Loin de voir Hugo Chavez comme le seul espoir de libération d'Ingrid et de tout les otages retenues par les FARCs, on ne pouvait qu'approuvé les démarches du président Venezuelien, surtout lorsqu'au début du mois de janvier, deux otages colombiens retrouvaient la liberté. " Clara Rojas, libérée le 10 janvier, avait été enlevée en 2002 en même temps qu'Ingrid Betancourt, candidate écologiste à la présidentielle colombienne, qui vient de terminer sa sixième année aux mains de la guérilla. " cyberpresse.

Mais les Etats-Unis ne voient pas tout cela de manière positive: l'engouement général pour Chavez devenu ultime espoir de liberation des otages pour le reste de la planète dérange: l'administration Bush, qui n'aime pas les leaders anti-mondialiste, aussi controversé que le président venezuelien a renouvelé son soutien financier aux militaires Colombains. Alors c'est toujours la même histoire: l'un accuse l'autre de préparer une attaque, l'autre accuse l'un de sécuriser sans raisons ses frontières, et la guerre éclate.

Et personne ne fera rien pour s'y opposer, ni les Etats-Unis, ni l'Angleterre, ni la France, personne. Et Ingrid Bettancourt restera une victime de plus a se que personne ne comprend vraiment en laissant faire: La haine, qui rapporte tellement d'argent. A ce propos, sur Come4News, il y a certains "français" qui s'interrogent sur le bon fondé du soutien de la France je cite " pour cette femme stupide bourrée de fric qui est partie se jeter dans la gueule du loup."

"elle a voulu mener un combat … il fallait savoir a quoi s'attendre, c'est son problème."

Je cite toujours. Lisez le dernier commentaire de la page, il est signé: Renaud Séchan. Bon, l'avant dernier d'accord…