N’allez pas chercher la « petite bête », là où il n’y en a pas. Quoique…
Bien sûr que non, je ne vais pas parler de celles qui « picorent » sur les trottoirs des grandes villes, à la recherche de vermisseaux consentants.
Mais je voudrais vous faire partager l’expérience d’un Ami, qui vient de transformer la moitié de son petit jardin en poulailler
La Crise aidant (si on veut), écologiste dans l’âme, son expérience fait des émules dans le quartier.
Il s’est procuré deux poules anglaises, et leur a fabriqué un poulailler digne d’un hôtel 4 étoiles au fond de son jardin.
Pourquoi des poules anglaises ?
Elles sont toutes petites et ont pour qualité de pondre bien plus longtemps que les autres.
Heureux propriétaire d’ un « lombri-compost » ? (Cliquez pour information)
Il a développé sa fibre écologique, et sait très bien que les poules lui procureront des œufs frais, et bio une bonne partie de l’année.
Certes, mais savez vous que ces gallinacées, sont capables de manger tout ce qui se trouve sur leur passage, du ver de terre, à la moindre épluchure, en passant par toutes les protéines animales ?
Elles ingèrent entre 150 et 200kg de déchets organiques chaque année.
Fini (ou presque) la corvée des poubelles, et pourquoi ne pas réclamer à votre Maire une réduction de la taxe sur les ordures ménagères ?
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