Années 1950, 1960… Années des pires périls !!!

 

J’avoue sans honte mon âge, n’ayant jamais connu les caps difficiles des 30 ans, 40 ans, 50 ans et bientôt 60 ans, car je pense avec une certaine philosophie qu’à tout âge, on peut vivre pleinement, comme on peut aussi le faire en crevant de jalousie, lorsque l’on louche sur ce que possède le voisin, bref passer son temps à se pourrir la vie et passer à côté des petits plaisirs simples du quotidien…
Par contre, il faut reconnaître que les personnes de ma génération, ont été les enfants de parents, qui n’ont en rien hésité à nous placer face aux plus terribles périls, donc à nous faire vivre dangereusement !

D’aucuns prétendront que les années 50 faisaient partie du « bon temps », je pense avec du recul, que finalement, nous devons être des rescapés, pour avoir été exposés à de graves risques sanitaires, et ingéré des produits certainement contaminés, qui conduiraient les services vétérinaires actuels à prendre des mesures massives de désinfection, voire des mises en quarantaine.

Bien entendu, ces constatations quelque peu catégoriques, me sont en fait inspirées par l’actualité, par ces médias qui nous parlent journellement de bactéries, de virus, de denrées polluées, d’abattage de volailles et autres crustacés infectés par des micro-algues, etc…
Ils nous incitent de surcroît, pour notre bien-être, à ne faire l’acquisition que de produits allégés, aseptisés, lyophilisés, désinfectés, vitaminés, pasteurisés et que sais-je encore, dont les vertus sur la santé (ce n’est plus à prouver !), sont plus que douteuses, mais auxquelles les nutritionnistes et diététiciens croient mordicus …

Étant curieux de nature, j’aimerais alors que l’on m’explique comment je peux encore être vivant à ce jour, après avoir ignoré les plus élémentaires recommandations, celles-là même dont regorgent les magazines de santé et autres émissions télévisuelles…

Permettez avant que (je l’espère), ne fusent les réponses de spécialistes aux questions que mes compagnons d’infortune et moi-même, nous posons depuis près de 60 ans, que j’expose modestement dans cet article, ce qui constituait le quotidien des « Rambo » en culottes courtes que nous étions dans les terribles années 50, en quelque sorte que je vienne vous parler, de notre survie en milieu hostile…

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– Chaque matin, nos mamans nous faisaient cuire des œufs, achetés chez le paysan du coin, et pondus sans la moindre précaution par des poules fermières qui toutes « caquetantes », se nourrissaient elles-même, avec ce qui pouvait bien leur tomber sous la dent (si je puis dire !), après avoir fini leur grain exempt d’OGM tout de même (mais si ça existait!)…
Ces œufs à ce que l’on dit pourtant aujourd’hui, n’étant contrôlés par aucun laboratoire, ni estampillés à la date de ponte, devaient être remplis de virus et couverts des pires bactéries…
Je n’ose imaginer les risques encourus par notre système intestinal, quand nos assassins de parents nous préparaient un bouillon avec ces poules, qui n’avaient jamais été traitées aux antibiotiques, et vaccinées !

Pourquoi ne sommes-nous pas morts ?

– N’est-ce pas un tour de force, que nous ayons pu nous développer dans de bonnes conditions, avec une nourriture qui ne contenait pas comme celle d’aujourd’hui, des vitamines ajoutées, des colorants si attractifs visuellement parlant, des glutamates, protéases, phosphates, dextroses, levures, lécithines, parfums de synthèse et autres agents de préservation ?

– Que dire de ces parents indignes, qui pour leur propre tranquillité, nous envoyaient jouer souvent pieds nus dans les champs avoisinants, parfois en plein vent et peu couverts…
Et surtout comment expliquer que nous n’attrapions jamais le moindre rhume ou que très rarement, encore moins la grippe, et que de toute manière au moindre petit « toussotement » de notre part, nous avions droit à une bonne friction d’huile camphrée, quand on ne brûlait pas la peau avec les cataplasmes de moutarde, car les médicaments soi-disant essentiels d’aujourd’hui, tels que les antibiotiques, cortisone et autres médications, n’étaient pas encore parvenus jusqu’à nos campagnes…

Pourtant dès le jour suivant, nous étions guéris ! Par quel mystère ?

– Pour celles et ceux qui vivaient à la campagne, ce que l’on appelle les « commodités » ne faisaient pas toujours partie de leur vie, certains n’avaient pas encore l’électricité, et une grande majorité, n’utilisait pas l’eau de la ville, car la « Compagnie des Eaux » ne desservait pas les endroits les plus reculés des régions…
Aussi « pompaient-ils » l’eau du puits, je m’en souviens parfaitement, pour en avoir bu chez mon grand-père… Cette eau n’était jamais analysée… Nul ne la faisait jamais bouillir, et pourtant dans mes plus lointains souvenirs, je ne me rappelle pas d’avoir entendu parler de la moindre contamination dans mon entourage propre, ou chez nos voisins…
Il m’est arrivé d’ailleurs de me désaltérer directement au tuyau d’arrosage, celui-là même qui traînait dans l’herbe.
Il faut savoir aussi, que cette eau servait à la préparation des biberons…

Mon Dieu ! Comment n,en somme, nous pas morts ?

– À la sortie de l’école, nous enfourchions nos bicyclettes, dévalions les chemins à tombeau ouvert, sans la moindre protection, sans casque… Au mieux, nos parents avaient-ils la gentillesse de nous emmener chez un copain, mais là encore dans des voitures sans ceintures de sécurité, et encore moins dotées d’un airbag…
Puis, nous passions des après-midi à boire une eau tiède à la « gourde en plastique » (certainement non-alimentaire aux dires d’aujourd’hui !).
De temps à autre, nos genoux étaient écorchés par de spectaculaires chutes sur les graviers de la route, l’alcool à 90° et le Mercurochrome entraient alors en action, pratique impensable de nos jours, interdite même !

Diable ! Mais comment n’avons-nous jamais été victimes d’infections ?

Une bonne étoile à n’en point douter, devait briller au-dessus de nos têtes blondes !

– Que dire du milieu scolaire ! Quand nos parents qui travaillaient, nous déposaient parfois une heure à l’avance, dans des salles où trônait un poêle à charbon, livrés à nous-mêmes, avec pour unique surveillante, la « femme de ménage » en blouse bleue, qui lançait au moindre bruit : « silence ! »
Que voulez-vous les garderies de l’État n’existaient pas !

Nos « Maîtres » quant à eux, usaient de méthodes pédagogiques, qui les conduiraient aujourd’hui devant les tribunaux pour maltraitance.
Taper avec une règle en bois, sur les doigts des indisciplinés, ou encore nous soulever par les oreilles de notre pupitre, jusqu’au tableau noir, au seul motif que nous n’avions pas récité correctement notre table de multiplication, étaient des pratiques courantes, validées par nos parents qui donnaient « tout pouvoir » au Maitre…
D’ailleurs, au sein de l’établissement, à qui donc aurions-nous pu aller, nous plaindre ou demander un simple conseil ! Nous n’avions point de psychologue, ni de conseiller d’orientation, et encore moins de sexologues !
Notre journée terminée, il ne nous restait plus qu’à rentrer chez nous, nos cartables sur le dos (qui contrairement à ce qui est prétendu), malgré leur poids excessif, ne nous ont pas détruit le dos, comme certains médecin le prétendent avec ferveur…

Comment ne sommes-nous pas devenus de dangereux psychopathes, ou encore des débiles profonds dans de telles conditions, dignes (l’ensemble du corps enseignant moderne s’accorde à le dire), du moyen-âge ?

Je me rends compte avec du recul, que ce vieux maître d’école tyrannique, prompt à jouer du « châtiment corporel », qui se plaisait à nous dire : « vous ne finirez pas tous prix Nobel, mais vous sortirez de ma classe en sachant lire, écrire et compter ! », avait raison !
Car quoi qu’on en dise, il est reconnu de façon formelle, que c’est bel et bien de cette génération de tous les dangers, que sont issus les personnages à l’origine des plus grandes innovations, ou inventions, et qu’en « remontant » un peu plus loin dans le temps, on s’aperçoit que les ancêtres de ces personnages des années 50, sont parvenus si l’on en croit les livres d’histoire, à traverser les années périlleuses de deux guerres mondiales, et d’une crise économique…

Finalement, d’avoir vécu dangereusement ne nous a non seulement pas tués, mais a contribué à faire de nous de solides battants, n’en déplaise aux scientifiques modernes, ou aux « ministres réformateurs », œuvrant de la Santé, à l’Éducation Nationale, en passant par d’autres Ministères prestigieux, et ce, sous les divers gouvernements successifs, autant de droite que de gauche…

Alors répondez-moi… Pourquoi ne sommes-nous pas morts !!!!!!!

Cuisiner chez soi : A la recherche de recettes facile et rapide à concevoir

 Il n’est un secret pour personne que nos vies actuelles ne laissent guère de place au temps libre et aux moments de complète « zénitude ». Toujours à courir, à enchaîner les activités, à jongler entre responsabilités professionnelles et vie privée et familiale. Comment, dans ce contexte, réussir à prendre le temps nécessaire pour concocter de bons petits plats, surtout dans le cas où, comme c’est le cas pour moi, l’art culinaire n’est pas une qualité innée ?

Au sein de mon foyer, j’ai la lourde tâche de réaliser les repas du soir et croyez-moi, après une dure journée de travail, il n’est pas toujours évident d’avoir une idée de génie pour réussir à surprendre l’autre et à lui offrir des plats dignes de ce nom.

Les émissions de cuisine à la télévision me renvoient quotidiennement en pleine figure à quel point le fait de cuisiner peut être une activité attractive et agréable, aussi bien pour le cuisinier que pour celui ou celle qui déguste ses plats, du moment qu’il s’agisse d’une bonne idée de menus.

Et c’est précisément là où le bat blesse. Je me confronte à deux difficultés majeures : je ne fais pas preuve d’une imagination débordante en terme de repas et je manque cruellement de temps pour pouvoir prétendre à passer dans ma cuisine tous les soirs plus de temps qu’il n’en est nécessaire.

Après avoir usé jusqu’à la corde certains types de menus « classique », tels que les pates au jambon et autres soupes de carottes, j’aimerai bien pouvoir continuer à surprendre ma conjointe en lui proposant chaque soir des diners qui, outre le fait d’être bons à manger, seraient tout aussi rapides à réaliser dans un temps contraint.

C’est pour cela que je me tourne vers vous, une fois de plus, chers lecteurs de ce modeste article.  Auriez-vous des idées de recettes faciles et rapides à réaliser pour que je conserve mon statut de petit-ami idéal pendant encore de longues années ? Et puis, je me dis que vos précieux conseils pourraient également servir à d’autres lecteurs. Je ne doute pas une seule seconde que parmi vous figurent de véritables cordons bleus qui présentent des aptitudes significatives en matière de cuisine.

A la rédaction de cet article, le stress s’empare de moi. Le temps presse. Dans quelques heures, la journée sera déjà terminée et je ne dispose pas de la moindre idée lumineuse pour cuisiner ce soir. Il faut dire que mes œufs brouillés et pâtes d’hier soir n’ont eu qu’un succès plus que mitigé.

J’attends vos commentaires avec une impatience certaine. N’est-ce pas là aussi tout l’intérêt de C4N que de pouvoir échanger entre internautes sur divers sujets qui nous touchent de près ou de loin ?

La cuisine, même si on lui accorde de moins en moins de temps dans notre société actuelle, mérite qu’on s’y attarde. Les repas sont un moment privilégié d’échanges et de dialogues qu’il convient de soigner, notamment en proposant, lorsqu’on a la charge d’organiser les menus, de délicieux plans, alliant originalité et goût agréable.

J’attends vos contributions et je ne doute pas un seul instant que je ne serai pas déçu. Qui sait, je vais peut-être mettre en œuvre vos conseils pas plus tard que ce soir…

DIRE et FAIRE : ce n’est pas la même chose …

 

Tous les jours le tableau de la pauvreté se noircit un peu plus et tous les jours des hommes et des femmes souffrent du froid, de la faim et de l’indifférence des « citoyens » les riches se cachent derrière des associations qui souvent ne sont là que pour redorer leur blasons et les politiques promettent, promettent et promettent encore que tout est fait ou sera fait pour éradiquer la pauvreté en France «  terre des droits de l’homme ». Les mois passent et les années, rien ne se fait et au fond tout le monde s’en fout !


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Mamy et les kilos

Nous aimons tous nos chères grands-mères.
Surtout nos mamies qui ressemblent à Mamy Nova!
Je veux dire celles qui aiment nous confectionner leurs bons petits repas et délicieux desserts. Je vous vois vous lécher les babines rien que d’y penser.
Tout le monde a une aieulle comme elle!
Gamins, nous étions contents. Mais devenus parents, c’est un peu plus dur.

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Eclaircissements et avertissements sur les « fast-food »…

                                                Cet article, n’a nullement pour but d’incriminer complètement un mode de vie qui devient coutumier chez nombre de personnes, principalement des jeunes d’ailleurs, mais plutôt d’attirer l’attention sur les dangers avérés, que pourraient provoquer un systématisme de certaines habitudes alimentaires.

Ainsi se rendre journalièrement, ou de façon quasi régulière dans des fast-food, pour y dévorer des hamburgers, peut s’avérer très néfaste pour l’organisme, autant du point de vue digestif, que psychique… Mais oui psychique !!!

En effet une étude des plus sérieuse, menée par des scientifiques des universités de Grenade et Las Palmas en Espagne, conclurait à un lien direct entre la consommation de hamburgers et la dépression nerveuse. Il serait prouvé que chez les amateurs de fast-food, le risque d’en souffrir, serait supérieur de 51%, par rapport à d’autres personnes, qui s’alimentent différemment.

La fiabilité des résultats est garantie par un rapport, publié dans la revue médicale Plos One par le SUN Project, et signé par le Directeur de l’étude lui-même Almudena Sanchez-Villegas, cette étude concernait 12059 personnes, suivies médicalement durant six mois.

Les mêmes résultats ont été constatés, chez des sujets consommant des pâtisseries industrielles (cakes, beignets, viennoiseries) de façon régulière, et quasi exclusive.

Le phénomène dépressif, serait du au fait, que les gens qui mangent trop souvent dans les fast-food, ont d’avantage tendance à vivre seuls, à travailler trop, à fumer beaucoup, et donc logiquement à négliger leur alimentation.

De plus ils perdent l’envie de cuisiner, achètent rarement des fruits ou laitages, perdent les moments de convivialité des repas pris à table, et ne s’assoient d’ailleurs parfois même plus pour manger, leur seule fantaisie se limite souvent à appuyer sur un tube de mayonnaise ou de ketchup.

Plus grave encore, ces consommateurs de hamburgers, ne mâchent pratiquement plus, ce qui limite la production de salive, qui il faut le savoir, contribue à une bonne digestion. Le fonctionnement des papilles gustatives, s’en trouve également gravement affecté, et la perception du goût est altérée, au risque à la longue de ne plus pouvoir déterminer différents parfums alimentaires.

Que dire du fait, que ces aliments, riches en sucres et gluten, en graisses saturées, et à moitié mâchés, arrivent dans les intestins pour y entamer un processus important de fermentation, et provoquer des sensations de ballonnement, puis des gaz parfois douloureux.

A long terme, des problèmes d’allergies peuvent survenir, par passage dans le sang de molécules, ainsi que des maladies cardiovasculaires et immunitaires comme l’arthrose, du diabète, voire certaines formes de cancers !

Par contre un petit calcul, permet de constater que ce sont les fast-food eux-même qui s’engraissent le plus !!!

 

Jugez plutôt !

 

Le petit-pain 20 centimes d’euros

Le morceau de poulet calibré, taillé, reconstitué 70 centimes

La feuille de salade verte soyons généreux 3 centimes

La tranche de tomate, bien ronde, je vous la fait à 6 centimes

Pour les 200 grammes de frites (surgelées) comptons 30 centimes

N’oublions pas le mélange d’eau gazeuse, d’arôme et sucre à 15 centimes

Je constate que même en rajoutant la tranchette de fromage, l’oignon, et le bacon, j’arrive péniblement en arrondissant très généreusement en plus, à 1.80 euros TTC, toutes matières premières confondues…

Bien loin tout de même du prix d’environ 7.50 euros facturé à mon fils récemment, pour un menu "Maxi Best Of Chicken Mythic" Non ?

Ce que vous payez en plus sert aux diverses taxes de fonctionnement, impôts, installations, bâtiments, et main-d’œuvre…

Pour information, un plat du jour, pris sur une jolie petite table, constitué d’une viande, d’un légume, d’un verre de vin et au choix de fromage ou part de tarte aux pommes, m’a couté la semaine dernière 8 euros, dans un petit restaurant de quartier…

 

Ce qui me fait dire, pardonnez-moi mon pessimisme, que ça coûte cher de détruire sa santé !!!

 

(Source nutrition et santé JM Dupuis, et recherches personnelles)

 

 

 

 

 

 

Un dîner sur l’eau inoubliable…

Il y a des moments qui restent gravés dans nos mémoires. Cela fut le cas le 25 novembre, à l’aube de nos onze ans de mariage. Il a fallu marquer cette date d’une pierre blanche et pourquoi pas accompagné d’un délicieux repas dans un lieu romantique, voire insolite ?

Après mûre réflexion, nous avons opté pour une merveilleuse balade sur l’eau, à bord du bateau restaurant Hermes exactement qui se trouve sur le quai Claude Bernard à Lyon. 

 

Pour pouvoir savourer les plats et admirer la vue, il faut se renseigner au préalable car si jamais il n’y avait pas assez de réservation, Hermes pouvait annuler le départ. Il faut également payer 20 euros par personne pour la mini-balade. Heureusement pour nous, le 25 novembre ne rencontra pas de problèmes particuliers. Nous avons donc pu embarquer sans encombre à bord du bateau restaurant.

 

 

Nous avons été accueillis très chaleureusement par une gentille hôtesse qui a relevé nos noms et nous a indiqué notre numéro de table. On nous a ensuite aidé à nous débarrasser de nos manteaux puis escorté jusqu’à notre place. La décoration est sobre et raffinée à la fois.

On nous apporte le menu et nous pouvons avoir le choix entre deux menus bien alléchants à 26 et 36 euros (hors boissons). Nous avons opté pour le menu le moins cher car il nous convenait davantage que l’autre.

 

On nous propose un cocktail fait maison sans alcool qui fut un délice et nous voilà partis pour une petite balade sur l’eau, commenté par un charmant capitaine… du moins sa voix chaude et sympathique. A chaque fois que nous passions devant un monument célèbre, il nous faisait un bref résumé des évènements historiques qui y étaient reliés. Bref, cela fut un bien sympathique moment.

 

Finalement, nous avons fait le tour de l’ile Barbe et sommes revenus à notre point de départ. La balade a duré deux heures et demi et le repas fut divin. Les produits étaient de qualité et nous ont flatté le palais.

 

Si vous désirez faire une plus grande balade, sachez qu’il existe un circuit en journée plus long et plus intéressant puisque le bateau Hermes vous emmènera de Lyon jusqu’à Trévoux pour la somme de 26 euros. Ce circuit ne dure pas moins de six heures et sera riche d’informations intéressantes pour les passagers.

 

Cette soirée du 25 novembre fut très agréable et je ne peux que vous recommander d’y faire un tour à bord de l’Hermes si jamais vous êtes dans la région de Lyon.

 

 

Grosse bouffe sans post déprime digestive

Qui n’a jamais ressenti, en sortant d’un gros repas, ce sentiment très désagréable d’être tellement lourd qu’on ne peut plus bouger ?

Certains appellent ça la déprime de l’après repas.

Je vais essayer de donner quelques conseils pour sortir léger de repas. Que les gueuletons ne soient plus que de bons moments !

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Noel , la fete aux calories

Jour de fête , les abus en toute sorte , la crise de foie n'est pas loin , la balance soupire …

Les fêtes approchent , les étals se remplissent de tentations diverses , nous faisant saliver , que de dégustations en perspective , le palais est dejà titillé par toutes ces promesses gastronomiques …

Le bloc de foie gras me fait un clin d'oeil , accompagné d'une petite purée de figues , quelques fines tranches de magret pour donner l'illusion de la perfection , un bon petit Chablis pour lui donner ses lettres de noblesse …

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