Les otaries mises à l’honneur au Parc Asterix

     Avant l’été, le Parc Asterix a mis en place beaucoup de nouveautés afin d’attirer encore plus les visiteurs. Parmi ces nouveautés, nous trouvons la forêt d’Idéfix, un espace destiné aux jeunes enfants. Mais la bonne surprise pour moi, a été la partie consacrée aux otaries, au début du spectacle des dauphins.

 

Un petit comparatif 
 

   Je suis allée au Par Asterix il y a deux ans. Je ne me souviens pas avoir beaucoup vu les otaries. Toute l’attention était portée sur les dauphins. Une otarie avait simplement fait une brève apparition au début du spectacle, pour montrer quelques figures.

 

    Je suis retournée au Parc Asterix au mois d’Août, et là, toute la première moitié du spectacle n’était consacré qu’aux otaries. Elles étaient cinq ou six. Pendant toute cette partie, les otaries s’amusaient à voler les objets que leur soigneurs posaient. C’était très amusant. Elles glissaient sur le sol au rythme de la musique.

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Guerre des Télécoms, bonne ou mauvaise chose pour le consommateur ?

 "Une guerre est juste quand elle est nécessaire", écrivait Machiavel dans Le Prince. Nécessaire, la guerre que se livrent les opérateurs l’est-elle vraiment ? Ça dépend beaucoup de ce dont on parle. Pour le porte-monnaie, plutôt oui, puisqu’il semblerait qu’elle contribue à faire baisser les prix. Pour la qualité du service, en revanche, on repassera.

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Algérie : Flambée des prix du poulet.

 

Voilà qu’en Algérie c’est du jamais vu!

Jamais le prix du poulet n’a été aussi cher. 

Comment en est on arrivé là, vu que  la volaille n’a jamais été aussi cher ? En ce moment en Algérie, on trouve le prix au kilo du poulet très cher.

Avant, son prix n’excédait pas 170 dinars le kilo alors qu’actuellement, il est monté a 420 dinars le kilo.

Pourtant en Algérie, le poulet est considéré comme le produit de remplacement de viande qui est très chère. Mais là, on voit que malheureusement cela devient le même cas pour le poulet. 

Pourtant, selon certains commerçants il y a une cause à cette flambée des prix.

Apparemment ,c’est à la suite de la chaleur estivale que l’Algérie subit en ce moment , car voilà que les éleveurs de poulets ont peur…

Et oui, les éleveurs de poulets ont peur voire craignent une mortalité de leur élevage et donc préfèrent tout simplement diminuer l’élevage donc la productivité.

C’est vraiment dommage vu que maintenant toute cette crainte s’est répercuté sur le rapport entre l’offre et la demande.

Voilà pourquoi maintenant, le prix du poulet est devenu exorbitant.

Les algériens sont donc très pénalisés par cette situation , en particulier les familles à faibles revenus. Pour elles, il était déjà pratiquement inconcevable d’acheter de la viande, vu son prix.

Et voilà que maintenant, c’est devenu la même cas pour le poulet…

Mais que vont manger ces familles modestes ? Sans compter que bientôt  toutes les couches sociales vont être confrontées au même problème…..

Les protéines sont un aliment important de notre alimentation…

Alors beaucoup d’ algériens font déjà l’impasse sur le poisson, la viande et maintenant il s’agit du poulet!

Que va-t-il leur rester ?

France : les autoroutes plus chères que le TGV

Avec un parcours Chambéry-Genève à 15,63 centimes d’euro le kilomètre, l’autoroute 41 (Grenoble-Genève) rejoint le tarif des TGV en période de pointe sur Paris-Strasbourg ou Paris-Grenoble (17 centimes du km). Dans pratiquement tous les cas juteux pour les compagnies autoroutières, le parcours autoroutier bat, ou égale, en coût au kilomètre, le tarif de la SNCF pour un parcours en TGV en période normale.

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La guerre du prix le plus bas s’intensifie : un bien ou un mal ?

Les magasins Leclerc, non contents d’avoir initié cette course à la pseudo transparence, enfoncent le clou. Leur dernière campagne de publicité fait croire qu’on peut, dans n’importe quelle grande surface, comparer les prix pour constater que Leclerc est le moins cher. Peut—on continuer à se moquer ainsi du consommateur ?

 

Aucune transparence sur la méthode

 

En effet, chaque grande enseigne nous matraque de publicités vantant leurs prix bas. C’est bien gentil, mais comment peut-ils le prétendre ? Et surtout, comment peuvent-ils tous déclarer qu’ils sont les moins chers ? Il y a comme une incohérence.

 

Déjà, la méthode de calcul n’est pas claire. On compare certaines catégories de produit, sans tenir compte des offres promotionnelles et autres, sans forcément prendre des produits de qualité égale, et sur tout le territoire. Les résultats sont donc forcément inutilisables. Par exemple, on compare un litre de lait premier prix (donc de très basse qualité) avec du lait de marque plus haut de gamme. Forcément, le moins cher sera le moins bien, cela ne veut pas dire que le lait premier prix de l’autre magasin sera plus cher ! De même, on fait des moyennes nationales mais, localement, les prix varient beaucoup. J’habite dans une ville ou Leclerc et Carrefour sont très proches l’un de l’autre donc ils se font une concurrence incroyable qui fait que les prix en magasin sont plus bas qu’au niveau national. Pour moi, cet outil n’a donc aucune valeur. Enfin, on remarque que chaque magasin ne vante qu’une certaine catégorie de produit : par exemple Leclerc va dire que son cassoulet et moins cher chez lui, carrefour dira que c’est sa soupe et marché U son lait. Bref, pour acheter à chaque fois le moins cher, il faut faire des tas de magasins et donc dépenser plus en carburant. Est-ce réellement faire des économies ?

 

Des offres promotionnelles permanentes

 

Les grands distributeurs, pour attirer plus de clients, cassent les prix sans arrêt. Cora fait régulièrement des ventes en gros volume, Carrefour propose ses « jours hallucinants » (d’ailleurs, cela recommence le 28 mai) avec des réductions allant jusqu’à 80%, Leclerc et les autres enseignes proposent aussi constamment des réductions en tout genre. Comment dire qui est le moins cher quand, dès qu’une marque prétend cela, la concurrence fait des promotions ?

 

Une course malsaine

 

On met dans la tête du consommateur qu’il faut acheter au prix le plus bas. Une mauvaise habitude qui conduit à de graves dérives : délocalisation, exploitation, chute de la qualité etc. Est-ce bon pour le consommateur ? On trouve des habits à 1 €, mais on ne peut les porter qu’une fois car ils s’abîment très vite ! On achète de la nourriture infecte et qui menace notre santé, on est malade plus souvent. En réalité, ce qu’on économise d’un côté on le perd de l’autre. En revanche, on permet aux industriels de s’enrichir et on encourage les grands groupes à bafouer les Droits de l’Homme. C’est ça, le progrès ? Surtout que certains groupes bénéficient d’appuis politiques pour vendre moins cher que les autres tout en préservant leurs marges : on encourage ainsi la corruption !

 

Cette recherche constante du prix le plus bas a déjà des effets pervers chez nous en détruisant de nombreux emplois et en faisant chuter les salaires ainsi que le pouvoir d’achat. Nos achats sont nos emplois, alors, en magasin, limitez les achats de produits importés (pour les fruits et les légumes, on peut encore avoir le choix entre les produits français et étrangers), ne vous précipitez pas systématiquement sur les articles les moins chers – pensez à la qualité ! Lisez attentivement les étiquettes pour voir où sont fabriqués les produits afin de ne pas trop encourager l’esclavage. Bref, il faut réapprendre à consommer de façon intelligente plutôt que de se laisser manipuler par les grandes marques.