Reprenez Dissidia Final Fantasy, ajoutez-y de nouveaux personnages et de nouvelles techniques, et une nouvelle histoire, vous obtiendrez Dissidia 012 Final Fantasy.
On l’attendait, tant son prédécesseur nous avait éblouis de par ses combats magistraux, Square-enix n’a cependant pas pris énormément de risques pour se démarquer du précédant opus.
Le jeu se déroule avant Dissidia, et relate du 12 ème conflit opposant Chaos à Cosmos. L’histoire fait en sorte de pouvoir intégrer les nouveaux personnages jouables, (Tifa de FF7, Laguna de FF8 allant même jusqu’à faire entrer en scène Ligthening de FF13 et bien d’autres encore). Le nombre de protagonistes s’élèvent au total à une trentaine.
On appréciera la venue de ses 8 nouveaux personnages apportant avec eux de nouveaux styles de combats ce qui nous oblige à changer de héros pour parer au mieux les techniques adverses.
A noter que Ligthening change de job, Yuna use de ses invocations, tifa utilise des combos dignent de FF7…Dissidia a su apporter son lot de nouveautés grâce à cela. A chacun son style de combat.
Dans les confrontations multiples, vous pourrez désormais choisir l’ordre des combattant, vos règles et conditions de victoires.
En ce qui concerne le système du jeu, square-enix nous a fait part de quelques nouveautés, en outre, l’apparition d’une carte du monde où votre personnage peux vaquer librement, cependant l’étendue de celui-ci étant restreint vous aurez bien vite fait le tour.
Vous pourrez débloquer des portails grâce à des orbes collectées dans les mondes qui vous mèneront sur des damiers similaire à Dissidia.
Les héros n’évoluent plus en solo, vous pouvez appeler du renfort lors des combats moyennent le remplissage d’une jauge dédié à cela. Une aide particulière qui même si elle ne change pas grand chose au gameplay apporte tout de même un peu d’innovation.
Un point négatif pour les voix anglaises traduites partiellement.
Malgré tout plus travaillé que son prédécesseur, quelques points auraient tout de même put être corrigés et améliorés d’avantages. Square-enix aurait dut innover et prendre des risques.