Cet article n'est pas une défense des théories créationnistes, mais une explication du Darwinisme, de son apparition, de sa propagation, de sa fonction occulte et politique (Cheval de Troie), des relations secrètes, de l'imbrication intime « sciences »et « politique » dans les pays Anglo-saxons : la science (Académie royale des Sciences d'Angleterre) comme bras armé du politique (l'Empire colonial Anglais). L'Anglais est une langue impérialiste, car elle se veut universelle.

Cet article fait suite au premier paru sous le titre : "Un imposteur nommé Darwin"

Comment le Darwinisme fut à la base du Marxisme et du Nazisme


Le Brésil est l'une des populations au monde les plus mélangées sur le plan racial, incluant des Européens, des Africains et des Amérindiens. Mais une étude de gênes a maintenant découvert que l'apparence physique – la couleur de la peau et les caractéristiques faciales – n'est pas un indicateur fiable pour déterminer le lieu d'origine des ancêtres.

 

Les chercheurs ont comparé des Brésiliens classés comme étant «blancs», «noirs» ou «métis» et découvert que leur ADN se recoupait énormément. Par exemple, pour les «blancs», en moyenne, 33% de leurs gênes provenaient d'ancêtres amérindiens et 28% d'ancêtres africains.

 

Les chercheurs disent que ceci confirme maintenant l'opinion répandue parmi les anthropologues et les généticiens que depuis un point de vue biologique, les races humaines n'existent pas.

 

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L'impact de l'évolutionnisme sur le racisme


Darwin considérait les aborigènes australiens comme des primitifs qui n'avaient pas évolué beaucoup depuis les «singes anthropoïdes». Il anticipait que les races plus sauvages s'éteindraient parce que la survie du plus fort signifiait qu'ils seraient supplantés par les races civilisées plus avancées sur le plan de l'évolution (cf. Charles Darwin, The Descent of Man and Selection in Relation to Sex P.188 en 1887). (…)

 

Une telle perception ne fut pas bénéfique pour les premiers australiens. Beaucoup d'atrocités furent commises envers les communautés aborigènes à cause de ces croyances évolutionnistes.


 

Incroyablement, dans les années 1800, il n'était pas rare que les aborigènes soient chassés et tués pour servir de spécimen à la science. Leurs restes étaient envoyés en Europe pour illustrer l'évolution dans les expositions des musées. C'est seulement maintenant que ces restes ont été retournés à leurs communautés.

 

Les aborigènes d'Australie ont pu être, par exemple une humanité ancienne très évoluée ayant perdu peu à peu de ses connaissances technologiques – cela peut se produire dans une génération si les parents ne transmettent pas à leurs enfants ce qu'ils savent. Peut-être cela s'est-il passé à cause du climat qui empirait alors que le continent se desséchait après la période de glaciation… etc

 

Peut être la science ne nous dévoile t-elle pas non plus toutes ses découvertes afin ne pas contredire des postulats théoriques vieux de deux cents ans et qui permettent de faire de gros bénéfices encore aujourd'hui :

« La fausse neutralité de la science en fait une arme dans les mains du plus fort. »

 

L'idée que l'homme est sorti de la guange, qu'il émergea seul du règne animal pour devenir l'espèce la plus évoluée que l'on sait, servie de modèle à l'impérialisme occidental outrageusement irrespectueux des autres formes de la civilisation qui l'avaient précédées auparavant sur la planète, et pas seulement de domination du règne animal. Elle est encore comme un permis de détruire offert à notre conscience et un incroyable orgueil.


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L'héritage ensanglanté de l'évolutionnisme


Si vous cherchez à comprendre des théories politiques en apparence inconciliables, comme le Marxisme et le Nazisme, ennemis au cours de la première moitié du XX s, lesquelles ont justifié les actions horribles de destruction de plusieurs millions d'individus humains sur le sol européen, vous découvrirez un dénominateur commun.

 

Marx et Hitler étaient tous deux de fervents admirateurs du Darwinisme dont ils se sont inspirés : la vie est une lutte entre les individus ou les groupes d'appartenance (lobbys) pour la nourriture et la reproduction (les femelles, la dissémination des gênes dans la nature, instinct d'expansion). La force (loi du plus fort) est le moyen de cette lutte, le territoire son champ de manifestation.

 

Le Marxisme a cherché à être scientifique. Il était ancré dans une théorie sociale et économique qu'on croyait être la vraie histoire de la vie. Au centre de cette théorie était la lutte des classes ; entre la classe bourgeoise qui possédait les moyens de production ou outils de travail dans la société (la bourgeoisie capitaliste, défense du droit de propriété) et la classe ouvrière qui ne les possédait pas (le prolétariat, la force de travail).

 

Le mal, dans la pensée socialiste, est l'oppression de la classe ouvrière par la bourgeoisie.

Éclairés par Marx à propos de la «vraie histoire de la vie», les hommes et les femmes peuvent maintenant prendre le contrôle de cette histoire. Ils peuvent accélérer la «nature» alors que celle-ci court vers son but d'une révolution mondiale qui bannirait un tel «mal» et produirait une utopie socialiste.

 

Hitler partageait une vision du monde semblable, comme il est décrit dans son livre Mein Kampf (littéralement: «ma lutte»). Il croyait que les gens, comme les animaux et les plantes, étaient engagés dans une lutte constante pour la survie. L'apogée de l'histoire serait la survie de la race la plus apte – il croyait que c'était la race Aryenne, représentée par le peuple Allemand.

 

Hitler et Staline ont appliqué tous deux leur logique «scientifique» avec une détermination irrésistible empreinte de rudesse. Mao a fait la même chose en Chine, où des millions et des millions ont aussi péri au nom du rêve utopique Marxiste. Ils ne se sont pas que convaincus eux-mêmes d'avoir le droit d'agir ainsi, mais ils ont aussi convaincu des millions d'autres personnes.

 

Où donc ces idées avaient-elles pris naissance ? Quelle était la base «scientifique» pour un tel mal ?


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Marxisme et Nazisme sont des déclinaisons sociales du Darwinisme


La compréhension de l'histoire de la vie par Hitler, Marx, Staline et Mao n'avait pas été imaginée par un Allemand, un Russe ou un Chinois. C'est un Anglais du nom de Charles Darwin qui l'avait façonné.

 

Les bases de ces visions du monde se trouvent dans le livre de Darwin «Sur l'origine des espèces par le moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie (1859). Ils ont chacun appliqué le principe de la survie du plus fort à leur propre situation.

 

Pour Marx et Staline, c'était une lutte de classe ; pour Hitler c'était une lutte de race.

 

En fait, de telles tactiques pouvaient se justifier seulement par le Darwinisme. C'est le plus fort qui a raison.

 

À mesure que la pensée évolutionniste de Darwin devenait largement acceptée et absorbée par la société, cette pensée a non seulement convaincu des leaders comme Marx et Hitler, mais elle se posa comme un cadre de référence «scientifique» justifiant l'acceptation du public de leurs actions pour le «bienfait» de toute l'humanité.

 

 

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Ils avaient tort


Hitler avait tort, Staline avait tort. Ceaucescu avait tort…etc… La théorie de Darwin, sur laquelle ces tyrans ont basé leurs actions, avait tort aussi. Son effet radical sur les vies de tous ceux qui en ont fait les frais est dans les livres d'histoire de nos enfants aujourd'hui.

Le Darwinisme en tant que tel, n'est pas juste une théorie intéressante, mais une pratique terrifiante.

 

La vraie nature du monde et celle de la vie n'a pas encore été comprise des hommes qui se servent de théories pour assassiner ce qui ne leur ressemble pas ou détruire ce qu'ils ont reçu en héritage de leurs prédécesseurs.

 

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Non pas du chaos


L'idée que nous provenons du chaos, montant par la «survie du mieux adapté» pour atteindre une utopie qu'on a concoctée soi-même, a permis de justifier les énormes investissements dans la science comme force de frappe.

 

La science, productrice en Occident d'un monde technologique gourmand en énergies fossiles, devient le prétexte à des investissements militaires pour des guerres de l'énergie (Pétrole, gaz, uranium…) sur toute la planète.

 

Dans le même ordre idée, on peut être sûr que le 11 septembre 2001 servira longtemps de référence à tous ceux qui, pour obtenir de tels investissements dans l'armement permettant de perpétuer la conquête de territoires encore de nos jours et de façon illégale (ex : guerre d'Irak, aucune arme de destruction massive trouvée par les USA), voudront agiter la menace terroriste sur notre monde.

 

La théorisation a déjà eu lieu sous forme du concept foireux de « Choc des civilisations » qui justifie et planifie de nouveaux engagements guerriers à l'étranger, autant que les nouvelles mesures liberticides dans nos sociétés modernes occidentales, mesures incompatibles avec la survie de la démocratie comme régime politique.

 

Marx, Staline, Mao, Hitler, Ceaucescu n'avaient pas seulement tort au sujet du passé, c'est évident par la mort et la destruction qu'ont apportées leurs idées, ils avaient tort aussi concernant le futur.


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L'évolutionnisme et le mal social


L'évolutionnisme produit-il directement des comportements immoraux, des holocaustes, etc. ? La pensée évolutionniste considère la vie morale comme un reflet de l'évolution des genres et espèces. Un moyen comme un autre sélectionné par la nature pour les besoins de l'évolution et de la vie en société.

 

Dans cet ordre « naturel », les idées morales sont aux mêmes niveaux que les intellectuelles par exemple. Les formes que prend en chacun de nous la conscience morale (les sentiments supérieurs) ne valent guère plus que celles de la conscience intellectuelle, puisque l'évolutionnisme est basé sur l'idée de sélection pour la survie.

 

On comprend les effets dévastateurs sur l'ordre social quand on met au même niveau le crime pour le profit et la compassion. La loi du plus fort permettant la survie aux dépens des autres, il ne peut y avoir de solidarité qu'affectée, que circonstanciée, dans l'intérêt bien compris de chacun à un moment donné. La vie morale n'est nullement constitutive de l'Homme. C'est seulement un aspect de la lutte pour la vie dans la nature. L'homme en est doté, et alors ?

 

Dans une vision du monde évolutionniste qui se tient, il ne peut y avoir d'ordonnances inchangeables – il existe seulement ce qui est opportun pour la société ou l'individu. Et il n'y a aucune distinction de genre entre les hommes et les animaux, ni finalement entre les gens et la verdure, ni même les roches. Par conséquent, on rapporte que Staline avait proclamé que tuer un million de personnes n'était pas différent de tondre le gazon. Ça donne froid dans le dos, mais c'est consistant avec la vision matérialiste (la matière est tout ce qui existe, nous sommes seulement des arrangements évolués d'atome) et aujourd'hui monétariste : le plan d'exploitation comptable, le compte « perte et profit », le code-barre prévu depuis le début pour les humains.

 

A notre époque, le XXI s, le trafic d'armes bat son plein, les mafias sont internationales et les sommes d'argent qu'elles possèdent sont invraisemblables, le trafic d'esclaves sexuels, celui des enfants et des organes (prélevés sur des prisonniers ou des pauvres), des matières dangereuses, n'a jamais été aussi florissant, la pollution est exponentielle, l'individualisme forcené et les luttes tribales multipliées, alors que l'Humanité n'a jamais été aussi développée, cultivée, prédominante et le droit protecteur…

 

Les origines cachées de la Comptabilité :

« Car la Comptabilité est aussi l'art de peser le pour et le contre, comme la Philosophie ; et la raison progresse à Gênes autour de la figure du banquier qui prend des risques, qui spécule sur l'avenir et qui doit donc tenter de le prévoir. »

(J. ATTALI, « Une brève histoire de l'avenir »)

Aujourd'hui, l'ultra libéralisme est une déclinaison de plus de cette théorie de l'évolution : le monde est une marchandise, l'humain est une ressource (une variable d'entreprise) comme les autres (N. Sarkozy « L'homme n'est pas une marchandise (Sic !) comme les autres »).


Dans un monde-marchandise,

l'Humanité, comme la Nature,

n'est pas considérée comme un tout,

mais un corps qui peut être découpé, démembré, vendu,

source de profits colossaux. 

Tout ceci ne nie pas la possibilité d'un comportement moral par des évolutionnistes. L'absence de moralité est logiquement consistante avec l'évolution, une vision du monde évolutionniste accorde bien plus de terrain fertile à la manifestation de la nature déchue dans tous ses aspects.

 

Par conséquent, Stephen Gould, le défunt fameux évolutionniste, a pu écrire que le racisme, par exemple, s'est amplifié par «des ordres de magnitude» en se justifiant par l'oeuvre de Darwin. Les antiracistes Darwinistes (incluant Gould) hurlent d'indignation que cela était une mauvaise utilisation du Darwinisme. Mais c'était logiquement consistant avec les prémisses de Darwin.

 

Gould, en dépit de son matérialisme évolutionniste, avait condamné les actions d'Hitler comme étant immorales ( il les a senties encore plus profondément peut-être, étant lui-même juif ), mais son matérialisme ne pouvait lui procurer une base rationnelle pour agir ainsi.

 

Hitler aurait pu répliquer : «Par quel standard ? Je fais ce qui est le meilleur pour la lutte évolutionniste entre ma race et la vôtre, cela est consistant avec la croyance en l'évolution.»

 

Goering a dit aux procès de Nuremberg que les Nazis n'ont rien fait de mal selon leurs propres lois et qu'ils étaient en procès seulement parce qu'ils avaient perdu. Rebutant cette affirmation, le juge Jackson invoqua une «loi universelle». Mais cela a un sens seulement s'il y a un Créateur qui donne des lois !

 

Par conséquent, si on a un groupe assez important qui partage une vision du monde Darwiniste, on verra en général plus de comportements immoraux, même plus d'atrocités. Le 20e siècle de Staline, Hitler, Mao et Pol Pot le confirme.

 

Aujourd'hui on nous présente les guerres de religion comme profondément dévastatrices.

Comment le furent-elles ? Les moyens d'abattre d'un coup, avec une arme nucléaire ou en disséminant dans la nature un virus, des millions d'hommes, de femmes et d'enfants, n'existaient pas au temps des Croisades par exemple.

 

Par contre bien plus de gens ont été tués ( la plupart par leurs propres gouvernements ) au nom de toutes les idéologies inspirées de l'évolution.

Depuis 10 000 l'homme a surtout perfectionné son art de la guerre.

Les grands physiciens de la première moitié du XX s ont apporté leur contribution à la réalisation de la bombe nucléaire (aujourd'hui de 4 eme génération) US et Soviétique.

 

L'apport essentiel de la science depuis son apparition est le moyen de faciliter le crime de masse.

N'oublions pas que les camps de la mort ne sont pas une invention exotique importée d'Asie ou d'Afrique, mais bien une création des sociétés les plus civilisées du globe : « Gratter la civilisation ou l'homme civilisé, vous trouverez l'homme sauvage et ses instincts premiers »


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L'impact de l'évolutionnisme sur le capitalisme


En dépit du déclin du communisme, la philosophie basique de l'évolutionnisme ( c'est l'opinion de l'homme qui est l'autorité ultime ) demeure au contrôle sans être menacée. On ne tire plus sur les gens qui tentent de sauter le mur de Berlin maintenant, mais des millions de personnes sont déchirés dans le ventre de leur mère parmi les nations «démocratiques» (AVORTEMENT ou lois sur le CLONAGE du vivant ex: G-B).

 

  • Des parties de foetus avortés auraient été introduits dans la conception de la farine animale avant l'apparition de la vache folle : ceci dans un but de nous habituer au cannibalisme inconsciemment. Il est important que la science fasse l'objet de contrôles citoyens.
  • La législation anglaise est une des plus (ultra)libérale pour les expériences sur les animaux. La première brebis clonée, Dolly, est née au Royaume Unis (Ecosse en l'occurence). Partout dans le monde le clonage est pratiqué. Mais pas seulement. Des animaux dits cybrides sont nés pour permettre de créer des créatures intermédiaires entre l'animal et l'homme. Des êtres vivants nés de la transplantation d'un noyau de cellule humain qui a été transféré à une cellule animale : l'ADN humain gouvernant le développement de cette cellule. Il existe peut être déjà des 'semi-humains', voir des clones humains, en culture, destiné à fournir des organes en réparation au vieillissement ou accidents des humains. Dans tous les cas, la course au clonage thérapeutique est lancée entre les équipes de chercheurs. Quel statut juridique aurons ces êtres vivants ?
  • La fondation Brigitte Bardot était la première, en France, à alerter efficacement l'opinion sur les conditions des expérimentations animales en laboratoire. La souffrance animale est immense. Dans un monde où l'animal est réduit au rang d'objet, l'humain devrait se méfier de ne pas y être lui-même un jour enfermé.

De nos jours, l'idéologie du libre marché à l'extrême, directement relié à l'idéologie darwinienne de «la raison du plus fort», est sur sa montée.

Même le spéculateur milliardaire George Soros a fait une mise en garde contre le capitalisme sans entrave de «la survie du plus adapté».

Il a dit: «Ce qui avait l'habitude d'être un moyen d'échange a usurpé la place de valeurs fondamentales. Avoir du succès n'est pas identique à avoir raison.» – G. Soros, dans News Weekly, p. 24, 8 février 1997.

Le commentaire de Soros a du sens seulement sur la base de l'existence de choses telles que les valeurs immuables et les droits inaliénables. Mais ces choses ne peuvent même pas exister dans une théorie de l'évolution.

Par conséquent, le problème de l'évolutionnisme ne concerne pas seulement les origines ; c'est la clef par laquelle la source d'autorité sera perçue comme fondamentale dans les affaires humaines demain : soit l'opinion humaine, soit la loi démocratique.


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Une lignée de terreur inspirée par l'évolutionnisme


Karl Marx – 1860

Le «père spirituel» du système communiste. Marx était un adhérent avide de Darwin. Il a combiné sa pensée sociale et économique avec les principes évolutionnistes. Marx a écrit que le livre de Darwin «contient la base dans l'histoire naturelle pour supporter notre vision. Son disciple Lénine a appliqué la terreur avec une rudesse extrême en Russie – le terme «les rivières de sang» est communément évoqué pour décrire son règne.


Leon Trotsky – 1918

Engagé fanatiquement aux causes Darwiniste et Marxiste. le leader communiste Trotsky a agi avec brutalité envers l'église chrétienne. Il a dit que les idées de Darwin l'ont «intoxiqué» et «Darwin était pour moi comme un puissant portier à l'entrée du temple de l'univers.» Sans lois du Créateur pour le restreindre et avec la justification de l'évolutionnisme, il s'est senti libre d'utiliser tous les moyens disponibles pour obtenir le pouvoir et parvenir à ses fins politiques.


Joseph Staline – 1930

Le pire meurtrier de masse de l'histoire a étudié dans un collège théologique à Tbilissi en Géorgie. Un de ses amis a dit plus tard que Staline est devenu un athée après avoir lu Darwin. Il a été expulsé du collège à l'âge de 19 ans à cause de ses contacts révolutionnaires. Après avoir compris que l'évolutionnisme ne procurait aucune base pour la conscience ni la morale, il s'est senti libre de torturer et de tuer autant qu'il le jugeait bon pour accomplir ses objectifs communistes.


Adolf Hitler – 1940

Il a formé ses politiques raciales et sociales d'après les idées évolutionnistes de la survie du mieux adapté et de la supériorité de certaines «races favorisées» (comme le mentionnait le sous-titre du livre de Darwin). Le règne d'Hitler a conduit au meurtre de 6 millions de Juifs ainsi que plusieurs noirs, gitans, retardés mentaux et d'autres groupes jugés inaptes à la vie. La «science» évolutionniste de l'eugénisme lui a procuré la justification de ses décrets.

 

Pol Pot – 1975

La mort du cambodgien Paul Pot en 1978 a marqué la fin de l'un des pires meurtriers de masse de l'histoire. À partir de 1975, il a mené les Khmers Rouges au génocide contre son propre peuple dans un régime assoiffé de sang qui était inspiré du communisme de Staline et du fameux Chinois Mao Zedong. Mao était reconnu pour tenir Darwin et Huxley parmi ses auteurs favoris.

 

De quand datent les premiers camps de concentration ?

  • Les premiers camps ont été crées par les Anglais lors de la Guerre des Boers en 1900-1902, en Afrique du Sud. Les Boers étaient des colons d'origine néerlandaise que les Britanniques voulaient chasser. Pour se débarrasser de la résistance de ces Boers, le général anglais Kitchener utilisa une invention récente, le fil de fer barbelé, pour créer des camps où il enfermait, sans jugement, les Boers. 200.000 seront ainsi internés. On estime qu'il y eut 30.000 morts dans ces camps.
  • Il y eu des camps de concentration en Allemagne au cours de la première guerre mondiale. 
  • L'U.R.S.S. de Staline a, dans les années 1930,  multiplié les camps de concentration sous la direction d'un organisme central : le Goulag.
  • Il y eut des camps de concentration en France, en particulier lorsque, à la fin de la guerre d'Espagne (1939), des républicains espagnols se réfugièrent en France ; c'est le cas du camp de Gurs, par exemple, créé en mars-avril 1939.
  • Les premiers camps nazis furent créés dès 1933, l'année de l'arrivée de Hitler au pouvoir, pour enfermer les Allemands opposés à Hitler : communistes, sociaux-démocrates, syndicalistes… Les premiers furent Dachau et Oranienburg.