Le milliardaire russe Roman Abramovich a passé commande auprès d'une firme allemande pour la fabrication du plus grand tunnelier au monde, grâce auquel il pourrait vouloir percer un tunnel jusqu'en Amérique.
Roman Abramovich, qui est propriétaire du Club de football de Chelsea payera 174 millions de dollars américains pour ce tunnelier d'un diamètre de 19 mètres. Ce dernier surpassant de quatre mètres son rival le plus proche, celui que possède la Chine et qui a été utilisé pour construire le tunnel sous le Yang-Tsé-Kiang .
Selon plusieurs sources, le milliardaire russe souhaiterait creuser un tunnel de 88 kilomètres de long sous le détroit de Béring pour relier l'Alaska à la Russie. L'idée d'un semblable tunnel avait déjà été proposée par le tsar Nicolas II, mais s'était évaporée dans les premiers foyers de la révolution russe.
Puis l'idée avait refait surface juste après l'effondrement de l'Union soviétique, mais la Russie n'a jamais pu réunir les fonds nécessaires et le projet est resté en suspend. Ensuite Poutine a remis cette idée à l'ordre du jour, assurant qu'un tel projet serait parfaitement fiable et qu'il placerait la Russie au centre du monde, puisque tant l'Europe que l'Asie feraient transiter leurs marchandises à travers son pays pour les envoyer aux États-Unis.
Des spécialistes assurent que le tunnel pourrait être opérationnel dans les dix ans et qu'il serait possible d'y faire transiter une centaine de millions de tonnes de marchandises tous les ans, en même temps qu'il permettrait le passage des fournitures en pétrole, en gaz et en électricité de la Sibérie vers les États-Unis et le Canada.
Ainsi, si ce projet fou voyait le jour, il serait possible de se rendre en voiture d'Écosse en Argentine.
Pas mal, surtout pour la dimension politique.Accessoirement, les pumas argentins pourraient jouer le tournoi des « six » nations
AH vivement l’ascenseur lunaire….
: ?
et ce serait possible d’avoir la source de cette info ? Merci
à mon avis, ni la dimension politique ni les pumas argentins n’auraient la carrure nécessaire
quant à l’ascenseur lunaire… le projet aurait été abandonné depuis longtemps ! pas encore à la hauteur…
(source : Top Secret)
le Tunnel
Bien vu pour se tunnel mais « qui » oserais s’aventurer dans cette édifice qui un jour
finirais comme les tours du 11 09 ??
REMBOURSEZ!
Il y a un presqu’un an, fin avril 2007, deux délégations, l’une Américaine et l’autre Canadienne, se sont rendues à Moscou afin d’étudier le projet de tunnel sous le détroit de Béring.
L’histoire nous fournit trois exemples de projets « monstrueux » semblables à celui-ci: Suez, Panama, le tunnel sous la Manche. Ils fonctionnent tous les trois aujourd’hui à la satisfaction de tous.
Mais pour les investisseurs privés initiaux, ils se sont soldés par un désastre financier; car on leur a fait croire qu’ils allaient encaisser les juteux revenus d’un trafic commercial à venir, alors qu’en achetant leurs actions ils payaient avant toute chose le droit de participer aux couts de construction des projets – évidemment impossibles à chiffrer au préalable – et qui au fil de l’avancement des travaux pulvérisaient immanquablement les estimations de départ, bien entendu toujours grossièrement minorées.
Le résultat est qu’un groupe d’investisseurs et d’épargnants privés consacrent un capital qu’ils perdent intégralement pour financer un bien d’intérêt public profitant aujourd’hui à tout le monde sans que les Etats n’aient eu a en supporter le cout comme ils auraient du le faire au départ.
C’est une recette vieille comme le monde, qui ne cesse de faire ses preuves.
Il y a lieu d’être particulièrement vigilant dès lors que la Russie est concernée.
Or, même s’il n’est pas encore question de faire appel – du moins ouvertement – à des financements étrangers pour ce projet, nous pouvons être surs que ce sera évidemment le cas.
En effet, lors du sixième « International Investment Forum » qui s’est tenu à Sotchi du 20 au 23 septembre 2007 M. le président POUTINE a déclaré « que les investisseurs privés, notamment étrangers, joueront un rôle clef dans la réalisation d’un programme de 1000 milliards de dollars visant à moderniser les infrastructures et l’industrie en Russie (…). Il est clair pour nous que les investisseurs privés, nationaux comme étrangers, vont également participer ».
M. KOUDRINE, ministre des Finances par intérim, a précisé que « l’Etat russe financerait environ 20% des investissements nécessaires à la modernisation de l’économie russe, le restant étant assuré par le secteur privé. »
M. IVANOV, vice-Premier ministre par intérim, ajoutait que « des outils supplémentaires garantiront un niveau élevé de rentabilité à l’investissement… » et que la Russie entend construire 4000 kilomètres de nouvelles routes par an d’ici 2010 et investir 11.000 milliards de roubles (310 milliards d’EUR) dans son réseau ferré d’ici 2030.
Pour revenir au tunnel sous le détroit de Béring, Viktor RAZBEGIN, fonctionnaire du Ministère des Finances Russe, veut nous rassurer en affirmant que « les gouvernements vont garantir les capitaux privés ».
Il y a un siècle, près d’un million et demi d’épargnants Français, faisant confiance aux recommandations actives et trompeuses du gouvernement Français, ont massivement investi dans des projets d’infrastructures diverses en Russie, au travers d’emprunts émis soit par l’état russe, soit par des sociétés privées.
Tous étaient couverts par la garantie de l’état russe.
Pas un seul n’a été remboursé.
Aujourd’hui, la Fédération de Russie refuse toujours tout contact avec 316000 porteurs légitimes et de bonne foi.
La valeur actuelle des sommes dues s’élève selon eux à plus de 100 milliards de dollars.
Plutôt que d’honorer ses engagements comme elle pourrait aujourd’hui le faire, la Russie préfère mettre en œuvre des agissements d’évasion et de dissimulation dignes d’hommes d’affaires crapuleux, ce qui la contraint à des manœuvres indignes d’un grand pays: en 2002 le SEDOV, magnifique navire-école, véritable ambassade a flot de la Russie, servant à former les cadets de la marine Russe, a ainsi du quitter précipitamment et nuitamment le port de Marseille, sans attendre les réceptions officielles pourtant prévues à bord le lendemain, pour éviter d’être saisi par les porteurs Francais. L’Etat russe se contraint lui même à se comporter comme le coupable d’un misérable délit de grivèlerie obligé de partir en courant du restaurant dont il n’a pas payé la note.
En Janvier 2008 la Russie menaça d’annuler une exposition de tableaux à la Royal Academy de Londres, par crainte que les héritiers des propriétaires légitimes, qui avaient été spoliés en 1917, ne fassent procéder à des saisies pendant que les œuvres se trouveraient à Londres. Il a fallu que le gouvernement Britannique demande au Parlement d’avancer l’entrée en vigueur d’une loi visant à protéger les biens culturels de saisies éventuelles, avant que les Russes n’acceptent d’envoyer les tableaux à Londres.
Quel genre d’Etat faut-il être pour avoir recours à de telles pratiques maffieuses?
On ne peut faire confiance à M. RAZBEGIN ni à ses chefs.
M. RAZBEGIN, tant que la Russie n’honore pas les engagements donnés il y a cent ans, votre garantie ne vaut pas un kopeck.
Il ne s’agit pas ici de rhétorique. Il s’agit d’économie contemporaine.
Les porteurs d’emprunts russes adressent aux investisseurs l’avertissement solennel ci-dessous:
AVERTISSEMENT AUX INVESTISSEURS EN RUSSIE
Les porteurs Français d’obligations garanties par l’état russe rappellent aux investisseurs que la Fédération de Russie est encore en défaut de paiement aujourd’hui (janvier 2008) sur selon eux plus de US$ 100 milliards qui leurs sont dus depuis que les gouvernements bolcheviques et soviétiques, et maintenant celui de la Fédération de Russie, ont tous unilatéralement répudié la dette tsariste et refusent toute forme de contact ou de dialogue avec leurs créditeurs légitimes et de bonne foi, bien que les droits des porteurs sur la Russie aient été maintes et maintes fois rappelés (dont notamment par lettre du 19 mars 2007 de M. SARKOZY, ancien Ministre des Finances, aujourd’hui président de la République Française) et confirmés par le Conseil d’Etat.
Ils rappellent aux investisseurs que dans son rapport du 15 septembre 2006 intitulé « Governance matters » la BANQUE MONDIALE juge la gouvernance en Russie comparable à celle du Swaziland, et de la Zambie. Dans ce rapport la Russie est classée 151ème sur 208 en termes de (…) responsabilité, de qualité des organismes de règlementation, de respect du droit, (…). En particulier le respect du droit (c’est à dire l’impartialité des tribunaux et la qualité du respect des contrats) a été jugé aussi effectif en Russie qu’en Equateur, en Indonésie, et au Bangladesh. La capacité de contrôler la corruption au Nicaragua, au Timor-Est et en Chine ont été jugées semblables à celle de la Russie.
Le 26 février 2007, citant l’organe Vedomosti, le St. Petersburg Times écrivait que « les dirigeants de Surgutneftegaz possèdent secrètement 72% du capital de cette discrète compagnie pétrolière » et qu’après cette révélation les analystes de la banque d’investissement Deutsche UFG s’étaient vus contraints « d’augmenter leur estimation du nombre d’actions de la société de 26 milliards a (…) 43 milliards » ce qui a eu pour effet « de diluer la valeur de l’action de 40% ». En décembre 2007 le journal Die Welt rapportait que selon Stanislav Belkovski, un analyste politique, M. Poutine détenait secrètement 37% du capital de cette société.
A Paris le 3 avril 2007 à l’occasion de la fusion NYSE-EURONEXT M. John Thain, le Directeur-Général du New York Stock Exchange, a dit: « Je suis très préoccupé de la qualité de la gouvernance d’entreprise et de la protection des intérêts minoritaires. Un certain nombre de sociétés Russes soulèvent des questions sérieuses sur ces points ».
En dépit de ces conclusions, et de la connaissance qu’elles ont du fait que la Fédération de Russie demeure en défaut de paiement sur US$ 100 milliards de dette Tsariste, les agences de notation accordent à la Russie une note « INVESTMENT GRADE » alors que ce pays relève à l’évidence du « SELECTIVE DEFAULT ».
Les porteurs Français d’emprunts russes comptent poursuivre leur débiteur jusqu’au remboursement complet de la valeur actualisée de leur créance, par tous moyens légaux et devant toutes juridictions qui leurs sembleront adéquats.
TOUT INVESTISSEUR POTENTIEL EN RUSSIE DOIT ETRE RENDU CONSCIENT DE CETTE SITUATION.
LES CREDITEURS FRANCAIS DE LA FEDERATION DE RUSSIE DECONSEILLENT FORMELLEMENT TOUT INVESTISSEMENT DANS UN PAYS DONT LE GOUVERNEMENT SOLVABLE A SYSTEMATIQUEMENT REFUSE DE REMPLIR SES OBLIGATIONS NATIONALES ET INTERNATIONALES, REFUSE TOUT CONTACT ET DIALOGUE AVEC SES CREDITEURS LEGITIMES ET DE BONNE FOI, ET REFUSE DE COMPTABILISER UN PASSIF ESTIME A PLUS DE US $ 100 MILLIARDS.
visitez
http://www.empruntsrusses.winnerbb.com
Janvier 2008
dac avec laury si ca peu facilité nos deplacement ca peu aussi facilité ceux des terroristes