mais aussi des immigrés qui sont devenus de grands artistes.
Nuit de violences à Trappes.
Violences urbaines : pourquoi Trappes s’est… par lemondefr
Deux mondes s’affrontent ceux qui veulent imposer leur coutume au mépris de la loi et ceux qui veulent que la loi de la république soit appliquée. Mais aussi ceux qui sont sortis du lot et qui sont devenus des personnalités en se faisant un nom, tels Jamel Debbouze, Omar Sy, Lilian Thuram, Nicolas Anelka, et d’autres moins connus comme les actrices Sophie Broustal et Barbara Cabrita , la chanteuse Shy’m qui en sont originaires. Ce qui montre que Trappes n’est qu’islamophobe et que l’on peut s’intégrer et même réussir sa vie. Bien que je n’ai rien contre la religion islamique je ne comprends pas qu’habitant en France certains immigrés entravent de façon provocante la loi républicaine au risque de déclencher des émeutes. On connait leur religion, mais pourquoi la montrer aussi ostentatoirement ? Quel est donc leur intérêt autre que celui de la provocation ? Serait-ce tout simplement que le Front national devienne majoritaire, emporte l’élection présidentielle, et applique sa politique ? Ou bien de l’inconscience provocatrice sous le prétexte que ces islamiques à forte majorité salafiste branche rigoureuse de l’islam veulent imposer leur loi par la force en provoquant des émeutes, incendiant vingt voitures, des poubelles, cassant des abris bus, lançant des pétards contre les 300 CRS qui protégeaient le commissariat de la place des Mérissiers assiégé par 250 de jeunes qui voulurent libérer la femme portant le niqab et son époux. Mais pas que ça, un garçon de 14 ans fut blessé à l’œil et perdit son usage. Ce ne peut être qu’un drame pour ce garçon et sa famille, et pour nous tous.
Notre société part à la dérive par ces provocateurs, pas les musulmans intégrés qui depuis longtemps se comportent comme des Français à part entière. Quand comprendront-ils ces islamiques qu’il faut qu’ils fassent l’effort de respecter la loi française s’ils veulent vivre comme tout le monde. S’ils ne le veulent pas, pourquoi s’étonnent-ils d’être contrôlé aussi souvent que leur comportement l’exige ? À l’université le port du voile est remis en question, l’idée serait d’interdire le port du voile pendant les cours, selon l’Observatoire de la laïcité. Une proposition juste mais qui n’arrangera pas les choses, voir, Le Monde.fr.
Les violences embrasées qui eurent lieu le vendredi 19 et le samedi 20 juillet sont consécutives au banal contrôle d’identité d’une femme portant le niqab, voile intégral, qui dégénère, voir rien n’arrête le ridicule, mais aussi burqa qu’il nous est difficile de conclure. Voir aussi l’adresse qu’ Élisabeth Badinter envoie à celles qui portent volontairement la burqa !
Selon la police la femme se serait opposée au contrôle et aurait tendu le bras en insultant les policiers tandis que son époux faisait une tentative d’étranglement sur un policier, confirmée par un examen médical. Lors d’une conférence de presse, le procureur de la République à Versailles, Vincent Lesclous, expliqua que le jeune homme tenta d’étrangler un policier et que le fonctionnaire de police présentait des marques d’étranglement au cou, ainsi qu’une trace de coup sur une pommette.
Bien sûr la version du mari sur la chaine locale fut tout autre.Tout ce qui est dit est faux déclara-t-il. Je n’ai pas essayé d’étrangler un policier s’est défendu Mickaël âgé de 21 ans.
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«A aucun moment, on n’a refusé le contrôle», assura Mickaël, expliquant que son épouse, âgée de 20 ans et également convertie à l’islam, porte le voile intégral, et avait déjà été contrôlée plusieurs fois et que «ça s’était toujours bien passé !». Mais une chose est néanmoins certaine, contrôlée plusieurs fois, ce n’est que de la provocation contre la loi interdisant le voile intégral.
La loi du 11 octobre 2010, dit, nul ne peut dans l’espace public porter une tenue destinée à dissimuler son visage. La violation de cette interdiction est punie d’une amende maximum de 150 euros pour les contraventions de deuxième classe. Le fait pour toute personne d’imposer à une ou plusieurs autres personnes de dissimuler leur visage par menace, violence, contrainte, abus d’autorité ou abus de pouvoir, en raison de leur sexe, est puni d’un an d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende. Le jeune homme fut mis en garde à vue.
Les incidents de Trappes ne sont pas sans rapport avec cette période du ramadan, et Trappes devint une ville ou pas un restaurant ne fut ouvert. La chape musulmane tomba sur la ville. Pour Fatiha Bouarahouane, une habitante des Merisiers, elle ne comprend pas «pourquoi la police ne laisse pas les femmes voilées tranquilles, au moins quelques jours. C’est déjà suffisamment pénible de jeûner avec cette chaleur». Mais aussi la colère d’être trop contrôlées.
«Il faut y voir l’explication de ce coup de colère, quand on est contrôlée cent fois, la 101eme fois, ça pète ! »«Kamel Laouadi, 32 ans, lui aussi habitant de la cité, dit la même chose, on n’a pas la haine par hasard. On se battrait pour la France, mais il faut arrêter de venir toucher à la religion tout le temps. Sinon, on va finir par planter un drapeau noir sur cette ville», lança-t-il, en référence au drapeau salafiste.
Rien d’étonnant lorsque vous rencontrez un habitant des villes d’à coté, Élancourt, Montigny-le-Breteneux, Guyancourt, qu’il vous dise Trappes est ville ou il ne faut pas habiter !
Trappes n’est pas la seule ville sujette au niqab, il faut habiter dans certaines banlieues pour voir des femmes en noir coiffées du niqab trainant une poussette avec leur bébé dans les rues. Parfois, elles sont plusieurs comme si le nombre faisait loi. C’est assez saisissant et choquant de les rencontrer bravant ainsi les lois de la république. Le fait que la police ne peut être partout, fait que cette situation introduit un droit qui devient difficile de combattre.
Quoique que l’on fasse l’application de la loi est extrêmement difficile, et lors des débats sur le voile, on sentait bien qu’elle serait une source permanente de révoltes. Plus de deux années après l’entrée en vigueur de la loi, le problème du voile intégral n’est pas résolu. Comment faire pour qu’elle soit appliquée ? Il faudrait un policier à chaque rue dans les quartiers à forte composante islamiste.
Dans ce contexte, le ministre de l’intérieur Manuel Valls ne peut qu’être confronté à des islamistes qui n’hésitent pas à accuser la police. Quant à l’opposition qui le traite de laxisme, n’a pas mieux fait ! Mais aussi à gauche, accusé de mener une politique trop sécuritaire. Il apparu le punching-ball de la droite dans l’offensive lancée par Jean-François Copé.
Trois hommes furent condamnés le lundi 22 juillet à des peines allant de 10 mois ferme à 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Versailles jugeant des jeunes gens soupçonnés de jets de pierre sur des policiers. Jugés en comparution immédiate, Ablaye, 21 ans, et Slimane, 18 ans, furent soupçonnés d’avoir, dans la nuit de samedi à dimanche, lancé des pierres ramassées sur un chantier sur des policiers postés aux abords du commissariat, qui avait déjà été la cible de violences la nuit précédente. Des tirs au mortier d’artifice leur furent également reprochés. Le premier, condamné à dix mois de prison ferme avec mandat de dépôt, fut condamné à trois reprises, notamment pour violences aggravées. Son co-prévenu, sans casier judiciaire, fut condamné à six mois de prison avec sursis, des peines inférieures aux réquisitions du parquet.