Si il est une idéologie pernicieuse, c’est bien celle là. Sans que la plupart de nos contemporains ne le relèvent, parfois même avec leur concours involontaire, cette doxa étouffeuse de liberté se répand dans le pays comme une infection maligne, prenant à chaque instant une forme plus vicieuse, franchissant chaque jour un degré supplémentaire dans le pire.

Jusqu’ou va-t-on descendre ? Jusqu’au fond, puisque c’est bien là qu’elle veut nous emmener, et dans son sillage le pays tout entier.

La gravité du sujet est à la hauteur du « vide » des réflexions dont il trop rarement l’objet. Il faut détruire cette idéologie. Commençons par la comprendre, en s’attardant sur le pourquoi et le comment.

 

Le contexte :

     Le pouvoir n’est plus politique. L’hyper classe ultra libérale règne sans partage sur le globe. Pour accroitre encore son empire, il convient de mondialiser encore, à outrance, de briser les dernières brides contenant encore ce cheval fou qu’est le libéralisme sauvage. Un seul but : le profit. Des milliards de victimes : les peuples.

L’objectif :
      Le globalisme total, au service d’un libéralisme absolu. Pour mettre ce plan sur les rails, il faut passer par la destruction des états-nations, ces dernières barrières retardant encore l’inéluctable. C’est à cette tâche de destruction que se sont attelés nos responsables et nos dirigeants, de gauche comme de droite, tous main dans la main pour mener à terme ce projet dément.

     Comment détruire une nation ?

En détruisant son âme puis son peuple.

     Comment détruire l’âme d’une nation ?

En détruisant son Histoire, en lui arrachant chaque parcelle de gloire, en reniant ses symboles, sa grandeur, en renonçant à sa perpétuation. En délocalisant jusqu’à son pouvoir. En détruisant sa culture. Ou sont passé les artistes, les vrais ? Ou sont les orateurs, les grands compositeurs, les peintres ? On préfère parler de Diam’s et laisser les grands noms se couvrir de poussière sur leurs étagères désertées.

Si vous osez demander, ce qui est déjà suspect, qu’est ce que la France aujourd’hui, on vous répondra que la France n’est rien, ou n’est qu’une esclavagiste, une odieuse colonisatrice. La France était collabo, c’est bien connu. Pourquoi diable défendre une telle identité honteuse ? Au bûcher, cette France coupable, comme la Sainte que certains « nostalgiques » osent encore saluer !

     Comment détruire un peuple ?

En brisant ce qui l’uni. A la manière de Tillius Detritus, en semant la zizanie chez les gaulois. Il faut les monter les uns contre les autres, les pousser à haïr cette horrible Nation qu’ils idolâtraient jadis comme des primitifs !  

Encourageons l’individualisme et l’apparence plutôt que le collectif et la profondeur ! Séparons de force ces individus, atomisons ces peuples, en leur prenant leurs seuls biens.

     Il fallait aller vite, il en fallait plus. On a donc fait encore mieux.

L’immigration sauvage est l’enfant terrible de l’ultra libéralisme. Plus de frontières, et les êtres deviennent des chiffres, qui n’acquièrent de valeur que par leur rentabilité potentielle ou leurs divers degrés d’exploitation.

Du sommet de leur pyramide, les chantres du mondialisme ont vu dans cette migration infinie comme le moyen de faire d’une pierre deux coups, puisque ces gaulois hargneux s’accrochent décidément trop à leur Nation, tel un bouledogue suspendu à son unique os à ronger.

Ces messieurs ont vu dans les immigrés, en plus d’une main d’œuvre compétitive, souple et jetable à volonté, le moyen imparable de saper pour de bon les dernières velléités de résistances gauloises.

Et ces messieurs ont fait de grandes écoles. Ils connaissaient leurs gammes et surent y faire. Une main jaune, Touche pas à mon pote, évoquant furieusement l’étoile de sinistre mémoire, chargée de stigmatiser les juifs pendant la guerre.  

Nous voilà face à cette horreur ultime qu’on enseigne davantage à nos enfants que la Grande Guerre. Nous voilà face au pire. Ils n’ont jamais eu peur d’instrumentaliser les charniers d’Auschwitz à leurs fins, ceux là même qui s’indignaient des propos d’untel, qui jalonnaient de lois liberticide les recherches des historiens. Joli tour de passe-passe !

C’était le début de la grande assimilation, ce rouage inoxydable des amalgames. Vous êtes opposé à l’immigration, donc aux immigrés, donc vous êtes raciste, donc vous êtes un nazi de la pire espèce. A grand coups de subventions, le français compréhensif à vu prospérer sans même s’en rendre compte SOS racisme, Lycra, etc. On fabrique Carpentras, on monte en mayonnaise le « détail », et on entretien depuis très savamment le mythe. On n’a même pas peur d’affirmer que la phrase de Bloomberg, socialement à gauche, économiquement à droite et nationalement de France, reprise par Le Pen dans l’entre deux tours le plus anti-démocratique de l’Histoire était d’Adolf Hitler en personne… Et qui s’en indigne ?

Il fallait bien installer la suspicion chez ces gens qui ne voulaient pas se laisser faire, leur montrer à quel point ils n’étaient que des salauds, à grand renfort d’enquêtes, de « testing », de procédures. Et ces gens osent accuser les gaulois d'avoir "l'amalgame facile".

Et le gouvernement suivait. Mieux, il ouvrait grand la voie, il manifestait en tête des cortèges ! L’arsenal répressif s’est mis en place, les déclarations d’une classe politique unanime sont venues encadrer cela, devançant presque le mouvement.

Tant la locomotive s’est emballée qu’on a aujourd’hui bien du mal à en distinguer les véritables conducteurs.

L’amalgame a fait son chemin, il est maintenant suspect de se déclarer patriote, de soutenir notre hymne, d’honorer son drapeau, comme il est presque insultant de se déclarer sceptique sur le bien fondé de l’immigration. Le racisme érigé en mal suprême est applicable à tout, même aux Chtis.

Racistes ! Responsables ! Tous ces français, des racistes congénitaux, fermés sur eux-mêmes, incapables d’appréhender à sa juste valeur cet Eden mondialisé qu’on a la bonté de leur offrir !

Coupables d’adorer cette Histoire, ces colonialistes sauvages, esclavagistes délurés ! Au point ou on en est, autant ne pas tergiverser avec les doses, plus c’est gros, mieux ça passe. Réécrivons carrément les choses: on a fait massacrer les indigènes, qui ont construit notre pays. Rien que ça !

Empêcher la moindre contestation de cette politique mondialiste, voilà le but ultime de la doctrine antiraciste.

Ce poison de tous les débats est un dogme, un incontournable modèle social, le passage obligé pour faire partie du camp du Bien. Regardez donc dans la lucarne tous ces courageux bobos y aller de leurs sempiternelles condamnations, indignés de façade ! Qu’ils ravalent leurs leçons ! Tout ce beau monde qui danse en continu le bal des hypocrites devant notre nez à une lutte antifasciste de retard. Mais n’oubliez jamais qu’ils ont un pouvoir d’avance…

 

     Voyez à quel point cela fonctionne. Personne ne s’étonne que défendre l’identité et la souveraineté des autres pays de par le monde soit la dernière des modes. Le Tibet est devenu le cheval de bataille du tout Paris. Même une Ségolène au sommet de la bravitude y est allée de son quatrain sur la question.

Qui parmi ceux là pour défendre notre Eglise, notre patrimoine fantastique, notre culture, notre identité, notre souveraineté, notre Non au référendum, et nos français de souche ? Voyez-vous comme l’indignation est sélective ?

La paille du voisin est montrée du doigt alors qu’on entretien amoureusement notre poutre qui grandit chaque jour.

 

     Ce poison ne mérite pas un article, il mérite des centaines de livres, du temps, de la réflexion. Il est l’expression la plus perfide de ce gouvernement qui se prétend encore « démocrate ». Rejetez en bloc l’idéologie antiraciste, ce bras armé du mondialisme, et acclamez la liberté d’expression : votre seul véritable ennemi est celui qui veut vous faire taire. Lisez, instruisez vous, pensez par vous-même, c’est les actes le plus subversifs qui soient de nos jours.

 

     En espérant ouvrir les yeux de certains…