Afrique : le « business » de l’homosexualité…

En dehors de l’Afrique du Sud où l’homosexualité est plus ou moins tolérée, dans les autres pays africains, il ne fait vraiment pas bon être homosexuel. Déjà que dans la quasi-totalité des pays, cette pratique est formellement interdite par la loi. Même au sein de la population, l’homosexualité est perçue comme une pratique diabolique dénuée de tout humanisme. C’est ainsi que les homosexuels sont rejetés par leurs familles et amis, et sont même assassinés pour certains. En Afrique du Sud par exemple, certains délinquants de Johannesburg ont institué ce qu’ils ont appelé « viol correctif » ; une pratique qui selon eux permettrait aux homosexuels de redevenir humains. Au Cameroun, ils sont nombreux, ces jeunes présumés homosexuels, qui méditent actuellement leurs sorts derrière les barreaux, pour avoir eu la malchance d’afficher  publiquement un comportement « homo ».

Dès lors, les homosexuels sont devenus des marginaux dans presque tous les pays africains qui,  malgré tous les efforts des pays occidentaux,  se refusent  de légaliser cette pratique. L’occasion faisant le larron, certains ont alors en vue en la défense des homosexuels un business très juteux. En janvier dernier,  l’association camerounaise Sid’ado (Adolescents contre le sida) a reçu de l’UE à Yaoundé un financement de 200 millions de FCFA (300. 000 euros)  pour son "projet d’assistance et d’encadrement des minorités homosexuelles". Un financement qui avait en son temps créé un grand scandale au pays. Scandale qui poussera même le ministre camerounais des affaires étrangère à convoquer  le chef de la délégation de l’Union Européenne au Cameroun, Raoul Mateus Paula, pour lui signifier "la désapprobation du gouvernement face au financement des associations qui violent les lois camerounaises". Mettant ainsi en péril un argent que les membres de cette association se seraient partagé pour vivre comme des princes ; car 200 millions de francs CFA c’est quand même une fortune !

Le financement de l’Union européenne n’est pas le seul avantage lié à la pratique ou à la défense de l’homosexualité. Puisque  persécutés dans leurs pays et considérés comme personnes en danger, de nombreux jeunes africains deviennent  depuis quelques temps  des homosexuels de circonstance, juste pout obtenir et très rapidement un « visa refugié » dans les ambassades  occidentales. Un autre business sûr et sans risque ; puisqu’en quelques jours, vous réussissez à obtenir votre précieux sésame. D’autres plus malins encore, une fois en occident, acquièrent la nationalité de leur pays d’accueil, et reviennent au pays épouser l’un des leurs, juste pour lui permettre lui aussi de « traverser » ! Qu’ils sont forts ces africains ! Peut-être que je changerais moi-aussi dans les tous prochains jours mon orientation sexuelle !