Véritables dangers des compléments alimentaires sportifs !

 

Je me souviens dans mon jeune temps, avoir commencé sans la moindre assiduité je l’avoue, des séances de musculation dans la célèbre salle de sport Duranthon, un culturiste de renom, plusieurs fois élu Monsieur France et une fois Monsieur Europe dans la discipline…
Pour la petite histoire, il apparaît dans le « Corniaud » aux côtés de Louis de Funès, dans la scène culte de la douche…
Mais ne nous égarons pas, cet article vise à dénoncer une pratique très dangereuse, liée à cette discipline sportive à la base : la consommation de « Compléments Alimentaires ».

Si j’ai parlé de mon bref passage sous les « haltères de la presse », c’est uniquement pour signaler que d’étranges personnages erraient dans la salle.     Ils proposaient je cite : « des produits pour crâner l’été sur la plage », autrement dit des anabolisants, permettant d’augmenter la masse musculaire…
De nature méfiante je n’ai jamais voulu acheter ces produits, vendus de surcroît sous le manteau.
On parlait de « gonflette »…

Ce qu’avancent les spécialistes :

L’Agence de sécurité sanitaire de l’Alimentation de l’environnement et du travail (Anse) a récemment tiré la sonnette d’alarme, sur les compléments alimentaires pour les sportifs !
Tentons d’y voir plus clair, dans la jungle des produits miracles, visant soi-disant à faire de nous des Apollons !

L’agence Nationale de Sécurité Sanitaire, (Anse), suite à la mise en place en 2009 du « Dispositif National de Vigilance », a épinglé non moins de 49 produits. Ces derniers seraient susceptibles, de provoquer de sévères effets indésirables, chez les consommateurs souhaitant conjointement brûler leur graisse, et développer leur masse musculaire, choses que promettent ces compléments alimentaires.
De plus, toujours selon les auteurs de l’étude, leur « bénéfice sportif » est plus que douteux.

Les substances les plus fréquemment retrouvées dans la majorité des complément alimentaires, se divisent en deux groupes distincts.
-1 Celles qui promettent d’augmenter la masse musculaire, telles que la créatine, les protéines du lait et la DHEA.

Petit rappel :
La DHEA est la « Déhydroépiandrostérone » ou « Prastérone », un androgène réputé pour produire des effets « antivieillissement », et c’est sans doute pour cette raison que sous le ton d’une certaine moquerie, la DHEA s’est vue affublée du surnom « d’hormone de jouvence ».
Si je parle de moquerie, c’est que l’efficacité de cet androgène est contestée avec véhémence par nombre de spécialistes reconnus, qui soulignent d’ailleurs le fait, qu’aucune étude sérieuse à ce jour n’a pu prouver une réelle action bénéfique.
N’oublions pas non plus, que cette substance, est considérée par l’Agence Mondiale Antidopage et la médecine sportive, comme un produit dopant.

-2 Les Brûleurs de graisse, tels que des extraits de plante (Tamarinier de Malabar, Magnolia Officinalis etc…) et de nutriments comme la L-carnitine et la Choline.

Les laborantins à l’origine de l’étude liée aux compléments alimentaires sont formels, les substances « visées » présentent, je cite : « des effets potentiellement graves, principalement cardiovasculaires (Arythmie, AVC, Tachycardie), et d’autres psychiques, car agissant sur l’humeur et provoquant des troubles anxieux ».
Pourtant, la consommation de ces substances ne cesse d’augmenter, et même s’étend t-elle au-delà des salles de « Bodybuilding », dans d’autres disciplines sportives tels que le rugby, où la créatine s’est dores et déjà invitée dans certaines équipes.

De plus, le manque total d’encadrement médical entre les sportifs consommateurs et les médecins, ouvre la voie à de dangereuses dérives, aux effets cette fois reconnus dévastateurs.

Les mises en garde de l’Anse :

L’Anse déconseille bien entendu la consommation des ces compléments alimentaires, sans avoir au préalable demandé l’avis d’un médecin du sport, mais ce qui est paradoxal, c’est que ces produits restent en vente libre sur internet, ou encore dans des magasins de sport, entourés de publicités autant mensongères que fantoches, rédigées par des vendeurs ne recherchant qu’à réaliser des profits, mais qui n’hésitent pourtant pas, à assurer que leurs substances sont des « brûle-graisse », ou des « volumisateurs » de muscles.

Rappelons qu’il n’est donné aucun conseil, mais uniquement de fausses informations pseudo-médicales, alors qu’il est avéré selon l’Anse, que ces compléments plus que douteux, devraient être totalement interdits à des personnes souffrant d’insuffisance rénale, présentant des facteurs de risques cardiovasculaires, d’une quelconque altération des fonctions du foie, ou encore de troubles neuropsychiatriques.
L’usage de ces produits doit également être proscrit, chez les enfants et les femmes enceinte, ou qui allaitent.

Plus fort encore ! Rien n’oblige pour l’instant les fabricants de ces compléments alimentaires, à noter sur les contenants, la totalité des produits entrant dans la composition.
C’est pour cette raison que l’on retrouve des agents chimiques frauduleux, totalement interdits à la vente en France pourtant.
– Des « stéroïdes »
– De « l’éphédrine »
– Et même du « clenbutérol » qui n’est autre qu’un « bronchodilatateur vétérinaire », détourné de son usage initial !

L’avis d’un célèbre culturiste :

Thierry Zambon, membre de la Direction de la Fédération de Culture Physique et du Culturisme Naturel aurait déclaré, je cite : « des produits vendus sur internet se disent plus efficaces. En réalité leurs fabricants ajoutent à l’intérieur des substances on ne peut plus dangereuses pour la santé humaine, comme des hormones mâles et de la caféine ! »
Puis il rajoute, je cite : « certains produits sérieux existent dans le circuit sportif, et peuvent se vanter d’être de réels compléments alimentaires efficaces. Pour information, ils comportent sur leurs emballages la norme « NF V 94-001″, qui est la seule à certifier, l’absence de substances interdites à la vente en France. »

Face aux risques sanitaires, l’Anse s’est fixé comme objectif, de créer des formations dédiées aux professionnels de santé, afin que ces derniers puissent informer les sportifs, et plus précisément les plus jeunes d’entre eux, de la « pertinence de la distribution » des compléments alimentaires dans les salles de sport.
Thierry Zambon, tente lui aussi, de sensibiliser les entraîneurs et les sportifs, lors des formations dispensées par sa fédération.
Mais il rajoute, je cite : « le message a du mal à passer auprès des jeunes, eux, ce qu’ils veulent, c’est être musclé cet été sur la plage »

En conclusion, il semble que les ventes illicites de compléments alimentaires, aient encore de beaux jours devant elles !

Dyonisos.

(Sources Santé Magasine, et recherches sur divers sites web)

Années 1950, 1960… Années des pires périls !!!

 

J’avoue sans honte mon âge, n’ayant jamais connu les caps difficiles des 30 ans, 40 ans, 50 ans et bientôt 60 ans, car je pense avec une certaine philosophie qu’à tout âge, on peut vivre pleinement, comme on peut aussi le faire en crevant de jalousie, lorsque l’on louche sur ce que possède le voisin, bref passer son temps à se pourrir la vie et passer à côté des petits plaisirs simples du quotidien…
Par contre, il faut reconnaître que les personnes de ma génération, ont été les enfants de parents, qui n’ont en rien hésité à nous placer face aux plus terribles périls, donc à nous faire vivre dangereusement !

D’aucuns prétendront que les années 50 faisaient partie du « bon temps », je pense avec du recul, que finalement, nous devons être des rescapés, pour avoir été exposés à de graves risques sanitaires, et ingéré des produits certainement contaminés, qui conduiraient les services vétérinaires actuels à prendre des mesures massives de désinfection, voire des mises en quarantaine.

Bien entendu, ces constatations quelque peu catégoriques, me sont en fait inspirées par l’actualité, par ces médias qui nous parlent journellement de bactéries, de virus, de denrées polluées, d’abattage de volailles et autres crustacés infectés par des micro-algues, etc…
Ils nous incitent de surcroît, pour notre bien-être, à ne faire l’acquisition que de produits allégés, aseptisés, lyophilisés, désinfectés, vitaminés, pasteurisés et que sais-je encore, dont les vertus sur la santé (ce n’est plus à prouver !), sont plus que douteuses, mais auxquelles les nutritionnistes et diététiciens croient mordicus …

Étant curieux de nature, j’aimerais alors que l’on m’explique comment je peux encore être vivant à ce jour, après avoir ignoré les plus élémentaires recommandations, celles-là même dont regorgent les magazines de santé et autres émissions télévisuelles…

Permettez avant que (je l’espère), ne fusent les réponses de spécialistes aux questions que mes compagnons d’infortune et moi-même, nous posons depuis près de 60 ans, que j’expose modestement dans cet article, ce qui constituait le quotidien des « Rambo » en culottes courtes que nous étions dans les terribles années 50, en quelque sorte que je vienne vous parler, de notre survie en milieu hostile…

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– Chaque matin, nos mamans nous faisaient cuire des œufs, achetés chez le paysan du coin, et pondus sans la moindre précaution par des poules fermières qui toutes « caquetantes », se nourrissaient elles-même, avec ce qui pouvait bien leur tomber sous la dent (si je puis dire !), après avoir fini leur grain exempt d’OGM tout de même (mais si ça existait!)…
Ces œufs à ce que l’on dit pourtant aujourd’hui, n’étant contrôlés par aucun laboratoire, ni estampillés à la date de ponte, devaient être remplis de virus et couverts des pires bactéries…
Je n’ose imaginer les risques encourus par notre système intestinal, quand nos assassins de parents nous préparaient un bouillon avec ces poules, qui n’avaient jamais été traitées aux antibiotiques, et vaccinées !

Pourquoi ne sommes-nous pas morts ?

– N’est-ce pas un tour de force, que nous ayons pu nous développer dans de bonnes conditions, avec une nourriture qui ne contenait pas comme celle d’aujourd’hui, des vitamines ajoutées, des colorants si attractifs visuellement parlant, des glutamates, protéases, phosphates, dextroses, levures, lécithines, parfums de synthèse et autres agents de préservation ?

– Que dire de ces parents indignes, qui pour leur propre tranquillité, nous envoyaient jouer souvent pieds nus dans les champs avoisinants, parfois en plein vent et peu couverts…
Et surtout comment expliquer que nous n’attrapions jamais le moindre rhume ou que très rarement, encore moins la grippe, et que de toute manière au moindre petit « toussotement » de notre part, nous avions droit à une bonne friction d’huile camphrée, quand on ne brûlait pas la peau avec les cataplasmes de moutarde, car les médicaments soi-disant essentiels d’aujourd’hui, tels que les antibiotiques, cortisone et autres médications, n’étaient pas encore parvenus jusqu’à nos campagnes…

Pourtant dès le jour suivant, nous étions guéris ! Par quel mystère ?

– Pour celles et ceux qui vivaient à la campagne, ce que l’on appelle les « commodités » ne faisaient pas toujours partie de leur vie, certains n’avaient pas encore l’électricité, et une grande majorité, n’utilisait pas l’eau de la ville, car la « Compagnie des Eaux » ne desservait pas les endroits les plus reculés des régions…
Aussi « pompaient-ils » l’eau du puits, je m’en souviens parfaitement, pour en avoir bu chez mon grand-père… Cette eau n’était jamais analysée… Nul ne la faisait jamais bouillir, et pourtant dans mes plus lointains souvenirs, je ne me rappelle pas d’avoir entendu parler de la moindre contamination dans mon entourage propre, ou chez nos voisins…
Il m’est arrivé d’ailleurs de me désaltérer directement au tuyau d’arrosage, celui-là même qui traînait dans l’herbe.
Il faut savoir aussi, que cette eau servait à la préparation des biberons…

Mon Dieu ! Comment n,en somme, nous pas morts ?

– À la sortie de l’école, nous enfourchions nos bicyclettes, dévalions les chemins à tombeau ouvert, sans la moindre protection, sans casque… Au mieux, nos parents avaient-ils la gentillesse de nous emmener chez un copain, mais là encore dans des voitures sans ceintures de sécurité, et encore moins dotées d’un airbag…
Puis, nous passions des après-midi à boire une eau tiède à la « gourde en plastique » (certainement non-alimentaire aux dires d’aujourd’hui !).
De temps à autre, nos genoux étaient écorchés par de spectaculaires chutes sur les graviers de la route, l’alcool à 90° et le Mercurochrome entraient alors en action, pratique impensable de nos jours, interdite même !

Diable ! Mais comment n’avons-nous jamais été victimes d’infections ?

Une bonne étoile à n’en point douter, devait briller au-dessus de nos têtes blondes !

– Que dire du milieu scolaire ! Quand nos parents qui travaillaient, nous déposaient parfois une heure à l’avance, dans des salles où trônait un poêle à charbon, livrés à nous-mêmes, avec pour unique surveillante, la « femme de ménage » en blouse bleue, qui lançait au moindre bruit : « silence ! »
Que voulez-vous les garderies de l’État n’existaient pas !

Nos « Maîtres » quant à eux, usaient de méthodes pédagogiques, qui les conduiraient aujourd’hui devant les tribunaux pour maltraitance.
Taper avec une règle en bois, sur les doigts des indisciplinés, ou encore nous soulever par les oreilles de notre pupitre, jusqu’au tableau noir, au seul motif que nous n’avions pas récité correctement notre table de multiplication, étaient des pratiques courantes, validées par nos parents qui donnaient « tout pouvoir » au Maitre…
D’ailleurs, au sein de l’établissement, à qui donc aurions-nous pu aller, nous plaindre ou demander un simple conseil ! Nous n’avions point de psychologue, ni de conseiller d’orientation, et encore moins de sexologues !
Notre journée terminée, il ne nous restait plus qu’à rentrer chez nous, nos cartables sur le dos (qui contrairement à ce qui est prétendu), malgré leur poids excessif, ne nous ont pas détruit le dos, comme certains médecin le prétendent avec ferveur…

Comment ne sommes-nous pas devenus de dangereux psychopathes, ou encore des débiles profonds dans de telles conditions, dignes (l’ensemble du corps enseignant moderne s’accorde à le dire), du moyen-âge ?

Je me rends compte avec du recul, que ce vieux maître d’école tyrannique, prompt à jouer du « châtiment corporel », qui se plaisait à nous dire : « vous ne finirez pas tous prix Nobel, mais vous sortirez de ma classe en sachant lire, écrire et compter ! », avait raison !
Car quoi qu’on en dise, il est reconnu de façon formelle, que c’est bel et bien de cette génération de tous les dangers, que sont issus les personnages à l’origine des plus grandes innovations, ou inventions, et qu’en « remontant » un peu plus loin dans le temps, on s’aperçoit que les ancêtres de ces personnages des années 50, sont parvenus si l’on en croit les livres d’histoire, à traverser les années périlleuses de deux guerres mondiales, et d’une crise économique…

Finalement, d’avoir vécu dangereusement ne nous a non seulement pas tués, mais a contribué à faire de nous de solides battants, n’en déplaise aux scientifiques modernes, ou aux « ministres réformateurs », œuvrant de la Santé, à l’Éducation Nationale, en passant par d’autres Ministères prestigieux, et ce, sous les divers gouvernements successifs, autant de droite que de gauche…

Alors répondez-moi… Pourquoi ne sommes-nous pas morts !!!!!!!

A la vache !!!!!!!!!!!!!!!

Je fais partie de ces hypocrites, qui caressaient les bœufs et taureaux que nos grands-parents élevaient autrefois en campagne, et qu’ils destinaient à la vente. Trouvant ces animaux mignons et sympathiques, mais n’hésitant pas une seule seconde à déguster leur viande dans mon assiette.

Je l’avoue humblement, je suis un carnivore…

Toutefois, et peut-être me trompe-je, il me semble, même si la finalité était la mort, que les animaux dits de boucherie, bénéficiaient de la part des anciens, de davantage d’égards, de plus d’humanité… Ce qui, et là, on peut l’affirmer, n’est absolument plus le cas de nos jours… Place à l’industrialisation et ses travers…

Loin de moi l’idée de vouloir me déculpabiliser, tout au plus fais-je un constat…

Dans cet article, je vais tenter d’attirer l’attention des lecteurs, sur les inquiétudes de certains spécialistes, liées à des pratiques que l’on peut qualifier de plus que douteuses, concernant la chaîne des animaux de boucherie, et plus particulièrement la filière de la viande rouge…

 

Il est bien loin le temps où l’on voyait déambuler des vaches, en toute quiétude dans de vertes prairies, ne se nourrissant que d’herbe, et de foin naturel l’hiver.

Certains affirment et on ne peut que leur donner raison, que depuis environ 50 ans l’industrie agro-alimentaire, s’adonne au "contre nature" en matière d’alimentation des bovins…

Il semble en effet que l’on ait totalement oublié, quelle est la nourriture de base de ces animaux, et les méthodes d’élevage qui normalement, devraient leur être propres.

Ainsi, les "poids lourds" de l’industrie agro-alimentaire, s’adonnent-ils, sans que personne ne s’en soit inquiété jusqu’alors, à des pratiques allant à l’encontre de toutes les lois physiques et biologiques, mais également des lois de la morale et du bon sens.

Le scandale des farines animales, contaminées, car provenant de vaches infectées au Prion, de la maladie de Creuzfeldt-Jakob (ou maladie de la vache folle), n’a semble-t-il pas suffit, pour qu’il soit interdit de jouer les apprentis sorciers, en faisant avaler n’importe quoi aux bovins.

Il a donc fallu attendre le 26 octobre 2015, pour que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), sous la pression des mises en garde de nombre de spécialistes, épidémiologistes, et autres laborantins, annonce officiellement, que la consommation de la charcuterie, et de la viande rouge présentait des risques cancérogènes important.

Sachez que cette annonce, a provoqué dans un premier temps, une baisse des ventes de 5 %.

La raison qui fait que la viande rouge que nous consommons de nos jours, soit cancérogène, est liée en exclusivité comme dit précédemment, au manque total de naturel des conditions d’élevage de nos vaches, et à l’absence de nourriture naturelle.

Comment imaginer manger de "la bonne viande" quand on sait que l’herbe des prairies, est désormais remplacée par des tourteaux de soja, du maïs, des granulés, et des hormones de croissance, dans le seul but de faire grossir l’animal et venant en au principal : d’augmenter les bénéfices des géants de l’agro-alimentaire.

De plus, les vaches n’ayant plus les mêmes défenses naturelles qu’autrefois, il faut les traiter avec des antibiotiques…

Ors tout être vivant, recevant des doses massives et répétées d’antibiotiques, devient résistant, et développe des maladies, dont on dit qu’elles ne sont pas préjudiciables à la santé des futurs consommateurs, tout du moins jusqu’à ce que l’on annonce que finalement, certains sont devenus lourdement handicapés, quand ils ne sont pas morts, d’avoir mangé ces viandes soit disant inoffensives !

Sachez, que bien que dans les rayons de boucherie des supermarchés, trônent des emballages portant la mention bœuf d’origine française ou de la Communauté européenne, il s’agit généralement de "viande de vache".

Cela ne serait en soit pas grave, si la filière de vente de la viande bovine, avait l’honnêteté de préciser que 80 % de ce que l’on vend au consommateur, comme étant du bœuf charolais, est en réalité de la "vieille vache".

 

Voici un peu de la réalité…

 

Ces vieilles vaches, sont le plus souvent des bêtes de race laitière, qui n’ayant plus la force de donner du lait, sont engraissées artificiellement, et, conduites à l’abattoir, pour y être tuées, afin que leur viande soit vendue.

Mais au auparavant, elles ont subi ce que l’on appelle la "période d’engraissage…

– Les vaches se voient interdire tout exercice, afin de ne pas maigrir.

– Ensuite, ne sont-elles plus nourries, qu’avec du maïs, du soja, et, tenez-vous bien de bonbons !

Vous avez bien lu ! Le procédé nous vient des Etats-Unis, et il fait des adeptes dans notre beau pays de France, pour d’évidentes raisons de profit.

En effet, une tonne de maïs coûte en moyenne 315$, mais les pépites ou éclats de bonbons et chocolat (comme ceux que vous trouvez sur les glaces chez MacDonald’s), ne sont vendus que 160$ la tonne…

– Ajouté à ce régime contre-nature, vient se greffer l’apport journalier d’hormones de croissance, dans le but d’accélérer la prise de poids.

Avec ces procédés scandaleux, imaginez le gain réalisé par les géants de la filière de distribution de la viande bovine !

Par contre pour les éleveurs, sur le plan financier, c’est quasiment la même chose, quand on sait que pour une vache de race laitière, engraissée comme dit précédemment, et conduite à l’abattoir, le prix du kilo est en moyenne de 3.64€, contre 4.30€ pour une bête dite de "race à viande".

Par contre, une fois qu’il est procédé à la découpe de la viande, les responsables d’abattoirs, ne se gênent absolument pas, pour procéder à ce que l’on appelle le "surclassage", c’est-à-dire classer les viandes issues de vaches laitières, et de véritables races à viande dans le même "panier".

D’ailleurs pourquoi se gêneraient-ils, les contrôles n’étant pas systématiques, pour ne pas dire quasi-inexistants.

Les éleveurs élèvent bien entendu la voix, dénonçant ces pratiques, mais personne ne les écoute.

Ainsi, les abattoirs peuvent-ils continuer en toute impunité, à empocher par le jeu des "culbutes" plus de 250€ supplémentaires, pour un animal de 400 kilos !

Le terme "Viande bovine", est donc devenu une appellation, fourre-tout, mensongère, et visant une fois encore, à enrichir des gens malhonnêtes, et à berner le consommateur !

De plus autrefois, il était de mise de laisser rassir la viande de bœuf dans une chambre froide durant 21 jours.

Seuls les bouchers dignes de ce nom, travaillent encore de la sorte.

Par contre durant ce processus, la viande de bœuf perd entre 30 et 40 % de son poids en eau, ce qui la rend ferme, mais tendre à la cuisson.

Mais l’extérieur de la viande par l’oxydation naturelle, devenant légèrement brune, oblige le boucher, à ôter cette couche au couteau, ce qui bien évidemment réduit considérablement le poids du steak, mais ce dernier ne diminue absolument plus à la cuisson.

Voilà l’explication des différences de prix, entre un boucher traditionnel et un supermarché.

Inutile enfin de préciser, que le "rassissement", n’intéresse pas les boucheries industrielles, qui perdraient ainsi des tonnes de marchandise, et donc des sommes colossales.

 

Pour terminer, l’Université du Dakota du Nord, attire l’attention sur le fait que de produire des vaches grasses plutôt que musclées, est préjudiciable à la qualité de leur viande, et peut avoir de graves conséquences sur la santé de l’être humain.

Les chercheurs de cette université, sont arrivés à la conclusion que la chair d’un bovin nourri à l’herbe (appelé un broutard), a 4 fois plus d’oméga-6 que d’oméga-3, et que la chair d’un bovin nourri aux céréales a 21 fois plus d’oméga-6 que d’oméga-3.

Thierry Souccar nutritionniste de renom, expliquait quant à lui, que nos ancêtres chasseurs possédaient, autant d’acides gras oméga-6 que d’oméga-3, soit un ratio de 1 pour 1, le ratio optimal pour rester en bonne santé.

Ors, les populations occidentales, ont de 16 à 20 fois plus d’oméga-6 que d’oméga-3, ce qui revient à dire, que notre alimentation moderne entretient un immense déséquilibre entre les oméga-6 et les oméga-3.

De nos jours, seules les populations du Groenland, frôlent un ratio de 4 à 5 fois plus d’oméga-6 que d’oméga-3.

Ainsi, les spécialistes de la nutrition, pensent qu’il faudrait purement et simplement éliminer la viande bovine, des circuits conventionnels de production, tant que les bovins continueront à être engraissés de manière artificielle, comme c’est de plus en plus le cas à l’heure actuelle.

 

Dyonisos.

 

 

 

Les troubles alimentaires, une conséquence des régimes amaigrissants chez les jeunes

 

 

 

 Les régimes amaigrissants causeraient de sérieux dommages physiques et psychologiques pour les jeunes adolescents. Véritables risques, les régimes amaigrissants se révèlent être les principales conséquences des troubles alimentaires chez les jeunes.  


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Se muscler en douceur avec la méthode d’Olivier Lafay

 
Vous faites un régime et vous souhaitez y associer un sport éfficace pour affiner votre corps? Laissez-vous séduire par la méthode d’Olivier Lafay femme pour muscler votre corps en toute harmonie.

Continuer la lecture de « Se muscler en douceur avec la méthode d’Olivier Lafay »

Le plaisir de la cuisson à la vapeur

Méthode de cuisson indirecte, la cuisson à la vapeur utilise la vapeur issue d’un liquide bouillant. Si l’on croit à tort que seuls les légumes peuvent être cuits selon cette méthode, il n’en est rien. Viandes, fruits, poissons et crustacés ou féculents peuvent tout autant être cuits à la vapeur. D’ailleurs, la cuisson à la vapeur est particulièrement prisée par les asiatiques pour le riz mais reste également particulièrement répandue en Afrique du Nord, pour la préparation du couscous.

 

La cuisson à la vapeur est accessible par plusieurs méthodes. Au choix, il est possible d’utiliser un cuit-vapeur à minuterie, afin d’obtenir une cuisson parfaite de l’aliment, ou de se munir d’un panier d’inox ou de bambou devant ensuite être placé sur une casserole contenant un liquide en ébullition. Il est aussi possible de cuire l’aliment en papillote, à l’étouffée. Feuilles d’aluminium, de papier sulfurisé, de brick ou feuilles végétales, les supports permettant la cuisson à l’étouffée sont multiples. Ici, la teneur en eau naturelle de l’aliment justifie l’inutilité de l’ajout d’un quelconque liquide. 

 

La cuisson à la vapeur bénéficie de multiples atouts : rapide et homogène, elle permet la conservation d’un maximum de nutriments. Elle permet la conservation de la saveur de l’aliment et justifie de ce fait une diminution conséquente de la consommation de sel. Cuit à la vapeur, l’aliment paraît en effet moins fade. De même, la cuisson à la vapeur à pour avantage de ne pas nécessiter l’utilisation de matières grasses : l’apport lipidique des préparations culinaires est nettement diminué. En outre, si vous souhaitez conserver le croquant de vos aliments, il vous sera possible d’adapter le temps de cuisson selon vos attentes… 

 

A savoir : la cuisson à la vapeur peut-être utilisée dans le cadre de la décongélation d’un aliment, mais aussi pour la stérilisation et la pasteurisation de nombreuses denrées alimentaires telles le lait ou le fromage par exemple. 

Les alicaments sont dans le collimateur !!!

                                  

 

                                   Une fois encore mes ami(e)s je m’insurge face à une pratique utilisée par de grandes marques de barres chocolatées, yaourts ou encore boissons diverses, qui consiste à vanter les vertus mensongères de leurs produits dans le seul but de les vendre et d’en tirer bien évidemment un profit maximum.

Ainsi et c’est heureux, au niveau européen, les autorités ont "recalé" de nombreuses "allégations de santé" que des industriels peu scrupuleux utilisaient. Il y a tromperie manifeste, car dans l’esprit des consommateurs, les alicaments sont considérés comme des "aliments médicaments". Ors, les fabricants profiteraient des soit disant "allégations de santé" pour promouvoir leurs produits et ainsi masquer par exemple un excès en sucre ou en calories qu’ils contiendraient en réalité, c’est le cas de certaines pâtes à tartiner entre autre et diverses spécialités riches en sucres et graisses…

Fort heureusement la commission européenne va mettre un coup de pied dans cette fourmilière où grouillent des parasites nuisibles et permettre enfin aux consommateurs, de déceler le vrai du faux sur les étiquetages des produits incriminés… Ainsi a t-elle autorisé (le 16 mai 2012) 222 allégation de santé qui pourront continuer à être inscrites sur les étiquettes de certains produits alimentaires. Par contre en parallèle elle en a catégoriquement interdit, tenez-vous bien : 1600 sur 4600 contrôlées et les études se poursuivraient sur encore 2200 supplémentaires !

Pour les contrevenants, le délai de correction des étiquetages est fixé à 6 mois.

Enfin bien que nombre de marques ne manqueront pas de trouver des slogans pour contourner les interdictions, la commission interdit déjà l’utilisation de formules trop "vagues" telles que "préserve la jeunesse" ou encore "aide à lutter efficacement contre le stress". En outre seront formellement interdits les messages portant sur le contrôle du poids ou l’amaigrissement, ou encore ceux prétendant "améliorer votre mémoire" ou "rendre plus optimiste".

 

Pour y voir un peu plus clair, ci-dessous une liste de quelques produits incriminés, publiée dans Quoi Info et retranscrites tel quel.

 

"Kinder chocolat : les barres chocolatées du groupe Ferrero ne pourront plus être présentées comme aidant les enfants à grandir."

 

"Actimel de Danone : un ferment actif présent dans ces produits laitiers, le L casei, était supposé protéger l’organisme en l’aidant à éliminer certaines toxines. Pour les autorités européennes, les preuves de ce bienfait présumé sont à l’heure actuelle insuffisantes."

 

"Ocean Spray : ces boissons aux cranberries (airelles) devront cesser de se vanter de prévenir les infections urinaires chez les femmes."

 

Pour terminer, il faut savoir que rien ne remplace une nourriture variée et équilibrée. Les "produits miracle" n’existent pas… Pour conserver votre capital santé, optez plutôt pour une réduction des matières grasses, la consommation journalière de fruits et légumes et une activité physique quotidienne d’au moins 30 minutes.

 

 

                       

 

L’anorexie sur internet ?… Un danger potentiel !

 

                                   Internet est incontestablement un outil merveilleux, on trouve tout ce que l’on veut dans cette "boutique virtuelle", du bon comme du mauvais…

Ce soir une fois encore, j’ai comblé mon insomnie, par le visionnage d’une émission tardive; cette fois sur l’anorexie…

Comme j’ai pris la diffusion en cours et pour ainsi dire d’ailleurs vers la fin, en voyant la détresse d’une jeune fille, victime de cette maladie, j’ai décidé de me documenter quelque peu sur le sujet…

Il suffit en fait de taper "sites sur l’anorexie" dans son moteur de recherche, pour atterrir sur des blogs ou l’on voit des jeunes filles au visage flouté, d’une maigreur affligeante, où elles posent façon mannequins de mode… Certaines photographies à ce que j’ai vu sont dites retouchées, sans que j’ai vraiment pu déterminer lesquelles étaient originales ou truquées… Autant dire qu’il doit falloir être initié pour comprendre le contenu de ces sites, je n’ai d’ailleurs pas pu accéder à tout, mot de passe oblige… Ensuite le hasard de mes lectures a bien confirmé mes craintes, et sur des sites semble t-il sérieux, des gens se disant spécialistes, diététiciens, nutritionnistes etc etc, parlaient de la dangerosité de ces sites et blogs, dans lesquels on pourrait sans le moindre souci, trouver des recettes, astuces pour maigrir, apprendre à s’alimenter pour ne pas grossir, et à vomir également !…

Un nombre incalculable de sites  !

Je pense, après avoir parcouru quelques-uns d’entre eux, semblant prôner l’anorexie (baptisée ana au contraire de mia pour la boulimie), et véhiculant comme idéal l’extrême minceur, que certaines personnes influençables, pourraient facilement être tentées par la physionomie de ces filles anormalement maigres, trouvant même cela beau, comme le disait la jeune malade de la télévision.

Au hasard d’un commentaire, un médecin disait, que certains blogs ou sites affirment être des lieux de rencontres pour adolescents, désireux de partager des opinions, mais font en réalité des propositions commerciales pour des produits alimentaires de substitution, des remèdes coupe-faim, voire des comprimés miracle… Nous ne sommes pas loin dans ce cas de l’exercice illégal des pratiques pharmaceutiques !

De plus je sais pour l’avoir entendu, que les anorexiques sont extrêmement astucieux pour cacher leur maladie, et que ce n’est souvent qu’une fois que de graves problèmes apparaissent, que l’on s’aperçoit de la catastrophe… Hélas parfois il est trop tard, et les troubles médicaux divers sont irréversibles…

 

Interdire ou contrôler ? :

Virginie Megglé, éminente psychanalyste (elle-même ancienne anorexique), auteur d’un livre sur le sujet, pencherait pour une surveillance vigilante de ce genre de sites, plutôt que pour leur interdiction pure et simple. Elle ajoute que certaines adolescentes viennent sur ces sites et blogs, afin d’y trouver du réconfort, se sentant rejetées, et désireuses de ne pas se considérer comme des malades.

Elles peuvent donc parfois y rencontrer une oreille attentive.

De plus rien ne dit que suite à une interdiction totale de ce mode de communication, les anorexiques ne finiraient pas par se retrouver autrement, et de manière si cela se trouve, bien plus néfaste.

Toutefois, on remarque que depuis que les dangers de ces sites ont été largement médiatisés, la plupart sont désormais fermés. Il est de plus en plus difficile paraît-il d’en trouver en langue française, au bénéfice d’autres, anglo-saxons qui restent malgré tout nombreux.

Ne pas dramatiser !!!

Certains blogs sont tenus par des anorexiques, ou anciennes anorexiques, qui viennent dénoncer justement en racontant leur calvaire, les procédés et conseils divers pour parvenir à cette minceur si destructrice, et permettent de retrouver un certain contact social, et même dans certains cas de s’en sortir…

Une information sur la dangerosité de certains de ces lieux virtuels, auprès des adolescentes, me semble pour ma part des plus judicieuse.

(Sources diverses sur le web)

 

 

 

La crise… prétexte pour ne plus cuisiner ?

 Posons-nous d’emblée les bonnes questions : les Français aiment-ils tout simplement faire la cuisine ? Se plaisent-ils à goûter à leurs propres petits plats ?

L’art culinaire recèle pourtant de petits trésors faciles à préparer, sans pour autant se ruiner. En ce sens, Internet sera un précieux allié. Idem pour bon nombre de livres de cuisine à la mode en ce moment mais, là, il vous faudra vous procurer lesdits ouvrages, bien sûr.

Préparer un repas pour moins de cinq euros par personne, c’est possible. Alors pourquoi ne pas se laisser tenter ?

Qu’apporte un plat mitonné de ses propres mains ? Un degré d’autosatisfaction non négligeable, le contentement de ses hôtes, voire leurs félicitations. Mais faire à manger doit avant tout devenir un réel plaisir, comme celui de faire du shopping ou de pratiquer la course à pied. Celui de la préparation avant l’heure du régal. Cuisiner pour vous-même doit être le reflet de vos goûts, de votre personnalité.

Privilégiez des moments ensemble pour préparer le repas ou ne serait-ce qu’un goûter, la cuisine est aussi un prétexte à se retrouver tous les deux, avec les enfants ou en famille.

Cuisiner est un apprentissage et, puisqu’il peut être réalisé à moindre coût, il serait dommage de s’en priver. Qui ne fonderait pas devant un cookie au chocolat… Sans oublier qu’en achetant moins de biscuits industriels, vous vous exposerez moins à l’aluminium ajouté au levain.

Sucré, salé, voire les deux, à vous de choisir et de découvrir votre péché mignon. L’art culinaire dispose de suffisamment de recettes et de variantes pour satisfaire tous les insatiables. Gourmandise ne rime pas toujours avec cochonneries.

Plus de 900 millions d’affamés dans le monde

La crise alimentaire qui depuis plusieurs mois touche la planète a plongé les populations des pays riches dans désarroi le plus total, la hausse des prix des produits alimentaires ayant considérablement réduit le pouvoir d'achat de celles-ci. Tout le monde se plaint, et il y a de quoi, c'est vrai. Mais est-il possible de pleurer parce que le prix des pattes a augmenté de quelques centimes, alors que dans les pays en développement, ces hausses de prix sont beaucoup plus importantes, et touchent des populations extrêmement pauvres, qui ne peuvent manger à leur faim?

D'accord, une augmentation des prix des pattes ou de tout autre produit alimentaire de 10, 15 ou 20%, se voit dans notre budget. D'accord, nous ne souhaitons pas payer plus cher pour nous nourrir. D'accord, même dans nos pays la vie n'est pas facile tous les jours. D'accord, un euro est un euro. Mais en Afrique, en Asie, et bien ailleurs dans le monde, des populations entières meurent de faim à cause de ces hausses de prix.

Selon la FAO (Organisme de l'ONU luttant contre la faim dans le monde), ce sont 925 millions de personnes qui connaissaient la faim dans le monde en 2007, contre 850 millions un an auparavant. Et cela à cause des hausses de prix des produits alimentaires. En 2006 ces prix ont augmenté de 12%, en 2007 de 24% et sur les premiers mois de l'année 2008 seulement, de 50%. En trois ans cela représente une hausse de plus de 108%!!

Toujours d'après la FAO, il faudrait investir 30 milliards de dollars pour doubler la production alimentaire mondiale et éradiquer ce fléau qu'est la faim. 30 milliards c'est énorme et peu à la fois. En effet, quand on sait que les pays membres de l'OSCE subventionnent leur agriculture à hauteur de 376 milliards de dollars, ou que les dépenses d'armement s'élevaient à 1204 milliards en 2006, 30 "petits" milliards ce n'est rien.

Rappelons que d'ici à 2015 les pays riches avaient "prévu" de diminuer de moitié le nombre de personnes sous-alimenté. Sauf qu'avec la tendance actuelle, selon Jacques Diouf (Directeur Général de la FAO) cet objectif ne sera pas atteint avant 2150…