquée de limiter l'inflation n'est pas valable (puisque ce qu'on interdit aux Etats, on le permet aux banques commerciales qui, par leur nombre, sont beaucoup plus créatrices de monnaie), le peuple français s'est-il fait arnaqué par des politiciens au service d'intérêts privés ?

Pour information, rapellons que la biographie de George Pompidou révèle qu'il était, avant d'être un homme politique, un banquier, il a travaillé pour la banque Rothschild de 1954 à 1958 et de 1959 à 1962… Coïncidence ?

En 2003,10% du PIB a basculé du côté du profit et de la rente. La mondialisation, d’une certaine manière, est un basculement de l’économie au profit des créanciers, des boursiers, des rentiers, des financiers…

Les statuts de la Banque de France, calqués (et aggravés en quelque sorte) sur ceux de la Bundesbank, gardienne du temple de la monnaie forte, seront copiés par la Banque Centrale Européenne. L’ordre des créanciers règne en Europe.

LES CONSEQUENCES POUR LA FRANCE :

Entre 1980 et fin 2008, la dette a augmenté de 1056 milliards d'euros, alors que nous avons payé 1300 milliards d'euros d'intérêts ! Si nous n'avions pas eu à emprunter ces 1056 milliards d'euros sur les marchés monétaires, c'est-à-dire si nous avions pu créer notre monnaie, faire exactement ce qu'ont le droit de faire les banques privées, la dette qui était de 229 milliards d'euros début 1980 serait totalement remboursée depuis 2006 grâce aux économies réalisées chaque année et nous disposerions en plus d'un solde de trésorerie positif de plus de 100 milliards d'euros !

Pensez-y : 1300 milliards d'euros d'intérêts payés pendant 29 ans, c'est en moyenne 45 milliards d'euros par an soit 120 millions d'euros par jour que nous transférons aux créanciers !

En 2008, c'est 113 milliards d'euros qui seront remboursés (71 milliards de capital + 42 milliards d'intérêts), le service de la dette est l'équivalent de tous les impôts directs des français (impôt sur le revenu + impôt sur les sociétés + autres impôts directs dont l'ISF).

Pour rembourser ces 113 milliards d'euros et assurer le fonctionnement des administations publiques, la France a consenti 110 milliards d'euros de nouveaux emprunts en 2008 : 70 milliards pour rembourser les 70 milliards de capital qui arrivent à échéance cette année (il s'agit donc d'un report dans le temps) et 40 milliards de dette supplémentaire qui génèreront des intérêts.
Les 42 milliards d'euros d'intérêts sont donc la somme réellement prélevée sur les impôts des français (presque équivalent à l'impôt sur le revenu).

Autrement dit, si la France pouvait emprunter à une banque centrale sans intérêts :
– nous n'aurions plus de dette publique
– nous pourrions éventuellement supprimer l'équivalent de l'impôt sur le revenu et résoudre le problème du pouvoir d'achat
– ou utiliser cette somme pour construire des infrastructures ou les maintenir tels les hôpitaux, les maternités, les bureaux de poste, les écoles…
– ou commencer à réparer les dégats environnementaux causés par la course à la croissance c'est-à-dire la course au remboursement des dettes…
Dans tous les cas en faire bon usage au lieu d'engraisser les rares qui ont les moyens d'acheter notre dette !

Concernant l'intérêt, il est le premier responsable de la pauvreté dans le monde et de l'élargissement de la fracture sociale. Puisque les prix que vous payez sont constitués à 40-45 % du seul poids des intérêts, comme l'ont mis en évidence dans leurs études Magrit Kennedy et Ralph Becker, vous imaginez la somme colossale qui est transférée du monde économique au monde financier ! Il contribue à l’asphyxie du premier et à la congestion du second ; il provoque surtout le transfert de la richesse des plus démunis vers les plus nantis.
Magrit Kennedy, dans l'étude qu'elle présente dans son livre "Libérer l'argent de l'inflation et des taux d'intérêts", met en évidence que pour la population allemande, classée en 10 tranches de revenus, lorsque l'on fait la balance entre les intérêts créditeurs, versés à l'épargne, et les intérêts débiteurs prélevés au crédit, le solde n'est positif que pour la 10e tranche, celle des plus riches, équilibré pour la 9e et négatif pour les 8 autres. Elle souligne aussi que le solde est d'autant plus négatif que l'on est pauvre et d'autant plus positif que l'on est riche.

UN CHANGEMENT NECESSAIRE ET LEGITIME ?

Beaucoup d'économistes "hors-système" réclament que toute création de monnaie doit relever des Etats par l'intermédiaire des banques centrales. Cette création monétaire doit être interdite ou restreinte pour les banques commerciales.

La monnaie créée est prêtée sans intérêts (!) par la Banque Centrale aux Etats et aux collectivités publiques afin de financer des dépenses d’investissement, d’aide à des secteurs à vocation d’intérêt collectif tels que l’éducation, la santé et la protection de l’environnement, et en cas de crise ou de catastrophe naturelle seulement. Cela est exclu pour les dépenses de fonctionnement et d’amortissement qui devront être financées par les rentrées fiscales.

La Banque Centrale détermine la quantité de monnaie proposée et les taux d’intérêt auxquels les banques commerciales peuvent emprunter entre elles et auprès d’elle-même afin de soutenir la création d'emploi, de limiter l'inflation et de permettre un développement économique durable.

"Si jamais le peuple américain autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banques et les corporations qui se développeront autour d'elles vont dépouiller les gens de leurs possessions jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leurs pères avaient conquis" (Thomas Jefferson, Lettre au Ministre des Finances Albert Gallatin en 1802).

Cela ne vous fait-il pas penser à la crise financière due aux subprimes que nous connaissons ?

"Si vous voulez rester esclaves des banquiers et payer le coût de votre propre esclavage, laissez-les continuer à créer de l'argent et contrôler le crédit de la nation" (Sir Josiah Stamp, directeur de la Banque d'Angleterre de 1928 à 1941).

136 réflexions sur « La vérité sur la dette »

  1. Décidément vous êtes une secte qui se croit trop illuminée ;D

    Pourquoi a t-on attendu 2009 pour nous la sortir « facebook » ?
    Personne n’y a pensé avant vous croyez?

    Un conseil: poursuivez vos études ! 😉

  2. [b]Ceux qui sont privilégiés veulent garder leurs privilèges !
    D’ailleurs ce sont eux les privilégiés qui ont le plus de pouvoir pour propager les idées qui les arrange
    et taire les idées qui les dérangent ! [/b]

    Tient on y arrive aux vrais raisons de votre facebook.

    Chier et décrier les gens qui ont fait la France, ces investisseurs et ces pourvoyeurs d’emplois !

    Sans eux, vos parents ne vous auraient pas gâté de tous ces gadgets qui ont fait votre adolescence !

    😉

  3. [b]Jusqu’à présent ce texte a été envoyé à de nombreuses personnes influentes…
    Aucune n’a trouvé d’arguments pour dire que nous avions tord, le meilleur arme est le silence,
    quand les informations se propageront dans la société le changement se fera… [/b]

    C’est ce que disait Hitler aussi … on a vu où cela a mené

    😉

  4. @ Pourquoi :

    Il est facile de mettre à jour votre mentalité : « chier », « secte », « Hitler »….
    Vous faites vraiment pitié !

  5. Non je ne fais pas pitié.
    Imaginer que si personne ne vous trouve tort, c’est que l’idée ne fait pas mouche !

  6. POURQUOI, tu es disqualifié ! tu n’a pas voulu répondre sur Krugman !!!
    tu te défiles !
    tu es de l’assos des banques ? !!!!! ah oui !!!!!

  7. TU TE DEFILES , POURQUOI !!!
    tu ne reponds pas sur KRUJMAN !!!!!
    arrete d’envoyer de la fumée de chlorure de titane comme un destroyer touché par une torpille !!!!

  8. Quand on me crie après, je ne répond pas ;D
    C’est voyou ton truc et surtout dictateur de pensée

  9. Non c’est ce groupe facebook qui est malhonnête à nous forcer leur pensée
    Les économistes ne datent pas de 2009 et s’il y avait matière intéressante, ils seraient tous là à baver,
    ce qui n’est pas le cas ;D

  10. @ taux zéro = inflation supérieure
    Pour terminer, [b]l’inflation en France s’établit à 1% en 2008[/b], comment expliquez-vous que [b]l[/b][b]’inflation était supérieure avant 1973 alors que l’État pouvait emprunter à taux zéro[/b] et donc « faire tourner la planche à billet » puisque, à travers la banque centrale, il se prêtait à lui-même ? (Il faut bien sûr exclure la période 1975-1980 due au choc pétrolier)
    N’est-ce pas la preuve que taux zéro = inflation ?
    C.Q.F.D

  11. @ Pourquoi :

    Vous êtes obsédé par facebook, vous paient-ils pour parler d’eux ?

    « Les économistes ne datent pas de 2009 et s’il y avait matière intéressante, ils seraient tous là à baver,
    ce qui n’est pas le cas  »

    Vous êtes vraiment très doué pour parler de ce que vous ingorez totalement, cette dénonciation de mon article est partagé par de nombreuses personnes qui travaille à faire progresser ces idées depuis de nombreuses années… J’ai déjà cité Maurice Allais, l’économiste français le plus distingué de tous les temps mais il y a aussi des associations comme l’ADED ou ATTAC et de nombreux ouvrages consacrés au sujet :
    « Les 10 plus gros mensonges sur l’économie » (Philippe Derruder, André-Jacques Holbecq)
    « La dette publique, une affaire rentable » (André-Jacques Holbecq, Philippe Derruder)
    « La crise mondiale aujourd’hui » (Maurice Allais, « Prix Nobel » d’économie)
    « Libérer l’argent de l’inflation et des taux d’intérêts » (Magrit Kennedy)
    « Rendre la création monétaire à la société civile » (Philippe Derruder)
    « La Grande Désillusion », « Quand le capitalisme perd la tête » (Joseph Stiglitz)
    « La monnaie et ses mécanismes  » (Dominique Plihon)

    Votre raisonnement (ne pas croire que quelque chose est interessant parce-que vous n’avez pas entendu un économiste en parler), excusez-moi de vous le dire mais c’est un raisonnement d’idiot…
    Il faudrait que vous appreniez un peu à éteindre votre télé et à réfléchir par vous-même…

    @ Le Candide :

    Décidemment vous aussi vous êtes incurable…
    Encore un raccourci honteux : pour justifier votre propos où vous dites que l’inflation était supérieure à 6 % avant 1973 vous choisissez 2 dates 1958 et 1969 qui vous arrangent et vous oubliez toutes les années entre 1958 et 1969 ! Dans la malhonnêteté vous méritez aussi un trophée !
    Voici donc les chiffres de l’inflation que vous avez sciemment oublié :
    1960 : 3,8 %
    1961 : 3,3 %
    1962 : 4,8 %
    1963 : 4,8 %
    1964 : 3,4 %
    1965 : 2,5 %
    1966 : 2,7 %
    1967 : 2,7 %
    1968 : 4,5 %

    Et pour enfoncer le clou vous nous comparez cela avec l’année 2008 prise en pleine crise monétaire où les crédits sont en diminution et donc la masse monétaire globale se rétracte !
    D’ailleurs vous oubliez aussi de rappeller les chiffres de l’inflation des années post-crise de 1929, puisque cela ne vous arrange pas car c’était une déflation :
    1930 : + 1,2 %
    1931 : – 4,5 %
    1932 : – 8,3 %
    1933 : – 3,9 %
    1934 : – 4,1 %
    1935 : – 8,5 %

    Comme le dit Véritas, Le Candide vous êtes DISQUALIFIE !!

  12. Il est un fait, quand on veut passer sa soupe, on tacle son voisin ;D

    N’est=ce pas vous qui prôniez le silence ?

  13. @ Buzz
    Tu es disqualifié aussi puisque tu ne parles pas de l’inflation après l’an 2000 qui est inférieure à celle d’avant 1973 !

  14. Pour en finir
    « La croissance de l’endettement des principaux pays développés, à partir des années 1980, a conduit certains économistes à définir et évaluer la “soutenabilité” à long terme de la dette publique d’un pays. La France apparaît, dans cette littérature, comme ayant une dette moyennement soutenable. » Donc, ne soyons pas trop alarmistes, la France se porte encore bien.

    Par contre, tu omets de préciser que la majorité de la dette publique correspond aux emprunts d’État français sous forme de bons d’État ou bons du Trésor (détenus par des particuliers et non pas les banques, dont 60 % sont des particuliers non résidents). Comment vas-tu dire aux ménages qui ont investi dans des emprunts d’État que ceux-ci ne rapportent plus rien ?
    Il est vrai que « Si l’administration publique française était soumise aux mêmes critères de mesure de l’endettement qu’une entreprise privée, à savoir le ratio dette sur chiffre d’affaires, elle serait considérée comme trop endettée, puisque le ratio dette sur dépenses publiques dépasse les 120 %. Cependant, étant donné les moyens de coercition de l’État et sa capacité à lever de nouveaux impôts, les agences de notation estiment que le risque de défaut sur la dette publique est minime ; par ailleurs, l’État français n’a pas fait défaut sur sa dette depuis 1796. » (La dette, drogue dure à la française, section Ratios financiers – Et si l’État était une entreprise…, Le Nouvel Économiste, mars 2007) Tiens, je croyais que nous allions à la catastrophe !

    De plus, tu oublies que les taux d’intérêt rapportent aussi à l’État, puisqu’en 2007, l’AFT (Agence France Trésor) a réalisé 6 408 opérations de placement qui ont rapporté 659 M€ de recettes.

    Un esprit logique ne dirait pas : « pas d’intérêts à payer, pas de déficit ! », mais plutôt « pas de dette, pas de déficit ». Comme je l’ai dit plus haut, supprimer les intérêts de la dette est une attitude malhonnête puisque, après avoir profité d’un système, tu proposes de le briser pour ne pas en rembourser les intérêts !

    D’une certaine manière, l’Etat émet toujours de la monnaie à travers ces bons du trésor.

  15. C’est loin d’être fini
    Pourquoi dit « N’est=ce pas vous qui prôniez le silence ? »

    Non, ce sont surtout ceux qui profitent de ce système bancaire et qui espèrent que ces informations ne se propagent pas car elles contiennent trop de vérités dérangeantes pour eux…
    D’ailleurs les économistes que vous entendez à la télé et auquels vous êtes soumis, croyez-vous qu’ils sont là par hasard ? Ne pensez-vous que s’ils disaient la vérité cela gènerai le système en place et qu’ils ruineraient leur carrière médiatique ? Ne vous êtes-vous pas rendu compte que leurs prévisions sur la crise étaient sans cesse erronées car minimalistes pour garantir la confiance en les banques ? Et vous leur accordez encore votre confiance ? Tant pis pour vous mais vous serez toujours trompé…
    Nous nous sommes indépendants, on n’a personnellement rien à gagner mais on sait que collectivement on y gagnerait tous à changer ce système bancaire…

    @ Le Candide :

    « Tu es disqualifié aussi puisque tu ne parles pas de l’inflation après l’an 2000 qui est inférieure à celle d’avant 1973 ! »

    On dirait que pour vous plus l’inflation est basse, mieux c’est ! C’est absurde ! Il faut toujours mettre les données en rapport à un contexte ! Et ce contexte c’est le développement économique, la croissance de la production.
    Il faut toujours mettre en relation l’inflation et la croissance, garder une inflation faible en sacrifiant l’économie et l’emploi (ce que fait la BCE qui est d’ailleurs critiqué pour cela), cela ne vaut pas le coup. Si l’inflation est à 10% c’est une bonne chose si en parallèle la croissance est supérieure à 10% ! Or actuellement l’inflation est supérieure à la croissance.
    C’est pour cela que l’inflation depuis 2000 est inférieure à l’inflation avant 1973 : parce-que la croissance est désormais beaucoup plus faible !
    L’inflation accompagne toujours la croissance !

    « Un esprit logique ne dirait pas : « pas d’intérêts à payer, pas de déficit ! », mais plutôt « pas de dette, pas de déficit ». »

    La dette en elle-même est une chose normale et naturelle si elle permet d’investir dans des activités qui permettent un développement qui répondra aux besoins des populations et permettra son remboursement plus tard. Ce qui n’est pas normal c’est d’être obligé d’emprunter à des institutions privées qui réclament un intérêt tout simplement non remboursable ! Cela étant responsable de tout nos sacrifices actuels au niveau de nos servies publics qui ferment les uns après les autres pour « courir après la dette »…

    « Donc, ne soyons pas trop alarmistes, la France se porte encore bien. »

    Le prochain budget 2009 sera déficitaire de 104 milliards d’euros ! Si cela c’est se porter bien…

    « Comment vas-tu dire aux ménages qui ont investi dans des emprunts d’État que ceux-ci ne rapportent plus rien ? »

    Cela ce n’est pas moi le responsable mais c’est ce qui va se passer d’ici 1 an ou 2 où les Etats seront obligés d’augmenter l’inflation pour diluer leurs dettes…
    Donc vous voyez bien que le problème ce n’est pas notre proposition mais bien le système actuel !

    « De plus, tu oublies que les taux d’intérêt rapportent aussi à l’État, puisqu’en 2007, l’AFT (Agence France Trésor) a réalisé 6 408 opérations de placement qui ont rapporté 659 M€ de recettes. »

    A mettre en relation avec les 112 milliards d’euros que nous devons rembourser en 2008 (70 milliards de capital + 42 milliard d’intérêts)!

    On est donc très largement perdant !

    « Comme je l’ai dit plus haut, supprimer les intérêts de la dette est une attitude malhonnête puisque, après avoir profité d’un système, tu proposes de le briser pour ne pas en rembourser les intérêts ! »

    Pour toutes ces raisons on n’a jamais profité du système ! La seule différence entre avant et après 1973 ce que désormais on doit payer des intérêts faramineux ! On profite plutôt des impôts des français !

  16. A vous lire, pourquoi le FMI ne vous a pas encore lu ?
    Ça sauverait le monde vos idéologies ?
    Plus de famine, plus de pauvres ….
    Non mais, c’est bête, nous avons tous faux et votre facebook club aurait tout vrai ?
    hummmmmmmm !!!!

  17. Puis j’ai l’impression de lire le jeune Castro qui pensait sauver le monde avec sa révolution.
    Où en est Cuba aujourd’hui ?

  18. Mais arrêtez un peu de tout ramener à Facebook !
    C’est seulement un moyen supplémentaire de propager l’information comme l’est C4N, les livres, les sites internet, les émissions de radio etc…

    Ce ne sont pas des idéologies c’est du bon sens !

    En effet le monde serait amélioré avec un système bancaire comme nous le proposons ! C’est incontestable.

    Le FMI, comme l’ONU ou la banque mondiale sont dirigés par des gens qui n’ont peut-être pas intérêt à changer le système : les puissants, les créanciers…
    Croyez-vous que DSK va voter une loi pour plus d’équité lui qui possède une fortune considérable ? Bien sûr que non ! Il serait obligé de partager…

    Ce sont les petits gens soit 90 % qui doivent réclamer cette réforme, mais ces gens là ne sont pas à la tête du FMI ou des gouvernements…

  19. Sauf que lorsque l’on est convaincu de grandes idéologies porteuses,
    ce n’est pas à facebook qu’il faut la présenter
    mais à des économistes reconnus mondialement

  20. Buzz:

    je pense que pour nombre de personnes, voir la majorité de nos concitoyens, la remise en cause de notre système économique se révèle impensable, et je dirai que la raison essentielle est que toute remise en cause de ce système aberrant reviendrait aussi à une remise en cause plus globale de notre société et de son fonctionnement. Autrement dit, demander à nos concitoyens de remettre en cause notre système économique c’est aussi leur demander de se remettre en cause, et de questionner leur propre manière de fonctionner et d’évoluer..et cela est un défi beaucoup plus difficle à relever que la réforme du système économique…Donc un conseil, ne perdez pas de temps avec de personnes qui à l’apparence refuse le débat et se cantonnent à l’invective..car débat implique confrontation d’idées, voir même acceptation d’idées qui nous dérangeraient…

    Cordialement

  21. Si la France est composée de 90% de petites gens dans un pays aussi capitaliste,
    changer pour ailleurs plus profitable

  22. non jackdaniels ce n’est pas tout à fait ça
    ce que je reproche à cette idéologie : remettre en cause un système qui sommes toutes n’est pas mauvais
    si l’on sait l’utiliser sainement (ce qui fut le cas pendant des années)
    Maintenant qu’il y a la crise …. ???? tout est mauvais (faut chercher la bonne faute)

  23. @ Pourquoi :

    « Sauf que lorsque l’on est convaincu de grandes idéologies porteuses, ce n’est pas à facebook qu’il faut la présenter mais à des économistes reconnus mondialement  »

    Maurice Allais et Joseph Stiglitz sont mondialement reconnus ! Frédéric Lordon ou Dominique Plihon sont au moins nationalement reconnus… Andé-jacques Holbecq ou Etienne Chouard ont aussi une petite notoriété qui leur permet de parler du sujet lors d’émissions radios ou télévisées de temps en temps…

    Sans le soutien populaire, ils n’arriveront à rien ! C’est pour cela que j’ai mis mon article sur facebook et C4N, pour informer les gens qu’une alternative crédible réfléchie par quelques uns des meilleurs économistes mondiaux est possible mais passée sous silence…
    On avance doucement mais on avance et ce n’est pas vous qui allez nous décourager !

    « Si la France est composée de 90% de petites gens dans un pays aussi capitaliste,
    changer pour ailleurs plus profitable  »

    Je dis que 90 % ont tout intérêt à modifier le système.

    Moi personnellement je n’ai rien à y gagner car je ferrai sans doute parti des gens les plus aisés de la société financièrement (futur médecin), mais je suis persuadé que collectivement on y gagnerait tous !
    Car quand je serais mort, j’aurais peut-être bien profité mais mes descendants eux n’auront peut-être pas autant d’aisance et hériteront du monde qu’on leur a laissé…
    Souhaiter le bien des autres c’est souhaiter son propre bien, à un moment ou un autre on en bénéficie toujours… Cela les riches ne l’ont pas compris, ils privilégient leur aisance à la solidarité oubliant que leurs enfants ou petis-enfants auront peut-être besoin de cette solidarité…
    La roue tourne toujours…

    @ jackdaniels :

    Je suis d’accord, ceci dit je ne suis pas prêt d’abandonner à essayer de convaincre, aucun argument ne résiste au bon sens et je répond donc facilement à mes interlocuteurs… Si ceux-ci restent sur leur position ce n’est pas grave, il y a d’autres lecteurs qui pourront accéder aux informations, lire le débat et se rendre compte par eux-même des propos qui leur parraissent les plus censés…

  24. [b]Si ceux-ci restent sur leur position ce n’est pas grave,
    il y a d’autres lecteurs qui pourront accéder aux informations,
    lire le débat et se rendre compte par eux-même des propos qui leur parraissent les plus censés…[/b]

    Il y a un gros flux ici ?
    Vous feriez mieux de rencontrer le Président, si et si …

  25. 2276 lecteurs potentiels ici… Les petis lits font les grosses rivières.
    N’ayez crainte le débat existe dans de nombreux autres endroits…

  26. Je n’en doute pas, mais monter le débat sur la bonne place d’écoute
    c.a.d. des économistes de tout pays, des ministres des finances
    et des présidents de pays industrialisés (G20)

  27. @pourqoui: vous écrivez ceci : « Je n’en doute pas, mais monter le débat sur la bonne place d’écoute
    c.a.d. des économistes de tout pays, des ministres des finances
    et des présidents de pays industrialisés (G20) » je pense sincèrement que ceux qui ne trouvent rien à redire à ce système, du fait même qu’ils en profitent, qu’ils ne tirent leur pouvoir ou leur prestige( dans le cas des « économistes ») n’ont absoulement aucun intérêt à un quelconque débat qui aurait pour sujet une remise en cause d’un sytème qui les favorisent tant.

    cordialement

  28. Faux
    Tout politicien veut être élu et en finance il se fie sur les économistes.
    Ce n’est pas la population que crée ou modifie les systèmes mais les politiques

  29. [b]Le seul moyen de s’en sortir est de faire des économies immédiatement. Pour cela il faut de suite stopper tous les projets qui ne se justifient pas en cette période de grande crise. Un exemple : la mairesse socialiste de ma commune veut agrandir la mairie pour 549 000 euros. Elle est totalement irresponsable dans le contexte actuel. Pourquoi une dépense qui ne se justifie pas et n’aura que peu d’intérêt pour les habitants. Elle nous dit : il manque une salle pour le conseil municipal et pour les mariages !!! Comment a-t-on fait jusqu’à présent, (depuis que mon village existe)… On a déjà ce qu’il faut.
    Il faudrait en France une autorité pour museler ce genre de petits (es) élus (es) qui dépensent l’argent des contribuables sans réfléchir.
    Autre exemple : le conseil régional socialiste du Nord et du Pas de Calais qui vient de s’installer dans un palais administratif de 200 000 000 d’euros, a donné 600 000 euros à monsieur BOON pour son fameux film !!!
    Excusez-moi, mais je suis révolté devant tout cela. Il y a tant de gens qui sont à la limite de la misère… Un jour ça finira mal… La faillite sera bien là avec son cortège de souffrances pour le peuple…lu sur le figaro[/b]

    Comment répondez vous à ces abus des collectivités et mairies ?

  30. non les politiques pas plus que les économistes ne créent ou modifient les systèmes. C’est l’évolution de la société qui seule modifie un système ou en crée un nouveau. Les politiques ou les économistes peuvent certes l’organiser mais seule l’évolution de la société et la marche de l’Histoire font émerger de nouveaux systèmes…Et il apparait évident que l’Histoire aujourd’hui nous demande de sérieusement repenser notre système.

    Cordialement

  31. « Comment répondez vous à ces abus des collectivités et mairies ? » dans notre système démocratique, la seule réponse est la « sanction électorale ». puisque que nous remmetons notre droit souverain à nos élus afin de voter les lois, vous ne pouvez donc sanctionner un élu que par votre vote…D’où le constat d’échec de la démocratie libérale que vous constatez vous-mêmes: bien que la démocratie instaure le peuple souverain, elle lui enlève l’exercice du pouvoir qui en découle…ce sytème vous plait-il tant?

    mais au vu des vos cibles « socialistes » j’imagine que vous n’avez rien à redire aux tenants UMP de la « libérale démocratie »…

    Cordialement,

  32. Vous avez raison Pourquoi que beaucoup de politiciens, quelque soit leur bord, font des gachis…
    Des économies peuvent être donc faites mais il ne faut pas confondre le curatif et le symptomatique…
    Même si on fait des économies, le système étant ce qu’il est (des intérêts à payer ruineux pour la collectivité) nous serons toujours en manque d’économies… Vous voulez supprimer toutes les avancées des nations en terme de solidarité pour payer ces intérêts qui sont non légitimes car issus d’aucun travail de la part des banques ? Ou alors devons-nous repenser un système qui permettra un endettement responsable des nations ?

    Si vous pensez que vous allez pouvoir rembourser cette dette publique qui croit à une vitesse vertigineuse en faisant des économies, vous n’avez pas fini de payer des impôts et de connaître l’inflation !
    Contrairement à ce que pense Le Candide, enlever ou limiter encore plus le pouvoir de création monétaire aux banques commerciales et le plus grand moyen de lutte contre l’inflation puisque ce sont elles qui créent 92 % de la monnaie totale (et que l’inflation traduit une création excessive de monnaie par rapport à une production de biens ou services).

    Pour ce qui est de développer ces idées auprès des politiciens, économistes, etc… sachez qu’on ne vous a pas attendu ! Des milliers de lettres ont été envoyé aux élus, soit ils ne répondent pas soit ils répètent les préjugés que vous pouvez retrouver dans les propos de le Candide…
    Leurs seuls arguments : l’inflation et la dette ! J’ai archi-démontré que ces arguments sont mensongers et visent seulement à détourner l’attention des citoyens ! Ces mecs au pouvoir, ces économistes qui sont toujours invités sur les médias ne sont pas indépendants, ils ont une carrière à réussir, un emploi à conserver, ils disent ce qu’on attend qu’ils disent…
    Rare sont les députés qui ont osé dire cette vérité à l’Assemblée (Yves Cochet), il n’a pas été écouté…

    Si ils ne veulent pas nous écouter, on criera plus fort !

  33. A part la théorie que que savez manier, on ne va pas loin

    Désolé les mecs, mais il faut mieux encadrer le système sans forcément le changer.
    C’est la faille de cette crise de crédit, perte de contrôle sans régulation saine (trop de spéculations)

  34. « A part la théorie que que savez manier, on ne va pas loin

    Désolé les mecs, mais il faut mieux encadrer le système sans forcément le changer.
    C’est la faille de cette crise de crédit, perte de contrôle sans régulation saine (trop de spéculations) »

    je ne cris que vous n’avez pas saisi une donnée fondamentale: ce système n’est pas conçu pour être « encadré » , il vise même à éliminer le peu de contrôle « étatique » ou « politique » qui freine sa logique.

    donc, rien de théorique, à dire qu’un système qui par définition refuse d’être « encadré » ne peut-être « encadré » car faisant cela on changerait bien de système…c’est assez clair pour vous? pas trop théorique???

  35. [b]il vise même à éliminer le peu de contrôle « étatique » ou « politique » qui freine sa logique.
    [/b]

    vous êtes de grands rêveurs, désolé les mecs

  36. les mouvances communistes ont toujours eu pour logique un contrôle étatique absolu de l’économie…et non pas l’inverse..l’argument qui ferait de nous des « grands rêveurs » est quelque peu léger…le fait est que le libéralisme se définit bien comme la limitation des champs d’action de l’Etat, limitant son influence à des fonctions régalienes telles que police, justice, défense…en fait ce système refuse tout encadrment et demande à l’Etat de ne plus faire que la police dans la Cité…

    donc, votre propos pour plus d’encadrement de ce système démontre par lui-même que vous validez un changement du-dit système..encadrer un système qui refuse d’être encadré est bel et bien synonyme de changer de système…

    effectivement, on peut rêver d’une société où l’économie sert l’Homme et non l’inverse, et où la démocratie serait autre chose que de placer un bulletin dans une boite à intervalles réguliers..je suis certain que si cette démocratie était plus « réelle », vous n’auriez pas de problème à expliquer à votre socialiste mairesse que son usage des fonds publics n’est pas si pertinent qu’elle le pense..le pouvez-vous aujourdhui? et si vous le faisiez, prendrait-elle en compte votre avis? non…

  37. euhhhhhhh le che et castro au tout début n’étaient pas communistes, mais des RÊVEURS

  38. [b]la démocratie serait autre chose que de placer un bulletin dans une boite à intervalles réguliers
    [/b]

    oui la dictature est exactement ce modèle

  39. [b]encadrer un système qui refuse d’être encadré est bel et bien synonyme de changer de système… [/b]

    faux …. le G20 va encadrer le système que les banquiers le veuillent ou pas
    déjà leurs salaires sont coupés et les bonus aussi

  40. [b]effectivement, on peut rêver d’une société où l’économie sert l’Homme et non l’inverse
    [/b]
    s’il n’y avait pas eu d’économie favorable, vous seriez beaucoup moins gâtés et moins bien nantis

  41. des rêveurs? hmmmm..Guevara médecin, Castro avocat donc deux personnes avec un cursus qui les ferait tndre plutot vers le rationalisme que l’onirisme, me semble-t-il…de même avoir opté pour le communiste, philosophie strictment matérialiste me fait encore moins les assimiler à des rêveurs..je sais que révolution semble contenir le vocable « rêve » mais c’est assez rarement le cas..Che Guevara et Fidel Castro n’ont absolument rien de rêveur ou d’idéalistes: des révolutionnaires trés pragmatiques dans les faits…c’est, me semble-t-il beaucoup plus dangereux…

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