Oh Puissance naturelle sur moi soupirs aux contacts ineffables entre par cette porte mais de l’intérieur la vue se referme….
La vie est là …la nuit tarde à tomber et sous mes paupières mi closes une vague brutale vint noyer mes yeux…
J’entre au seuil du sommeil
l’angoisse insidieuse guette
je pénètre l’antre de la bête
Retrouverai-je le chemin du réveil
Enfin l’aube se soulève
Laissant pointer l’aurore
L’étui nocturne s’évapore
N’était ce qu’un rêve ?