Il est camerounais, il est chercheur et promoteur d’un laboratoire de recherche en plantes médicinales. Lui c’est Patrick Eteme, et  il déclare guérir le sida en 50 jours !

Plutôt sceptiques au départ, les camerounais auraient  fini par reconnaitre l’efficacité de la gamme de produits que propose le laboratoire « Labo nature » dans le traitement des infections virales, et plus particulièrement le VIH/SIDA.

Ça se raconte dans les chaumières, ça se partage sur les réseaux sociaux, les médias en parlent, les témoignages fusent de partout, et même des personnalités bien connues de la place ! Toutes choses qui nous ont poussés à aller à la rencontre de ce jeune chercheur, pour qu’il nous parle un peu de sa découverte.  

 « C’est en 2001 que commencent les essais cliniques. Dès février 2002,  Viralcide est administré à tous les patients (porteurs de VIH) qui se présentent… Le traitement dure 50 jour ; 14 jours de prise du vinorax et 36 jours de prise du Viralcide…. » nous indique le chercheur, avant d’ajouter « D’après nos bases de données nous constatons que, un mois après la prise des produits, la charge virale des patients devient indétectable et leur système immunitaire est revu à la hausse;  même la numération de la formule sanguine retrouve son équilibre. Enfin le 140e  jour, soit 90 jours après la cure, les patients refont le test de sérologie qui devient négatif. »

À la question de savoir si les autorités camerounaises sont au courant du résultat de ses recherches, il répond par l’affirmative, tout en regrettant le manque de soutien auquel fait face sa structure. « Un soutien qui lui aurait pourtant permis de parfaire ces recherches. » regrette – t – il   

Pour confirmer les déclarations du Docteur Eteme, nous nous sommes rapprochés d’un certain nombre de ses anciens malades, qui nous ont affirmé sous anonymat que grâce aux produits du cabinet « Labo nature », ils ont recouvré la santé, et sont passés de séropositifs à séronégatifs, ceci, résultats à l’appui ! Le nombre de malades en consultation dans ce cabinet, en est d’ailleurs une autre illustration de l’efficacité réelle ou supposée de ces médicaments.

Par ailleurs, il convient de rappeler que,  le traitement du VIH n’est pas le seul terrain de prédilection du cabinet « Labo nature ». Ici, plusieurs personnes disent s’être totalement débarrassées des hépatites virales,  de l’herpès génital, du sarcome … avec la gamme de produits découverts par ce cabinet qui attire de plus en plus les malades de la sous région, et même ceux de l’Europe.

Quant à la composition de cette gamme de produits, le promoteur du cabinet « Labo nature » nous apprend que  « le Vinorax,le  Radirax et le Viralcide sont des produits totalement naturels,  agissant sur le  renforcement du système immunitaire, et le traitement des maladies virales »

 

Avec un peu plus de 25 millions de personnes vivant avec le VIH/SIDA, l’Afrique reste la région du monde la plus touchée par cette pandémie.

Egalement, le continent « noir » enregistre chaque année plus d’un million de nouvelles infections au VIH. Toujours d’après les statistiques officielles, l’Afrique subsaharienne représenterait à elle seule plus de 70% du total des nouvelles infections dans le monde. Des chiffres qui donnent des sueurs froides.

Tout ceci, alors que seuls 37% de ces malades ont accès aux ARV. Les 63 autres pour cent étant condamnés  à la débrouillardise, en attendant la mort !

Dans un tel environnement, il devient plus que capitale de prendre très au sérieux,  toute initiative susceptible d’apporter un coup à l’élimination de cette grande tueuse. Aussi, les autorités de chaque pays devraient-elles associer tous les spécialistes de la santé, y compris ceux  de la médecine traditionnelle à  la recherche des solutions urgentes.

Ces résultats qui nous viennent du cabinet « Labo nature  » devraient donc faire l’objet d’une attention particulière, tant de la part  des autorités camerounaises, que de la communauté internationale,  qui a intérêt à comprendre que la médecine traditionnelle africaine s’est modernisée, et a son mot à dire dans la recherche d’un traitement efficace contre le VIH/SIDA.

Il ne reste plus qu’aux uns et aux autres de se rendre sur le site internet du laboratoire, pour découvrir les prouesses de ces jeunes chercheurs africains, et éventuellement leur apporter une aide qui leur permettra de parachever,  et surtout d’améliorer leurs recherches.   

 

Source photos: www.Camer.be et www.labonature.net