Cancer, Sida : attention à la communication des laboratoires

La semaine dernière comme il y a 15 jours, des nouvelles reprises par les médias faisaient état d’espoirs prometteurs pour soulager des pathologies graves. Pourtant, lorsque l’on creuse l’information, il s’avère qu’il est largement prématuré de relater ces résultats non validés sur l’espèce humaine. Une communication proche du coup de pub contre laquelle nous mettons en garde.

 

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En 2007, un patient atteint du SIDA, fut mystérieusement guéri !

 


Nombre d’innovations scientifiques, résultent du génie de laborantins et de chercheurs. Toutefois, il arrive que ce soit le hasard qui vienne à leur secours, ou encore qu’une de leur découverte, destinée par exemple à soigner une maladie bien spécifique, se révèle efficace pour une pathologie tout à fait différente.

C’est ce qui s’est produit il y a maintenant 7 ans, de façon totalement mystérieuse, avec un patient atteint du SIDA et qui demeure le seul être humain au monde à en être totalement guéri ! Vous avez bien lu totalement guéri !

 

Remontons donc en 2007 et tentons avec prudence, de chercher à déterminer l’origine de ce miracle médical…

Le miraculé s’appelle Timothy Ray Brown et durant 11 ans, comme la majorité des malades atteints du VIH, il a suivi une thérapie antirétrovirale, avec prise de médicaments.

Il arrive hélas fréquemment qu’avec ce type de traitement, vienne se développer une leucémie… Timothy Ray Brown, n’échappa pas à cette fatalité…

Ses médecins décidèrent alors, d’engager une chimiothérapie… Celle-ci ne fonctionnant pas, les médecins décidèrent de transplanter de la moelle osseuse à Timothy.

Le succès fut immédiat ou presque, mais il alla bien au-delà de ce qu’il est permis d’espérer en pareil cas, car non seulement le cancer fut guéri, mais il fut observé une telle régression du virus du SIDA chez Timothy, que ce dernier n’était plus du tout détectable dans les analyses sanguines ! Et plus fort encore, à ce jour le virus n’est toujours pas réapparu…

Les médecins ont conclu à une guérison miracle, car ils sont bien incapables de comprendre comment, ou par quoi le SIDA de leur patient a été éradiqué.

Bien entendu, ils ont quelques pistes, mais demeurent tout de même dans le flou. Ils avancent que la guérison pourrait-être due, à trois facteurs bien différents.

 

– Le premier pourrait-être le fait, que Timothy Ray Brown avait reçu lors de sa greffe de moelle osseuse, celle d’un donneur qui faisait preuve d’une mutation extrêmement rare, capable d’altérer un des récepteurs du VIH, que celui-ci utilise pour se fixer dans les cellules sanguines.

– Le second relèverait du fait que Timothy ait subi une destruction de son système, suite à sa chimio-thérapie et aux radiations, en vue de le préparer à sa greffe de moelle osseuse.

Ce procédé très courant, connu sous le nom de "conditionnement" aurait donc pu "tuer" l’ensemble des cellules infectées par le VIH.

– Le troisième, enfin, découlerait peut-être de l’attaque des cellules, puis de la totale destruction des organismes infectés, par les cellules étrangères transplantées chez Timothy Ray Brown.

Vous comprendrez que cette guérison, bien qu’elle laisse les membres du corps médical dubitatif, n’en ouvre pas moins une voie à exploiter, et c’est dans cette voie que se sont engouffrés des scientifiques de l’université Emory aux Etats-Unis.

Des essais auraient été menés sur des macaques, et voici ci-dessous le processus employé, simplifié à l’extrême.

 

– 1 On a retiré chez les singes des cellules souches sanguines saines, pour les remplacer par des cellules infectées par un "virus hybride" appelé VIHS (pour VIH Simiesque).

– 2 Puis, les animaux ont été traités tout comme on le fait avec les humains avec une thérapie antirétrovirale.

– 3 Trois mois plus tard, les macaques furent exposés à des radiations sur l’ensemble du corps.

A ce stade, la majorité des cellules immunitaires étaient détruites, dont 99% des globules blancs, cibles du VIH.

– Enfin, tout comme dans le cas de Timothy Ray Brown, on a procédé chez les singes, aux greffes de leurs propres cellules souches conservées, puis on a stoppé la thérapie antirétrovirale.

Les essais ne furent hélas pas concluants, car chez l’ensemble des macaques, le virus a ressurgi.

Toutefois, ces premières expériences ont permis aux scientifiques de l’université Emory, d’arriver à la conclusion que la technique du "conditionnement", n’est pas suffisante à elle seule, et que la greffe des propres cellules souches d’un être infecté ne l’est pas plus.

Rappelons-nous en effet, que dans le cas de Timothy, les cellules reçues, n’étaient pas celles conservées du patient, mais venaient d’un autre donneur.

Selon les chercheurs, ce dernier facteur pourrait bien être déterminant, pour envisager de guérir un jour les malades…

 

Pour terminer sur une note optimiste mais prudente, je dirais, que les scientifiques ont peut-être poussé la première porte d’un complexe labyrinthe, et qu’il leur faut à présent en trouver l’issue.


(Sources Daily Geek Show)

Quand un homme trouve le remède miracle contre le virus du sida et que la médecine le refuse!!!!!

 

Avez-vous entendu cette histoire? mais où va t’on? j’aimerai avoir les opinions de chacun sur cette histoire qui tourne sur internet. Je vais donc vous résumez, vous expliquez de quoi il s’agit. J’ été révolté, écœuré par ce qu’est notre monde où l’argent compte plus que la vie. L’industrie nous prendrait-elle pour des fourmi à écraser une par une? Le virus du SIDA frappe depuis des années, depuis des années on nous ferait croire à des recherches qui seraient finalement fausses puisque le remède serait déjà trouvé.

  

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La 20e conférence sur le sida sous le signe de l’optimisme

La 20e conférence sur le sida s’est ouverte, dimanche 20 juillet, à Melbourne en Australie. Son slogan ? « Accélérer l’allure » ! En effet ce rassemblement a pour objectif de trouver les moyens d’offrir à un plus grand nombre de malades des traitements antirétroviraux.

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Les 4 vérités Philippe Douste-Blazy sur la malnutrition chronique en Afrique

« …Laisser  2 milliards d’êtres humains dans l’extrême pauvreté est non seulement une faute morale mais aussi politique… que les Etats africains investissent sans attendre dans l’amélioration de la nutrition des enfants ».

Au terme de sa visite de travail au Cameroun marquée par les rencontres avec les autorités de Yaoundé et des descentes sur le terrain, le Conseiller Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en charge des financements innovants, invité par l’Unicef, s’est confié à Come4news.com et à Yenoo Belgique.
 Dans cette interview, en présentant l’Unitaid qui semble encore mal connu par le grand public, le Président du Conseil d’Administration d’UNITAID  s’est voulu plus explicite sur les raisons de cette visite, le bilan de l’action de l’Unitaid au Cameroun. L’ancien ministre français  de la culture,  de la Santé  et des Affaires étrangères qui s’est dit être « choqué » par les ravages de la malnutrition en Afrique, appelle vivement les Etats africains « investir sans attendre dans l’amélioration de la nutrition des enfants ».
Sensible à l’ampleur de ce mal en Guinée-Equatoriale, ce cardiologue devenu est député et maire de Lourdes puis de Toulouse, voit la nécessité de rencontrer «  les responsables politiques de cet État et les sensibiliser…»

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Un nouvel espoir dans la guérison du Sida…



Je me fais souvent le rapporteur de nouvelles techniques, innovations, inventions, dont certaines sont inutiles et d’autres essentielles. Un moyen sans doute pour moi de prouver que l’ingéniosité des hommes, n’est pas prête de s’éteindre.

 

Mais aujourd’hui, après avoir lu ce qui va suivre dans une revue scientifique gracieusement prêtée par mon médecin, je pense cette fois pouvoir me faire le rapporteur d’une nouvelle découverte, propre à changer le quotidien de bien des malades et sauver bon nombre de personnes de la mort.

 

Qui n’a pas entendu parler de ce fléau mondial qu’est le Sida, ainsi que des traitements qui, il faut le préciser enraillent la maladie, mais ne l’éradiquent en rien.

 

Il suffit à une personne atteinte de cesser sa thérapie, pour que le mal revienne au galop.

 

Quelques exceptions existent toutefois me direz-vous, comme ces 14 patients français dont on dirait qu’ils sont en "guérison fonctionnelle" sans continuer à prendre leur traitement, ou de cette petite fille, mystérieusement guérie.

 

Hélas, ces guérisons relèvent du miracle !

 

Il est avéré que tout arrêt des antiviraux, entraîne la réapparition du virus du Sida.

 

Eh bien, il semblerait, que des scientifiques de la New Jersey Medical School aux Etats-Unis, viendraient d’identifier un médicament, capable d’éviter au virus de se cacher dans certaines cellules et surtout de s’y multiplier.

 

Les chercheurs à l’origine de cette découverte, affirmeraient tenir là un moyen de mettre en place un traitement définitif contre le Sida, ils auraient d’ailleurs publié un rapport dans la revue Plos One.

 

Le médicament est le "Ciclopirox" et la molécule qu’il contient serait très efficace sur les gènes du VIH.

 

Ce qui est encourageant à mon humble avis, c’est que le "Ciclopirox" est déjà reconnu comme performant depuis de nombreuses années en dermatologie, pour traiter certains types d’infections de la peau liées à de microscopiques champignons.

 

Cela revient à dire que l’on sait d’ores et déjà, qu’il n’y a pas d’effets secondaires connus chez l’homme, ni de toxicité avérée.

 

Reste à savoir si le médicament est efficace à 100 pour 100, concernant l’éradication définitive du virus du Sida, chez tous les sujets.

 

En tout cas le fait que le traitement des mycoses avec le "Ciclopirox" soit approuvé par la Food and Drug Administration, rend la communauté scientifique des plus optimistes et on parle déjà de révolution médicale.

Une superbactérie du sexe

H041, c’est quoi ? Un nom de code barbare ou un nouveau virus de la grippe ? Non, il s’agit d’une bactérie, à souche de la gonorrhée.

H041, c’est donc l’hyperbactérie du sexe et qui serait apparemment encore plus dangereuse que le SIDA… Une bactérie qui semblerait résister à tous les traitements, c’est dire la virulence de cette nouvelle bactérie.

De quoi faire peur aux autorités sanitaires américaines qui ont demandé au Congrès 38 millions d’euros afin de poursuivre leurs recherches d’un antibiotique. Elle inquiète forcément les scientifiques américains qui prennent cette menace très au sérieux. 


Le docteur Alan Christianson explique sur le site de la chaîne américaine CNBC que « cette bactérie pourrait se révéler bien pire que le sida à court terme parce qu’elle est plus agressive et qu’elle infectera les gens plus rapidement ». Par conséquent, elle peut toucher plus de personnes que le VIH.

 

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Salles de shoot sous encadrement…

Qu’ils soient de gauche ou de droite, les gouvernement successifs de ces dernières décennies ont multiplié les initiatives en faveur des toxicomanes les plus démunis. Tous ces efforts ont été à l‘origine d‘une forte baisse de la mort par overdose ou par sida. En effet après Michèle Barzach qui par décret avait autorisé la vente libre de seringues, Simone Veil avait impulsé la création de cliniques donnant accès aux héroïnomanes, au subutex et à la méthadone. 

Suite au désaveu de Roselyne Bachelot par le gouvernement Fillon sur la question de l‘ouverture de salle de shoot pour toxicomanes, Marisol Touraine  héritant d’un projet cher au président  Hollande, profiterait bientôt des retombées ; parole donnée, parole tenue puisqu’advient le feu vert de Matignon  ! C’est le dixième arrondissement de Paris qui devrait prochainement avoir le privilège d’accueillir  le dispositif à base de salle d’expérimentation de shoot sous tutelle ! 

Il fallait bien ne pas demeurer en reste par rapport au Pays-Bas, au Luxembourg, à la Norvège, la Suisse… Et de me dire en mon for intérieur que l’assistanat, ce fléau qui n’en finit pas d’étendre ses innombrables tentacules démesurés, vers tous ces domaines allant de la vie à la mort, n’est qu’un virulent parasite qui menace toute société. A défaut de traiter les maux qui rongent certaines personnes, à défaut de les extirper de leur spirale suicidaire, on les accompagne tout gentiment dans leur chute. Il y a bien longtemps en effet qu’a été lancé ce fameux coup d’envoi de la guerre à tous les tabous. Tabous qui doivent, vaille que vaille et sans exception sauter, une bien étrange devise  ! 

Après ma première réaction spontanée, j’ai ouvert un tout petit peu plus les yeux pour tenter de comprendre un peu mieux la démarche en question qui mobilisent des gens pour le moins bien avertis comme l’INSERM, l’OMS. Loin d’être un luxe, cet accompagnement s’adresse de fait aux personnes les plus atteintes que la vie n’a pas épargnées et qui une fois à bout,  finissent par jeter l‘éponge.  A l’abri de toute surveillance policière, comme des rats, ils envahissent des parkings, des entrées d’immeubles pour se donner un vertige de misère en se piquant à tort et à travers dans l‘insécurité sanitaire la plus totale ; tant pis pour l’hépatite, les boursouflures et tous les autres bobos qui viennent abîmer leur corps endolori. Derrière eux, les sols se jonchent de toutes sortes de seringues. 

Jusque là, la répression n’ayant apporté aucune amélioration à ces drames humains, il fallait bien lorgner chez les voisins : expérimenter des méthodes qui ont déjà fait leurs preuves, plutôt que de perpétuer indéfiniment un échec qui ressemble à s’y méprendre à de la non assistance à  personnes en danger !  En plus de redonner un peu de dignité à tous ces écorchés vifs, ce programme a pour vocation de lutter efficacement contre certaines épidémies parmi lesquelles celle de l’hépatite. A travers la création de liens sociaux, préalable nécessaire pour toute prise en charge thérapeutique, il a aussi pour ambition non pas de faire du prosélytisme mais de faciliter pour tous ces malades l’accès au sevrage.  Cerise sur le gâteau, le coût des salles de shoot serait inférieure à celui de la répression. 

Quant à la critique  selon laquelle la prostitution, la laissée-pour-compte devrait aussi bénéficier d’une telle attention, elle laisse à désirer. Alors que ces salles de shoot ont pour vocation de sortir les personnes de l’avilissement, à l’inverse les maisons closes elles, serviraient à entretenir l’avilissement des femmes. 

Quant au véritable combat à mener contre ce fléau dévastateur, il devrait cibler ces maffias qui ont pignon sur rue et qui prospèrent en toute impunité grâce à la culture et le commerce des opiacés, plutôt que de s’en prendre à ces malheureux qui arrivent en bout de chaîne, en en faisant de rudes frais.  

C’est vrai que certains de « nos principes ne sont que des préjugés de grande taille ».