Alain Vivien, lorsqu’il était président de la controversée et dissoute MILS (Mission Interministérielle de Lutte contre les Sectes), avait largement profité de son passage à la tête de la MILS pour faire des voyages, très souvent sous les tropiques, aux frais du contribuable : Auckland, Tahiti, Rio de Janeiro, la Guyanne et les Antilles.