« Closed zone », réalisé par Yoni Goodman, a été commandé par une ONG, Gisha, avant le début de l’opération « Plomb durci ». Mis en place depuis la prise du pouvoir, en juin 2007, du Hamas dans la bande Gaza, le blocus a été renforcé à la fin de l’offensive militaire : la circulation des marchandises a été réduite au strict minium et la circulation des personnes a été complètement bloquée.
« Ce film n’a pas créé un énorme débat ici, à part sur Internet. Mais le réalisateur a, bien sûr, été la cible d’attaques habituelles : on l’a accusé d’être anti-israélien et d’avoir une vision simpliste de la situation à Gaza, en omettant la responsabilité du Hamas dans ce blocus.
Ce petit clip a en tout cas le mérite de faire reparler de Gaza, où la situation humanitaire n’est pas près de s’améliorer. La médiation égyptienne entre Israël et le Hamas est dans l’impasse car le mouvement islamiste demande la libération de nombreux criminels en échange de celle de Gilad Shalit. Israël impose donc un blocus quasi-total sur la circulation des produits et des personnes. C’est une mesure punitive, et le gouvernement ne s’en cache pas… » Rapporte Lisa Goldman, journaliste et blogueuse à Tel-Aviv, sur le site France 24 « Les Observateurs »
« Closed zone », réalisé par Yoni Goodman, a été commandé par une ONG, Gisha, avant le début de l’opération « Plomb durci ». Mis en place depuis la prise du pouvoir, en juin 2007, du Hamas dans la bande Gaza, le blocus a été renforcé à la fin de l’offensive militaire : la circulation des marchandises a été réduite au strict minium et la circulation des personnes a été complètement bloquée.
« Ce film n’a pas créé un énorme débat ici, à part sur Internet. Mais le réalisateur a, bien sûr, été la cible d’attaques habituelles : on l’a accusé d’être anti-israélien et d’avoir une vision simpliste de la situation à Gaza, en omettant la responsabilité du Hamas dans ce blocus.
Ce petit clip a en tout cas le mérite de faire reparler de Gaza, où la situation humanitaire n’est pas près de s’améliorer. La médiation égyptienne entre Israël et le Hamas est dans l’impasse car le mouvement islamiste demande la libération de nombreux criminels en échange de celle de Gilad Shalit. Israël impose donc un blocus quasi-total sur la circulation des produits et des personnes. C’est une mesure punitive, et le gouvernement ne s’en cache pas… » Rapporte Lisa Goldman, journaliste et blogueuse à Tel-Aviv, sur le site France 24 « Les Observateurs »
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