En ce moment, on entend de plus en plus parler de corruption et  il est vrai que des scandales concernant ou impliquant des hauts fonctionnaires de l’Etat ou juste des patrons de grosses sociétés alimentent bien des commentaires.

Et je pense que beaucoup de pays sont impliqués dans des scandales à répétition.

Et le plus curieux, c’est que les trafiquants ont toujours réussi a s’adapter aux différents dispositifs mis en place par les banques…

La preuve, en Algérie la corruption gangrène le pays.

Voilà que des importateurs ont réussi à détourner des milliards de dollars et en plus, sortis légalement des banques algériennes.

En Algérie, il existe le CREDOC qui est une procédure de crédit documentaire. Celle ci est censée réguler les opérations de commerce extérieur.

Mais malheureusement voilà que des importateurs véreux ont réussi a utiliser ce système à leurs profits en détournant de grosses sommes d’argent.

Des milliards ont pu être dépensés par les banques algériennes sans aucuns soucis.

Et ces opérations frauduleuses ont eu une incidence directe sur la facture alimentaire qui a connu une hausse vertigineuse.

La majorité des sommes effectuant ces achats sont détournés vers des paradis fiscaux.

Il a juste suffit de surévaluer des factures et le tour est joué.

Pourtant, c’est une procédure bien connue et qui reste très répandue.

Et rien ne semble arrêter ces gros trafiquants…

Suite à ces trafiquants, voilà que toute l’économie nationale est mise en danger.

La preuve, c’est beaucoup plus qu’un simple délit là.

L’équilibre financier de l’Algérie risque de virer au rouge.

Comment faire?

Même si le gouvernement tente de contrôler ces dites opérations de transfert, les trafiquants ont toujours réussi à s’en sortir avec une longueur d’avance.

L’Algérie attire les convoitises…