Le principal ennemi du président François Hollande est le temps et son manque de détermination. Ce gouvernement manque  de volonté, on pouvait reprocher à notre ancien président son hyperactivité mais celle-ci avait d’efficace qu’elle faisait avancer les choses, en bien ou en mal, là n’est pas le débat.

 Le gouvernement Ayrault donne l’impression qu’il ne sait pas où il va ni quoi faire pour enrayer une crise qui continue de s’accentuer. Un seul objectif, celui d’aspirer dans les caisses des Français, un maximum d’argent pour pouvoir mettre en place des réformes irréalistes. Aucune loi efficace pour augmenter le pouvoir d’achat des Français et relancer l’entreprise.

Un projet de taxation des plus-values mis en place hier est aujourd’hui mis au placard parce que quelques entrepreneurs ont commencés à remuer un peu sur la toile. Pendant ce temps rien ne se met en place et il va falloir trouver d’autres « pigeons » à plumer, ce qui risque encore de retomber sur les plus démunis, les « sans pouvoir », NOUS !

Les services de police sont en sous-effectif, sauf celui des contractuels qui jour par jour taxent les stationnements de nos villes. Pas de pénurie non plus du côté des radars de vitesse, placés de plus en plus à des endroits qui rapportent gros plutôt que pour prévenir la sécurité des usagers.

Notre président qui aggrave encore la situation des Français « moyens », s’enfonce de plus en plus dans les sondages  et démontre son incapacité et son manque de fermeté. Un pays ne se dirige pas comme une colonie de vacance et dans une période de crise comme celle qui sévit en Europe aujourd’hui, on a besoin d’un « Leader » qui a le courage de ses opinions et la volonté de redonner un peu de justice sociale et économique à notre pays, ce qui n’est pas sa priorité.

Aujourd’hui, rien ne change et encore moins la politique. Gauche, droite et leurs extrêmes ont tous les mêmes discours. François hollande en visite dans les quartiers chauds annonce « je viens vous amener la sécurité » exactement comme Nicolas Sarkozy quelques années plus tôt. Qui d’ailleurs, Loin de tout ce chambardement, se fait le plus discret possible. Comme un « justicier » il attend son heure, l’heure de dire aux Français : «  vous voyez ! J’avais préservé la France, mes réformes étaient plus justes, Le président François Hollande vous a mis à genoux, vous travaillez plus pour gagner moins, les retraités payent des impôts et leur pouvoir d’achat diminue ». Avec une cote d’amour qui remonte et 44 % des Français qui regrettent son départ, il se positionne de façon sournoise en alternative inévitable à la monté au pouvoir du front national

Ceci est une fiction bien sûr, ZORRO est masqué et ne fait pas de politique !