Une approche de la vie conciliante, voire synthétique.

Une approche de la vie conciliante, tentant d’éviter l’entrée en contradiction avec le christianisme et le bouddhisme.

            (Le masculin neutre sera employé)

 Le constat apparent du monde l’extérieur.

Le fonctionnement de l’Univers évoque des mouvements quasiment cycliques en dehors des rares moments de discontinuité et de rupture.

Ceux de la vie en sont-ils loin ? Les obligations de respirer, de s’alimenter, de récupérer, etc., les jours, les saisons, se suivent. Selon un rythme plus long, naissance et mort forment le début et la fin de notre cycle d’existence terrestre.

Les écosystèmes et ses agents de dégradation sont les seuls systèmes conformes à perpétuation de la vie multiplicative dans un milieu fermé.

 Le constat intérieur en partie (soigneusement !) occulté.

Si jamais on posait l’hypothèse qu’il est préférable de posséder et d’avoir assimilé le

mode d’emploi d’un appareil complexe si jamais on désire s’en servir efficacement, serions-nous dans le cas optimal ? !

Est-il sûr que nous essayons d’analyser systématiquement les influences des  trois

composantes principales du cerveau avant d’engager une action ? ! N’est-ce pas le préalable de toute démarche rationnelle ? ! (Pour en savoir plus, v. par ex. Internet à 3 cerveaux ou cerveau triunique ou tripartite)

Si le rôle du cerveau des émotions est peu diffusé, la « Société de consommation » n’aurait-elle pas, à court terme, tout avantage

Le principe fondamental ou le ressort de la société de consommation n’est-il pas l’exploitation « positive », tous azimuts, des manques, frustrations, mal-être, fantasmes ; la proposition de sources de plaisirs compensatoires s’estompant dès que consommés ; l’incitation à renouveler l’accès à ces impressions gratifiantes en achetant « toujours plus » (t. p.) d’autres produits t. p. sophistiqués et générateurs de t. p. de profits ? !

Présenté autrement, ne sommes-nous pas invités à nous placer sous la dépendance du cerveau des émotions (au détriment du néocortex) ? !

   Quelles sont les conséquences de cet état d’esprit ?

L’homo sapiens (h. s.) est-il rationnel ou plutôt peut-il l’être ? !

Une théorie, idéologie, révolution, projet, construit sur le postulat de « l’homme rationnel » ont-ils les moyens d’aboutir selon leurs objectifs ?

 

Quelles seraient-elles s’il utilisait correctement son néocortex ?

 

-Intégrant la mort, il s’arrangerait pour aménager au mieux le cycle de la vie.

-Il ne se contenterait pas de valoriser le début (la naissance et la jeunesse) mais positiverait encore plus la fin. La vieillesse et la mort seraient agréables, « dignes » (ou « vraiment humaines » !).

-N’ayant plus peur de la mort, de « l’enfer » inventé par les religions elles-mêmes bâties par des gens apeurés, angoissés, cherchant comme les enfants un « Père » protecteur à qui se raccrocher, il la décrypterait comme le point de passage vers l’Après-vie.

La remise des religions à leurs justes places n’implique absolument pas l’athéisme !

Pourquoi l’Univers serait-il né de rien ?

L’h. s. est-il capable de se prononcer sérieusement ? !

(Une évaluation comparative de son génome et de celui du chimpanzé ne vient-elle pas de relever une différence inférieure à 2 %. Ne sommes-nous donc pas objectivement des sortes de bonobos boostés !)  

 

Une proposition en relation avec la théorie mathématique des jeux et le principe de Pareto.

Le principe de Pareto, entre autres,  permet de concevoir la vie d'une autre façon, d’être nettement plus près du quotidien vécu, des obstacles rencontrés …

Au départ, fin 19e siècle, un économiste sociologue  Alfredo de Pareto fut attiré par un phénomène curieux : la constance approximative de la répartition des richesses d’un pays.       On en tira le principe de Pareto ou la règle des 20% / 80% (V. Internet pour en savoir plus.)

Réexaminé par des physiciens, mis en équation, il s’applique ou est validé dans la physique des fluides …Voici une autre illustration succincte via un article d’Internet relatant une expérience entreprise par deux chercheurs : « Mettez 500 singes dans une salle des marchés… Les mathématiques de la fortune ». Pour eux, cette équation décrit très exactement la répartition des richesses dans une population. Leur conclusion : pour devenir riche, le hasard suffit.  Personnellement, je me suis basé sur l’observation de l’être dit humain, ai retenu l’hypothèse qu’il ne devait pas être nécessaire être doué, « intellectuel », pour saisir le minimum requis pour vivre sans le stress existentiel ! 1) J’ai défini l’h. s. comme un être en manque, en déséquilibre.(Au départ, c’est un livre du biologiste renommé « Henri Laborit » « Eloge de la fuite » qui m’a éveillé il y a plus de trente ans)

Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, action, mouvement, animation, vie !

 2) J’ai posé que les manques et déséquilibres partiels composent les motivations qui alimentent le moteur de la vie.Sans motivations, n’est-ce pas le suicide ? !La personne qui déclare en toute « inconscience » ne « croire » en rien croit suffisamment en elle-même pour « jouer » plus ou moins adroitement ou maladroitement le « jeu de la vie »Selon ses aptitudes et autres tendances, elle pariera, misera, échafaudera des tactiques, élaborera des stratégies, etc. pour « gagner », « s’en sortir », connaître la « victoire », les « honneurs », la « gloire », etc., voire « dominer » !Et si elle parvient à ce stade, si elle est prudente, elle poursuivra ses efforts pour se préserver, se mettre plus en sécurité, en dehors des dangers multiples. Elle accumulera et conservera … au risque de tomber dans la dépendance (plaisir, argent, pouvoir, richesse visible, etc.) !Si elle est battante, compétitive et compétitrice, elle foncera encore plus !

Dans les deux scénarios, le problème de l’ADDICTION » n’est-il pas en filigrane ? !

 3) Ces pratiques n’emprunteraient-elles pas plus ou moins à celles des jeux … ? !            Qu’on le veuille ou non, ne serait-il pas habile de s’en inspirer pour les approfondir ? !

Un Jeu ne peut bien « marcher » que si cohabitent pacifiquement peu de gagnants et beaucoup de perdants liés par l’ « ESPOIR » de s’en sortir avec un peu de chance.

Ce taux ne peut pas trop varier sans provoquer la perte de l’intérêt de participer, donc sans déclencher l’effondrement du jeu et son remplacement par une innovation attirante et plus sophistiquée !

 Ne serions-nous pas très très  loin des petites phrases du genre :-« Si tu travailles bien, tu réussiras » !-« Si chacun faisait un effort, tout irait mieux » ! -« Si tout le monde était intelligent, ce serait formidable » !-Etc. ! 4) *** Ne serait- il pas évident que les préoccupations du joueur ne peuvent être de la même dimension que celles du créateur du jeu ? !

Qu’est-ce qu’un « joueur », voire « bon joueur » ? ! Ne sont-ils pas indispensables ? !

Les rapports chance/malchance, gain/perte, réussite/échec, plus intelligents/moins intelligents, etc., ne sont-ils pas inhérents à cette organisation ? !

En réfléchissant un peu plus, la durée du séjour garde-t-elle une importance ? ! Sa longueur n’est-elle pas une bonification subjective ? !

 Cette mise en perspective n’a-t-elle pas un atout consensuel : ne pas démolir les autres religions mais les intégrer « positivement » ? ! La BibleQue la Bible soit d’essence divine ou un recueil de contes et légendes, les figures littéraires ou paraboles traduites, ne collent-elles pas à nos agissements ? !La plus célèbre, celle du « péché originel », aussi abracadabrantesque qu’elle paraisse, n’est-elle pas l’esquisse de la prééminence du « principe de plaisir », du mépris du « principe de réalité », et de son enchaînement ? ! « Ch. 1.28 …Croissez et multipliez-vous, remplissez la terre, et vous l’assujettissez, et dominer sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tous les animaux qui se meuvent sur la terre »Ne nous conduisons-nous pas comme les nazis face aux animaux de consommation ? N’avons-nous pas institué des véritables camps de concentration, de torture ?

Ne sommes-nous pas des authentiques « bourreaux » qui se cachent ce qu’ils ne

sauraient voir (cf. Molière). Les poissons ne sont même pas épargnés ! Les saumons d’élevage sont tellement malmenés qu’ils perdent leur couleur rougeâtre ! Il faut leur fournir des colorants artificiels pour qu’ils reprennent un aspect artificiellement présentable aux acheteurs ! « Ch. 3.16 Vous enfanterez dans la douleur.Vous serez sous la puissance de votre mari, et il vous dominera »

N’est-ce pas une confirmation de notre nature animale minimisant l’histoire (non pas

du Père Noël racontée habituellement par des parents sans dommage …) de l’Homme créé à l’image de Dieu (V le Ch. 9.6) ? !

Et dans certains continents, quel est le sort de la femme au 21ième siècle ? !

Ne les punit-on pas en les fouettant, les lapidant ? Et, le comble, si les dits

« hommes » se transforment en kamikazes au nom de leur Dieu, ne gagnent-ils pas le paradis ? Non ! Insuffisant mon cher Watson ! ! ! Ils ont en plus leur rêve et fantasme premier réalisé : ils ont le droit de posséder 72 vierges (pas une mais 72) ! ! ! Comment déchiffrer cette invitation ? Qui pourra démontrer qu’il ne s’agit pas de quantité mais de qualité ? Que l‘exploit de la conquête n’est pas  honoré ?  Que l’amour est au centre de ce paradis et non pas le sexe ?

« Ch. 3.17 La terre sera maudite à cause de ce que vous avez fait, et vous n’en  tirerez de quoi vous nourrir pendant toute votre vie qu’avec beaucoup de travail »« Ch. 3.19 Vous mangerez votre pain à la sueur de votre visage »            Comment prenons-nous soin de la planète ? !

Plus trivialement, la formule signalant l’impossibilité d’obtenir le beurre et  l’argent du beurre ne pourrait-elle pas convenir ? !

 Ch. 8. 10 de l’ év. s. St-Luc.   Le Christ s’adresse à ses disciples « Pour vous, il vous a été donné de connaître le mystère du royaume de Dieu ; mais pour les autres, il ne leur est proposé qu’en paraboles ; afin qu’en voyant, ils ne voient pas, et qu’en écoutant, ils ne comprennent point ».Ch. 13. 13 de l’ év. s. St- Matt. … « C’est pourquoi je leur parle en parabole ; parce qu’en voyant ils ne voient pas, et qu’en écoutant ils n’entendent pas, ni ne comprennent point » (Trad. De Lemaître de Sacy, Ed. Laffont)

Quelle que soit l’interprétation, il souligne qu'ils n'évolueront pas et que tout se terminera par la catastrophe !
            Quel est le contexte actuel ?

Quant à l’amour à deux ou réservé à la famille, au clan ; qui est source de privilèges, injustices, rancoeurs, envies de vengeance, conflits, guerres ; n’est-il pas épinglé  par rapport à « l’amour du prochain » (de tous les autres et non pas des proches !) ? !

Si la malédiction, les fins tragiques, sont placées en exergue comme dans tout bon synopsis, les dernières paroles du héros, Jésus, ne résument-elles pas la « pauvre » condition  de l’h. s. ? !

L’év. s. st.-Matt. ch. 27.46 « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’avez-vous abandonné ? » ne souligne-t-il pas la faiblesse du fils de Dieu, donc a fortiori de l’h. s. ? !

            L’év. s. St.-Luc, ch. 23. 34 Et Jésus disait : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font » ne sous-entend-il pas une amnistie générale pour celles et ceux qui respirent aussi bêtement ? ! Quant aux h. s. qui jurent qu’ils sont Napoléon, qu’on ne peut pas contrarier sans qu’ils ne s’énervent, dans quelle catégorie les ranger ? !

            Etc.

 Le Bouddhisme

            Puisque l’impermanence n’est pas un mot mais la vérité, l’attachement, les « soifs » de posséder, de conserver, ne sont-ils pas vaines (en utilisant une litote !).

            Des phrases telles celles qui suivent n’expriment-elles pas le bon sens ? Les appréhender pleinement exige-t-il un bagage ou une culture quelconque ? !

            « On veut tout gagner et on a peur de perdre »

            « Si vous avez un but, vous devenez inaccessible, possédé par ce but »

            « Les gens ont peur du vide, car ils ne savent pas que le vide n'est pas le vide »

            « Le zen ne s'attache à rien »

            « L'homme est devenu esclave de ses pensées »

            « Même si mes paroles sont justes, même si mes pensées sont exactes, cela n'est pas conforme à la vérité »

            « Il n'y a pas de différence entre le sot et l'avisé »

            « Notre tête, notre mental ne valent pas plus qu'une paire de sandales »
             « La vraie réponse de l'existence de l'homme ne peut être obtenue par la réflexion »

            « Je ne peux rien expliquer parce que je ne sais rien »

            « Le problème fondamental de l'homme est de s'attacher à la vie et de rejeter la mort »

            *** « Si tu rencontres le désastre, il est bien de rencontrer le désastre ; si tu meurs, il est bien de mourir ; si tu crois à la réincarnation, elle existe ; si tu ne crois pas à la réincarnation, elle n'existe pas »

            « L’on est riche de tout ce dont on a pas besoin »            « Apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir »            « La vie est un moyen et non pas une fin »            « Soyez vous-même votre propre lanterne »            « Harmoniser les contraires en remontant à leur source, cela est le propre de l'attitude zen. La voie du milieu : c'est embrasser les contradictions, en faire la synthèse »            « Cette liberté, c’est saisir la non peur » (mais ne vivons-nous pas dans le monde de la peur, de la mort ? !)             Sauf si on est intégriste, l’ensemble n’est-il pas « synthétique » ?             A vous de « choisir » !            Quant à l’hypothèse des réincarnations (qui ne manque pas de logique), est-ce gênant si d’autres, aussi cohérentes, la remplaçaient ? !  L’Après- jeu ou l’Après- vie me semble indépendant(e) des résultats terrestres … On parle souvent de la recherche de l’harmonie …-Entre l’apparent calme du ciel d’une belle nuit sans nuages, la sensation de bien- être ou de sérénité dans des situations favorables, et la réalité au niveau des infrastructures, n’y aurait-il pas une incompatibilité de perceptions ? ! Les particules et autres éléments élémentaires (peut-être inconnus ?) ne font que s’entrechoquer, se détruire mais aussi renaître sous d’autres formes … !Et que dire des énergies ? !-Analogiquement, les h. s. fortunés, égocentriques, affirment en toute bonne foi que la vie est merveilleuse : par ex. « Chéri, que cette vie et maison sont harmonieuses ! Il suffit d’appuyer sur un bouton, d’indiquer son souhait, et celui-ci se réalise magiquement en quelques minutes, sauf contretemps majeur » ? !  

* En ne s’attardant pas sur les collisions des météorites, astres, étoiles, que signifient les dites catastrophes naturelles si dévastatrices ? Les éruptions volcaniques, tremblements de terre, tornades, cyclones, foudre, tempêtes,  tsunamis, inondations, sécheresse, etc. ? Et la loi de la jungle selon laquelle le plus fort mange le plus faible ?

            Chez les animaux, elles génèrent la panique …

            Chez les h. s., aussi.

            Mais chez l’ « homme vrai » ? 

            * Si ces événements n’étaient pas stupides (comme parfois nos actes !) mais avaient une raison, ne constitueraient-ils pas des indices (mais au second degré !) signalant que la « mort » ouvre l’accès à une seconde phase (inimaginable pour nos frêles têtes aussi prétentieuses, présomptueuses, qu’inconscientes et limitées) ; qu’il ne faut donc pas « en faire une maladie » (ou une dépression)  ? !

* N’est-il pas amusant ou navrant de constater :

-que beaucoup de « faux humains » sont prêts à user tous les moyens (les plus

horribles ou barbares) pour demeurer dans l’ « enfer terrestre » ? !

            -Qu’ils préfèrent souffrir que s’échapper ? !

            -Qu’ils voudraient bien y mariner éternellement, donc travailler dans le stress, la précarité, la compétitivité (qui ne pourraient être que t. p. intenses) ? !

            (Si tous les Terriens vivaient comme les Européens, il faudrait 3 planètes pour satisfaire leurs appétits ! ! !)

            * Nous qui nous prenons pour des merveilles …, quel est notre emploi du temps ?      -Chaque matin et soir, si nous ne sommes pas au chômage, comme des fourmis, nous nous élançons à la queue leu leu dans les rues puis les rails du métro ou de la SNCF ou les routes, etc. !

            -Et nous louons non pas seulement (comme certaines, le temps d’une passe !) notre corps mais, de manière bien plus grave (en toute bonne conscience !), notre matière grise pendant 40 ans à un employeur (si on en trouve un qui veut bien s’occuper de nous, nous « protéger ») !

            -Nous fabriquons ou manipulons ou vendons des matériels ou des denrées dits modernes (avec toutes leurs déficiences : ne sont-ils/elles pas fréquemment superficiel/les, nocifs/ves puisque contenant des polluants, etc. ?) uniquement contre rétribution et quelquefois (si c’est possible, si l’occasion se présente !) volontairement pour obtenir un maximum d’argent (en mettant en valeur nos compétences et charmes !) ! En dehors de toute morale ! Peu importe alors leur qualité, dangerosité potentielle, destination, prix !

            -Et ce parcours, plus que balisé, perdure sans révolte !           

-Et nous certifions être « heureux » ! (A plus de 70 % d’après les sondages annuels !)

             La conclusion tiendra dans cet humour noir ou blanc où je ne sais …

Pourquoi le prolonger plus inutilement ? !

La boucle n’est-elle pas refermée ? !

 N. B. Si j’avais à dénoncer fortement une « hérésie », elle viserait les rationalistes se reniant, se parjurant en se définissant !

Pour commencer, un exercice explicite décompose le problème général qu’ont résolu

les matheux avant de tricher effrontément !

Il propose de disposer 6 allumettes (figurant 6 segments de même longueur) sur une

table plate (ou un plan) de manière à configurer 4 triangles équilatéraux ayant pour côtés ces 6 segments.
             * Si on est obligé d'abandonner ce problème sans solution dans le plan (de dimension 2) ; l'idée consistant à décoller, à se mouvoir dans l'espace traditionnel (de dimension 3), aboutit de suite à la construction d'une pyramide triangulaire de type équilatérale formée des 4 triangles envisagés.

** N'est-il pas clair que dans un espace plat, une entité forcément sans épaisseur (ou de nature plate), vivant et se déplaçant …ne peut pas avoir conscience de la notion de relief  ? !

L’escroquerie ! Les rationalistes, férus de mathématique, ont démontré lors de leur cursus scolaire qu’un problème sans solution dans un espace vectoriel E de dimension " n " peut parfois être résolu dans un espace F incluant E et de dim " n+1 ". (V. le pb. des allumettes) ; qu’il n’est pas possible d’accéder à la conscience d’un espace nous dépassant !

 

            Dans ces conditions, décréter être des représentant(e)s de l’espèce de la plus grande dimension de l’Univers, ne devrait-il pas les mettre mal à l’aise ? ! Eh bien, non ! ! !

            Ils osent laisser suggérer qu’ils sont des dieux en devenir, qu’il suffit de trouver et d’agir t. p. vite !

Ceci n’expliquerait-il pas largement cela ? ! ! !              C. Q. F. D. !

 THE END !

Freud était déjà arrivé en toute logique au non jugement des personnes

inconscientes ou irresponsables !

Sans chercher midi à quatorze heures, en raisonnant simplement par l’absurde,

-pourquoi la majorité de la population d’une planète serait-elle condamnée par essence, quelle que soit son évolution,  à vivre « mal » parce que victime du « système d’exploitation de l’h. s. par l’h. s.» lui-même échafaudé sur « la peur de la mort » animale, celle qui est enclenchée par la prééminence de l’instinct de survie imprégné dans le cerveau le plus primitif ou reptilien ? !

 

9 réflexions sur « Une approche de la vie conciliante, voire synthétique. »

  1. [img]http://www.blogoutils.com/images/a1.gif[/img] Comme promis je suis venue lire ce TRES BEAU TEXTE, philosophyque,qui me laisse sur une impression de nostalgie intense.
    TOUT ce que vous dites est VRAI, quant au comportement de h.s.!!
    Mais que faire ?
    Apportez vous une solution ?
    A part celle déjà « entrevue », sous l’article « la pollution au Moyen Age »!!
    Pas facile de changer les mentalités des h.s., que nous sommes, vous, comme moi!!
    Pas facile d’entrer en discussion sur le devenir du h.s. sur Terre!!
    Livrez vous un peu plus, et apportez moi Votre Solution!!
    Merci, à l’avance!
    cordialement Sophy

  2. Monkeyman

    avant d’aller plus loin…

    qu’est-ce-que le masculin-neutre ?

    je suis bloquée dès les 1ères lignes : est-ce parce que je suis un h.s. féminin ?

    🙂

  3. Réponse à Cat LEF
    Une réponse à Cat LEF.
    Bonjour,

    « Le masculin neutre » n’existe pas en France alors qu’il règne dans la langue anglaise.
    Il faudrait donc, sans fin, coller il/elle, masculin/féminin, pour rompre la connotation machiste.
    Vous voulez faire partie des Hommes ou des Femmes. Pourquoi pas !
    Mais ce ne sera pas sans conséquences négatives !
    Voir une réponse à Dominique Dutilloy sur le journalisme et le racisme.

    « Vous êtes bloquée dès les premières lignes »
    Cela n’a rien d’anormal, au contraire !

    Chacun(e) raisonne avec sa base de données personnelle (à partir d’un patrimoine génétique et d’un vécu). A partir de ce référentiel de base, il/elle ne peut pas penser n’importe quoi ! La Gauloise n’imaginait pas la cosmonaute et celle-ci ne peut avoir aucune idée de la vie au 30ième siècle !

    Nous pouvons en conclure que nos sources d’appréhension de la vie n’interfèrent pas.

    C’est ce qui arrive d’ailleurs le plus souvent, chacun(e) partant de « midi à sa porte » ! D’où les pataquès perpétuels ! L’absence de progrès des mentalités ! A l’inverse de celui des sciences ! Et un décalage si important que la manipulation -par des gens « normaux »- d’un matériel toujours plus potentiellement puissant et dévastateur risque d’aboutir à une explosion et implosion de l’ensemble !
    Désolé de n’avoir pas réussi à communiquer.

  4. Réponse à Sophy
    Réponse à Sophy.
    Bonjour,

    La solution !

    Freud comme Laborit constatent que la recherche du bien- être est une constante puisque le manque et le déséquilibre composent les motivations qui alimentent le moteur de la vie.

    Chacun (masc. neutre par économie !) cherche donc son « plaisir » « égoïstement » mais au 1er ou 2ième degré.
    -Le premier, en manque complet, est égocentrique, ne pense qu’à lui, se fiche du reste, vit dans sa petite bulle.
    -L’autre, en manque moins intense, disposant donc d’un plaisir relatif convenable, ayant fait le tour de l’apport de ce genre de plaisir, cherchera « plus » et découvrira que le plaisir des autres, plus abstrait, faisant plus appel au néocortex, est d’une autre qualité intéressante.

    * Je démystifie donc « l’altruisme » excessivement valorisé par le soi-disant « l’homme » prétentieux en tant qu’ «égoïsme du second degré » réservé aux chanceux.

    L’expérience aidant, il me semble que certains pourraient se rendre compte de l’impermanence !
    Et donc, en réfléchissant, en méditant, aboutir à des conclusions proches de celles tirés d’un bouquin « Zen ».

    Personnellement, ayant eu la « chance » d’être victime d’un accident de vélo (8 jours de coma et 9 mois de convalescence) sans séquelles apparentes, j’ai eu tout le temps de faire le point et de voir autrement … !
    Cela m’a permis d’expérimenter le saut en élastique puis en parachute (très bien !)

    Dans tous les cas, les résultats des sondages sur le bonheur sont constants. La grande majorité se déclare « heureuse ».

    En 2008, elle a juste indiqué qu’avec un peu plus de pouvoir d’achat, elle serait vraiment heureuse.

    L’introduction du «Jeu de la vie », du principe de Pareto, incompréhensibles ou peu acceptables à première vue, m’a permis de dépasser l’humanisme, le rationalisme.

    Il m’a même déculpabilisé en partie de faire partie des privilégiés ou gagnants apparents.

    Il intègre aussi bien l’intuition des paysans bergers que le reste (divin ou non) : l’enquête purement statistique de Nottale,
    les régulations naturelles évitant l’extinction d’une espèce,
    l’intuition de plus en plus générale qu’il faut que cela change,
    la formule de J.-F. Kahn « Tout change parce que rien ne change ».

    La différence entre vous et beaucoup d’autres et moi se joue au niveau de l’âge !

    Je vais sur 64 ans. Il me semble avoir saisi l’ensemble. Plus rien ne m’étonne mais me semble logique en tant que suites prévisibles de nos agissements ou récoltes des semailles !

    Je n’insiste que sur un point, sur l’intérêt de comprendre les rôles des trois composantes principales du cerveau dans la mesure où cela me permet de vivre sans stress ou inhibition.

    Si je revenais sur Laborit, il pensait que tant que nous serions axés sur la recherche de la dominance, sur « L’AVOIR », il n’y aurait aucune évolution possible.

    Et l’introduction de ce terme évoque un texte en réserve.
    Je vais l’ajouter en guise de conclusion !

    Être ou avoir ! (Les termes dits philosophiques et compliqués seront évités et le masculin neutre, employé !)

    1) Avons-nous choisi d’être ce que nous sommes en ce moment ?

    Mais savons-nous seulement ce que nous sommes ?
    Ne serait-ce pas plutôt ce que nous croyons être ? ! (V. la récente évaluation des génomes !)

    Le diagnostic ne peut que dépendre de l’appareil d’enregistrement et de mesure !
    Quand on désire se servir efficacement d’un appareil complexe, n’est-il pas conseillé d’être muni du mode d’emploi et de l’avoir correctement assimilé ? Sommes-nous dans ce cas ? !

    Notre « apparence » n’est-elle pas aussi fonction des référentiels des observateurs ? !

    Chacun n’a t-il pas le sien, particulier, formé en partie par son vécu, son environnement, etc. ? ! (V. la variété des coutumes selon l’époque et les régions de la planète !)

    Si la réponse est positive, n’implique-t-elle pas l’existence d’une « liberté » d’être ou de ne pas être, d’avoir ou de ne pas avoir, selon sa volonté ou choix ?
    Est-il besoin d’approfondir cette vérification dans ce cadre binaire ? !

    Si la réponse est négative, la notion de liberté n’est-elle pas remise en question ? !

    Les méthodes scientifiques ne sont elles pas basées sur le déterminisme global ?

    Si les homo sapiens (h. s.) n’avaient pas le choix d’être ce qu’ils étaient, ne devraient-ils pas se dire qu’ils auraient pu se trouver dans les situations des autres ? ! D’où le sentiment d’empathie !

    Est-ce envisageable de condamner une personne qui n’est pas libre, responsable ? !

    Il est évident que cette optique est en totale contradiction avec les règles de fonctionnement d’une société.

    Il me semble qu’il y a une nécessité absolue de poser comme axiome premier la « responsabilité » théorique ou légale de chaque participant une fois atteint l’âge dit adulte (et la mise à l’écart des dits « malades » dans des institutions spécialisées).

    La vie en collectivité exige l’établissement de règles, de limites, d’interdits, de manière que les membres soient assurés d’une protection, d’une sécurité, indispensables à l’équilibre.

    Comme le fait que quiconque ne sait si la droite euclidienne idéale existe (si le monde est courbe ou plat) n’a pas empêché l’utilisation avec grand profit de la géométrie de même nom ;
    comme la dite notion de liberté (relative), qu’elle soit réelle ou uniquement l’effet d’une incapacité d’analyse, est au centre de la cohabitation à l’intérieur d’un groupe d’éléments qui ne sont pas des robots mécaniques trop rudimentaires

    Il faut aussi tenir compte que la vie est configurée à partir du manque et déséquilibre (V. H. Laborit). Ils forment les motivations qui alimentent le moteur de la vie.
    (Dans un paradis idéal sans aucun besoin, il n’y aurait plus aucune réaction, action, mouvement, animation !)

    La moindre cellule suit le principe d’homéostasie, c. à d. essaie de se maintenir en vie.
    -Les reptiles (animaux primitifs) sont munis d’un cerveau axé sur la survie.

    -Les mammifères bénéficient d’un système limbique (ou cerveau mammalien ou des émotions) qui mémorise, gère et les apprentissages sociaux (les automatise) et la quête des plaisirs.

    -Les h. s. disposent d’un supplément : le néocortex qui a la propriété d’anticiper, d’imaginer, d’analyser, d’abstraire et de raisonner ! Mais encore faut-il qu’il soit activé ou plutôt non court- circuité par les deux autres composantes de ce cerveau tripartite !

    -Tous les animaux, à leur niveau, chercheront leur bien- être.

    -Celui de la poule ne sera pas celui du chien, du Smicard, du PDG, du président de la République ! (Et la biodiversité aidant, une seconde différenciation enrichit les variations : celle du sexe !)

    2) Après l’être, l’avoir.

    Les désirs «d’avoir » ou d’apparaître (pour compenser les manques, les frustrations, etc.) sont si multiples et impérieux qu’ils organisent depuis quelques décennies les structures générales : on parle de « Société de consommation » !

    La recherche des sensations (forcément momentanées, parfois fugaces) du cerveau des émotions ne conduit-elle pas l’Ensemble un peu comme la musique d’un orchestre symbolique accompagnait le Titanic dans le sens où, ce cerveau étant analogique, il ne se préoccupe pas du long terme ? !
    Son objectif n’est-il pas la jouissance dans le présent, proche de la position « carpe diem » ? !

    Celui-ci, s’il est constamment sollicité (v. la publicité, les articles des médias toujours plus (t. p.) provocants, incitateurs), ne tendra-t-il pas à s’hyper développer, à devenir impérialiste, à influencer et canaliser la production du néocortex ! (On pourra parler d’intelligence émotionnelle)

    Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si le principe de plaisir ne s’opposait pas parfois au principe de réalité (v. Freud), si cette navigation t. p. rapide et imprudente, respectant peu le principe de précaution (« Time is money » !) ne risquait pas de nous entraîner nous écraser contre le mur (des mêmes réalités) !

    Bien sûr, le néocortex prend conscience des dangers encourus et s’efforce d’y remédier !

    Mais le décalage dans le temps ou le retard t. p. croissant entre l’invention de nouveaux moyens de se faire plaisir et la découverte puis l’installation de systèmes de protection ad hoc est et ne pourra qu’être t. p. important et létal (d’un point de vue environnemental et social) !

    3) Avons-nous la liberté de choisir entre être et avoir ? !

    Il est clair que la peur de la mort (v. l’instinct de survie du cerveau reptilien) nous a encouragé à nous prémunir des dangers d’un milieu peu hospitalier, à combattre pour dépasser les obstacles, vaincre les dits ennemis, consolider les acquis, amasser en prévision de la pénurie, etc.. Le cerveau des émotions enregistrant les effets de renforcement positifs ou négatifs, si le néocortex n’est pas suffisamment en éveil, nous prenons des habitudes, voire devenons « accros », tombons « naturellement » en dépendance ! Voir le spectacle quotidien ! ! !

    L’une des formes les plus spectaculaires est celle du fétichisme de l’argent qui atteint le capitaliste !

    Inversement, une phrase bouddhiste signale « L’on est riche de tout ce dont on n’a pas besoin ». Une autre souligne « Quelle richesse … quand on n’a pas besoin de la vie » !

  5. Monkeyman

    je suis désolée, je ne comprends toujours pas ce que signifie cette référence « masculin-neutre »… et ce, malgré vos explications…

    l’employez-vous pour rester dans la « neutralité » de l’humanité, hommes et femmes confondues, mais dans ce cas, associé au neutre, pourquoi « masculin » ? parce que c’est plus rationnel ? pourquoi pas « féminin » ? parce que c’est plus distinctif et plus émotionnel ?

    en ce qui concerne les 2 genres, masculin OU féminin, physiquement ET psychologiquement, je pense qu’en chaque être humain, qu’il soit féminin OU masculin, il y aussi une part inverse, plus ou moins accentuée, selon chaque individu, situation, plus ou moins acceptée ou rejetée, consciente ou ignorée

    peut-être que le lien que chaque h.s. fait avec cette part de lui-même, pourrait provoquer cette acceptation OU ce rejet d’un autre h.s.

    et donc, une forme de « racisme »…, encore que je n’aime pas du tout ce mot, vu que pour moi, il n’y a qu’une seule et même race, la race humaine.

    être « raciste », ce serait donc, en rayant l’autre, comme si on se rayait soit-même de l’humanité

    entre h.s., je trouve que le mot « discrimination » serait plus adéquat

    bon… je ne sais pas si je m’exprime correctement pour que vous saisissiez ce que je veux dire !

    dur dur d’être h.s. !!! 😛

    amicalement féminin-neutre !

  6. et concernant la mort, l’h.S. ne l’a-t-il pas intégré très tôt dans le cycle de la vie ? on retrouve des tombes d’il y a 350 000ans et +.

    le problème principal ne se situerait-il pas plutôt dans le fait que l’h.s. peut se laisser déposséder de son excellente adaptation à la vie (et donc à la mort !) et de cette parfaite intégration et acceptation au processus de la mort (qui fait partie de la vie) ?

    En fait, j’ai l’impression que h.s. a eu, a et aura des peurs et angoisses qu’il ne parvient pas à définir et à cerner, et qui sont bien supérieures à celles de la vie et de la mort…

    Je ne suis pas sûre que cette « meilleure intégration de la mort », si tant est qu’il aurait besoin de mieux intégrer la mort pour accomplir mieux sa vie, soit, étant en vie, une préoccupation majeure, et une possibilité d’évoluer.

    avant que de mourir, h.s. vit, et il faut vivre…

    c’est très concret que de vivre au quotidien !

    que l’on soit néocortex ou autre

    en même temps, naturellement, cela semble très facile…

    la tendance de la vie s’oriente ou est orientée vers un environnement qui ne serait plus du tout naturel, au sens propre du terme.

    c’est peut-être ce déphasage qui perturbe autant h.s. ?

    ne plus pouvoir admirer une jolie petite fleur dans la rocaille, ailleurs que dans une bulle ?
    et ce robot qui prend ma place ?
    et cette fichue machine qui est encore en panne ?

    eh ! il faut que h.s. s’y habitue…!!!

    en admettant que ce soit cela, tous ces changements, ce qu’on appelle l’évolution…

    h.s. va souffrir, entre sa vie et sa mort, et sa souffrance, de même que celle des autres parfois quand il est bien luné, il ne l’accepte plus du tout !

    h.s. est devenu très douillet !

    h.s. va-t-il être capable de se trouver un 4ème cerveau pour traverser toutes ses souffrances inconnues ?

    je le lui souhaite…,

    pourvu qu’il n’oublie pas de rire et de pleurer !

    (oups! je crois que je ne suis pas prête pour le 4ème cerveau…)

  7. Réponse à Cat LEF !
    « Pour rester dans la « neutralité » de l’humanité, hommes et femmes confondues, mais dans ce cas, associé au neutre, pourquoi « masculin » ? Parce que c’est plus rationnel ? Pourquoi pas « féminin » ? Parce que c’est plus distinctif et plus émotionnel ? »

    *** Vous vous amusez avec les mots !

    Je suis totalement d’accord avec vous, « Pourquoi pas le féminin » ? ! Exactement !
    (Excepté qu’alors, ce serait encore du racisme ou sexisme. Est-ce que la réponse dent pour dent, œil pour œil est la meilleure ? !)

    Cela dit, l’explication est toute simple ! Parce que nous ne sommes toujours pas des hommes et des femmes mais des mammifères, et plus précisément depuis les résultats de l’évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé (une différence inférieure à 2 %), des sortes de bonobos boostés !

    L’image est osée ? Regardez donc la grande majorité des affiches publicitaires ! Quel que soit le produit, n’est-il pas accompagné par l’image d’une belle silhouette féminine ou d’un symbole érotique la représentant ?
    Freud n’a-t-il pas observé que tout était à mettre en relation avec le sexe ? !
    Dans n’importe discussion (non trop officielle) entre mâles, des connotations sexuelles n’émaillent-elles pas les propos ? !

    *** En passant, sur Internet ou des revues, vous trouverez l’histoire d’une femme russe qui attaquait en Justice pour « harcèlement sexuel » et qui a perdu parce que c’est devenu le seul moyen de sauvegarder le taux de natalité !
    A qui a-t-on affaire ? A des hommes ou des h. s. ? !

    Si je me mettais à favoriser le féminin et signais en tant que mâle, qu’en résulterait-il ?
    Je serai étiqueté « perturbé » ou « homosexuel ». Et comme je ne le suis pas, pourquoi m’inventer cette qualité, induire en erreur les lecteurs/trices ? !

    « En ce qui concerne les 2 genres, masculin OU féminin, physiquement ET psychologiquement, je pense qu’en chaque être humain, qu’il soit féminin OU masculin, il y aussi une part inverse, plus ou moins accentuée, selon chaque individu, situation, plus ou moins acceptée ou rejetée, consciente ou ignorée »

    Bien sûr que ces deux composantes sont toujours présentes ! Mais parfois auto réprimées !
    * Un truc qui m’amuse et me navre mais qui est plus que significatif : les mâles ne doivent pas pleurer ! Nous sommes toujours presque toujours dans la Préhistoire !

    « Une forme de « racisme »…, encore que je n’aime pas du tout ce mot, vu que pour moi, il n’y a qu’une seule et même race, la race humaine »

    Oui, il n’y a qu’une seule race humaine !

    *** Mais précisément, chez les animaux et donc chez les h. s., souvent, le néocortex tombe rapidement sous la dépendance du cerveau reptilien et la peur de l’autre, de l’inconnu.
    En tant qu’ennemi potentiel, il n’est pas bien vu … et donc à éviter ou plus !
    On pourrait l’appeler du racisme « bête » ou animal …

    **** OUI, amicalement féminin-neutre !

    * Cela dit, le combat féministe est plus que légitime, ou plutôt le serait si nous étions des vrai(e)s humain(e)s ! Mais dans cette hypothèse, le problème n’existerait pas ou plus (nous aurions évolué puisque humain(e)s ! ) !

    ** Un simple constat en supposant que nous soyons des « hommes »
    _Durant les guerres modernes dans les Balkans et l’Est, en Afrique, en Asie, les viols ne sont-ils pas courants ?
    _En Indonésie, l’esclavage sexuel n’est-il pas une réalité ?
    _En Roumanie, toute une catégorie de proxénètes n’alimente-t-elle pas le marché de la prostitution occidentale ?
    _Le sort des femmes est-il privilégié par les musulmans ?

    ___Tous les acteurs de ce sexisme sont-ils d’après vous des « hommes vrais » ? Ou des h. s. qui ont encore au fond de leur ciboulot la règle de la jungle animale de la supériorité des mâles imprégnée INCONSCIEMMNT ? !
    Sont-ils prêts à changer ? ! Pour moi, il faudra attendre la nouvelle ère qui devrait se déclencher avant la fin du siècle (c. à d. avant qu’il ne soit trop tard !)

  8. Un supplément
    En vérifiant l’enregistrement du dernier mail, j’ai découvert une autre réflexion sur la peur de la mort …
    D’un autre angle de vue :
    1 femme battues sur 5 ne porte pas plainte !
    1 femme sur 10 est victime d’agression sexuelle (Ined 2001)
    *** Rapport Henrion – février 2001
    Ministère de la Santé
    Sur 652 femmes victimes d’homicides entre 1990 et 1999, sur Paris et sa proche banlieue, la moitié a été tuée par leur mari ou leur compagnon. Un chiffre terrifiant, révélé par un rapport sur les violences conjugales.
    « En France, une femme meurt de violences conjugales tous les cinq jours », explique le professeur Roger Henrion, membre de l’Académie nationale de médecine et responsable de cette étude pour le ministère de la Santé.
    L’équipe du professeur a interrogé au hasard un échantillon de 7000 femmes, âgées de 20 à 59 ans, habitant la capitale et sa petite couronne. Il ressort que 10% d’entre elles ont subi des violences conjugales au cours des douze derniers mois. Insultes, harcèlement moral, agressions physiques, viols, la liste est longue de ces sévices commis dans l’intimité des couples.
    Les conséquences sont à chaque fois dramatiques. Plusieurs femmes victimes souffrent de troubles émotionnels (dépression, boulimie, anorexie …), certaines, à bout de nerfs, se suicident. Et une partie meurt carrément sous les coups de leur conjoint. « Parmi les victimes présentées dans le rapport, 30 % ont été poignardées, 30 % ont été abattues par arme à feu, 20 % ont été étranglées et 10 % ont été rouées de coups jusqu’à la mort », précise le professeur Henrion.
    Le profil de l’agresseur n’est pas toujours celui que l’on s’imagine. « Il s’agit en majorité d’hommes bénéficiant par leur fonction professionnelle d’un certain pouvoir. On remarque une proportion très importante de cadres (67%), de professionnels de la santé (25%) et de membres de la police ou de l’armée », commente Roger Henrion.
    Ces violences conjugales restent bien trop souvent taboues et franchissent peu les murs des domiciles familiaux. Mais quand les femmes parlent, elles s’adressent en premier lieu à leur médecin. « Ce dernier a un rôle clé dans le dépistage des violences, le recueil de l’histoire et la rédaction d’un certificat, pièce essentielle lors d’un dépôt d’une plainte », selon le professeur Henrion. Mais le médecin est souvent pris en tenaille entre le secret médical et la non-assistance à personne en danger.
    Un site Internet (www.sivic.org) est mis à la disposition des médecins pour se former à l’ensemble de ces problèmes.

    En notant ces propos, j’apprends aux actualités TV que dorénavant les enseignants, aux USA, porteront un pistolet !

    ***Toutes ces informations ne tendent-elles pas à prouver que LE CERVEAU REPTILIEN FAIT LA LOI, DONC QUE L’INSTINCT DE SURVIE REGNE EN MAÎTRE ?
    Amicalement féminin neutre !

  9.  » dorénavant les enseignants, aux USA, porteront un pistolet !  »

    et ils seront notés aussi…

    on aura intérêt à leur mettre de bonnes notes, sinon… bang, bang !

    les parents aussi vont être notés (ça se fait déjà « à titre expérimental » ;D à Chicago)
    sur la manière dont ils éduquent leurs enfants (celui qui a les cheveux en bataille ou oublié ses affaires, bang ! une mauvaise note aux parents…)

    h.s. ne sait plus quoi inventer pour résoudre ses propres problèmes et les emberlificoter avec ceux des autres, il serait temps qu’il invente son 4ème cerveau…

    et vite !

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