En pleine polémique sur la nocivité du téléphone portable, des chercheurs viennent de montrer que portable et amalgame au mercure forment une association à haut risque pour la santé. Devra-t-on désormais éviter d'employer un portable quand on a des plombages en bouche ?
On peut craindre que oui car d'après cette étude*, les ondes émises par le téléphone portable sont capables d'altérer la structure de l'amalgame avec pour conséquence directe d'accroître la libération de mercure.
Pas moins préoccupant, les autres sources d'ondes électromagnétiques auxquelles notre technologie fait aujourd'hui appel (imagerie médicale, wi-fi, fours à micro-ondes, écrans d'ordinateurs et de télévision, etc.) auraient des effets similaires à ceux des portables sur les plombages dentaires.
Employés avec succès dans le traitement de la carie dentaire depuis plus de 150 ans (aux dires de ses défenseurs), force est de reconnaître que les plombages sont devenus incompatibles avec l'environnement de notre monde moderne. Les nouvelles technologies qui font de plus en plus appel aux ondes électromagnétiques (inconnues il y a 150 ans), pourraient expliquer l'explosion du "syndrome des amalgames dentaires" dans la population depuis quelques années.
Sachant que le mercure libéré est particulièrement nocif pour le système nerveux des fœtus et des enfants en croissance, comme reconnu officiellement aux États-Unis par l'ADA (American Dental Association), le projet d'un téléphone portable pour enfants en bas âge doit susciter les plus grandes réserves.
* En savoir plus : site Holodent
[b]Monsieur Vautier champion du monde de l’amalgame et des allias en tout genre (Veritas, , alias Patmos, alias Boule de Gomme, alias Champollion,etc….) est demandé aux urgences …..
[/b]
;D
PS l’article sera diffusé sur ecolonews.blog.fr, problème de santé public oblige!
Chut, Pourbaix dort… n’allez pas le réveiller !
:'( où l’on reparle du syndrome des amalgames dentaires :'( :'(
et puis il y a le syndrome des cinglés qui craignent qu’un téléphone portable se transforme en Klystron en entrant en résonnance avec l’alliage dentaire et libère par electrolyse du mercure . Ou comment cuire les aliments dans la bouche avec un téléphone portable . pitoyable !!!!
Pitoyable, en effet.
Je ne sais pas ce qui séjourne dans votre bouche, Veritas, mais à en juger par ce qui en sort vous devez être saturé de mercure qui, pour rappel, est un neurotoxique puissant.
ARRETEZ DE NOUS FAIRE PRENDRE DES VESSIES POUR DES LANTERNE !!!!!
Les micro-ondes des téléphones portables occasionnent des lésions bien plus grave aux cellules du cerveau que les quelques pico-grammes de d’ion mercure relargé par la solution solide des amalgames attaqué par la vinaigrette!
je signale au passage que la salive en elle-même n’est que TRES LEGEREMENT acide (le pH se situe entre 6.4 et 6.8 pendant toute la journée !)et que le diagramme de pourbaix de corrosion du mercure indique dans ces conditions un taux de relargage d’ion mercurique extrêmement faible.
C’est une malhonnêteté de dire le contraire .
Seulement voila , il y a quelques dentistes corrompus qui se verraient bien des plombages plus dispendieux que l’amalgame pour les assurés et pour les mutuelles (et qu’il faut renouveler plus souvent et en plus avec une dégradation plus rapide et irrémédiable de l’état des dents et donc des soins encore plus couteux à la clé !).
À LA NICHE !
À la niche Veritas alias Vautier alias Patmos alias … Champion toutes catégories du déni et de la malhonnêteté !
À la niche, vous et votre diagramme de Pourbaix totalement inappliquable au relarguage du mercure en bouche, ce qui montre une fois de plus que ce sont ceux qui en savent le moins qui hurlent le plus fort.
La vérité vous dérange : Les diagrammes de pourbaix sont applicables pour toute corrosion en milieux aqueux et Monsieur Pourbaix est un savant universellement connu !!!
« Il est difficile de rétablir la carrière complète d’un tel personnage qui a été actif jusque l’âge de 90 ans, mais sur la base de son curriculum vitae, il est possible de se faire une idée sans doute plus précise de l’activité extraordinaire de Marcel POURBAIX.
Diplômes:
– Ingénieur Civil mécanicien électricien, section chimie et électrochimie, Université Libre de Bruxelles (1927, légalisation en 1945) « avec grande distinction »
– Doctor in de Technische Wetenschap, Technische Hogeschool de Delft (1945) « met lof »
– Agrégé de l’Enseignement Supérieur en Physicochimie appliquée, Université Libre de Bruxelles (1945) « à l’unanimité du Jury ».
Distinctions scientifiques
– Lauréat du Prix du Gouvernement Belge de Prix d’Excellence (Athenée Royal d’Ixelles 1922)
– Lauréat du Prix de la Société Royale Belge des Ingénieurs et des Industriels (1933)
– Lauréat du Prix Gijsberti Hodenpijl (Technische Hogeschool Delft (1940)
– Advanced Fellow de la Belgian American Educational Foundation (1949)
– Lauréat de la Whitney Award (National Association of Corrosion Engineers, NACE) (1968)
– Lauréat de la Médaille d’Or Cavallaro (Fédération Européenne de la Corrosion) (1975)
– Lauréat de la Palladium Medal (Electrochemical Society)(1975)
– Co-Lauréat du Prix Vinçotte (Communautés Européennes)(1978)
– Lauréat de l’U.R. EVANS Award (Institution of Corrosion Science and Technology)(1979)
– Titulaire éponyme de la « Medalla al Merito en Corrosion Marcel Pourbaix » (Association Mexicana de Ingenieros en Corrosion AMIC)(1981)
– Life Honorary Member de l’Australasian Corrosion Association (1975)
– Socio Honorario de l’Associaçao Brasileira de Corrosao ABRACO (1978)
– Fellow of the Institute of Corrosion Science and Technology (1979)
– « Professeur d’Honneur » de la Beijing University of Iron and Steeel Technology (1980)
– Diplôme d’Honneur de l’Universidad Nacional Autonoma de Mexico UNAM (1981)
TITRE PROFESSIONNELS ET SCIENTIFIQUES
– Professeur extraordinaire à l’Université Libre de Bruxelles (1968-1974), Professeur Honoraire (1974- )
– « Distinguished Graduate Research Professor » à l’Université de Floride (1970-1974)
– Fondateur (1949), ancien secrétaire général (1949-1956) et ancien Président (1956-1959) du Comité International de Thermodynamique et de Cinétique Electrochimique CITCE, devenu en 1970 la Société Internationale d’Electrochimie SIE
– Secrétaire National du CITCE pour la Belgique (1949-1972)
– Fondateur (1949) et ancien rapporteur (1949-1969) des Commissions N° 1 « Diagrammes tension-pH » et n°5 « Corrosion » du CITCE
– Fondateur (1951), vice-président et administrateur-directeur du Centre Belge d’Etude de la Corrosion CEBELCOR
– Fondateur (1952) et ancien Président (1952-1959) de la Commission d’Electrochimie de l’Union Internationale de Chimie Pure et Appliquée UICPA
– Ancien secrétaire (1953)1959) de la section de Chimie-Physique de L’UICPA
– Membre du Conseil Scientifique de la Fédération Européenne de la Corrosion (1955-1965 et 1968-1972)
– Représentant de la Belgique à l' »Advisory Editorial Board » de la revue « Electrochimica Acta », depuis sa création en 1956
– Membre de l' »Executive Editorial Board » de la revue « Corrosion Science », depuis sa création en 1961
– Ancien Président (1965) de la section « Thermodynamique Electrochimique » et de la section « Corrosion » du CITCE
– Ancien Président de la division « Corrosion » de la société Internationale d’Electrochimie SIE (1965)1977à
– Président-Fondateur (1988-1972) du groupe de travail GT.6 « Méthodes d’Essai et de Contrôle » de la Fédération Européenne de la Corrosion
– Ancien Président (1969-1975) de l’International Corrosion Council
– Ancien secrétaire (1972-1978) de l’International Corrosion Council
– Membre du Comité de l' »Advanced Research Institute on Stress-Corrosion » du NATO (1969)1975)
– Expert de la Communauté Economique Européenne C.E.E. auprès de ses Comité Exécutifs « Corrosion » (1973- )
– Membre coopté de l’International Association on the Properties of Steam IAPS (1979- )
CARRIERE
Après ses études d’où il sort (ULB) avec Grande Distinction, Marcel Pourbaix y devint assistant auprès du Professeur O. DONY-HENAULT (Fondation Tassel), de 1927 à 1928, puis entre à L’Union Chimique Belge (UCB) (1928-1934) comme ingénieur et secrétaire technique de ces services, auprès de M.J. Guillissen, directeur général. Il entre ensuite à l’ULB et de 1934 à 1945 est assistant ou suppléant, assure l’enseignement clandestin en chimie analytique, industrielle et métallurgique et pendant un an après la guerre, suppléant pour la métallurgie générale (Decroly), avant de passer comme chef de travaux jusque 1968. Pendant cette période, il est chargé de conférence ou de cours sur des sujets qui traitent de l’électrochimie, de la corrosion. En 1968, il est nommé Professeur Extraodinaire et en 1978, Professeur Honoraire. En dehors ou après sa carrière universitaire, il devient en 1950 Directeur du Comité Central de Corrosion et depuis 1951, Directeur du Centre Belge d’Etude de la corrosion CEBELCOR. Ultérieurement, il en sera Administrateur-Directeur scientifique (1959-1962, Administrateur-Directeur de 1962-1978, et depuis 1968, Vice-Président.
Depuis 1979, Conseiller scientifique. Depuis cette époque, Marcel Pourbaix s’est consacré à des colloques et séminaires où sa présence rehaussait l’assemblée, à un point tel que, malgré ses intentions, je ne pus jamais le rencontrer faute de temps et je le regrette.
Cet homme inépuisable s’est éteint un jour sans jamais avoir été vraiment malade. »