Fillon et la faillite de la France: Faut il dire la vérité aux Français?

François Fillon a déclaré en Corse " « Je suis à la tête d’un Etat qui est en situation de faillite sur le plan financier, je suis à la tête d’un Etat qui est depuis quinze ans en déficit chronique, je suis à la tête d’un Etat qui n’a jamais voté un budget en équilibre depuis vingt-cinq ans. Ca ne peut plus durer ».

Et les Candides de service de hurler au scandale!
De Bayrou,  qui parle "« d'aveu estomaquant » à Villepin qui s’est défendu d’avoir laissé un Etat en faillite, mais, au contraire, « dans une situation meilleure qu’aujourd’hui », en passant par Jospin qui Lionel Jospin a jugé "un peu étrange qu'un chef de gouvernement utilise de tels propos" et qu'en outre la droite aurait fait "exploser la dette" depuis 2002.,..etc

Les économistes nous donnent l'explication de texte:
La France n'est pas techniquement en faillite, comme l'a affirmé vendredi le Premier ministre François Fillon, mais elle doit moins dépenser pour arrêter de gonfler sa dette, considéraient samedi des économistes   Après plusieurs années de dépassement, la France a ramené depuis 2005 son déficit public (Etat, Sécurité sociale et collectivités locales) sous la barre de 3% du produit intérieur brut (PIB) fixée par le pacte de stabilité européen. Ce déficit représentait 2,6% du PIB fin 2006 et le gouvernement prévoit de le ramener à 2,4% fin 2007 et 2,3% fin 2008.(TV5)

Conclusion, pour le primaire, pour ne pas dire primate, que je suis:  La France est en en déficit chronique et en situation de surrendettement exponentiel depuis 25 ans, mais c'est pas grave car il y a encore des préteurs qui se pressent au guichet !!!

Imaginons un instant une entreprise qui serait en déficit depuis 25 ans et en état de surrendettement exponentiel…Vous avez raison cela ne peut être, il y a longtemps que plus aucun banquier ne la suivrait et qu'elle aurait été mis en faillite…sauf bien sur si c'était une "entreprise" du secteur public!

La différence entre l'état, les entreprises publiques et les entreprises privées, c'est que les premières se nantissent sur les résultats à venir des secondes alors que celles ci se nantissent sur leurs biens propres.

La France est donc bien en situation de faillite car s'il lui fallait rembourser l'argent qu'elle doit immédiatement, elle serait incapable de le faire sauf à nationaliser toutes les entreprises , petites et grandes, et les donner aux créanciers pour solder la dette.et, encore, pas sur que cela suffirait! on appele cela un état de "cessation de paiement" et donc de "faillite" même si elle est virtuelle.

Fillon a donc bien raison!
Sur le papier, nous sommes en situation de faillite, mais les Français ne sont pas encore entièrement habitués au parler vrai, à la Sarko, et les politiques, eux, ne savent même pas ce que cela veut dire et sont pris à contre-pied.

Rendez-vous compte s'il faut maintenant dire aux gens les choses comme elles sont…où va t'on !

12 réflexions sur « Fillon et la faillite de la France: Faut il dire la vérité aux Français? »

  1. Ah les hypocrites !
    Trois mois ! Il ne leur a fallu que trois mois pour nous faire le coup. Bien sûr, nous le sentions venir gros comme une maison depuis le début. Pas le troupeau qui s’affirme si majoritairement satisfait dans les sondages, qui avale jour après jour toutes les couleuvres. De quoi parlons-nous ? De la déclaration du Premier ministre François Fillon, en visite hier en Corse, qui s’affirme « à la tête d’un Etat qui est en situation de faillite financière » (*). Et oui, désolé les gars, les caisses sont vides. Il va falloir vous serrer la ceinture, parce que la dette, vous vous rendez compte… Sauf que. Qui a commencé son règne en distribuant 14 milliards aux privilégiés, avec l’inique paquet fiscal ? Le sénateur communiste Bernard Véra, lors des débats de la chambre haute, avait alors prévenu : « Mes chers collègues, allez expliquer que, pour réduire l’impôt sur la fortune de quelques milliers de privilégiés et restaurer la rentabilité financière des entreprises, il faudra réduire les crédits pour rénover les cités HLM de nos quartiers sensibles, fermer les écoles rurales, dissoudre les juridictions d’instance dans un certain nombre de sous-préfectures, diminuer les crédits destinés au financement des transports ferroviaires de voyageurs, remettre en cause les aides directes à l’agriculture ! Votez ce texte, mes chers collègues de la majorité, mais ne venez pas ensuite vous plaindre amèrement de la réduction de la dépense publique au détriment de tous ceux qui n’auront pas fait jouer le bouclier fiscal ou la défiscalisation des heures supplémentaires, tout simplement parce que leur salaire est trop faible pour qu’ils soient concernés par ces dispositifs ! » C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui. « Parfois, il faut utiliser des images. C’est ce que j’ai fait devant des agriculteurs qui demandaient toujours plus, toujours plus à l’Etat. Je leur ai dit que si la France était une entreprise, un ménage, elle serait en cessation de paiement », s’explique en effet Fillon sur son utilisation de l’expression de « faillite financière ». On commence par vider les caisses pour alléger le fardeau insupportable qui pèse sur ces pauvres riches, et l’on se lamente ensuite que des coupe-sombres sont indispensables dans la dépense publique, qu’il n’y a plus d’argent pour ceux qui en ont vraiment besoin. Et on leur colle par-dessus le marché des franchises médicales… Monstrueuse hypocrisie ! Décidément, en Sarkozie, mieux vaut être riche et bien portant que fauché et mal foutu.
    flnc34xoAu fait, puisque Fillon était en Corse, souvenez-vous : sur cette même île, Nicolas Sarkozy avait récemment adopté sa posture préférée de roi de la rodomontade, martelant : « l’impunitié, c’est fini, fi-ni ! » à l’adresse des « cagoulés », pratiquant son habituel populisme à deux balles. C’était le 28 août et nous nous en étions alors moqué. Et nous avions évidemment raison. Que s’est-il en effet passé depuis ? En moins d’un mois, pas moins de quatre nouveaux attentats, déjà, dont un à la roquette antichar contre une caserne ! Mais l’impunité, c’est fini, hein, qu’on se le dise… Pauvre matador de pacotille ! Combien de temps faudra-t-il pour que les Français ouvrent les yeux ?

  2. Gergovia, ton article est très bien.

    Olivier Bonnet, avec votre lutte des classes d’un autre âge, vous avez une vision complètement biaisée des choses. Un libéral vous fera remarquer que le RMI est aussi un cadeau contre lequel on ne demande rien, que la CMU aussi est un cadeau, tout comme l’AME…

    La question n’est pas d’opposer riches et pauvres, mais de savoir de quelle façon la société fonctionnera le mieux.

  3. petits cadeaux qui ne coutent pas grand chose aux colossales fortunes exilées ou non: TOUT EST BIASE !
    Grand cadeaux pour ceux qui en bénéficient !
    Ca évite d’être gêné par trop de miséreux dans les rues; nos politiques ont la conscience « habillée » mais pas nettoyée !
    Le systeme va vers une fin certaine.

  4. Cette ruse des tyrans d’abêtir leurs sujets n’a jamais été plus évidente que dans la conduite de Cyrus envers les Lydiens, après qu’il se fut emparé de leur capitale et qu’il eut pris pour captif Crésus, ce roi si riche. On lui apporta la nouvelle que les habitants de Sardes s’étaient révoltés. Il les eut bientôt réduits à l’obéissance. Mais ne voulant pas saccager une aussi belle ville ni être obligé d’y tenir une armée pour la maîtriser, il s’avisa d’un expédient admirable pour s’en assurer la possession. Il y établit des bordels, des tavernes et des jeux publics, et publia une ordonnance qui obligeait les citoyens à s’y rendre. Il se trouva si bien de cette garnison que, par la suite, il n’eut plus à tirer l’épée contre les Lydiens. Ces misérables s’amusèrent à inventer toutes sortes de jeux si bien que, de leur nom même, les Latins formèrent le mot par lequel ils désignaient ce que nous appelons passe-temps, qu’ils nommaient Ludi, par corruption de Lydi.

    texte publié en 1574 et 1576 plus complet… A lire absolument, le discours de la servitude volontaire de La boétie.

    Ce n’est pas un petit cadeau, c’est un piège pour toute la société. Le type qui est chez lui, et qui touche son RMI tous les mois, plus les prestations sociales qui lui offrent quasiment son loyer, devient une loque, au moins moralement. Et il est dépendant.

    Si plutôt que de la payer à ne rien faire, on tentait de lui trouver un mêtier digne de ce nom, on lui rendrait tout simplement sa fierté. Ce que les gouvernements ne souhaitent pas…

    C’est un cercle vicieux…

  5. Blaise , les gouvernements ne le souhaitent pas, je suis d’accord !
    Il est plus facile de leur donner un petit pécule pour avoir la paix, plutôt que de corriger les errements d’une société en déliquescence.
    En haut lieu on veut surtout éviter une armée de miséreux qui pourraient se réveiller !
    La paix de Rome est à ce prix.
    Je doute que Martin Hirsch, malgré tout son courage, puisse arriver
    à faire bouger quelquechose !

  6. Je partage à 100% l’analyse de Blais, mais même si tout est réuni pour permettre aux RMistes de retrouver travail et fierté, il y aura un énorme et patient travail de ré-insertion psychologique à faire car ce monde virtuel de fausse sécurité dans lequel ils vivent les a rendu étrangers au monde du travail et ils auront instinctivement peur de ce dernier. manque de confiance en soi, peur de l »inconnu, de la prise de décision, du contact avec les autres, de la compétitivité professionnelle…ertc.
    Des mesures d’accompagnement vont être nécessaires un peu comme pour ceux qui sortent d’une longue période de traittement aux anti-dépresseurs.
    Vautier n’a pas tort non plus (quand il nous fait grêce de la bible, c’est un gai et intéressant compagnon…). calmer le jeux garder la paix sociale à tout prix, électoralisme et clientélisme sont aussi parmi les raisons qui font que nos gouvernants maintenaientle et confortaient le système actuel en place enfermant les demandeurs dans un monde kafkaïen

  7. @ Blaise : Voilà le commentaire que j’ai laissé sur le site de Gergovia ( http://www.jeannoeldelorme.com/article-12565460-6.html#anchorComment ) : notamment, dans le sens où il faudrait réformer
    Je pense qu’il faudrait remettre la France debout…

    Tout d’abord, une question se pose : ne devrait-il pas être possible de réformer drastiquement le RMI en relevant les minima sociaux, ce, de manière à les ramener à un montant de 1400 € nets ?

    Pour cela, il faudrait prévoir que chaque allocataire de ce RMI « réformé » paie ses cotisations sociales, et, cotise pour la retraite, tout comme l’allocataire des ASSEDIC (ce qui ferait que son allocation serait égale à 1400 € nets après paiement desdites charges sociales et desdites cotisations au titre de la retraite !)…
    Mais, il pourrait être possible de continuer à leur faire bénéficier de la CMU, celle-ci devant être considérée comme une mutuelle.

    Cependant, je suis tout à fait partisan de la proposition de Philippe Séguin, Président de la Cour des Comptes (je crois) lorsqu’il a proposé, la semaine dernière, de faire payer des charges sociales aux stock option : ce qui donnerait un coup de pouse de 8 Milliars d’€ à la Sécurité sociale ! Il faudrait que le Gouvernement mette en place cette proposition, de préférance à la mise en place de la franchise « santé » (à laquelle, je suis fermement opposé !)…

    Le paquet fiscal devrait être porté à 15 ou 20 % nets du revenu annuel de chaque personne…, ce, pour tout le monde…, en prévoyant deux types d’impôts :

    – l’impôt sur le revenu des personnes salariées (ou l’impôt sur le chiffre d’affaire pour les chefs d’entreprise),

    – la T.V.A. dont le taux serait réduit à 5,5 % pour tous produits et services.

    Cependant, pour cela,
    1°). Pourquoi ne pas retenir l’impôt directement à la source chaque mois ?
    2°). Pourquoi ne pas prévoir de créer une caisse de péréquation chargée de répartir, chaque mois, le produit de l’impôt, de la TVA, des amendes équitablement entre l’Etat, les Régions, les Départements, les Communes (ainsi que les Communautés de communes) ?
    3°). Pourquoi ne pas taxer les entreprises bénéficiaires lorsque celles-ci concoctent des plans sociaux, des délocalisations ou des licenciements boursiers… ?

    Mais, pour permettre la mise en place d’une telle réforme, ne conviendrait-il pas de supprimer tout simplement les impôts et taxes inutiles comme la CSG et la RDS (impôts qui ne disent pas leur nom), la TIPP (sachant qu’on paie déjà une TVA sur tout achat de carburant), les droits de succession pour tout hériter quelqu’il soit (sachant que toute personne, qui veut léguer ses biens, paie déjà l’impôt sur ceux-ci), les taxes foncières, les impôts locaux, la taxe sur l’audiovisuel public, les droits de mutation… ?

    Puis, pour que chacun puisse consommer selon ses moyens et ses envies, ne conviendrait-il pas :

    – d’augmenter les salaires ?

    – de bloquer durablement les prix à la consommtion ?

    De plus, je pense qu’il faudrait instaurer un contrôle des prix sur les produits alimentaires, sur l’Immobilier…, produits, bien entendu indispensables à la vie de chaque individu !

    Dans les super-marchés, il faudrait aussi interdire définitivement les marges arrières : alors, pourquoi ne pas prévoir, pour chaque producteur, la possibilité de commercialiser lui-même ses produits sans passer par des intermédiaires (ce qui lui permettrait de recruter des commerciaux, qu’il rétribuerait lui-même en fonction de leur travail et de ses bénéfices) !

    [HORS COMMENTAIRE : je vais très certainement préparer un papier dans ce sens]

  8. Mais Dominique, comment un Etat se réclamant du socialisme peut-il faire partie d’un autre Etat se réclamant du libéralisme sans se casser la figure? D’un coté on exige des minimas sociaux, et de l’autre on vous impose de la marchandise déjà bien moins chère, mais sur laquelle en plus ne sont compté aucune charge sociale.

    C’est toute la société qu’il faudrait revoir. Nous avons tous la conscience tranquille dans nos appartements chauffés en hiver, et les clochards reçoivent le RMI, mais pas le contact humain qui va normalement avec un don. et que font-ils avec? Ils s’achètent de l’alcool. Oui, autrefois on leur donnait à manger, mais maintenant on leur donne du pognon…

    Mais c’est bien… Nous n’avons pas de questions à nous poser en attendant, la charité publique, c’est l’Etat.

  9. GRACE PARFAITE
    @GERGOVIA:grâce de la bible : Le but de ma petite présence sur ce site, c’est justement que le passant sur ce site puisse s’interroger
    sur son devenir car « Dieu a mis dans le coeur de l’homme la pensée de l’éternité ».Livre de l’Ecclésiaste Ch 3 V 11
    OUI GRACE A LA BIBLE ET GRACE PAR LA BIBLE !!!!!!!!!!!!
    POUR VOUS AUSSI !
    LE PLUS GRAND LIVRE DE TOUS LES TEMPS
    « LES CIEUX ET LA TERRE PASSERONT , MAIS MES PAROLES NE PASSERONT POINT »
    Et moi je ne suis pas témoin de Jehovah, car je ne suis pas esclave de la Watch Tower Society !
    Je ne suis qu’un petit serviteur de Jésus-Christ, en qui j’ai trouvé GRACE PARFAITE .

  10. @ Blaise
    Blaise, l’introduction de la dégrissivité des allocations chômage (versées par les ASSEDIC) a été faite par la Gauche lorsqu’elle était au pouvoir : ce fut une erreur monumentale.
    Si vous vous souvenez, lorsqu’ils étaient licenciés économiques, les allocataires des ASSEDIC recevaient 90 % de leur salaire pendant un certain temps, puis, par la suite, recevaient 70 % de leur salaire, ce, jusqu’à ce qu’ils aient retrouvé du travail… Cette mesure existait sous la présidence de Valéry Giscard-d’Estaing, puis au début du septennat de François Mitterrand…
    Ce qu’il faut savoir c’est que tout allocataire des ASSEDIC côtise à la caisse de retraite, et, paie des charges sociales… dont une part est due par les ASSEDIC !

    Mais, qu’en est-il de l’allocataire du RMI ? Il ne côtise pas du tout pour sa retraite et ne paie pas de charges sociales. De plus, il bénéficie de la CMU qui lui permet la gratuité de tous ses soins médicaux… Le trou de la Sécurité sociale vient de là également ; celui des caisses de retraite et des caisses de l’UNEDIC également !

    Alors, je pense qu’il faut rendre leur dignité aux allocataires du RMI,
    1°) – sachant que la plupart d’entre eux n’achètent pas d’alcool ou ne se retrouvent pas sur le pavé à l’état de clochard,
    2°) – sachant qu’on ne peut pas laisser une personne sans argent, au prétexte qu’elle s’achèterait de l’alcool de préférence à de la nourriture !

    Pour cela, il faut réformer le RMI comme je l’ai écrit dans mon commentaire…

  11. Oui, certes, je suis bien d’accord sur les rmistes, ils sont loin d’être tous des clochards. Oui, qu’ils me pardonnent ceux qui reçoivent le RMI et qui passeraient par ici, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire. Et je suis d’accord sur le fait qu’il n’est pas facile d’en sortir.

    C’est que j’ai rencontré un clochard ce w-e, il buvait sur le trottoir, et j’ai un peu parlé avec lui, puis ce matin, j’ai lu un article dans 20 minutes (je vous le conseille) sur l’alcoolisme et les clochards.

    Cela me fait peine, de voir ces personnes dans la rue, je ne trouve pas cela normal. Il faudrait aider en effet les RMIstes à se « resocialiser », et les clochards, pour ceux qui le veulent, aussi.

  12. @ Blaise
    Qui plus est, je suis tout à fait d’accord avec vous, lorsque vous écrivez : « C’est toute la société qu’il faudrait revoir. »…

    Oui, au regroupement ANPE/UNEDIC, mais, à condition que les conditions de recherche d’emploi soient améliorées…

    Pourquoi, dans chaque Mairie, n’y aurait-il pas des Missions locales pour l’Emploi (comme il en existe à PUTEAUX, à NEUILLY-PLAISANCE, à RUEIL MALMAISON…) ? Composées de personnes venues d’horizons divers (et habituées à des actions sur le terrain), elles ont démontré leur efficacité.

    Pourquoi ne pas proposer, à tout allocataire du RMI, des activités (rémunérée) dans des travaux utiles à la collectivité ?
    [Un ancien cadre pourrait donner son expérience aux missions locales pour l’emploi en aidant, à son tour, un chômeur à trouver du travial ; à contrario, un ancien ouvrier, un ancien agent technique, pourrait remplir ce même rôle en servant de « tuteur » à des demandeurs d’emploi !…].

    Puis, il faudrait réellement rendre l’emploi attractif en augmentant les salaires…

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