Un responsable du Forum démocratique pour les libertés et le travail (FDLT), formation de l’opposition radicale en Tunisie, a accusé lundi le chef de son parti, le Dr Mutapha Ben Jaâfar, d’avoir des « connivence avec des parties étrangères » pour rechercher leur soutien. Lors d’une conférence de presse, Jalel Habib, membre du bureau politique du FDLT et rédacteur en chef de son organe « Mouatinoun » (Citoyens), a déploré que M. Ben Jaâfar ait annoncé son intention de se présenter à l’élection présidentielle d’octobre prochain lors de récentes visites en Suisse et en France « sans consulter ni informer les instances de son parti« . Il y voit « une atteinte à la dimension nationale de la lutte démocratique et à la souveraineté » du pays.

L’opposant dissident suspecte le dirigeant du FDLT qui a rencontré au cours de son séjour à Genève, des représentants du parlement européen et de l’Internationale socialiste (IS) de « connivence avec des parties mues par tendances hégémoniques et colonialistes« . « Les relations avec ces parties doivent être des relations de partenariat d’égal à égal et non pas des rapports de tutelle et d’ingérence dans les affaires intérieures« , martèle-t-il en pointant ses accusations sur d’autres « symboles de la scène politique » tunisienne.

Dans un communiqué, le bureau politique du FDLT se déclare « grandement étonné par ce retournement subit » du dissident qu’il accuse d’être « manipulé par certaines parties (en allusion au pouvoir) en échange de promesses illusoires« . Il soutient que ses relations avec l’IS dont il est « membre à part entière » sont « traditionnelles », en s’interrogeant sur les mobiles de cette prise de position qui « intervient au moment où le pays s’apprête à des élections présidentielle et législatives et où le FDLT prépare son congrès ». (AP – 23.03.2009)

Un responsable du Forum démocratique pour les libertés et le travail (FDLT), formation de l’opposition radicale en Tunisie, a accusé lundi le chef de son parti, le Dr Mutapha Ben Jaâfar, d’avoir des « connivence avec des parties étrangères » pour rechercher leur soutien. Lors d’une conférence de presse, Jalel Habib, membre du bureau politique du FDLT et rédacteur en chef de son organe « Mouatinoun » (Citoyens), a déploré que M. Ben Jaâfar ait annoncé son intention de se présenter à l’élection présidentielle d’octobre prochain lors de récentes visites en Suisse et en France « sans consulter ni informer les instances de son parti« . Il y voit « une atteinte à la dimension nationale de la lutte démocratique et à la souveraineté » du pays.

L’opposant dissident suspecte le dirigeant du FDLT qui a rencontré au cours de son séjour à Genève, des représentants du parlement européen et de l’Internationale socialiste (IS) de « connivence avec des parties mues par tendances hégémoniques et colonialistes« . « Les relations avec ces parties doivent être des relations de partenariat d’égal à égal et non pas des rapports de tutelle et d’ingérence dans les affaires intérieures« , martèle-t-il en pointant ses accusations sur d’autres « symboles de la scène politique » tunisienne.

Dans un communiqué, le bureau politique du FDLT se déclare « grandement étonné par ce retournement subit » du dissident qu’il accuse d’être « manipulé par certaines parties (en allusion au pouvoir) en échange de promesses illusoires« . Il soutient que ses relations avec l’IS dont il est « membre à part entière » sont « traditionnelles », en s’interrogeant sur les mobiles de cette prise de position qui « intervient au moment où le pays s’apprête à des élections présidentielle et législatives et où le FDLT prépare son congrès ». (AP – 23.03.2009)

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