Un conseil à M. le président de la République: Le culte de la vitesse peut-il être rentable à long terme ?
A première vue, il sera facile à M. Sarkozy de critiquer en partie cette sorte de message puisqu’il mettra en avant qu’il a été élu pour sortir le pays de l’immobilisme de son prédécesseur, M. Chirac. Mais entre le 0 et le 1 (du système binaire mécanique, matérialiste) se situe la gamme des nuances du vivant …
Actuellement, l’Etat essaie de lutter efficacement contre la vitesse des automobilistes.
Il est obligé de reconnaître que sans la menace du gendarme, de la sanction, il n’y aurait pas de bons résultats.
Dans tous les autres domaines, est-il conseiller de mettre en sommeil ses ardeurs ? !
Et surtout, celles-ci sont-elles explicitées, analysées, intégrées ou désamorcées parce que dévaluées, dépassées ? !
En classe, du primaire aux grandes écoles, au travail, n’apprend-on pas qu’on a intérêt à être « toujours plus (t. p.) rapide, à obtenir t. p. de rendement, à devenir t. p. compétitif, etc. ? !
Par exemple, ne serait-il pas simple de fabriquer des automobiles ne pouvant pas dépasser 130 Km/h, munies de touches permettant de se limiter à 90, 80, 50, 30 Km/h ? !
Mais les constructeurs de voitures, de mèche avec les gouvernements, ne s’opposent-ils pas à cette mesure qui risquerait de contrecarrer la progression de leurs chiffres d’affaires ? !
Si demain tous les véhicules roulaient au maximum à 80 ou 70 Km/h, l’investissement sur des grosses cylindrées ne se transformerait-il pas en une énorme pénalisation ? !
Comme le lobby allemand est spécialisé dans les gammes les plus prestigieuses, Mme Merkel, ayant besoin pour être réélue d’un bilan économique positif, refuse l’adoption par l’UE de n’importe quelle diminution coercitive !
(Il serait aisé de modérer et brider les moteurs déjà existants)
Au niveau industriel maintenant mondial, la politique de survie ne se calque-t-elle pas sur les principes rappelés (au début) ?
S’il y a quelques décennies, existaient parfois des projets à long terme, la prééminence des pouvoirs des actionnaires anonymes (sous la forme des fonds de pension, etc.) désireux de récolter le plus possible à court terme, n’oblitère-t-elle pas les anciennes stratégies ? !
La nature du « double bind » habituel n’a-t-elle pas fondamentalement changé de dimension ? !
Avant, on pouvait peser le pour et le contre en terme de « + » et « – » dans la mesure où ces termes avaient encore un sens (en apparence).
Aujourd’hui, avec la mondialisation des marchés, l’introduction des pays émergents, le point de non retour ne serait-il pas dépassé ? !
A quoi servirait-il de l’expliciter sinon à être immédiatement diabolisé et se retrouver soudainement maudit, infréquentable, pestiféré ? !
Le jeu ne consiste-t-il pas seulement à opter le plus adroitement ou intelligemment possible entre des variantes de « – », qu’ils soient X ou Y ou Z … ? !
Le but caché, inacceptable, inconcevable, insupportable, donc totalement refoulé, n’est-il pas la conduite vers les abattoirs en chantant le plus longtemps possible ?
Il est vrai que certains politiciens, pleins de bonne volonté, sensibles, le mental titillé par des impressions peu claires mais puissantes, s’agitent, sont décidés à prendre le taureau par les cornes, à renverser la vapeur, etc., et parvenir à faire bouger leur pays, le sortir de l’ornière, etc. !
Habitués à mener à bien leurs désirs, ils comptent sur leurs capacités et dons pour vaincre, terrasser l’ennemi, gagner.
Ils ne peuvent imaginer l’échec, la défaite finale parce que leur méthode, celle qu’ils ont constamment appliquée, leur semble intrinsèquement bonne !
Ils n’ont pas pris le temps de philosopher. Leurs conceptions de l’« Homme » sont à première vue sommaires, datées, ne tenant pas compte des avancées de la neurobiologie.
Faut-il surévaluer les dégâts prochains ?
La fin de la civilisation peut-elle être évitée ?
Les différents paramètres exposés ne fournissent-ils pas une réponse inéluctable ? !
L’espèce des homo sapiens n’a-t-elle pas fait son temps et ne doit-elle pas renouveler profondément son mode de vie, voire muter …? !
Par ex., suite à des manipulations humaines, l’épidémie de la myxomatose a décimé les lapins et lièvres il y a quelques années. Il n’empêche qu’environ 10 % ont réchappé et sont sortis immunisés, d’un bon pied !
Des régulations naturelles se produisent quand une espèce est en danger d’extinction et, après un important élagage, permettent aux survivants une nouvelle période de reproduction, d’épanouissement (v. Darwin).
Un détail curieux de type mathématique : « les arbres de l’évolution »
Une récente enquête on ne peut plus mathématique, statistique, sur l’évolution de nombreux animaux et végétaux à travers l’Histoire de la Terre, entreprise par des scientifiques de renom (Laurent Nottale, Jean Chaline, Pierre Grou) a révélé l’existence de schémas communs à de nombreuses espèces.
Ils se sont contentés de conclure en émettant une simple hypothèse : si jamais nous empruntions les mêmes chemins que les organismes étudiés, nous devrions rencontrer un crise majeure, une remise en cause générale de nos modes de vie avant 2080. Cette théorie originale a été présentée avec succès en l’an 2000 dans l’ouvrage « Les arbres de l’évolution » édité chez Hachette Sciences- Littératures.
S’arrêter brusquement sur ce genre d’observation risquerait de laisser une sensation amère, un pessimisme ou défaitisme ou résignation proche des symptômes de la dépression. Contrairement à ce qu’on peut croire, le monde va comme il doit aller !
De manière sous-jacente, en filigrane d’ailleurs de toutes les considérations émises, se dissimule la notion de bien-être.
Le plaisir n’est pas le bonheur, quelle est la différence ? Des multiples réponses, subjectives, sont prévisibles.
Elles varieront aussi en fonction de l’âge.
A l’âge de 63 ans, à travers les diverses discussions qui ont émaillé le vécu, quand je dresse un bilan, je suis obligé de constater que mes réactions sont t. p. en décalage.
Quand les personnes ont l’air d’être heureuses, de crier que « La vie est belle », je me contente de sourire, ne les jugeant pas vraiment puisque ne pensant pas que le concept de liberté ait un sens réel ou, dans tous les cas, celui que des bonobos boostés (l’écart entre nos génomes et les leur est de moins de 2 %, voire de 4 % d’après une évaluation plus récente) lui attribuent.
Elles sont pragmatiques, réalistes, profitent du moment, déclarant : « demain, on verra ». Cette attitude est a priori bivalente : elle peut être la traduction de l’insouciance ou alors une sage position zen (l’acceptation totale du destin).
Mais on ne naît pas « zen » mais le devient après une préalable longue méditation sur tous les problèmes de la condition humaine …
En général, donc, cela signifie que le cerveau des émotions (et non le néocortex !) mène le bal.
Il ne leur viendrait pas à l’esprit de chercher à généraliser, de se tourner sur l’harmonie (qui, effectivement, se rencontre peu sur Terre puisque seuls des écosystèmes peuvent gérer la perpétuation de la vie dans un milieu fermé)
Elles se contentent de ce qui apparaît, se présente fugacement.
Pourquoi pas !
Quant à moi, je privilégie l’état d’harmonie, l’effet de résonance touchant les différents éléments d’un ensemble et dégageant un « plus », une communion ou un phénomène transcendant plus abstrait, idéal ou symbolique.
La distinction entre le plaisir et le bonheur ne serait-elle pas un peu analogue à celle existant entre l’élément et l’ensemble …
A chacun(e) son truc ! Cela ne change rien à l’affaire … !
Au lieu de « Qui vivra verra », je préfère « Qui ne vivra plus verra … dans l’après- vie ».
Raisonnant par l’absurde, je déduis de la présence de « l’enfer du Jeu de la vie terrestre » pour plus de 80 % de la population de la planète (V. le bilan du PNUD, v. a. la règle des 20 % / 80 % de Pareto), un prolongement rétablissant l’équilibre.
Si le néant était l’aboutissement, quel échec, quelle stupidité et non sens !
Pourquoi le règne animal des homo sapiens serait-il le chef-d’oeuvre de l’Univers ? !
Puisque la marche du Cosmos est animée par des cycles quasiment réguliers (ne s’emballant pas par caprice), pourquoi la rudimentaire linéarité évoquant la droite croissant « toujours plus » (et infiniment) placée en exergue par Euclide, la recherche de l’immortalité, le refus d’évoluer, le conservatisme animal, la peur de la mort, l’instinct de survie, le principe d’homéostasie, devraient persister à jouer le rôle de pierre angulaire ou philosophale ? !
De qui se moque-t-on ? !
Un complément argumentaire !
Auteur de ce mail, je remercie l’intuition des modérateurs dans la mesure où l’acceptation de la publication de ce texte, écrit dans la foulée, trop rapidement, montre involontairement que si l’idée est bonne, la précipitation entache la présentation au point de pouvoir plus ou moins en partie la dénaturer.
Par ex., les annonces de la fin de la publicité sur les chaînes publiques, du rappel de la Shoah, etc., n’auraient-elles pas pu bénéficier d’un cadre plus étoffé ?
A coup sûr, j’ai négligé la forme …
Désolé d’avoir été victime du travers que je dénonçais !
Cela devrait me servir de vaccin … !
La seconde mouture
Un conseil à M. le président de la République
Le culte de la vitesse peut-il être rentable à long terme ? Ne pas être très dangereux ?
A première vue, il sera facile à M. Sarkozy de critiquer en partie cette sorte de message puisqu’il mettra en avant qu’il a été élu pour sortir le pays de l’immobilisme institué par son prédécesseur, M. Chirac. Mais entre les chiffres ou nombres, les bilans quantitatifs, les 0 et les 1 (du système binaire mécanique, matérialiste) se situe la gamme des nuances du vivant, les qualités et défauts …
Actuellement, l’Etat essaie de lutter efficacement contre la vitesse des automobilistes.
Il est obligé de reconnaître que sans la menace du gendarme, de la sanction, il n’y aurait pas de bons résultats.
Dans tous les autres domaines, est-il suggéré de mettre en sommeil ou de maîtriser ses et ces ardeurs de domination ? !
Et surtout, celles-ci sont-elles explicitées, analysées, intégrées ou désamorcées parce que relativement dévaluées, empreintes de nombreux futurs inconvénients ? !
En classe, du primaire aux grandes écoles, au travail, n’apprend-on pas qu’on a intérêt à être « toujours plus (t. p.) rapide, à obtenir t. p. de rendement, à devenir t. p. compétitif, etc. ? !
Par exemple, ne serait-il pas simple de fabriquer des automobiles ne pouvant pas franchir 130 Km/h, munies de paliers limitant à 90, 80, 50, 30 Km/h en économisant au maximum la consommation de carburant ? !
Mais les constructeurs de voitures, objectivement de mèche avec les gouvernements, ne s’opposent-ils pas à cette innovation qui contrecarrerait la progression de leurs chiffres d’affaires, la balance commerciale ? !
Si demain tous les véhicules roulaient au maximum à 80 ou 70 Km/h, l’investissement sur des grosses cylindrées ne se transformerait-il pas en une énorme pénalisation ? !
Comme le lobby allemand est spécialisé dans les séries les plus prestigieuses, Mme Merkel, ayant besoin pour être réélue d’un bilan économique positif, ne se voit-elle pas contrainte de refuser l’adoption par l’UE de n’importe quelle diminution coercitive !
(Il serait aisé de modérer et brider les moteurs en circulation)
Au niveau industriel maintenant mondial, la politique de survie capitaliste (dite libérale) ne se calque-t-elle pas sur les principes rappelés au début ?
S’il y a quelques décennies, existaient parfois des projets à long terme, la prééminence des pouvoirs des actionnaires anonymes (sous la forme des fonds de pension, etc.) désireux de récolter le plus possible à court terme, n’oblitère-t-elle pas les anciennes stratégies ? !
La nature du « double bind » usuel n’a-t-elle pas fondamentalement changé de dimension ? !
Avant, on pesait le pour et le contre en terme de « » et « – » mais une morale, culture, imprégnaient la démarche qui demeurait « humaine »
Aujourd’hui, avec la mondialisation des marchés, l’introduction des pays émergents en tant que sources des mains-d’oeuvre les moins coûteuses, le point de non retour ne serait-il pas dépassé ? !
Le jeu ne consiste-t-il pas seulement à opter le plus adroitement ou intelligemment entre des variantes de « – », qu’ils soient X ou Y ou Z … ? !
Le but caché, inacceptable, inconcevable, insupportable, donc totalement refoulé, n’est-il pas la conduite vers les abattoirs en chantant éventuellement ?
A quoi servirait-il de l’expliciter sinon à être immédiatement diabolisé et se retrouver soudainement maudit, infréquentable, pestiféré ? !
Il est vrai que des politiciens, pleins de bonne volonté, le mental titillé par des impressions peu claires mais puissantes, s’agitent, sont décidés à prendre le taureau par les cornes, à renverser la vapeur, etc., et parvenir à faire bouger leur pays, le sortir de l’ornière, etc. !
Habitués à mener à bien leurs désirs, ils ne doutent pas de leurs capacités et dons pour vaincre, terrasser l’ennemi, le dragon, gagner.
Ils n’envisagent pas l’échec, la défaite finale, parce que leur méthode, celle qu’ils ont constamment appliquée, leur apparaît intrinsèquement bonne !
Ils n’ont pas eu le loisir de beaucoup ou trop philosopher. Leurs conceptions de
l’« Homme » sont à première vue sommaires, ne tenant pas compte des avancées de la neurobiologie la plus moderne.
Faut-il surévaluer en conséquence les dégâts prochains ?
La fin de la civilisation peut-elle être évitée ?
Les divers paramètres exposés ne fournissent-ils pas une réponse inéluctable ? !
L’espèce des homo sapiens n’a-t-elle pas fait son temps et ne doit-elle pas renouveler profondément son mode de vie, voire muter …? !
Par ex., suite à des manipulations humaines, l’épidémie de la myxomatose a décimé les lapins et lièvres il y a quelques années. Il n’empêche qu’environ 10 % ont réchappé et sont sortis immunisés, d’un bon pied !
Des régulations naturelles se produisent quand une espèce est en danger d’extinction et, après un important élagage, permettent aux survivants une nouvelle période de reproduction, d’épanouissement (v. Darwin).
Un détail curieux de type mathématique : « les arbres de l’évolution »
Une récente enquête on ne peut plus mathématique, statistique, sur l’évolution de nombreux animaux et végétaux à travers l’Histoire de la Terre, entreprise par des scientifiques de renom (Laurent Nottale, Jean Chaline, Pierre Grou) a révélé la trace de schémas communs à de nombreuses espèces.
Ils se sont restreints à émettre une hypothèse : si jamais nous empruntions des chemins semblables à ceux des organismes étudiés, nous devrions rencontrer un crise majeure, une remise en cause globale de nos modes de vie avant 2080. Cette théorie originale a été publiée avec succès en l’an 2000 dans l’ouvrage « Les arbres de l’évolution » édité chez Hachette Sciences- Littératures.
S’arrêter brusquement sur ce genre d’observation risquerait de laisser une sensation amère, un pessimisme ou défaitisme ou résignation proches des symptômes de la dépression. Contrairement à ce qu’on peut croire, le monde va comme il doit aller !
De toutes les considérations émises, de manière sous-jacente ou en filigrane, se dissimule d’ailleurs la notion de bien-être.
Si le plaisir n’est pas le bonheur, quelle est la dissemblance ? Des multiples réponses, subjectives, sont prévisibles.
Elles varieront aussi en fonction de l’âge.
A 63 ans, à travers les diverses discussions qui ont émaillé le vécu, quand je dresse un bilan, je suis forcé de constater que mes réactions sont t. p. en décalage.
Quand les personnes ont l’air d’être heureuses, de crier que « La vie est belle », je souris, ne les jugeant pas vraiment puisque ne pensant pas que le concept de liberté ait un sens réel ou, dans tous les cas, celui que des bonobos boostés (l’écart entre nos génomes et les leur est de moins de 2 %, voire de 4 % d’après une évaluation plus récente) lui attribuent.
Elles sont pragmatiques, réalistes, profitent du moment, déclarant : « demain, on verra ». Cette attitude est a priori bivalente : elle peut être la traduction de l’insouciance ou alors une sage position zen (l’acceptation totale du destin).
Mais on ne naît pas « zen » mais le devient après une préalable longue méditation sur tous les problèmes de la condition humaine …
Cela signifie donc que le cerveau des émotions (et non le néocortex !) mène le bal.
Il ne leur viendrait pas à l’esprit de chercher à généraliser, de se tourner sur l’harmonie (qui, effectivement, se rencontre peu sur Terre puisque seuls des écosystèmes peuvent gérer la perpétuation de la vie dans un milieu fermé)
Elles se contentent de ce qui se présente.
Pourquoi pas !
Quant à moi, je privilégie l’état d’harmonie, l’effet de résonance touchant les multiples éléments d’un ensemble et dégageant un « plus », une communion ou un phénomène transcendant plus abstrait, idéal ou symbolique.
La distinction entre le plaisir et le bonheur ne ressemblerait-elle pas un peu à la différence de dimension entre l’élément et l’ensemble … ?
A chacun(e) son truc ! Cela ne change rien à l’affaire … !
A l’expression « Qui vivra verra », je préfère « Qui ne vivra plus verra … dans l’après- vie ».
Raisonnant par l’absurde, je déduis de la présence de « l’enfer du Jeu de la vie terrestre » pour plus de 80 % de la population de la planète (V. le bilan du PNUD, v. a. la règle des 20 % / 80 % de Pareto), un prolongement rétablissant l’équilibre … sans me référer aux religions, aux dieux, etc. (Les cellules, reptiles, grenouilles, chimpanzés, vivent chacun dans leur petite sphère avec leurs petits problèmes …., comme nous ! De même, certains, à leur niveau, sont prétentieux, dominateurs, et les autres soumis, exécutants, etc.)
Si le néant était l’aboutissement, la complexification néocorticale ne serait-elle pas alors absolument inutile ? Le règne animal ne serait-il pas suffisant en tant que chef-d’oeuvre de l’Univers ? !
Puisque le mouvement du Cosmos passe par des cycles quasiment réguliers (ne s’emballant pas par caprice), pourquoi la rudimentaire linéarité évoquant la droite croissant « toujours plus » (et infiniment) placée en exergue par Euclide (se dérivant en la recherche de l’immortalité, le refus d’évoluer, le conservatisme animal, la peur de la mort, l’instinct de survie, le principe d’homéostasie) devrait persister à jouer le rôle de pierre angulaire ou philosophale ? !
De qui se moque-t-on ? !
qui va piano va siano…
En tous les cas, pour moi qui ne suis pas une flèche en politique… je vous suis ! Surtout qu’à force d’appuyer sur l’embrayage, je sens qu’il y en a qui vont passer à la révision et au contrôle technique plus tôt que prévu…! et que c’est nous, les lents et les constants, qui paieront pour eux !!! mais j’ai remarqué aussi qu’en matière de conduite automobile, y’en a qui savent pas anticiper pour freiner…
Par exemple, ne serait-il pas simple de fabriquer des automobiles ne pouvant pas dépasser 130 Km/h, munies de touches permettant de se limiter à 90, 80, 50, 30 Km/h ? !
Hé oui, limiter la vitesse par construction et limiter la puissance de façon à faire en sorte que les voitures soient aussi nerveuses qu’une 2 cv.
Mais quel gouvernement aura le courage de le faire???
Aucun et pourtant cela permettrait des économiques