Le Pape à Lampedusa : pour quoi faire ?

 

 

 

 

Je dois dire que je n’avais pas une grande sympathie pour le pape François, en raison de son passé en Argentine, qui pour le moins, ne fut pas très clair ! Son choix de visiter Lampedusa et surtout les propos qu’il a tenu au cours de cette visite m’interpellent, comme ils en interpelleront plus d’un, chrétien ou non ! Au final, il reste la question à quoi cela peut-il bien servir ? A-t-il un pouvoir ? ne serait-ce que pour influencer les autorités européennes ou autres…

 

 Le Pape François a expliqué qu’il avait décidé de faire ce voyage, sans précédent pour un Pape et sa première sortie hors de Rome pour «prier, accomplir un geste de proximité et également réveiller les consciences afin que ce qui s’est produit ne se répète plus». Il espère au moins sensibiliser l’opinion au sort des centaines de réfugiés qui affluent régulièrement d’Afrique et du Moyen-Orient (4000 depuis le début de l’année – trois fois plus qu’en 2012). Une fois de plus, il faut être croyant pour croire à la « force de la prière », sinon, on se dira qu’il y peu de chances pour que cela puisse avoir des effets sur la situation de cette île sicilienne et surtout des migrants ! Comme chacun sait, lampedusa est devenue un point d’entrée dans l’Union Européenne.

 

Le Pape François a décidé de venir à Lampedusa parce qu’il a été informé récemment de « cette tragédie récurrente en Méditerranée ». Par ce geste, il attire sans aucun doute l’attention sur la situation des migrants. Il est venu aussi pleurer la mort de centaines de migrants venus d’Afrique du Nord qui avaient tenté de traverser la Méditerranée en quête d’une vie meilleure. A son arrivée, il a lancé depuis une vedette, dans laquelle il avait pris place, une couronne de chrysanthèmes jaunes et blancs à l’eau, devant l’île, pour commémorer les victimes des naufrages. Puis, le Pape François s’est déplacé sur l’île de seulement 20 km² dans une Fiat décapotable, prêtée par un habitant, et il a refusé d’être accompagné par des représentants politiques.

 

Depuis un petit stade où il célébrait une messe devant 10 000 siciliens, il a lancé ses messages à l’Europe et au monde…

Ainsi, il a dénoncé l’indifférence et l’égoïsme de ceux qui connaissent le bien-être dans le monde, en déclarant : «La culture du bien-être nous rend insensibles aux cris d’autrui et aboutit à une globalisation de l’indifférence». Il a aussi pointé du doigt « la perte du sens des responsabilités ». «Nos frères et sœurs cherchaient à sortir de situations difficiles pour trouver un endroit meilleur pour eux et leur famille mais ils ont trouvé la mort», a-t-il souligné, ajoutant : «Qui est responsable du sang de ces frères et sœurs ? (…) nous avons perdu le sens de la responsabilité fraternelle».

 

Le Pape a aussi exprimé "sa gratitude sincère et ses encouragements" aux 6.000 habitants de Lampedusa et Linosa,   "Vous êtes une petite communauté mais vous offrez un exemple de solidarité", leur a-t-il dit.

 

Le Pape a bien un objectif, celui de sensibiliser les opinions au sort des milliers de migrants, mais aussi d’encourager les pays d’accueil à leur fournir leur protection et à garantir leurs droits.

 

Si le pape s’adresse bien à l’humanité en général, il ne doit probablement pas ignorer que l’Europe et les Etats qui la composent en particulier  devraient eux agir, mais ils ne parviennent  pas à mettre en place des solutions satisfaisantes pour tenter de résoudre ce problème des migrants de Lampedusa. En l’absence de gouvernance européenne, les états ne reçoivent pas les moyens qui seraient nécessaire pour cela.

 

Le Pape est venu rappeler que Lampedusa est le théâtre d’une tragédie humaine et géopolitique débordant largement les considérations locales. D’ailleurs, Mme Giusi Nicolini, maire de gauche de Lampedusa a plaidé : « Le reste de l’Italie et l’Europe doivent nous aider ».

 

Espérons que cette visite du Pape à Lampedusa ne servira pas seulement « à pleurer et à prier pour les morts ». Il nous interpelle, mais à titre individuel, nous ne pouvons pas grand chose ! Puisse-t-il influencer ceux qui s’occupent des affaires de l’Europe pour qu’ils essaient de trouver des solutions au problème de Lampedusa.

Sources : Le Nouvel Obs, Le Monde, Libération, Le Figaro

(Photo : capture d’image sur le site lefigaro.fr)

 

 

Ivre, il tire, blesse trois personnes : un an de prison… un jour, ou… jamais

Cela n’arrive vraiment qu’en France car, le changement, c’est maintenant, et il faut croire que la magistrature est de plus en plus sévère. Un type, complètement ivre, ne relevant pas de la cellule de dégrisement mais du séjour hospitalier, accompagné d’un complice, interpelle un groupe de jeunes gens, les provoque, et finit par tirer. Résultat immédiat : un blessé léger, un autre plus sévèrement touché, un troisième estropié. En différé : un an de prison ferme et deux assortis de sursis, cinq ans après (pour une affaire relevant de la comparution immédiate), et le condamné fait appel, donc sort libre du tribunal. Remarquez, en Afrique du sud, il aurait été promu et décoré. Explication ? Il s’agit d’un policier.

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Faut-il continuer à parler des enlèvements ?

Les années passent et le problème est toujours le même : aujourd’hui encore, on nous montre de nouvelles vidéos d’une personne enlevée par des terroristes. Les médias se ruent dessus car c’est un sujet sensible qui fait de l’audience, donc qui peut générer de beaux profits grâce à la publicité. Mais d’un point de vue humain, ne vaut-il pas mieux arrêter d’en parler ?

 

Une question de pudeur

 

Déjà, on devrait laisser les familles souffrir en silence, sans montrer sans arrêt leur douleur sur la place publique. C’est suffisamment éprouvant de s’inquiéter pour un ami, un proche, un amant, un mari, un enfant etc. Pas besoin en plus de se montrer partout pour crier sa douleur ! Cela devient ridicule et agaçant. C’est plus un problème privé que public.

 

Les enlèvements financent le terrorisme

 

Il ne faut pas se leurrer : si autant de personnes sont enlevées dans le monde, c’est parce qu’il y a beaucoup à gagner ! Il ne s’agit pas uniquement de faire parler d’un groupe ou d’une idéologie : on nous parle régulièrement, longtemps après la libération d’anciens prisonniers, de rançons de plusieurs millions d’euros versées par l’état français aux ravisseurs. Cet argent, à quoi sert-il ? A financer la guerre contre l’occident, les attentats un peu partout dans le monde, l’entraînement des terroristes et les prochains enlèvements. C’est simple et rentable apparemment car il suffit de montrer une vidéo larmoyante partout dans le monde pour gagner des millions. Pourquoi s’en priver ?

 

En cédant à ces personnes, on met en danger tous les autres. Mais ça, c’est difficile à faire comprendre aux familles des victimes. Il vaut mieux un martyre que des centaines voire des milliers d’innocents massacrés mais ce raisonnement pourtant simple, fondé sur une logique de survie élémentaire, paraît impossible pour beaucoup.

 

La responsabilité des médias

 

On pourrait déjà arrêter de diffuser les images, vidéos et déclarations, aussi menaçantes soient-elles. Apaiser les esprits, ne plus parler de ce problème pourrait être un moyen de le résoudre : si le monde est indifférent aux enlèvements, ils devraient logiquement baisser.

 

Une autre possibilité serait une plus grande fermeté face à ces comportements agressifs et menaçants, mais on risque alors l’escalade de la violence, ce qui n’est pas non plus une bonne solution.

 

Enfin, les familles des victimes ont toujours la possibilité, plutôt que de venir pleurer à la télé, de se tourner vers des milices privées ou de prendre leurs responsabilités et d’agir elles-mêmes.

Victimes : la loi est la meme pour tous…

on n´entendra jamais trop la phrase : "ca n´arrive pas qu´aux autres" !

Vous pouvez sortir de votre domicile, perdre une seconde d´attention et vous faire renverser par un automobiliste en traversant la chaussée, mais oui vous n´auriez jamais pensé que cela pourrait vous arriver à vous aussi et pourtant !

 

 

A partir de cet instant, vous etes une victime comme parmi tant d´autres mais sachez qu´il y a mille autres façons d´etre une victime car certains accidents ne peuvent etre évités mais d´autres ne sont pas le fruit du hasard et sont la conséquence d´actes irresponsables.

Je souhaite parler des erreurs médicales, car les gens qui en ont subi les conséquences sont des victimes également.

Evoquons les infections nosocomiales, les erreurs de diagnostics souvent trop nombreuses et la plupart du temps passées sous silence, les complications causées par une mauvaise médicamentation, les maladresses diverses et souvent vues comme bégnines mais qui peut s´aggraver malicieusement au fil du temps, les anesthésies dénotant une mauvaise prise en charge et tellement encore d´erreurs médicales car en janvier 2009 les chiffres ont parlé d´eux memes, car ce n´est autre que Phillipe juvin qui nous a indiqué que le taux de mortalité annuelle dues aux erreurs médicales était de 10 000 !

Alors oui, ces victimes elles aussi sont dans leur droit de réclamer justice !

Et c´est grace à la création en 1990 à l´A.A.V.A.C (l´Association d´Aide aux victimes d´accidents Corporels) que justice peut etre faite car depuis octobre 2010, la loi reconnait enfin que ces erreurs médicales portent atteinte et préjudices moraux et également une perte de chance à vivre plus longtemps.

Il est important que les victimes sortent de l´ombre, car trop d´entres elles prefèrent garder le silence en pensant qu´elles ne peuvent rien faire face aux structures du monde médical masi qu´elles se rassurent la loi est la meme pour tous alors faites passer ce message !

 

Une belle rencontre…

  Aujourd’hui, malgré le temps mitigé, nous avons décidé de nous rendre au parc histoire de dégourdir les jambes de notre loulou. Une femme d’environ 70 ans était également présente avec son petit fils qui passait les vacances chez elle. Nous avons tout de suite sympathisé. 

Alors que nous discutions de tout et de rien, quand elle se mit à me raconter son histoire. Je fus vraiment très touchée par ce récit… L’émotion était encore très présente, comme si le cauchemar qu’elle a vécu datait d’hier…

Il y a quatorze ans maintenant, en 1998, cette dame et son époux décidèrent de partir en voyage en sepagne avec deux autres couples d’amis. Le 8 octobre, une promenade sur le Lac de Bagnyoles en Espagne était organisée . 141 retraités acceptèrent avec plaisir cette promenade. 141 personnes qui embarquèrent sur un petit bateau fait pour accueillir seulement 80 personnes (mais cela ils ne l’apprirent que par la suite).

L’embarcation s’est lentement éloignée du rivage et là, le bateau commença à prendre l’eau puis finit par sombrer… Le bateau coula par l’arrière avec une telle rapidité… Les personnes étant restées à l’intérieur n’eurent que peu de chance de s’en sortir, pas même de quoi s’accrocher aux sièges qui n’étaient pas fixés… Beaucoup d’entre eux ne savaient pas nager… Au total, 21 personnes périrent noyées dans le Lac. Cette femme m’expliqua que les secours mirent un temps qui lui sembla une éternité pour arriver sur les lieux. Pour son mari, il était déjà trop tard… 

Alors qu’ils commençaient tous deux à "vivre", à profiter pleinement de leur retraite, le drame a tout gâché! 33 années de mariage, de partage pour finir ainsi seule…  Cette femme s’en sort sans séquelles après avoir passé pas mal de temps à l’hôpital. Des trois couples qui partirent ensemble pour ce voyage, il ne reste que trois personnes, chaque couple ayant perdu sa moitié dans le naufrage. 

Un cauchemar, elle en avait encore les larmes aux yeux quand elle m’en parla… Un traumatisme, elle ne montera plus jamais dans un bateau. "Le destin est ainsi " m’a t’elle expliqué, mais j’ai ressenti l’immense tristesse qui émanait de ces paroles… 

Des histoires comme celle-ci on en entend régulièrement me direz vous, mais je n’avais jamais rencontré de personne ayant subi un tel drame. C’est l’âme en peine que je suis rentrée chez moi, toutes mes pensées allant vers cette petite dame. Une très belle rencontre qui me donne encore le frisson quand j’y repense. Il est vrai que l’on parle beaucoup des victimes en négligeant ceux qui restent, ceux qui n’en dorment plus la nuit…

 

Nouveau séisme en Italie du Nord, le 29 Mai 2012 : victimes, blessés, déplacés et dégâts considérabl

Une forte secousse de magnitude du moment, – Mw -, 5,8 pour l’Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, – INGV -, le Centre Sismologique Euro-Méditerraneen, – le CSEM -, l’United States Geological Survey, – l’USGS -, et GEOFON Global Seismic Network, – GEVN network -, et d’intensité au foyer VII sur l’échelle de Mercalli, – MMI -, réplique du séisme de magnitude 6.0 du 20 Mai 2012, a frappé, à nouveau, en plein cœur de la Pianura Padana emiliana, la Plaine du Pô, en Emilie-Romagne, le 29 Mai, à 07 h 00 Temps Universel, 09 h 00 heure locale.

 

 

 

Son épicentre se situe, latitude 44.814° Nord et longitude 11.079° Est, à 2 kilomètres au Sud de San Giovanni del Dosso, à 5 kilomètres au Sud-Ouest de Poggio Rusco, à 5 kilomètres au Sud-Est de San Giovanni Delle Segnate, à 6 kilomètres au Nord-Est de Concordia sulla Seiche, à 7 kilomètres au Nord de Mirandola, à 29 kilomètres au Nord-Est de Modène, à 40 kilomètres au Nord-Nord-Ouest de Bologne, à 59 kilomètres à l’Est de Parme, à 70 kilomètres au Sud de Verone, à 161 kilomètres au Sud-Est de Milan et à 343 kilomètres de au Nord-Nord-Ouest de ROME, capitale de l’Italie.

 

Son hypocentre a été localisé à 9,6 kilomètres +/- 4,1 kilomètres de profondeur pour l’USGS, à 10,2 kilomètres de profondeur pour l’INGV, à 5 kilomètres de profondeur pour le CSEM et à 10 kilomètres de profondeur pour le GEVN network.

 

 

 

Plus de 40 répliques au choc principal, se sont produites au cours des quatre premières heures dont 10 de magnitude comprise entre 4.0 et 4.7 et 2 de magnitude égale ou supérieure à 5.0, – l’une à 10 h 55, Temps Universel, magnitude 5.5, la seconde à 11 h 00, Temps Universel, magnitude 5.0 -. Leurs foyers sont très proche des quartiers territoriaux déjà fortement touchés par le tremblement de terre du 20 Mai, une zone où la terre n’a pratiquement jamais cessé de trembler depuis. La région épicentrale englobe les mêmes agglomérations, pour les principales, Camposanto, Medolla, Cavezzo, San Felice sul Panaro, Finale Emilia, Mirandola, Magnacavallo, Poggio Rusco, San Possidonio, San Prospero, Villa Poma, Crevalcore et Sant’Agata Bolognese.

 

La secousse principale a été nettement ressentie dans tout le Nord et le Nord-Est de l’Italie, jusqu’en Toscane, en Ombrie et en Autriche, à Milan, à Bologne, à Florence, à Turin, à Aoste, à Padoue, à Vérone, à Vicence, à Venise, à Bolzano, à Trieste et à Trévise. A Florence, à Pesaro et à Bologne de nombreuses écoles ont été évacuées. Les lignes téléphoniques et les télécommunications mobiles sont hors d’atteinte et ne fonctionnent. Les trains ne circulent pas. L’hôpital de Modène a été évacué. Et les dégâts sont considérables, certaines agglomérations, déjà fortement endommagées par le séisme du 20 Mai, étant détruites à plus de 75%

 


 

Le bilan humain est tout autant catastrophique, Au moins 7 à 10 personnes sont portées disparues et16 à 20 victimes, suivant les sources, et environ 200 blessés sont à déplorer dans le Modenese, à Mirandola, San Felice sul Panaro, à Concordia, à Finale Emilia, à Novi, à Camposanto, à Cavezzo, à Medolla et à Cento. En outre, près de huit mille nouveaux réfugiés portent le total à quatorze mille individus évacués depuis le début de la crise sismique qui frappe la Pianura Padana Emiliana.

 

30 Mai 2012 © Raymond Matabosch

 

Suite de l’article : Quelques raisons responsables des séismes en Pianura Padana…

médiator : le premier procès

 

                                              

Nous en avons entendu parler depuis quelques années ; ce poison qui a fait de nombreuses victimes.

Le premier procès va s’ouvrir à partir du 14 mai à Nanterre. Motif ? tromperie aggravée…

 

Rappelons que le Mediator des Laboratoires Servier est un médicament contre le diabète distribué par les médecins pour lutter aussi contre l’excès de poids.

Les patients, qui ont pris ce médicament pendant de nombreuses années présentent de graves troubles cardiaques ou rénaux. 

Le médicament est composé d’un produit dangereux : la norfenfluramine et de nombreuses études faites en interne par les laboratoires Servier prouvent que les dirigeants étaient au courant des inconvénients de ce produit. Pourtant les laboratoires Servier nient que le médicament en contient. 

Le procès s’annonce compliqué : d’un côté les accusations et les victimes représentées par Irène Frachon la pneumologue qui a donné l’alarme et de l’autre les laboratoires et leurs avocats. 

Le renvoi de ce procès est pourtant possible, les avocats des laboratoires évoquent des questions de constitutionnalité…

 

Comment peut-on nier ce qui est vérifiable scientifiquement ? comment peut-on rester insensible à ce point de la détresse de centaines voire de milliers de personnes qui attendent de connaitre la vérité ? 

En effet, depuis le début, les laboratoires Servier nient tout en bloc. Pourtant les faits sont là !

Je trouve cela impensable qu’au nom de l’Argent Roi on ferme  les yeux en disant "ce n’est pas ma faute" ! 

Les sommes engrangées par la vente de ces produits est colossale certes, mais la vie des gens n’a-t-elle pas de prix ? 

Dans cette affaire, ce que j’entends dire est encore et toujours fric. Ne peut-on parler comme Irène Frachon de victimes, de personnes qui ont souffert, de personnes en détresse, de familles affligées ou en souffrance ? 

Non, la riposte des Laboratoires est l’argent. A croire que les dirigeants n’ont pas de coeur.

 

Je connais une dame qui est décédée d’avoir cru en ce médicament, elle laisse un mari de 80 ans perdu, qui se demande "pourquoi ?" encore deux ans après sa disparition.

Sa femme était partie voir ses petits enfants à Bordeaux par le train, deux jours après, un coup de fil de sa fille pour annoncer l’hospitalisation de sa mère. Lui, ne peut se déplacer. Un autre coup de fil le lendemain, fatal…. Et là bas, à l’hôpital on lui dit que s’ils avaient su qu’elle prenait du Mediator ils auraient su quoi faire…..Le médecin traitant refuse tout contact….

 

Voilà un cas parmi d’autres, lamentable. Oui, il faut découvrir la vérité pour que les victimes sachent…

 

 

Le voyage de rêve se termine en cauchemar.

 

Pour la plupart des passagers qui avaient embarqué sur ce géant des mers, ce devait être un voyage de rêve de 12 jours vers l’Espagne et les Iles Baléares, mais malheureusement quelques jours après leur départ cela se transforme en un véritable cauchemar lorsque leur bateau  heurte un rocher près de l’île de Giglio en Toscane.

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De Phnom pen à Buenos aires

 

L'actualité a parfois des coïncidences troublantes, qui interpellent quelque peu la conscience citoyenne. Elle nous en apporte ces jours-ci une nouvelle preuve…

Irréductible auditrice de la radio publique qui est la source principale de mon information nationale et internationale, je découvre simultanément dans la même journée, que s'ouvre, (enfin, après trente ans !),  le premier procès  d'un responsable du passé sinistre des Kmers rouges, et que l'Argentine retentit  de plus en plus fortement des cris et des actions de « l'escrache » des H.I.J.O.S.

Je voudrais essayer de vous faire comprendre aujourd'hui pourquoi le rapprochement dans l'actualité de ces deux  informations m'a semblé important et nécessaire à partager.

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