Ségolène Royal à la banque publique d’investissement,

pouvait-on y prévoir une autre personne plus à même d’y être utile ?

 

A la question, «les politiques décident, le directeur exécute», Ségolène Royal a répondu, «voilà, exactement».afp.com/Eric Piermont. Document l’Express.fr.


Support Wikipedia J’entends, par mes yeux, tous ceux qui n’aiment pas Ségolène Royal vociférer contre sa nomination au poste de vice-présidente de la BPI. Outre l’opposition ce qui serait logique quoique, à y voir de plus près, sa compétence en matière régionale ne fait aucun doute. D’une façon générale, dénigrer quelqu’un de compétent, montre simplement que le rejet viscéral l’emporte sur la raison. Et là, ce n’est pas intelligent d’autant que c’est une banque dont le but politique est d’apporter un soutien financier aux PME, et PMI, ce dont toutes les entreprises ont besoin. Cette posture contre Ségolène Royal, dans tout ce qu’elle entreprend, qu’apporte-t-elle dès lors qu’elle vient de l’expression d’opposants permanents ? Tels Jean-Pierre Raffarin qui clame tiens «la voila banquière ?». Et d’ajouter dans le Figaro, bien sûr, «jusqu’à maintenant, ses investissements, notamment dans le groupe Heuliez, ne l’avaient pas particulièrement qualifiée pour cette fonction».

En juin 2010, le groupe français Baelen Gaillard Industrie, BGI, reprend les activités traditionnelles de l’entreprise, notamment dans l’emboutissage et la carrosserie. Sa diversification dans la voiture électrique passe, elle, aux mains de l’industriel allemand Edwin Khol, aidé par le conseil régional du Poitou-Charentes qui investit, en masse, pour sauver Heuliez. «Heuliez va repartir sur des bases solides», se félicitait alors Ségolène Royal. Or, à cette époque la chute des commandes de l’industrie automobile n’était pas ce qu’elle est devenue. Dans le domaine de la carrosserie Heuliez n’est qu’un sous traitant des grandes marques et l’on sait que ce sont eux les premiers qui pâtissent de la crise du marché automobile. Pour la voiture Mia électrique, c’est le même problème, Heuliez fabriquait des châssis, donc des éléments en tôle, pas la voiture. En 2012 le carnet de commande d’Heuliez de l’ordre de 38 millions d’euros s’est rétréci à un million d’euros. Les propos de Jean-Pierre Raffarin sont donc, à son image, sans raisonnement, méchants, et imbéciles.

Il est évident que Ségolène Royal fut nommée à ce poste, pour lequel elle ne perçoit aucune rémunération, par ce qu’elle est politiquement socialiste, présidente du Conseil du Poitou-Charentes, énarque, connaissant bien les problèmes des régions, et en outre, ancienne compagne du président François Hollande même s’il n’est pas intervenu dans cette nomination. Candidate malheureuse à l’élection législative de 2012, par un coup politique d’un dissident socialiste, Olivier Falorni, et par le fait qu’elle se présentait dans une circonscription différente de son fief électoral des Deux Sèvres, ayant laissé, en 2007, la place à Delphine Batho pour ne pas cumuler deux mandats électoraux. Mais elle fut plébiscité par l’Association des régions de France, et en cela, il n’y eu aucune intervention de l’État. Même Olivier Falorni estima que Ségolène Royal méritait ce poste car, elle avait déclaré depuis des années «que la création d’une banque publique était nécessaire».

Alors d’aucuns critiquent le président eu égard à ses propos «Moi président je ne ferai pas de nominations….», en fait il s’agissait de la nomination des directeurs de chaine de la télévision publique, les fausses annonces de l’opposition ne sont que la poursuite de ses mensonges.

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Quel président comptez-vous être ? par francoishollande

La question que l’on peut se poser, est-il judicieux de placer une personne éminemment politique à ce poste ? C’est en fait un poste plus technique que politique, même si, l’action politique de cette banque est importante et portant principalement sur les régions, et là, Ségolène Royal est toute indiquée pour en faire la promotion. En fait, le président de la BPI est Jean-Pierre Jouyet ancien de l’ENA, promotion Voltaire, et président de la Caisse des dépôts et consignations. Ségolène vice-présidente de la BPI se trouve dépendante de lui pour le seconder dans cette tâche. Lors de la présentation le 21 février de son équipe Jean-Pierre Jouyet précisa que Ségolène Royal, «compte tenu de ses capacités, si j’ose m’exprimer ainsi, en terme de communication, elle pourra jouer un rôle important en tant que porte-parole de la BPI». Ce que l’on sait moins, c’est qu’également, que Jean-Paul Huchon président de la région Île de France fut également nommé vice président.

Mais, une fois crée, ce qui compte c’est que la banque soit connue, qu’elle soit accessible à quiconque et que des informations précises soient données quant à ses possibilités. Or, si vous faites sur Google BPI vous tombez sur le site du ministère des finances. De là, vous apprenez que, sur le Net, le site de la Banque Publique d’Investissement est «bpifinance». Vous apprenez ensuite que «bpifinance» devrait avoir son siège à Maisons-Alfort dans les locaux d’OSEO, Financement de l’innovation et de la croissance des PME. Il apparait donc que la BPI a des problèmes de jeunesse.

Ce qu’il ne faudrait pas, c’est qu’il y ait confrontation entre le Directeur général Nicolas Dufourcq et Ségolène Royal. Nicolas Dufourcq est un haut fonctionnaire dirigeant d’entreprise, HEC, IEP Paris, ENA promotion Michel de Montaigne, et inspecteur des finances. Le dimanche 19 mai, Ségolène Royal estima sur France 3 que le Directeur général devrait exécuter les décisions prises par les politiques. Les politiques décident, le directeur exécute. «Voilà, exactement». «Bien sûr, il a son rôle pour faire des propositions et notamment pour définir les critères d’intervention de cette banque». Elle fut interpelée par Eric Woerth sur ses divergences avec le Directeur général au sujet de la raffinerie Pétroplus de Petit-Couronne et des Hauts-fourneaux de Florange. Pour lui, le sauvetage de ces deux entreprises n’aurait pas été un «bon business pour la BPI».

La BPI, qui a étudié le dossier d’Arcelor Mittal de Florange aurait rendu un «arbitrage business» selon lequel «on aurait perdu beaucoup d’argent et ce n’aurait pas été un bon business». Quant à Pétroplus, la BPI a préféré engager des fonds sur des sujets plus porteurs d’avenir. On ne peut lui donner tord. Ségolène Royal avait alors déclaré ces propos «de grave dérapage». «La BPI est là pour prendre des risques, parfois elle perdra, parfois elle gagnera», mais, il ne vaut pas mieux perdre quand l’on sait que l’on en perdra. Ce qui importe c’est bien sûr de financer à bon escient afin de ne pas perdre de l’argent. Mais aussi montrer un volontarisme réfléchi.

Ségolène Royal a tellement marqué la scène politique ces dernières années que son absence cause un manque. Elle apporta beaucoup en idées novatrices mais elle heurte par ce qu’elle veut imposer, un manque ce tact, trop brusque, qui lui fit du tord par ce qu’elle est une femme, ce qui la place en infériorité dans ce qu’elle veut faire. Les ministères dont elle eut la charge ont tous été de second plan, et de ce fait, elle éprouve des difficultés pour s’imposer aux masculins qui n’acceptent pas de supériorité féminine. Son aventure présidentielle de 2007 ou elle fit presque 47 % devrait lui donner du poids, en fait elle ne compte pas aux yeux de beaucoup, et c’est dommage.

 

Ségolène a son lot de consolation.

 Elle se voyait déjà au perchoir de l’Assemblée Nationale, 3ème personnage de l’état à défaut d’avoir pu être le premier. Mais voilà, un grain de sable nommé Olivier Falorni fait capoter le beau scénario. Ségolène se retrouve sans rien ou presque, présidente de région ça ne lui suffit plus.

Elle aurait pu espérer un ministère, il lui devait bien ça, François. Mais Valérie, la nouvelle élue du cœur du président, ne voyait pas la chose d’un très bon œil. 

Heureusement, l’ami de toujours de l’ancien couple, Jean-Pierre Jouyet, opportunément devenu président de la Banque Publique d’Investissement, va réparer cette injustice. 

Ségolène considère d’ailleurs qu’elle est l’inspiratrice de la BPI et donc qu’un poste de vice-présidente n’est nullement usurpé. Après avoir insisté lourdement, elle finit par obtenir gain de cause, son ex-compagnon ne peut pas lui refuser ce lot de consolation. Elle s’est toujours considérée comme incontournable. N’a-t-elle pas déclaré : « Le fait que, malgré mon poids politique, je ne sois pas dans le dispositif intrigue les gens. » Un peu prétentieux, non ?

Mon propos n’est nullement orienté contre madame Royal qui a sans doute les compétences pour occuper ce poste mais dont l’ambition a toujours été démesurée. Ce qui me hérisse, c’est le copinage. Il fallait trouver autre chose d’autre qu’un strapontin à Ségolène. Voilà, c’est fait ! 

J’ai beaucoup pesté sous Sarkozy 1er contre les nominations de faveur ou de récompenses pour services rendus. L’honnêteté la plus élémentaire m’oblige à m’insurger contre les mêmes pratiques à gauche. Je pensais que ce genre de pratiques du pouvoir allait être révolu, que ça faisait partie du « changement » tant désiré.

Force est de constater que certaines habitudes ont la vie dure et perdurent quelles que soient les majorités.

SEGOLENE ROYAL : Les photos !! Petite mise au point par le juge du tribunal !!!

SEGOLENE ROYAL : Les photos !! Petite mise au point par le juge du tribunal !!!!

 

Le 26 février dernier, Ségolène Royal paraissait en "Une" de Paris Match au bras d’un homme présenté comme son compagnon, alors qu’elle était en Espagne dans la célèbre station balnéaire de Marbella.

Celle-ci étant très connue pour être le fief des paparazzis et pour accueillir un nombre important de vedettes.

 

Après ce fait Ségolène, vous avez porté plainte contre Paris Match, pour avoir divulgué des images de votre personne et de cet homme, sans votre consentement.

 

 

Mais !! Ségolène, lorsque l’on veut porter plainte contre un magazine et rester crédible aux yeux des juges et ainsi obtenir les dédommagements que l’on a demandé.

Il faut arrêter de se peopoliser. Sinon on ne paraît pas plus crédible aux yeux de ceux qui jugent l'affaire, qu’aux yeux des français.

 

Vous voulez le beurre, l’argent du beurre et la crémière par-dessus le marché.

Comment pouviez-vous croire obtenir tout cela en dévoilant votre vie privée, puis en portant plainte par la suite pour photographies, soi-disant volées. Alors que vous vous promeniez sans vous cacher, dans les rues de Marbella.

 

Avec vos photos dans Paris Match, vous avez certes fait parler de vous.

Peut-être estimiez-vous alors, que Martine ayant maintenant un peu plus de popularité que vous même, il vous fallait trouver un subterfuge, pour que l’on ne vous oublie pas.

De plus, il vous faut arrêter de dévoiler votre vie de famille dans de nombreuses émissions télévisées, pour ensuite crier "au loup".

 

Ainsi, l’hebdomadaire Paris Match, a bien été condamné vendredi à vous verser 16 000 euros.

Mais sûrement pas à la somme que vous demandiez au départ pour dommages et intérêts, somme que vous estimiez à 50 000 euros.

 

Vous n’avez en fait obtenu, que 14 000 euros de dommages et intérêts et 2 000 euros de frais de procédure.

 

En rendant son ordonnance, le juge du tribunal n’a pas omis de préciser, et de nuancer la condamnation de Paris Match. Sa déclaration fut en effet :

 

– "L’étendue du préjudice invoqué doit toutefois être également appréciée à la mesure de la discrétion relative dont Ségolène Royal a su s’entourer, depuis de nombreuses années. Il suffit à ce propos, de relever que notamment ces derniers mois à l’occasion de la parution de ses deux ouvrages ou à l’occasion d’échéances politiques, elle a abondamment communiqué sur sa vie familiale".

 

 

En se peopolisant ainsi, les hommes et femmes politiques font réellement la "Une" des journaux à sensation et des sites Internet, mais dans des termes souvent peu élogieux.

Est-ce voulu pour que l'on parle d'eux à tout prix et peu importe si c'est en bien ou en mal ???

Ce n'est pas leur rôle, ce n'est pas leur fonction de faire tout leur possible pour paraître dans ces magazines.

Ils feraient bien mieux de se préoccuper du devenir de la France, ce serait nettement plus utile à notre Pays.

 

 

 

 

 

Démolition programmée de Ségolène Royal par Paris-Match et Voici ?

 

Après l'histoire des photos volées de Paris-Match, Voici annonce en « Une » la possible romance à Marbella de Ségolène Royal. Clichés sans intérêts, allusions à peine voilées à une éventuelle histoire de coeur, Voici marche donc sur les pas de Match sans grande conviction.


L'histoire risque de prendre un mauvais tour financier puisque ceux qui pensaient pourvoir se faire du « blé » sur le dos de l'ex-candidate aux présidentielles, en prétextant la liberté de la presse, devront certainement un jour imprimer sur leur couverture le Jugement de condamnation dont il feront l'objet suite à la plainte de huit pages de la Dame de Pique.

Si Paris-Match garde l'aura qui avait fait sa réputation d'antan, son contenu se rapproche désormais plus de celui de Voici que de Gala. Le prestige n'y est plus, la classe encore moins.

Les allusions gratuites à partir de photos faciles sont peut-être en effet le signe d'une volonté de servir le pouvoir (Sarkozy) en réduisant l'adversaire d'hier, et peut être de demain, à un simple statut de people. Après tout Paris-Match en 2008 avait refusé un scoop pour ne pas desservir le Président !

Cette descente programmée de Ségolène Royal du piédestal de la République à un niveau équivalent où végète Patrick Bruel dans le coeur des français équivaudrait à la chute de réputation que devrait supporter une star du foot surpris entrain de fumer un pétard sous les douches ! Ses prestations sur le terrain ne seraient pas prises au sérieux de sitôt.

Voilà qui la condamnerait en effet à n'être plus que l'ombre de sa poupée vaudou sur la scène politique.

Après le « vol » de son appartement, la charmante Ségolène, suffisamment royale pour se montrer dans Gala, doit donc faire face à un vol de photos et d'allusions non autorisées sur sa vie intime.

Serait-ce une preuve de plus que N. Sarkozy entend seul conserver les clés de l'élection de 2012 ?

SEGOLENE ROYAL : Et les photos volées ????

SEGOLENE ROYAL : Et les photos volées ?????

 

Oh ! Ségolène, que de soucis.

 

Que de soucis !!! Vous avez en ce moment.

Alors que vous aimeriez bien que l’on vous prenne au sérieux, vous qui désirez tant que l’on voit le travail que vous accomplissez, avant que l'on vous vole, votre vie intime.

C’est le contraire qui se produit. Et c’est ainsi que des paparazzis, tout comme pour Rachida, se sont posés sur vous, telles des mouches sur un pot de miel.

 

Vous êtes une belle femme Ségolène et le pot de miel est attirant.

 

Mais dites-moi !! Qu'est-ce qui a vraiment attiré les paparazzis, pour qu’ils prennent ces clichés ??? Vous, en toute connaissance de cause ou le pot de miel si attirant, que vous représentez.

 

Car il faut bien le reconnaître, certains pensent et ils sont assez nombreux, que ces photographies ne sont en rien, le fruit du hasard.

 

Cela vous importune ???

Mais Ségolène !! Lorsque l’on ne veut pas étaler sa vie privée au grand jour, on ne se rend pas à Marbella. Qui comme, vous le savez, est le fief des preneurs de photos volées.

 

Est-ce que vous ne nous joueriez pas là, un petit air de Rachida sur fond de Nicolas ???

 

Allez-vous remplacer celle-ci au pied levé ???

 

Ainsi, vous vouliez cacher le fait, qu’un nouveau compagnon un certain André Hadjez, éditeur de jeux de société, était entré dans votre vie.

Alors Ségolène, il fallait passer la St Valentin chez vous ou dans un endroit totalement perdu, au lieu d’aller vous installer juste sous l’objectif des paparazzis, à Marbella.

 

D’ailleurs, même Jean-Claude El Fasi, le plus célèbre des paparazzis, n’hésite pas à dire, qu’il s’agit d’un "rendez-vous marqué". Et dans le jargon paparazzi, vous savez bien ce que cela veut dire, se sont pour eux, de fausses photos volées.

Il précise :

 

– "Les photographes qui planquent à Marbella, ont la liste des passagers, avant même qu’ils n’atterrissent".

 

Puis il ajoute :

 

– "Ségolène est descendue dans le même hôtel que Gad Elmeh qui lui a de nombreux paparazzis à ses trousses. Il était donc impossible, qu'elle ne sache pas cela".

 

Car Marbella, tout comme Saint-Barth, Saint-Martin et les Maldives, sont des lieux à éviter pour une personnalité, si elle ne veut pas que l’on "vole" des photographies de sa vie intime.

 

Alors Ségolène, où est la vérité ???

 

Même le rédacteur en chef de Paris Match et auteur de ce scoop, pense lui aussi que ces clichés, ne ressemblent pas à une vraie planque. Les photos donnent l’impression d’êtres trop figées d’après lui. C’est ma première impression, mais ce n’est qu’une impression. Ajoute-t-il !!!

 

Rassurez-vous Ségolène, les clichés de votre personne et de votre compagnon, n’ont pas été bradés. Puisqu’ils se sont négociés, de 50.000 à 70.000 euros.

 

Ainsi, vous estimez que ces photographies ont été volées et vous désirez porter cela devant la justice. A ce propos vous nous précisez :

 

-"Ce n’est pas la première fois que Match a volé des photos, je les avais mis en garde, mais je n’avais pas porté plainte. Comme cela recommence, je pense que je vais faire appliquer la loi".

 

Nous suivrons donc, avec beaucoup d’attention, la suite de cette affaire.

 

 

Si vous désirez voir la photographie de Ségolène et de son nouveau compagnon. CLIQUEZ ICI. 

Visionnez la vidéo ci-dessous, pour vous amuser un peu.

 

 


 

 


 

 

 

 

 

 

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Démocratie Sarkosiste ou Royaliste : exit Ségolène reste Nicolas

Parce que le but d'une mission est d'apporter une réponse positive l'insulte ne s'inscrira jamais dans un ordre de mission …et pourtant par un fait du "Roi" la représentativité démocratique et républicaine est insultée et manipulée à des fins politiques et non dans un but constructif…

En élisant Monsieur SARKOSY une majorité démocratique et républicaine n'a pas suivi le "Royalisme" Ségolèniste, nous voulons des actes pas des paroles ont en quelque sorte affirmé les Français …

C'est cela que tout le monde attends …des actes, du service, du travail, de la sécurité et de la prospérité …

Louis XVI en a "perdu" la tête pour n'avoir pas su donner "du pain" au peuple ….

 

 

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