La solution adaptée aux personnes malentendantes se trouve avec les appareils auditifs invisibles

Les troubles et les problèmes auditifs éprouvent les personnes âgées et les malentendants. De ce fait, les progrès de l’audiologie ont permis de créer un nouvel appareil d’audition le plus discret possible, qui représente une aide fondamentale. Ce nouveau produit révolutionnaire, soulagerait certaines craintes et inquiétudes du quotidien.

L’objectif est d’accompagner les besoins des malentendants en proposant des appareils auditifs invisibles. Il est donc préférable de soumettre une variété d’appareils qui ne se voient pas, offrant surtout une qualité sonore. 

En effet, Earpros vous accompagne dans votre démarche. Le site propose aux consommateurs : des appareils qualifiés, des audioprothésistes expérimentés, ainsi que des conseils gratuits et personnalisés. De plus, un essai gratuit est suggéré pendant 30 jours, pour accompagner et répondre aux attentes des clients. Le site permet de réduire les interrogations et les diverses inquiétudes.  

Découvrez sur le site d’Earpros un large éventail d’appareils auditifs invisibles. Chacun d’eux détient des propriétés multiples, ils ont tendance à se différencier par leurs coûts notamment. Vous pourrez apercevoir sur le site également, quel appareil est adapté à votre profil, ainsi qu’une estimation des prix des appareils auditifs invisibles.

Il existe neuf modèles qui détiennent des spécificités invisibles. 

On retrouve, Silk X issu de la technologie Signia Xperience. Il offre un confort adapté, car le malentendant peut mieux percevoir ce qui l’entoure. Également, il peut être facilement réglable à distance. Phonak Lyric quant à lui est fabriqué à l’aide de matériaux naturels. Il est facile à utiliser à tout moment de la journée. Il ne nécessite pas constamment un changement de piles. Ou encore Linx Quattro CIC, un appareil haut de gamme qui propose une expérience auditive complète. L’esthétique de l’appareil est originale, assez minime, il est constitué de plusieurs caractéristiques intéressantes. Le confort, la compréhension, et la bonne capacité de rechargement sont à la clef. 

Earpros présente une multitude d’appareils, différents les uns que les autres sur le site. Ce dernier donne à voir une succession de systèmes d’auditions adaptés pour les personnes qui souhaitent porter un appareil peu visible, tout en facilitant la clairvoyance. Ces nouveaux moyens permettent de réduire les difficultés de communication entre les malentendants et autrui. Earpros soutient progressivement les consommateurs dans leurs démarches et c’est aujourd’hui un enjeu primordial. Il faut retenir que ces mécanismes sont très avantageux pour les utilisateurs sur plusieurs points : la taille, la qualité sonore, la réduction de l’effet d’occlusion et des interférences.

Ukraine, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, implications et compromissions !

Emmanuel Macron, à propos de la crise ukrainienne, joue à cache-tampon entre Joe Biden et Vladimir Poutine ! Magistrale poudre aux yeux juste destinée à ce que vous votiez prochainement pour lui en avril ou l’un de ses complices. 5 ans de règne sans dialogues, sans partages, – sauf avec ses amis et relations – et sans compassions. Vous croyez que l’on exagère ? Lisez ce texte documenté issu du chapitre 8 de notre livre « Le virus et le président » IS édition, et faites vous votre propre opinion. 

« Nous sommes en guerre ». En écoutant Emmanuel Macron prononcer ces mots à six reprises avec un ton martial lors de son allocution du 16 mars 2020, nous étions inquiets. Car en effet, un énarque-bancarisé en costard-cravate qui parlotte sur la guerre, ça fout le trouille. 

Ça fout la trouille pour la simple raison qu’un tel chef des armées, constitutionnellement parlant, élevé au biberon de l’ENA et poudré-finance « pour plaire un peu comme une prostituée » – c’est lui qui l’a dit (1) – dans les
allées de la Rothschild ne peut que nous la faire perdre. 

Surtout celle contre la « pandémie » du SRAS-CoV-2. Du reste, celle-ci était déjà perdue d’avance pour cause de bousillage du budget de la Santé depuis des décennies. Donc, pas de gros soucis. Il restait juste à compter les morts, dont la plupart auraient pu ne pas mourir sur ce champ de bataille du déshonneur.

Nous avons pensé qu’il allait vous parler enfin du bilan de la guerre contre l’Afghanistan de 2001 à 2014 avec l’OTAN. Pas vous ? Non, c’est vrai, vous êtes complètement désinformés sur le sujet et vous vous contentez de payer les aventures militaires de l’Élysée contre les peuples. 

L’Afghanistan, c’est loin, et officiellement terminé depuis décembre 2014. Interloqués nous fûmes. « Guerre », « ennemi invisible », « première ligne », « combat »… Nous nous sommes dit : « Tiens, il va enfin nous parler des
guerres françaises en Afrique »
. L’Afrique, c’est plus proche que l’Afghanistan, et la France y entretient sa vieille tradition de massacres afin de sauver régulièrement des dictateurs corrompus qui permettent à ses sociétés
transnationales de piller les richesses.

Tenez, par exemple, la République démocratique du Congo (RDC), l’un des pays les moins développés du monde à force de Françafrique, détient près de la moitié des ressources globales en cobalt et assure 60 % de la production
mondiale. La réglementation de cette industrie y est pratiquement inexistante, les institutions très faibles, en grande partie en raison de son histoire d’exploitation étrangère depuis la période coloniale. Le cobalt entrant dans la fabrication des batteries Lithium-ion, la décision de certains constructeurs automobiles de privilégier la voiture électrique a entraîné une augmentation considérable de la demande. 

Derrière les publicités en quadrichromie des villes silencieuses et propres de ces constructeurs se cache une autre réalité, beaucoup moins belle : l’extraction du cobalt se fait dans des mines artisanales congolaises dans des conditions souvent déplorables.

« Généralement, des travailleurs – y compris des enfants – creusent avec un équipement de base dans des tunnels dangereux. Alors que le risque mortel d’effondrement est permanent, ils gagnent à peine assez pour se nourrir », indique Alexander Lefteris Papadovassilakis, chercheur au Centre de Politique de Sécurité de Genève. (2) 

Idem pour le lithium (Bolivie, Chili, Argentine), le nickel et le graphite destinés aux producteurs des mêmes batteries, dont l’extraction dans des conditions souvent inhumaines met de plus en péril l’équilibre écologique des pays d’où ils sont extraits en détruisant des sites naturels. Pratiquement pas de Code du Travail, peu ou pas de réglementation, surexploitation… 

Mais non, rien sur le pillage de l’Afrique par les transnationales françaises. Pourtant, ce ne sont ni les pays, ni les destructions, ni les assassinats, ni les bains de sang qui manquent. Avec 4 500 militaires engagés en Mauritanie, au
Mali,  -terminé depuis peu- , au Burkina Faso, au Niger ainsi qu’au Tchad et en Libye, « le guerrier » Macron avait le choix. D’autant que Florence Parly, l’énarque en jupon devenue ministre des Armées, avait préparé le terrain à l’énarque-guerrier assurant, en décembre 2019, que l’opération Barkhane en Afrique « c’est la France qui combat le terrorisme à sa source ». Mort de rire ! À se demander si Florence n’est pas nouvelle au bercail de l’Élysée-Matignon. Parce qu’en matière de terrorisme, le président français a côtoyé plus d’un expert de lutte
anti-terroriste qui soutenait le… terrorisme

Ministre, il participa au gouvernement Valls qui fut l’un des principaux responsables du développement du terrorisme sous la présidence de François Hollande. Devenu président, sans doute pour s’assurer que « la France combat
(bien) le terrorisme à sa source », il fit embaucher par son premier Premier ministre, Édouard Philippe, l’un des principaux soutiens au terrorisme en la personne de Jean-Yves le Drian. Celui-là même qui, avant de devenir ministre de l’Europe et des Affaires étrangères au sein de ce gouvernement, fut ministre de la Défense dans les gouvernements Ayrault, Valls et Cazeneuve. Voilà qui fait beaucoup, mais Le Drian est un cumulard et pas seulement de mandats.

Un vrai trafiquant d’armes doublé d’un spécialiste du mensonge d’État. De son bureau, Le Drian alimentait « la source » du terrorisme – celle-là même que dame Parly dit combattre –, tantôt diplomatiquement à l’ONU, tantôt
militairement en protégeant et en armant, par DGSE interposée, les groupes terroristes qui répandaient la terreur en Libye, puis en République arabe syrienne. Après l’échec du coup d’État de Damas du 18 juillet 2012, auquel
participa la DGSE, certains chefs de ces groupes criminels furent reçus plus tard à l’Assemblée nationale, à Matignon et à l’Élysée, tandis que d’autres se réfugiaient en France. (3) 

« Le guerrier » allait-il vous parler de la Libye, dont vos médias vous désinforment sur l’engagement de l’Élysée ? Allait-il vous dire que sans aucun vote du Parlement, il embourbe la France, avec l’Égypte, l’Arabie saoudite, les
Émirats Arabes Unis, la Fédération de Russie et Israël, dans les ingérences étrangères qu’il… dénonce en soutenant le maréchal autoproclamé Khalifa Haftar, homme de la CIA en Libye ? Celui-ci, en échange du soutien militaire
de ses maîtres, doit leur donner accès libre aux ressources pétrolières – celles qui du temps de Kadhafi étaient investies dans la modernisation du pays –, à la recherche de gaz off-shore dans le Golfe de Syrte et, dit-on, « l’utilisation de la base aérienne d’Al-Koufrah pour faire le plein de kérosène des avions-cargos transportant l’uranium et l’or extraits au Mali » (4) 

Dans le cadre d’un « plan diabolique, pensé et mis en œuvre par la Banque mondiale, au profit des multinationales », des sociétés anglo-saxonnes et la Somadex, filiale du groupe Bouygues, pillent ces richesses du Mali, qui reste l’un des pays les plus pauvres du monde. (5) 

Mais non, pas d’Afrique ni même de Syrie ou de Libye au rendez-vous présidentiel télévisuel. 

Pourtant plus de 1 000 militaires français sont engagés en Syrie et en Irak, où ils n’ont rien à y faire si ce n’est de soutenir l’invasion étasunienne pour en piller les richesses. L’armée US et l’armée française y ont pris la place de l’État.  islamique après avoir protégé ce groupe terroriste dans son trafic de pétrole vers la Turquie. Les parents ont pris la place de leur enfant sauvage adoptif après l’avoir répudié. 

Du mois de juin 2014, période de lancement par Washington de sa prétendue « Coalition internationale pour combattre le terrorisme », au 30 septembre 2015, début de la coopération entre l’armée russe et l’armée arabe syrienne, en quinze mois de violation de l’espace aérien syrien, cette coalition à laquelle participe l’armée française sous commandement US n’a ni révélé l’existence de ce gigantesque trafic ni réalisé aucune frappe pour le détruire !

Comme ces faits, que les médias vous ont également dissimulés, datent de 2016, nous avons pensé que « le guerrier » allait vous présenter fièrement le bilan désastreux, le coût des activités de l’armée coloniale française en Syrie et alentour. 

Nous trouvions suspect le silence du « guerrier » après les bombardements de la Syrie qu’il ordonna en avril 2018 à la demande de Washington et sans consultation du Parlement ni mandat de l’ONU.

Lorsque des terroristes de l’État islamique capturés par l’armée arabe syrienne confessent qu’ils ont été entraînés par les forces d’occupation étasuniennes stationnées dans la région syrienne d’Al-Tanf, vous n’en avez rien su par les médias des milliardaires.

Lorsque d’autres terroristes du même groupe, tel Mohammad Houssayn Saoud, indiquèrent que ce sont les renseignements britanniques qui l’ont forcé, avec d’autres terroristes travaillant pour lui, à collaborer en recueillant des informations sur les institutions et les sites militaires syriens et russes en Syrie, les mêmes médias vous ont dissimulé ces faits mettant à jour, avec d’autres, le rôle de l’Élysée et d’autres capitales occidentales dans le soutien au terrorisme.

Lorsque les États-Unis, soutenus dans leur guerre par la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la Belgique et la Turquie volent ouvertement 200 000 barils de pétrole par jour des champs de pétrole syriens, vous n’en savez encore rien par ces médias.

Lorsque les mêmes volent en plus 400 000 tonnes de coton, 5 millions de têtes de bétail, vous n’en savez toujours rien par ces médias.

Lorsqu’ils mettent le feu à des milliers d’hectares de champs de blé, se vantent de diviser la Syrie et de délibérément affaiblir la valeur de sa monnaie nationale, ces médias vous dissimulent ces faits.

De même que ces médias vous taisent les mesures économiques coercitives des États-Unis visant à étouffer le peuple syrien, qu’ils occupent certaines parties de son pays et protègent leur partenaire turc occupant d’autres vastes parties de terres syriennes.

Aussi lorsque la représentante des États-Unis à l’ONU parle du souci de son administration devant la détérioration des conditions de vie des citoyens syriens en l’attribuant à ce qu’elle qualifie de « régime », la question légitime
devient : n’est-ce pas là une phase de maladie aiguë et ne sommes-nous pas face à des symptômes de schizophrénie politique ?

Et, vous ne serez pas informé non plus par ces médias que le 31 mai 2020, la République arabe syrienne a adressé une plainte officielle au Secrétaire général des Nations Unies et au président du Conseil de sécurité contre les
gouvernements de certains États membres, au premier rang desquels les États Unis, le Royaume-Uni, la France et la Turquie. Objet : « Mettre un terme aux ingérences hostiles d’États étrangers dans les affaires intérieures de la République arabe syrienne et engager tous les États membres à s’abstenir de toute pratique
visant à saper l’indépendance et la poursuite du processus politique. » (6) 

Tout au long de dix années de guerre meurtrière, de 2010 à 2020, les gouvernements des États-Unis, de l’Angleterre, de la France et de la Turquie ont soutenu, financé et armé des groupes et organisations de terroristes
multinationaux de multiples allégeances et de diverses casquettes, ainsi que des milices séparatistes à leurs ordres. Ils ont délibérément mené des agressions militaires unilatérales et tripartites contre la République arabe
syrienne, occupé certaines parties de son territoire, commis des meurtres et des destructions, procédé à des déplacements et à des changements démographiques, pillé ses richesses naturelles et historiques dont le pétrole, le
gaz, les cultures agricoles et les antiquités, brûlé et détruit tout ce qu’ils n’ont pu voler, imposé toujours plus de mesures coercitives unilatérales au peuple syrien.

Mais qu’en avez-vous réellement su par les médias des milliardaires ? Une fois de plus, vous êtes complètement désinformés sur ces faits, bien plus graves que la petite « pandémie » de la Covid-19. Un peu comme si la guerre
n’existait plus. Donc, pas de Syrie non plus dans le discours du président qui, il est vrai, a plutôt intérêt à faire profil bas sur le crime d’agression qu’il perpétue contre la République arabe syrienne, crime ouvert par la présidence
Hollande.(7) 

Les Gilets jaunes, alors ? Car, vous l’avez sans doute remarqué, les mouvements sociaux sont aujourd’hui assimilés par des grands patrons et certains politiciens à des actes de violence et « d’atteintes aux libertés par une
minorité ». En décembre 2016, en pleine manifestations contre la « loi Travail », le « patron des patrons » du moment, Pierre Gattaz, avait donné le ton en comparant les militants de la CGT à des « voyous » et des
« terroristes ». 

Le tribunal correctionnel de Bobigny relaxa le Gattaz poursuivi pour diffamation, le juge du tribunal considérant que ses propos ne sont « pas suffisamment précis pour constituer une diffamation » (sic). En magistrature française, la diffamation oblige à la précision. Par exemple, dire qu’un magistrat est un con ne suffit pas. Il faut, afin d’être entendu en tribunal, donner son identité complète.

Depuis les attentats de 2015, 7 000 à 10 000 soldats ont été déployés en plus des forces de police et de gendarmerie. Leur rôle est surtout de réprimer les mouvements sociaux, comme celui des Gilets jaunes en 2019. Là, ça sent la guerre. « Le guerrier » allait-il monter au front, vous lançant un clairvoyant et tonnant « Français, je vous ai compris ! » et répondre aux revendications qui montent du cher et vieux pays en pleine ébullition ?

Rien de tout cela ! Le refus du dialogue est devenu permanent. Nous sommes bel et bien en dictature.  

Révolution cherche mouvement révolutionnaire pour stopper les drames d’aujourd’hui et affronter les réalités de demain. Vous en êtes ?

Jean-Loup Izambert et Claude janvier. Auteurs du livre « Le virus et le président ». IS édition. Extrait du chapitre 8.  www.is-edition.com

Notes : 
(1) France’s Hollande Casts Fate With Ex-Banker Macron, par Stacy Meichtry et
William Horobin, Wall Street Journal, 8 mars 2015

(2) Le lithium et le cobalt : les producteurs doivent faire face à leurs responsabilités, par Alexander Lefteris Papadovassilakis, Le Temps, 13 février 2017

(3) Lire sur les relations entre dirigeants français et chefs de groupes criminels 56,
tome 1, L’Etat français complice de groupes criminels et 56, tome 2, Mensonges et crimes d’État, par Jean-Loup Izambert, IS Édition.

(4) En intervenant en Libye, la France déstabilise le Maghreb, par Gilles Munier,
France-Irak Actualité, 1er juillet 2020, article publié en langue arabe sur le site algérien El Bahdja news le 1er juillet 2020

(5) Main basse sur l’or du Mali, par Oumar Babi, Mondafrique, 1ermai 2016,
www.mondafrique.com

(6) Intervention du Dr. Bachar Al-Jaafari, chef de la mission de la République arabe
syrienne auprès des Nations unies, 29 juin 2020

(7)  56, tome 1, L’État français complice de groupes criminels et 56, tome 2, Mensonges et crimes d’État, par Jean-Loup Izambert, IS Édition.

*Lire sur les relations entre dirigeants français et chefs de groupes criminels 56, tome 1, L’Etat français complice de groupes criminels et 56, tome 2, Mensonges et crimes d’État, par Jean-Loup Izambert, IS Édition.

L’histoire sans fin des pandémies et de l’embrigadement total de la population mondiale selon Alice Desbiolles.

Etoile montante de l’OMS, elle bénéficie de plus en plus d’une large couverture médiatique. Intriguée par cette sémillante doctoresse, j’ai voulu en savoir plus.

Le 5 janvier 2022, au micro de Sonia Mabrouk, Europe 1, (1) l’épidémiologiste, s’exprime ainsi : « Selon elle : « … le coronavirus n’est qu’un « amuse-gueule » de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… ». La messe est dite ! L’évangile selon « Saint OMS ».

Médecin de santé publique, la dame a écrit et publié un livre dans lequel elle décrit qu’une « biodiversité riche et variée protège les humains du risque de pandémie ». Et de continuer : « Tout simplement grâce à l’effet de dilution, qui fait que les agents pathogènes vont être dilués dans une très grande quantité, avec une grande variabilité génétique ».

Rien de tel que la dilution, c’est bien connu. Surtout celle des glaçons dans le Pastis… Si seulement, la stupidité pouvait se diluer dans l’atmosphère… Rêve pieux… Mais revenons dans la réalité. Ce genre de consigne diluée peut satisfaire une grande partie de la population, déjà complètement anesthésiée par l’hystérie sanitaire ambiante, mais pas moi. En effet, rien de nouveau sous le soleil. Il est évident que moins de pollution amène de facto une meilleure santé physique et mentale. L’art et la manière d’enfoncer une porte ouverte.

En revanche, elle ne dénonce pas les grands pollueurs, – l’industrie pétrolière et chimique -, ni la pollution engendrée par les portes-containers sillonnant les océans, ni l’inutilité des éoliennes inondant le paysage avec des composants non-recyclables, etc. Elle surfe, comme beaucoup d’autres, sur une écologie de pacotille, culpabilisant les citoyens plutôt que les magnats de l’industrie pétrolière et chimique. Tout ce cirque est amplement relayé grâce aux écologistes extrêmes surnommés à juste titre « Khmers verts », prônant une vie de plus en plus minimaliste. En perspective, un magnifique futur où chacun possédera son studio aux murs végétalisés, avec un balcon où trois plants de tomates rachitiques essaieront de survivre, et un vélo électrique pour aller faire les courses dont la batterie est non recyclable.

Elle pointe du doigt l’élevage industriel. Sur ce point, je ne peux qu’être en accord avec elle. Les élevages industriels sont à bannir, tant sur le plan du bien-être des animaux que sur le plan nutritionnel.

Mais une grande partie de ses références se trouve être dans un rapport de l’IPBES*. Quésaco ? Encore une usine à gaz, dotée de moyen financier énorme, dont le but est de pondre des rapports, qui ne changent pas grand-chose aux dégâts irréversibles des grands pollueurs internationaux, et au manque d’éducation d’une grande partie de la population mondiale sur le fait qu’il faudrait s’abstenir de jeter des emballages plastiques le long des routes et dans les rivières.

Elle continue avec l’OMS, une liste « blue print », (2) des pathologies émergentes qu’il convient de surveiller de par leur fort risque potentiel pandémique : Covid-19, Ebola, Marburg, Zika, et la maladie X (3) – ajoutée par l’OMS en 2018 donc bien avant l’apparition de la « Covid-19 ». La maladie X est donc une maladie encore inconnue – diantre – mais que l’OMS pointe comme étant une maladie qui un jour, très probablement, émergera et qui sera potentiellement très grave avec un risque pandémique majeur.

L’OMS,  » l’Organisation Morbide de la Santé », ose donc épouvanter la population avec une prospective terrifiante qu’une maladie inconnue déferlera sur la planète. Pareille déclaration non scientifiquement démontrée et totalement infondée, relève d’une grande perversité et d’une totale escroquerie. L’OMS est belle et bien une organisation corrompue, aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride. (4) La liste des bienfaiteurs de l’organisation dépendante de l’ONU pour l’année 2018 est longue. Et pour n’en citer que quelques-uns, retenons la fondation Bill & Melinda Gates, la Gavi Alliance : où siègent en permanence Bill & Mélinda Gates, Baxter international Inc., la Commission européenne, le Rotary International ou encore l’Unicef. Que du « beau » monde !

Il est surprenant que ce genre de déclaration totalement spécieuse trouve un écho en la personne d’Alice Desbiolles. Alice au pays des merveilles ? Pas du tout. Alice au service d’une OMS et d’une industrie pharmaceutique totalement infectées.

Il est plus que temps de faire le ménage dans ce cloaque pseudo-scientifique et de supprimer un bon nombre d’organisations mondiales qui ne font que le jeu de l’oligarchie mondiale financière apatride.

Claude Janvier
Ecrivain polémiste, enquêteur. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition (5)
Notes :
IPBES *La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) est un organe intergouvernemental créé en 2012. Il est placé sous l’égide du Programme des Nations unies pour l’environnement, du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Il siège à Bonn, en Allemagne, et compte aujourd’hui 132 États membres.
(1) https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/bien-etre/%C2%ABnous-sommes-rentr%C3%A9s-dans-l%C3%A8re-des-pand%C3%A9mies%C2%BB-alerte-alice-desbiolles/ar-AASrJsX
https://les7duquebec.net/archives/269544
(2) https://www.who.int/teams/blueprint/covid-19
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_l%27OMS_des_maladies_prioritaires
(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_X
(4) https://www.magazine-decideurs.com/news/qui-finance-l-oms
(5) https://www.facebook.com/isedition/posts/3828261610600344

Le peuple syrien pris en otage par un embargo criminel

Ruines ville de Daraa


Lettre ouverte aux hommes de bonne volonté.
Au cours d’un voyage d’étude, les signataires de ce texte ont pu constater les conséquences désastreuses de l’embargo imposé à la République Arabe Syrienne par les Etats-Unis et l’Union européenne.

Pour avoir visité les villes principales de Syrie, nous pouvons témoigner que l’embargo a pour effet de poursuivre la guerre sur le plan économique. C’est pourquoi nous appelons à la levée immédiate de la loi « César » qui n’a d’autre but que d’asphyxier financièrement le gouvernement syrien. Ceci afin d’empêcher toute reconstruction en détruisant la société civile syrienne dans le but d’imposer un changement de régime. L’inefficacité de ces sanctions, destinées à séparer le président du peuple qui l’aime, est assurée !

La Syrie, pourtant détentrice d’importantes ressources pétrolières, voit celle-ci confisquées par les forces américaines occupant les zones de production. Il en résulte une pénurie énergétique permanente, qui se traduit par des fournitures d’électricité intermittentes. La vie quotidienne des Syriens en est gravement perturbée.

Si officiellement, ces sanctions américaines et européennes ne concernent pas les aides humanitaires, leurs conséquences sont néanmoins dramatiques, car aucune banque ou entreprise n’ose exporter des équipements pour les hôpitaux ou des médicaments vers la Syrie par crainte de sanctions des États-Unis. Ceux-ci pratiquent en effet l’extraterritorialité juridique qui pénalise lourdement toutes relations avec les états sous embargo. Enfin, cette situation comporte aussi le risque – connu et calculé par les promoteurs de l’embargo – de créer à terme des troubles civils plus ou moins graves.

Le démantèlement de la Syrie, qui n’a pu être obtenu par les moyens militaires et les actions terroristes, pourrait l’être ainsi en réactivant des antagonismes communautaires qui ressurgiraient à l’occasion de pénuries économiques graves.
Aujourd’hui, l’État syrien est parvenu au miracle de réaliser l’unité nationale autour d’un idéal de vie commun sous couvert d’une stricte laïcité.

Cette réussite exceptionnelle, politique et sociétale, doit être préservée. En premier lieu par la levée en urgence d’un blocus légalement injustifié et moralement condamnable.

Notre diagnostic a été établi par la visite des villes suivantes :

Damas, la ville du jasmin. Peu d’éclairage public fonctionnel. Les lumières existantes sont produites par les commerçants, grâce à des groupes électrogènes. Les banlieues Nord et Sud ont été totalement détruites, après d’âpres combats entre l’armée arabe syrienne loyale, épaulée par la Russie et l’Iran, qui a légitimement défendu l’intégrité du territoire de la Syrie, contre des terroristes d’al-Qaïda, de Daesh, des djihadistes proches des frères musulmans et des rebelles de l’armée syrienne libre soutenus par la coalition extérieure internationale, déterminés à provoquer un changement de régime. De nombreux réfugiés couchent dans des tentes au milieu des décombres.

Alep, ville martyre, détruite à 70 %. Les souks séculaires du 14e siècle entièrement rasés ainsi que la grande mosquée. Pourquoi dynamiter des bâtiments historiques ? Les terroristes obéissent à une seule devise : faire table rase de la Syrie actuelle, tout à la fois société laïque moderne et mémoire des civilisations, afin d’imposer un islam radical.

Lattaquié, grande ville portuaire qui commence à se remettre de l’agression des rebelles et des terroristes. L’électricité est aussi intermittente.

Soueïda, grande ville du sud syrien. Électricité défaillante et de facto pas de chauffage. Il faut préciser que les États-Unis ont créé dans la région de la localité syrienne d’al-Tanf (frontalière avec la province de Soueïda), une base sur l’axe stratégique Bagdad – Damas pour soutenir les rebelles de l’armée syrienne libre (ASL) composée de terroristes islamistes.

Daraa. Dernière étape de notre visite. Comme Alep, c’est une ville martyre. Un accord récent – moins de deux mois – pour déposer les armes a été négocié entre le gouvernement syrien légitime – avec l’aide des Russes – et les chefs des groupes rebelles.

80 % des Syriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les prix des produits alimentaires ont grimpé de 133 %. Ce qui se passe sur le sol syrien est un crime contre l’humanité. Mais, malgré le fait que le gouvernement est obligé de donner des cartes de rationnement pour les produits de base afin de lutter contre la spéculation et malgré le fait d’une grande quantité d’immeubles dont la construction est paralysée depuis des années, les échoppes revivent. Des légumes, des fruits et des produits de première nécessité se vendent à tous les coins de rue. La ténacité, le courage et le patriotisme du peuple syrien forcent le respect.

Un fait récent permet de vérifier que cet embargo constitue en soi un acte de guerre déguisé. En effet, sous couvert d’aide humanitaire, des semences de blé contaminantes ont été livrées fin novembre 2021 au peuple syrien. Les effets auraient été dévastateurs : pourriture des épis et baisse de la germination de plus de 80 % par stérilisation des sols. (1)
Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s’arrêter sans délai. La France, patrie des droits de l’homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes.

Nous demandons solennellement l’arrêt immédiat de l’embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles et les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser immédiatement et impérativement.

Nous remercions M. Adnan Azzam, écrivain syrien, humaniste et homme de cœur, pour avoir parfaitement organisé ce périple. Nous remercions chaleureusement M. Mahdi Dakhlalah, membre du commandement central du parti Baas pour son aide précieuse et nous remercions vivement M. Mohammed al Hourani, président de l’Association des Écrivains Arabes Syriens et ses membres de nous avoir invités.

Signataires de la délégation française :
Jean-Michel Vernochet. Journaliste et écrivain.
Emmanuel Leroy. Politologue et président de l’Institut 1717
Pierre-Emmanuel Thomann. Géopolitologue, président d’Eurocontinent
Maria Poumier. Universitaire émérite et Maître de Conférences Paris VIII.
Yves Béraud. Général (2S) en retraite de l’armée de terre.
Claude Janvier. Ecrivain et essayiste.
Contact : [email protected]
Notes :
(1) https://parstoday.com/fr/news/world-i104350-syrie_l%27adm_am%C3%A9ricaine_frappe_!

Les nouveautés de la loi Pinel à Bordeaux à partir de 2022

Vous souhaitez investir avec la loi Pinel à Bordeaux. Cependant, vous vous interrogez sur le futur de cet avantage fiscal suite aux annonces d’Emmanuelle Wargon lors de la présentation des conclusions de la consultation citoyenne « Habiter la France de demain ». IMMO9 Bordeaux, votre spécialiste de l’immobilier neuf, vous renseigne sur les nouveautés du dispositif Pinel à compter de 2022.

Quel avenir pour la loi Pinel à Bordeaux à partir de 2022 ?

Pointée du doigt pour son manque d’efficacité et son coût, la loi Pinel devait initialement disparaître au 31 décembre 2021 avant d’obtenir un sursis jusqu’au 31 décembre 2024. 

Un dispositif inefficace

Le rapport sur le « Développement de l’offre de logement locatif intermédiaire par les investisseurs institutionnels » constate que les programmes immobiliers neufs en loi Pinel se concentrent sur la zone où la tension locative est la moins élevée : B1.

En effet, seulement un appartement sur trois construit en loi Pinel se situe dans les zones A et A bis, qui sont celles où le besoin en logements est le plus important. Par conséquent, la loi Pinel ne permet pas d’atteindre l’objectif qu’elle s’était fixé : aider les ménages aux revenus modestes à se loger.

Un surcoût pour les finances publiques

De plus, ce rapport insiste également sur le coût du dispositif Pinel pour les finances publiques. Il pourrait atteindre 1,7 milliard d’euros en 2025 contre 1,2 milliard d’euros en 2021.

Or, octroyer un crédit d’impôt aux investisseurs institutionnels en contrepartie de la construction de logements intermédiaires ne coûterait qu’entre 300 et 350 millions d’euros par an aux contribuables.

Une diminution de l’avantage fiscal

Malgré tout, le gouvernement français a accordé un sursis au dispositif Pinel, mais à des conditions beaucoup moins favorables pour les investisseurs.

En effet, si vous réalisez un investissement locatif en loi Pinel à Bordeaux avec une livraison en 2023, le taux de réduction d’impôt passera de :

  • 12 à 10,5 % pour une durée d’engagement de 6 ans
  • 18 à 15 % pour une mise en location de 9 ans
  • 21 à 17,5 % pour un bien loué pendant 12 ans

Un coup de rabot supplémentaire est également prévu à l’horizon 2024 avec une nouvelle baisse de l’avantage fiscal. Les taux passeront respectivement à 9 %, 12 % et 14 %.

Comment bénéficier de la réduction d’impôt à taux plein après 2022 ?

En marge de l’annonce des conclusions de la démarche citoyenne « Habiter la France de demain », Emmanuelle Wargon, ministre chargée du Logement, a dévoilé les critères à respecter pour conserver l’avantage fiscal maximal du dispositif Pinel.

Investir dans un quartier classé prioritaire

La première possibilité pour profiter des taux actuels de réduction d’impôt de la loi Pinel à Bordeaux au-delà de 2022 consiste à sélectionner un programme immobilier neuf dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPPV).

Bordeaux Métropole a identifié 21 quartiers sur son territoire pour lesquels elle ambitionne d’améliorer les conditions et le cadre de vie d’environ 60000 habitants tout en resserrant les inégalités sociales, comme :page1image41424320

  • La Benauge, Le Lac, Bacalan et Grand-Parc à Bordeaux
  • Henri Sellier à Cenon
  • Jean Jaurès à Floirac

Par conséquent, acheter un appartement neuf dans l’un de ces secteurs rend votre investissement locatif éligible à la loi Pinel aux taux de 12 %, 18 % et 21 %, y compris si vous concrétisez votre projet en 2023 ou en 2024.

Acheter un appartement qui répond aux critères du Pinel +

Sur base du référentiel du logement de qualité établi par François Leclercq et Laurent Girometti, la ministre chargée du Logement a dévoilé les contours du nouveau dispositif Pinel à Bordeaux : le Pinel +.

Une surface habitable plus grande

La première conclusion du référentiel du logement de qualité est sans appel : la superficie des logements n’est pas en adéquation avec les besoins de la population. Or, cet élément apparaît comme l’un des principaux critères pour valoriser un bien immobilier.

Au cours de ces dernières années, les programmes de promotion immobilière ont réduit la surface des appartements neufs et plus particulièrement certaines pièces :

  • Les chambres présentent une superficie qui excède rarement 9 m2
  • Le séjour et la cuisine sont souvent fusionnés ce qui complexifie l’aménagement intérieur

Par conséquent, le référentiel préconise d’imposer une superficie minimale en fonction du type de logement pour profiter de l’éligibilité à la nouvelle loi Pinel à Bordeaux. À savoir :

  • 28 mètres carrés pour un T1
  • 45 mètres carrés pour un T2
  • 62 mètres carrés pour un T3
  • 79 mètres carrés pour un T4
  • 96 mètres carrés pour un T5

Un logement plus confortable

Outre la superficie au sol, un autre critère de taille n’a cessé de décliner au fil des ans : la hauteur sous plafond. En effet, elle a diminué d’environ 27cm en 60 ans pour atteindre 2,5 m tandis que les Français sont en moyenne 7 cm plus grands qu’à l’époque.

  • Par conséquent, rehausser les plafonds à 2,7 m permettrait d’augmenter les volumes et de :
    Faciliter l’aménagement en trois dimensions des logements avec des meubles plus hauts ou une mezzanine par exemple
  • Améliorer le renouvellement de l’air dans un logement sans recourir à un système de ventilation mécanique

Par ailleurs, la pandémie de la COVID-19 et les confinements successifs ont accentué le désir des citoyens de disposer d’un espace extérieur, balcon ou terrasse. Par conséquent, le Pinel + prévoit d’imposer la présence d’un espace extérieur, individuel ou collectif, pour chaque appartement neuf.

Des performances énergétiques supérieures à la RT 2020

À compter du 1er janvier 2022, chaque permis de construire pour une résidence neuve devra répondre aux exigences de la Réglementation Environnementale 2020 (RE 2020).
Les objectifs de cette nouvelle législation consistent à réduire l’empreinte carbone de l’immobilier résidentiel en France et à diminuer le montant des factures énergétiques des occupants. Pour y parvenir, les constructeurs doivent :

  • Bâtir des immeubles BEPOS (bâtiment à énergie positive) qui produisent davantage qu’ils ne consomment
  • Accorder davantage d’importance au confort d’été
  • Recourir à des matériaux biosourcés

Cependant, face à l’urgence climatique, le référentiel sur la qualité du logement suggère de réserver l’avantage fiscal de la loi Pinel à Bordeaux aux logements qui vont encore plus loin en matière de transition énergétique.

Ainsi, il préconise de revenir aux fondamentaux et de privilégier la construction d’appartements traversants ou avec une double orientation. En effet, ces caractéristiques permettent de limiter la consommation d’énergie grâce à :

  • Une meilleure luminosité
  • Une aération naturelle du logement

Pourquoi acheter un appartement en loi Pinel à Bordeaux ?

Outre l’avantage fiscal attractif, réaliser un investissement locatif en loi Pinel à Bordeaux présente de multiples atouts. Diversifier son patrimoine

Plébiscitée pour son rendement et sa sécurité, la pierre demeure le placement préféré des Français depuis de nombreuses années. Preuve de sa résilience au fil des ans, les prix de l’immobilier n’ont pas été impactés lors de la crise de la COVID-19, contrairement aux marchés financiers.

Par conséquent, investir dans un appartement neuf avec le dispositif Pinel à Bordeaux constitue une excellente opportunité de diversifier votre patrimoine.

Préparer sa retraite

Profiter de la défiscalisation pour investir dans l’immobilier en vue de sa retraite s’avère particulièrement rentable. En effet, vous bénéficiez d’une réduction d’impôt au moment où vos revenus sont le plus élevés : en fin de carrière.

De plus, vous ne constatez pas de baisse de votre pouvoir d’achat lorsque vous devenez pensionné, car vous percevez des revenus complémentaires provenant de votre investissement locatif.

Par ailleurs, vous pouvez vous affranchir des plafonds applicables à l’issue de votre période d’engagement et augmenter le loyer pour améliorer encore vos recettes locatives.

Le parc national Grand Canyon?

Le Grand Cayon est un lieu étonnant à visiter. C’est l’un des parcs nationaux les plus célèbres d’Amérique, et il offre aux visiteurs une occasion exceptionnelle de voir certains des animaux sauvages les plus rares du monde. Bien qu’elle puisse sembler être une destination de rêve, vous devez connaître certaines informations importantes avant de partir afin que votre voyage soit aussi agréable que possible. 

Rappel : Si vous souhaitez vous rendre aux USA, les frontières ré-ouvriront en novembre. Vous aurez besoin de prouver que vous n’etes pas porteur du Covid-19 et l’ESTA est évidemment toujours requis (vous pouvez lire cet article traitant de l’ESTA USA sur Parlorama).

Qu’est-ce que le Grand Canyon ?

Le Grand Canyon accueille plus de 5 millions de visiteurs par an et est situé dans l’État d’Arizona. Le Grand Canyon a été formé par le fleuve Colorado au cours de millions d’années. Ce parc national mesure 450 km de long, 29 km de large et atteint une profondeur de plus d’un mile (1,6 km). C’est l’un des plus grands canyons du monde ; le parc national du Grand Canyon couvre à lui seul presque 5.000  kilomètres carrés.

Le Grand Canyon n’a cessé de s’éroder depuis sa formation, ce qui signifie qu’il n’a pas de superficie précise et défini, mais que l’érosion continue de le façonner. Depuis que ce système de canyons a été documenté pour la première fois par l’explorateur espagnol García López de Cárdenas, il n’a cessé de changer d’apparence et de taille. Le Grand Canyon National Park a été créé en tant que parc national le 26 février 1919.

Pourquoi aller au Grand Canyon ?

Il existe de nombreuses raisons de visiter ce parc national. Les hôtels du Grand Canyon peuvent accueillir tous les types de visiteurs du Grand Canyon et les stations balnéaires du Grand Canyon proposent de nombreuses activités pour les vacanciers du Grand Canyon.

Si vous décidez qu’une visite guidée est le meilleur moyen de voir le Grand Canyon, voici quelques raisons pour lesquelles vous devriez visiter le Grand Canyon :

Randonnée 

Un système de sentiers bien développé permet aux visiteurs de choisir entre de courtes promenades ou des randonnées plus difficiles dans le canyon lui-même, sur des sentiers dont la longueur varie de 1 km à plus de 32 km. Certains sentiers sont escarpés et rocailleux ; ils offrent généralement les vues les plus spectaculaires et l’accès à l’histoire du parc national du Grand Canyon. Les sentiers de la rive ouest du Grand Canyon offrent des vues surprenantes et constituent un bon choix pour les randonneurs.

Observation de la vie sauvage

Depuis le bord, vous pouvez observer de nombreux types d’animaux sauvages tels que des cerfs mulets, des élans, des coyotes, des ours noirs, des cougars (pumas), des mouflons d’Amérique et des écureuils terrestres.

La vue panoramique

Le Grand Canyon est l’une des grandes merveilles scéniques du monde et offre des vues spectaculaires depuis de nombreux points de vue. Le ciel est dégagé dans la plupart des zones du parc permettant aux visiteurs d’apprécier le paysage impressionnant presque à tout moment de l’année mais surtout au lever et au coucher du soleil. 

Quand visiter le Grand Canyon ?

Les visites du Grand Canyon peuvent être effectuées au printemps, en été ou en automne, et sont l’une des attractions les plus populaires d’Amérique. Les vacances au Grand Canyon sont un must si vous vous trouvez dans les environs, même si ce n’est que pour une journée. Les circuits emmènent les visiteurs jusqu’au bord sud ou au bord nord, ainsi qu’au bord ouest. 

Chaque bord du Grand Canyon a une atmosphère et un environnement uniques, essayez donc de visiter les deux bords si possible pendant votre séjour. Le Grand Canyon est mieux vu de jour, lorsque le soleil culmine au sommet des falaises et illumine chaque relief de teintes claires, visibles uniquement pendant ce bref instant avant de disparaître jusqu’au lendemain. Pour ceux qui préfèrent voyager de nuit, le North Rim du Grand Canyon reste ouvert jusqu’à 21 heures toute l’année. 

Les circuits emmènent les visiteurs sur les sentiers de randonnée comme Bright Angel et South Kaibab Trails, qui mènent au Grand Canyon West ou au Grand Canyon East Rim. Les vacances sont à prendre comme une aventure avec les circuits de randonnée pour ceux qui apprécient les kilomètres de sentiers qui serpentent dans ce magnifique parc national.

Quels sont les conseils pour planifier un voyage au parc national du Grand Canyon ?

Avant de visiter le parc national du Grand Canyon, vous devez faire des recherches sur les circuits proposés.

Le parc national est ouvert toute l’année, 24 heures sur 24 propose de nombreuses activités aux visiteurs. Certaines des activités les plus populaires sont les sentiers de randonnée, les excursions de camping dans l’arrière-pays ou le rafting sur le fleuve Colorado à l’intérieur du parc national.

Les visites du Grand Canyon sont guidées par un personnel qualifié ! Pendant les mois d’été, vous aurez du mal à réserver les circuits les plus populaires du parc en raison de la forte demande et de la disponibilité limitée. Nous vous suggérons de planifier vos vacances jusqu’à 3 mois à l’avance pour obtenir votre meilleur choix de tour ! Si vous prévoyez de faire une randonnée dans le parc, assurez-vous d’avoir suffisamment de temps pour le faire, car les permis pour l’arrière-pays doivent également être planifiés à l’avance. Vous devez vous inscrire au système de loterie au moins un jour avant la date à laquelle vous souhaitez commencer votre randonnée ou votre voyage en sac à dos.

Le South Rim est la zone la plus visitée du parc national du Grand Canyon, mais il existe également des sentiers et des terrains de camping sur les côtés nord et ouest du parc. Le North Rim possède plusieurs beaux sentiers de randonnée mais il est généralement fermé de mi-octobre à mai en raison des chutes de neige et des températures plus froides. Si vous souhaitez faire des excursions dans le Grand Canyon, sachez qu’elles peuvent coûter entre 18 et 38 dollars par personne adulte, selon l’excursion que vous choisissez.

À quoi faut-il s’attendre lors d’un circuit au parc national du Grand Canyon? 

Dans la plupart des cas, les visiteurs sont conduits sur le bord du parc dans un bus, une navette ou un van climatisé. Les circuits couvrent différents sites de vue le long du bord et parlent de l’histoire et de la géologie du parc national du Grand Canyon pour fournir des informations supplémentaires aux visiteurs. Lors de certains circuits, il peut y avoir jusqu’à 100 personnes dans un grand groupe ; d’autres peuvent n’avoir que 20 visiteurs ou moins par groupe.

Les guides touristiques sont généralement équipés de chapeaux, de crème solaire, de lunettes de soleil et de parapluies pour l’ombre. Souvent, il y a de la poussière dans le parc, alors vous voudrez peut-être emporter un bandana ou un mouchoir. Les excursions dans le Grand Canyon et les randonnées avec sac à dos nécessitent beaucoup d’eau et d’en-cas, alors assurez-vous d’en apporter beaucoup.

Présidentielle 2022 : opposition contrôlée ?


Le 10 avril 2022 aura lieu l’élection présidentielle avec pour l’instant pas moins de 30 candidats. (1) et (2) N’en jetez plus, la cour est pleine ! La course aux 500 parrainages est lancée. Qui va gagner ?

Je ne vais pas vous énumérer toute la liste, assez fastidieuse d’ailleurs. Entre les indéboulonnables, les arrivistes, les opportunistes, et quelques souverainistes, rien de nouveau sous le soleil. C’est d’un ennui total.

Entre une extrême gauche inexistante depuis bien trop longtemps, en passant par les ténors de la LREM, du PS, de la LR, du Modem et des Verts, tout ce beau monde inutile veut conserver sa part de gâteau. Reste l’extrême droite plombée par le RN et les divers, regroupant royalistes, souverainistes, animalistes et indépendants.

Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour se douter qu’au deuxième tour, ce sera sans surprise, c’est-à-dire un sempiternel duel – qui n’en est pas un d’ailleurs – entre un candidat LREM et Marine Le Pen. Nous connaissons d’avance le résultat.

Notre pays comptait, aux dernières élections régionales et départementales de 2021, le chiffre exorbitant d’au moins 66 % d’abstentionnistes. (3) C’est un énorme problème. Ajoutez à cela qu’au moins 10 % de « militants électeurs » voteront, quoiqu’il se passe, pour chaque grand partis tels que la LREM, le PS et la LR, que 5 à 6 % des électeurs voteront verdâtre et Modem, et que le reste des candidats se verront crédités entre 0,1 % et 5 % de voix suivant l’humeur Ô combien changeante du citoyen. Pourcentage évolutif, tout dépendra du matraquage de la grande presse et des ordres des « réseaux Attali ».

Eric Zemmour, qui ne s’est pas encore engagé officiellement, serait crédité pour l’instant à 10 %.

En fait, quelques candidats regroupés dans la section « extrême droite et divers » peuvent changer la donne. À condition de le vouloir. Vous noterez que je n’ai pas inclus les candidats d’extrême gauche, trop englués dans des idées surannées, et sans volonté réelle de sortir notre pays de l’emprise de la grande finance internationale.

Qu’est-ce qui empêche les souverainistes, royalistes et quelques autres de désigner un candidat commun, de se ranger derrière lui, et d’œuvrer pour que cette personnalité fasse le troisième larron à la prochaine élection présidentielle ? Bonne question. L’ego de chacun est un obstacle de taille. Mais, si chaque candidat faisait passer l’intérêt de la nation avant le sien, nous pourrions sortir enfin de l’hégémonie mondialiste de Bruxelles, retrouver notre souveraineté nationale et sortir enfin de ce bourbier. D’autant plus que l’union faisant la force, il y aurait une équipe pour gouverner derrière le candidat commun.

Si personne ne fait l’effort de considérer le bien de la nation avant le sien, alors on peut légitimement se demander si l’abondance de candidatures n’est qu’un leurre profitable à la LREM – diviser pour mieux régner – et que tout ce flonflon n’est en somme que de l’opposition contrôlée.

Claude Janvier
Ecrivain polémiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président », IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/
Notes :
(1) https://www.nouvelobs.com/election-presidentielle-2022/20210903.OBS48166/presidentielle-2022-la-liste-des-candidats-declares-ou-pressentis.html
(2) https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/guides/260650-presidentielle-2022-qui-sont-les-candidats-officiels
(3) https://www.bienpublic.com/politique/2021/06/20/un-taux-de-participation-de-12-22-a-midi-au-premier-tour

Consommacteurs

Porter le masque pour se protéger et protéger les autres nous apparaît comme basique, le lien de cause à effet étant plutôt direct et évident.
Pourtant, quand on consomme, (alimentation, cosmétique, emballages, vêtements…) on fait également un choix: celui de nuire ou non à notre maison à tous et à ses habitants.
Il y a un laps de temps plus long pour que la contamination se fasse mais les conséquences sont bien pire que celle du Corona.

Les effets de notre mode de vie sont littéralement meurtriers.

Notre espèce, si évoluée soit-elle, est la seule à s’autodétruire et à nuire à tant d’autres.
On n’a pas encore de vaccin pour conscientiser l’Homme, ni de médicaments pour booster l’empathie…

Heureusement, ce qu’on a tous, c’est cette capacité à évoluer pour devenir de meilleurs êtres humains.
C’est à notre plein potentiel qu’il faut se comparer, pas à celui de notre voisin.

Si notre réalité façonne la réalité de quelqu’un d’autre, à nous alors de nous poser la question: Qu’est-ce que l’on souhaite pour le reste de l’humanité et du vivant?

Et … Action. 

Le travail est-il encore un libre choix ?

Ce que vous allez lire est une lettre de l’Assurance Maladie, service médical, pays de la Loire, envoyée a un de ses employés qui refusait l’injection « obligatoire ». Trois pages coercitives explicatives, avec en conclusion l’obligation vaccinale fixée au 16 octobre 2021, dernier carat. Après cette date, s’il n’est pas vacciné, plus de travail et plus d’indemnités. Vous êtes bien assis ? Il vaut mieux, car lire cette prose abominable peut vous déclencher une crise de nausées aigues.

 » Assurance Maladie. Service médical. Pays de la Loire.
Nantes le 10 août 2021

Objet : Obligation vaccinale
Madame, Monsieur,
La loi n°2021-1040 relative à la gestion de la crise sanitaire a été promulguée le 5 août 2021 (JORF, 6 août).
Face aux risques élevés de rebond de l’épidémie de Covid-19, la vaccination devient une condition obligatoire d’exercice de l’activité professionnelle à l’égard des personnels exerçant au sein d’établissements, structures ou services limitativement listés, ainsi qu’à l’égard des professionnels de santé mentionnés à la quatrième partie du code de la santé publique (article 12 I.2°) et des personnes travaillant dans les mêmes locaux que lesdits professionnels (article 12 I.4°).

De plus, l’obligation de présentation d’un passe sanitaire, déjà en vigueur à l’égard des usagers des établissements relevant des secteurs sanitaire et médico-social, est étendue aux personnels intervenant dans ces lieux.
Les salariés du Service médical, au regard de la nature des missions de service public qu’ils accomplissent, entrent dans le champ d’application de ces nouvelles dispositions.
A compter du 7 août 2021, tous les personnels du Service médical, affectés au sein des échelons locaux et régionaux, doivent remplir l’obligation vaccinale pour exercer leur activité, à savoir :

  • les praticiens-conseils et les infirmiers du Service médical, parce que les médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes et infirmiers, au regard de leur seul statut, font partie de la liste limitative des professionnels de santé soumis à l’obligation vaccinale par la loi,
  • les personnels administratifs, ainsi que toute leur ligne hiérarchique (managers, agents de direction), travaillant dans les mêmes locaux que les professionnels de santé susvisés concernés par l’obligation vaccinale.
    L’obligation vaccinale contre la covid-19 s’inscrit dans une logique d’interaction professionnelle : tous les personnels qui, compte tenu de leur activité et de la communauté de travail qu’ils forment, sont exposés au risque de contamination et peuvent exposer autrui, se trouvent dans le champ de l’obligation. En l’occurrence, les personnels administratifs, parce qu’ils travaillent dans les mêmes locaux que les praticiens conseils et les infirmiers du service médical, eux-mêmes au contact des assurés dans le cadre de leurs missions, sont concernés par les mêmes obligations.
    Une période transitoire a été prévue par la loi pour permettre aux personnels soumis à l’obligation vaccinale de prendre leurs dispositions pour se conformer à cette nouvelle condition d’exercice.
  • Ainsi, les documents que les personnels ont à présenter à leur employeur sont les suivants
    Jusqu’au 14 septembre 2021 inclus
    Il vous est possible de présenter l’un de ces documents :
  • le certificat de statut vaccinal,
  • le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • le certificat médical de contre-indication à la vaccination.
    A défaut de l’un des documents précités, peuvent être présentés :
  • le justificatif de l’administration des doses de vaccins requises,
    OU
  • le résultat d’un examen de dépistage virologique RT-PCR ou
    antigénique ou d’un autotest supervisé par un professionnel de
    santé habilité (médecin, pharmacien, infirmier, sage-femme,
    kinésithérapeute…) ne concluant pas à une contamination par la
    covid-19 et d’au plus 72 heures.
    Du 15 septembre au 15 octobre 2021 inclus
    Il vous est possible de présenter l’un de ces documents :
  • le certificat de statut vaccinal,
  • le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • le certificat médical de contre-indication à la vaccination.
    A défaut, de l’un des documents précités, peuvent être présentés :
  • le justificatif de l’administration des doses de vaccins requises (un
    décret à paraitre précisera la nature de ce document),
    OU
  • le justificatif attestant de l’administration d’au moins une des doses
    requises dans le cadre d’un schéma vaccinal comprenant plusieurs
    doses (un décret à paraitre précisera la nature de ce document),
    ET
  • le résultat d’un examen de dépistage virologique RT-PCR ou
    antigénique ou d’un autotest supervisé par un professionnel de
    santé habilité (médecin, pharmacien, infirmier, sage-femme,
    kinésithérapeute…) ne concluant pas à une contamination par la
    covid-19 et d’au plus 72 heures.
    Il y a lieu de considérer que, pendant cette période, les salariés déjà engagés dans une démarche vaccinale (au moins 1 dose) complétée d’un test PCR ou antigénique ou autotest supervisé négatif, remplissent l’obligation.
    A partir du 16 octobre 2021
    Il vous est possible de présenter l’un de ces documents:
  • le certificat de statut vaccinal,
  • le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • le certificat médical de contre-indication à la vaccination.
    A défaut de l’un des documents précités, seul le justificatif de l’administration des doses de vaccins pourra être présenté.
    Ainsi, à compter du 16 octobre 2021, l’obligation professionnelle vaccinale ne sera remplie que si les salariés concernés justifient d’un statut vaccinal complet ou d’une situation d’exonération à la vaccination (certificat de rétablissement ou de contre-indication à la vaccination).
    Il ne sera plus possible de présenter des résultats d’examens virologiques à partir de cette date.
    Les dispositions de la loi sont impératives : elles s’imposent tant aux salariés qu’à l’employeur, ce dernier n’ayant d’autre choix que de contrôler, quotidiennement à partir de ce jour et sous peine de contravention, le respect de l’obligation de présentation des certificats et justificatifs.
    En cas de non-respect de l’obligation de présentation des documents, et ce dès le premier jour du manquement, votre activité professionnelle sera interdite : vos contrat de travail et rémunération seront suspendus. Seule la régularisation de votre situation administrative vous permettra de reprendre votre activité professionnelle.
    Aussi, je vous invite à transmettre sans délai vos certificats et justificatifs selon les modalités suivantes : voir annexe 1 en fin de courrier.
    Afin de faciliter vos démarches, vous bénéficiez d’une autorisation d’absence rémunérée pour vous rendre, sur votre temps de travail, aux rendez-vous médicaux liés aux vaccinations contre la covid-19.
    Il vous suffit de transmettre à votre responsable votre convocation médicale.
    Je mesure pleinement les impacts de la loi, tant dans votre vie personnelle que dans votre vie professionnelle. Toutefois, je tiens à vous rappeler notre priorité de préserver la continuité du service public rendu à nos assurés, dans un contexte de crise sanitaire qui requiert, de notre part à tous, une mobilisation exemplaire.
    Au regard de ces enjeux inédits, je remercie chacun et chacune d’entre vous de prendre les diligences nécessaires pour permettre au Service médical de poursuivre ses missions au service de la solidarité nationale.
    Pour le Directeur Général,
    Le Médecin-conseil régional »
    Direction régionale du Service médical des Pays de la Loire. 7 rue du Président Edouard Herriot – BP 73403 – 44034 Nantes cedex 1
    Annexe 1 : Comment déclarer son statut vaccinal ?
    Il relève de la responsabilité individuelle de chacun de transmettre ses justificatifs dans les délais.
    A qui devez-vous adresser vos justificatifs ? Au service RH qui sera le seul habilité à recevoir et recenser ces documents.
    A quelle adresse mail ? [email protected]
    Pensez à renommer de manière lisible le document que vous allez nous envoyer : (Exemple : Dupont-PassSanitaire / Dupont-TestPCR-100821 /…) et à signer vos mails en précisant vos NOM, PRENOM et échelon d’affectation.
    Quels documents nous adresser jusqu’au 14 septembre inclus :
     le certificat de statut vaccinal,
     le certificat de rétablissement,
     le certificat médical de contre-indication à la vaccination.
    A défaut, de l’un des documents précités, vous pourrez présenter:
     le justificatif attestant de l’administration des doses de vaccins requises
     OU le résultat d’un examen de dépistage, d’un test ou d’un autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé habilité, d’au plus 72 heures.
    Pour les salariés concernés, cela signifie qu’il faudra donner un nouveau test tous les trois jours.
    Pour ceux qui devront régulièrement transmettre un test, le résultat devra être adressé avant 10h30 au service RH (à l’adresse mail ci-dessus). A défaut, votre contrat de travail et votre rémunération seront suspendus (sauf si vous souhaitez poser un congé) jusqu’à régularisation de votre situation. Un courrier en ce sens vous sera adressé et/ou remis par votre direction locale.
    Informations relatives à la protection de vos données :
     La finalité de la collecte des données : le respect de la loi du 5 Août 2021 imposant la présentation d’un pass sanitaire et la vaccination obligatoire.
     Les modalités de recueil et de conservation des données : les données seront recueillies par le seul service RH qui les conservera sur un dossier informatique sécurisé sur le SDS.
     Le délai de conservation : la suppression de toutes les données se fera à la fin de l’obligation vaccinale.
     Le droit d’accès et de rectification aux données ainsi que le droit à leur limitation et d’opposition comme suit : Conformément aux dispositions du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), vous disposez d’un droit d’accès et de rectification aux données qui vous concernent ainsi que d’un droit de leur limitation et d’opposition. Ces droits s’exercent sur demande écrite de votre part adressée soit au Directeur de votre organisme de rattachement, soit au Délégué à la Protection des Données. »

  • Fin du courrier.
    Non vous ne vous rêvez pas, nous sommes bien en France, en ce mois d’août 2021.

  • L’article 23 de la déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 est totalement foulé aux pieds. Pourtant il stipule :  » Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. »

  • Les cheffaillons de la république en mal d’autorité ont besoin urgemment de clarifier ce paragraphe.

  • Heureusement, vous pouvez contester via l’excellent site de Maître Brusa, Réaction 19, qui vous donne le modus operandi et aussi l’excellent site de Maître Di Vizio. J’invite tous les salariés qui ne veulent pas obéir à la doxa gouvernementale à utiliser les voies de recours. Vous pouvez gagner contre l’oppression. Le dernier lien est un guide juridique complet avec les modèles de lettres à envoyer.

  • Claude Janvier.
    Ecrivain, polémiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

  • Liens : https://reaction19.fr/reaction19/actualites/association-reaction19/asso-r19-aout-2021/180821-attestation-sur-lhonneur-autotest/
    https://reaction19.fr/
    https://www.divizio.fr/
    https://www.infovaccin.fr/index.php?_lang=FR&alias=06-08-2021-guide-juridique

Comment apprendre à coder ?

Le monde de la programmation informatique est très passionnant. Tous les jours, vous aurez un but spécifique et un challenge à relever. La routine est quasi inexistante lorsque l’on travaille dans le domaine de la programmation.

Cette mode de vie vous intéresse et vous souhaitez apprendre à coder ? Nous vous donnons dans cet article les clés qui vous aideront à atteindre votre objectif.

Apprendre les bases de la programmation

Quel que soit le projet dans lequel vous souhaitez vous embarquer, il faut toujours commencer quelque part. Donc, avant de devenir un développeur hors pair, vous devez d’abord apprendre les bases de la programmation informatique.

Ces bases sont importantes, car cela vous montrera toutes les facettes de ce monde. Lors de cette étape, vous vous initierez à l’algorithmie qui se trouve être à la base de toute élaboration de projet informatique. Vous allez vous familiariser avec les paradigmes de programmation existants et les multitudes de fonctions possibles avec ces derniers. Vous allez également apprendre la structure de données et l’élaboration de la base de données liée à cela.

Vous aurez la possibilité de connaitre toutes les technologies liées à ce domaine (IDE, Plateforme, etc.). Et c’est également ici que vous découvrirez toutes les langages qu’il est possible de maitriser.

Apprendre les bases de la programmation informatique vous permettra ainsi de connaitre les bonnes et mauvaises pratiques, ce qui est essentiel pour bien débuter.

Choisir un langage

Une fois que vous aurez appréhendé toutes les bases de la programmation informatique, vous pourriez choisir le langage qui vous convient le mieux. Ce choix dépendra du domaine ou du métier dans lequel vous voulez appliquer vos futures compétences.

De nos jours, le choix est large en matière de langage de programmation, car on en retrouve plusieurs dans chaque catégorie et pour chaque paradigme de programmation. Chacun possède ses spécificités, ses avantages et ses inconvénients. Certains langages sont orientés vers une utilisation plus précise et sont plus performants dans un domaine défini.

Par exemple, si vous souhaitez œuvrer dans le Big Data, vous devez maitriser le langage, Scala, Python ou Java. Ce sont là des langages de haut niveau qui sont très flexibles pour le traitement des données volumineuses. Vous pourriez les lier aux diverses technologies Big Data comme Hadoop ou Spark, et ce, avec beaucoup plus de facilité.

Si votre but est de concevoir un site web, PHP, ASP.Net, CSS ou encore JavaScript sont des choix intéressants. En effet, pour ce type de programmation, vous devriez maitriser à la fois l’aspect visuel de votre site, mais également son dynamisme et son ergonomie. C’est pour cela qu’il faut avoir des compétences dans plusieurs langages à la fois.

Et si vous voulez développer des applications mobiles, nous vous recommandons d’apprendre C++ ou Java. Que vous envisager de concevoir des applications sous Android ou iOS, ces deux langages vous permettront de mieux aborder les autres technologies associées à ce type de projet. Ce sont en effet ces deux langages qui sont à la base des autres langages destinés aux développements d’applications mobiles tels que Swift, Xamarin ou Kotlin.

Pour ce qui est de la conception des applications pour bureaux, vous pouvez vous diriger vers Java ou C#. Ce sont les deux langages les plus utilisés à cet effet. Toutefois, vous pouvez aussi utiliser C++ ou encore JavaScript avec ElectronJS pour élaborer votre application desktop.

Vous devez aussi choisir l’éditeur de texte qui convient au langage que vous auriez choisi. Cependant, la plupart des éditeurs sont assez souples et supportent presque tous les langages de programmation qui existent. Il faut savoir que certains langages possèdent leurs propres éditeurs de texte qui sont directement intégrés à leurs IDE, à l’instar de Visual Studio ou d’Éclipse.

Suivre des cours et tutoriels

À partir du moment où vous avez choisi le langage que vous voulez maitriser en premier, vous pouvez commencer à l’étudier. Et rien ne vaut l’expertise d’un professionnel pour cela.

Il existe de multitude de cours et des tutoriels pour tous les langages et technologies. Vous avez également l’embarras du choix en ce qui concerne la manière d’apprendre à coder.

Le parcours idéal est celui de passer par des cours académiques, c’est-à-dire intégrer une université ou un institut. Cela vous permettra d’avoir une base solide et d’obtenir un diplôme qui vous procurera plus d’assurance pour la suite de votre carrière.

Toutefois, cela n’est pas forcément obligatoire, car vous pouvez mener vos propres recherches et apprendre en autodidacte. Pour cela, internet vous aidera à trouver les meilleurs cours et les meilleurs tutoriels pour apprendre à coder. Vous allez en trouver sous différents formats, que ce soit en version écrite ou en vidéo.

En cas de blocage, vous aurez toute une communauté qui vous épaulera. Il existe plusieurs forums spécialisés dans la programmation sur lesquels vous pourriez trouver les solutions à vos problèmes. Il est donc judicieux de s’inscrire sur ces forums afin de bénéficier de l’aide des autres programmeurs.

Il existe également plusieurs sites qui proposent des formations complètes, gratuites ou payantes. C’est un bon compromis entre les deux manières précédentes, car cela vous dispense des frais liés au fait d’intégrer un établissement et obtenir tout de même les connaissances dont vous auriez besoin.

S’entrainer à coder

Comme cité dans la citation de Bouddha : « la réalisation réside dans la pratique ».  En effet, si vous souhaitez maitriser l’univers de la programmation informatique, la meilleure façon d’y parvenir est de pratiquer.

Une fois que vous aurez une base suffisante, vous pouvez commencer à l’appliquer en écrivant vos propres codes. Pour cela, prenez un exemple de projet que vous souhaitez réaliser. Vous pourriez étoffer votre programme à chaque fois que vous apprenez une nouvelle pratique. Vous verrez qu’une fois votre apprentissage terminé, vous posséderiez un programme assez complet qui vous sera utile pour la suite de votre carrière.

Une autre manière de s’exercer est de prendre des codes postés sur internet. De cette façon, vous vous habitueriez avec le principe. Beaucoup de programmeurs avérés partagent fréquemment des codes sur des sites et des forums spécialisés. Vous pouvez par la suite modifier ce code afin que vous puissiez développer vos propres idées.

En faisant cela, vous allez acquérir plus d’expériences et accroitre vos compétences dans le domaine de la programmation informatique.

Élargir vos compétences

Maitriser un seul langage ou une seule technologie est insuffisant pour devenir un bon programmeur. Effectivement, vous devez maitriser plusieurs pratiques pour pouvoir mener un projet à terme. En plus, la plupart des programmes, logiciels et applications nécessitent l’association de plusieurs techniques ou même de plusieurs langages afin d’être réalisés.

Dès que vous commencez à maitriser le langage que vous avez choisi au début de vos apprentissages, vous pouvez commencer à vous intéresser sur les autres technologies tournant autour de celui-ci. Grâce à cela, vos réalisations seront plus élaborées et plus propres.

Ensuite, vous pouvez vous tourner vers d’autres langages afin de diversifier vos compétences. De ce fait, vous aurez la possibilité d’aborder plus de sujets afin d’accéder à plus d’opportunités.

Effectuer une veille technologique

Il faut savoir que la programmation informatique ne cesse d’évoluer. En effet, de nouvelles techniques et technologies voient le jour en permanence. Si vous souhaitez devenir un excellent développeur informatique ou travailler dans le domaine de la programmation dans d’autres métiers, vous devez constamment vous informer sur les nouveautés qui sortent.

Cet aspect est nécessaire, car les entreprises qui recherchent et emploient des personnes expertes en programmation ont tendance à privilégier les technologies récentes et innovantes pour leurs futurs projets. Si vous ne voulez pas tomber aux oubliettes, vous devez donc vous adapter à cela.