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« Je ne reconnais plus personne en Harley Davidson », ainsi Gainsbourg faisait chanter Bardot. La partition de Rachida Dati, bottines de luxe rouges au meeting de Sarkozy, c’est de ne plus fréquenter de près quiconque. Après avoir réfuté Voici au sujet de Vincent Lindon, la voici qui dément Atlantico à propos de Ziad Takieddine, l’intermédiaire qui « les tient tous ». Rachida, elle, on ne la tient plus…
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Les présidentielles approchent à grands pas, la campagne bat son plein et pourtant, le peuple français ne s’est jamais autant senti en décalage avec le pouvoir politique. Petites phrases assassines d’un camp à l’autre, provocations incessantes, bassesses de cours de récréation, etc, bref, le cirque politico-médiatique n’a de cesse que de rabaisser une institution pourtant estimée il y a quelques années.
Aujourd’hui le constat est simple. L’élection est dans quelques semaines, et franchement, ce bal quinquennal est à mille lieux des préoccupations des Français. Soyons réalistes, l’élection qui approche est en net décalage avec les interrogations du peuple, les politiciens jouant avant tous les vendeurs de poissons en tous genres pour se faire entendre, tandis que le français de base cherche lui à se faire entendre dans cette cacophonie braillarde.
Voila donc pourquoi, et après mûre réflexion, j’ai décider moi aussi de voter, mais pour le coup de voter Mickey !
L’orgueilleux et vaniteux Jack LANG plane au-dessus de la France, parachute sur le dos, cherchant une aire d’atterrissage. Telle est la triste image donnée par ce personnage en mal de reconnaissance ou d’honneurs divers et variés qui ferait mieux de se retirer dans ses pénates et d’entamer la rédaction de ses mémoires qu’il pourrait à loisir emberlificoter pour prouver à tous ses lecteurs combien il fut, au long des années, dans toutes les régions où il a été parachuté un jour (Paris, Loir et Cher et Blois, Boulogne) indispensable et salvateur et pour leur dire combien il fut incompris lorsque d’autres tentatives de parachutages tournèrent court (Vaucluse, Hauts de Seine, mairie de Paris).
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Elle revient ! Depuis le 7 mars, Rachida Dati se montre de nouveau dans les médias. Nouvelle opération de communication alors que la ministre de la Justice a besoin de changer son image.
Et pourtant, elle avait dit qu'elle ne parlerait pas avant la campagne des élections européennes. Mais Rachida Dati n'a pas pu résister. Le 7 mars, elle faisait son grand retour dans les médias en accordant une interview fleuve au Journal du Dimanche. Le 8, elle était sur le plateau du 20 heures de France 2. Le 9, l'invitée de Marc-Olivier Fogiel sur Europe 1. Un véritable come back après le long silence qui a suivi sa grossesse si médiatisée et la naissance de sa fille.
Et la garde des Sceaux va plus loin. Jeudi, Rachida Dati était en direct sur… Fun Radio ! Elle a en effet accepté l'invitation de la libre antenne de Morgan et a donc répondu aux auditeurs de la station musicale.
Un retour médiatique qui ne plaît pas beaucoup à l'Elysée, si l'on en croit le site Lesindiscrets.com …
« MA VIE N'EST PAS UN CONTE DE FÉES »
« Le programme de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy est accompli. Cela n'a pas été simple mais j'ai mené à bien trente réformes en vingt-quatre mois ».
La garde des Sceaux déclare dans une interview de Journal du Dimanche attendre sous peu le projet de nouveau code pénal de la justice des mineurs, alors que le pré-rapport du comité de réflexion sur la réforme pénale, incluant la suppression du juge d'instruction, lui a été remis vendredi.
« Dans mon parcours, les mots 'République' et 'méritocratie' ont un sens. Ma vie n'est pas un conte de fées », assure la ministre.
La date de son départ annoncé du ministère de la justice n'est pas encore fixée.
« J'attendrai de toute façon le vote de la loi pénitentiaire qui devrait intervenir début mai », explique-t-elle.
Faut-il voir dans ce départ une disgrâce ?
« Depuis le temps que l'on annonce ma disgrâce, je devrais déjà être à la cave » réplique-t-elle.
« En sortant de la maternité, j'ai rencontré Nicolas Sarkozy et nous avons parlé ensemble de mon avenir. Il m'a convaincue que l'engagement politique se vivait sous différentes formes. Cela tombait bien, je voulais diversifier mon parcours ».
« Je ne suis pas une intrigante mais une bosseuse, je n'ai jamais voulu renoncer à ma féminité. Ce n'est pas incompatible avec la compétence, je n'ai jamais exposé ma vie privée et je ne vais pas commencer à le faire », argumente la Ministre
Elle demande que l'on respecte le père de sa fille, dont elle n'a jamais dévoilé l'identité. Quant à son retour au travail cinq jours après son accouchement : « je n'étais pas dans la performance, ma santé me le permettait et je n'aurais rien fait contre l'avis de mon médecin. Le premier droit des femmes, c'est la liberté ».
RACHIDA DATI : Surveillons de plus près les pieds de la petite Zohra.
En janvier dernier, le 2 plus exactement. Vous avez accouché à la clinique de la Muette, d’une petite fille que vous avez prénommée, Zohra.
Vous avez très rapidement repris votre travail.
Seulement cinq jours après votre accouchement par césarienne, ce qui par ailleurs, a été fortement critiqué par les citoyens français et même par certains politiques, qui voyait là, une remise en question du congé maternité.
Mais hier soir, pendant que vous présidiez le conseil du 7eme arrondissement de Paris.
Entourée, de vos collaborateurs et passant par ci, par là, quelques SMS, sûrement très importants.
A la fin de cette réunion, alors que vous vous apprêtiez à quitter la mairie. Une femme s’est faufilée tant bien que mal, pour parvenir à vos côtés, très déterminée et donnant quelques coups de coudes aux personnes qui gênait son passage, elle a réussi finalement, à vous atteindre.
Elle venait ainsi, vous offrir gentiment une paire de chaussons pour votre petite fille, Zohra.
A la vue du cadeau, vous avez feint un air ravi, alors que visiblement celui-ci, ne semblait pas vous enchanter.
Nous connaissons tous, votre goût très prononcé pour les articles griffés.
Mais vous Rachida, héroïne du livre "Belle amie", devant tous les photographes, vous ne pouviez que sourire et remercier gentiment, cette personne.
Alors maintenant, dès que nous vous apercevrons avec dans les bras votre petite fille. Nous regarderons très attentivement, si celle-ci porte les petits chaussons de couleur marron et jaune, à ses petits petons.
RACHIDA DATI : La passion s’évanouit.
Après nous avoir longtemps laissé sur notre faim, quant au père de votre enfant.
Que d’ailleurs, malgré votre promesse de nous tenir informé de son nom, immédiatement après votre accouchement, nous ne connaissons toujours pas.
Pourtant, vous le savez, cela aurait apaisé notre curiosité.
Sur ce point, vous jouez avec nous, vous vous amusez à nous tenir en haleine.
Mais y a-t-il vraiment un père, Rachida ???? Nombreux sont ceux, qui se posent la question aujourd'hui.
Après, avoir fait la "Une" de tous les magazines, multiplié les couvertures en tout genre. Fait parler de vous sans cesse, une fois pour des robes hors de prix, qu’un grand couturier vous avait prêtées et que vous ne vouliez pas rendre.
Après nous avoir subjugués, avec vos bagues à 15.000 euros, et le côté, je mets un anneau de mariage pour les intriguer un peu plus et qu’ainsi, ils se posent la question "S’est-elle mariée en secret ??".
Et ce, simplement pour créer du suspens autour de votre personne. Nous obliger en quelque sorte, à rester curieux.
Après tout cela, c'est un documentaire sur votre vie privée et professionnelle qui a vu le jour et a été diffusé hier soir, sur Arte. Il était intitulé "Dati l'ambitieuse".
Malheureusement pour vous, Rachida, il n’a pas passionné les français.
A côté du film "Les Bronzés" vous n’avez eu aucune chance, et c'est ce film, de nombreuses fois diffusé à la télévision, qui a remporté la palme.
Le film "Les Bronzés" s’est imposé face à vous, de façon spectaculaire avec près de 7,5 millions de téléspectateurs, suivi par la nouvelle star 4,7 millions et à la queue du peloton, vous-même avec 1,392 millions.
Vous avez dû être déçue Rachida ?? Oui !! Mais que voulez-vous, trop de suspens, tue le suspens.
Trop de côté people et bling-bling, tue la popularité. Vous auriez dû y penser.
Un score très bas que vous avez réalisé avec votre documentaire, "Dati l’ambitieuse".
Vous ne passionnez donc plus autant les foules Rachida.
Mais il faut le reconnaître, votre documentaire ne nous a absolument rien apprit de plus, que nous ne sachions déjà. Peut-être auriez-vous dû, y ajouter quelques scoops, qui auraient épicés ce documentaire, un peu fade.
Suite à votre disgrâce auprès de Nicolas, est-ce que la population française vous réservait le même sort ???
Et, oui !!! Rachida, il fallait s’y attendre.
RACHIDA DATI : Devient actrice, dans un film !!!!
Eh ! Bien Rachida, dès que l’on parle un peu moins de vous, et dès lors que vous allez être écartée du gouvernement de Nicolas,vous avez une réelle peur que l’on vous oublie.
Malgré le best-seller, "Belle Amie" ouvrage de 200 pages, qui est sorti en début d’année et dont les auteurs sont Yves Derai et Michaël Darmon, cela ne vous suffit pas, vous en voulez toujours plus.
Car il faut bien le reconnaître, cet ouvrage ne vous a vraiment pas plu. Vous avez détesté, y être présentée comme une manipulatrice, une intrigante, une opportuniste.
Mais votre plus grande colère, a dû être, lorsque vous avez appris que ce livre avait réellement plu à Carla.
Ainsi, lorsque le journal "Le Point" nous a révélé, peu après la sortie de ce roman.
Qu'à l'occasion d’un dîner à l’Elysée, Michaël Darmon, a été félicité par Carla sous le regard gêné de Nicolas et de plusieurs témoins.
La Première Dame de France, précisant à l’auteur :
– "Bravo pour votre livre ! Je l’ai lu toute la nuit, j’ai appris plein de chose, je me suis beaucoup amusée".
Vous avez dû être dans une rage folle, car tout le monde sait que vous n’appréciez guère l’épouse du Chef de l’Etat.
Alors, vous avez décidé de frapper plus fort. Vous ne vouliez pas que l’on vous oublie, vous désiriez que l’on parle, encore et encore de vous.
Eh ! Bien c’est gagné !!!
Vous allez devenir un Mythe et un Mythe cela ne s’oublie pas.
Et pour le devenir, vous n’avez pas hésité à autoriser la sortie d’un film le 3 mars de cette année, sur Arte.
C’est en tout cas, ce que nous a révélé "Challenges" dans son édition de jeudi.
Héroïne, d’un téléfilm !!! Alors là, vous avez fait fort et personne ne s’y attendait.
Pourtant venant de vous, rien ne devrait encore nous étonner.
Produit avec votre accord et avec un droit de regard, ce film sera réalisé par Daniel Leconte et intitulé "Dati l’ambitieuse", rien de moins.
Allons-nous avoir le plaisir et la surprise, de vous y voir tenir le rôle vedette et ainsi ne pas être remplacée par une actrice, vous ressemblant.
Qui sait ! Si vous "Dati l’ambitieuse", n’avez pas l’ambition cachée de quitter la politique, pour vous tourner vers le cinéma, comme bien d’autres l’ont déjà fait.
Dites-moi !! Rachida, dans ce film que je ne manquerai pas de regarder, comme des millions de télespectateurs.
Va-t-on avoir des révélations très croustillantes ???
Va-t-on apprendre qui est le père de votre petite fille ???
Oh ! Si enfin, vous nous dévoiliez le nom de ce père, vous nous réjouiriez tant.
Nous attendons tous, la sortie de ce film, avec impatience. Mais vous le savez fort bien, car depuis que nous écrivons de petits billets sur vous, vous nous connaissez maintenant.
Rachida Dati : Prend la porte.
Eh ! Bien voilà, c’est fait Rachida, vous allez quitter votre poste. Nous nous en doutions, même si certains pensaient que vous alliez rester au gouvernement.
Après, vos très bonnes idées sur les prisons, il est sûr que Nicolas ne désirait pas que vous conserviez vos fonctions.
Ainsi, c’est en juin de cette année, que vous quitterez le gouvernement et que vous remettrez vos dossiers à un(e) autre garde des sceaux.
Vous étiez le symbole de la diversité et dans les débuts de vos fonctions, Nicolas vous avait pris sous son aile protectrice.
Malheureusement vos bourdes, l’on énervé, agacé, et vous n’avez plus été sa préférée. Mais plutôt celle qu’il voyait comme une éventuelle source d’ennui.
Et même, s’il le conteste encore aujourd'hui, vous avez paraît-il, résisté tant que vous le pouviez aux pressions de Nicolas, qui voulait absolument que vous soyez le numéro 2, sur la liste UMP en Ile-de-France pour les Elections Européennes du 7 juin 2009.
Aujourd’hui, Nicolas a donc confirmé aux journalistes, que vous quitteriez le gouvernement dès juin, après le scrutin.
Une grande déception pour vous, qui désiriez prouver que vous étiez digne de vos fonctions et que vous pouviez régler les problèmes qui vous étaient soumis.
Mais les prisons vous ont donnés le coup de grâce, car à part votre idée géniale des draps en papier. Vous n’avez jamais réussi, ne serait-ce qu’un peu, à régler ce problème chaud/brulant, il faut le reconnaître à votre décharge.
Et vous vous êtes mis à dos, les magistrats, les avocats et sûrement les prisonniers, aussi.
Mais vous n’êtes pas la seule à partir. Ainsi, Michel Barnier démissionnera lui aussi, de ses fonctions en mai prochain et conduira la campagne nationale de l’UMP. C’est du moins ce que précise, une source gouvernementale.
C’est sûr, Nicolas !! Avec le mécontentement des français, il vous faut absolument changer, certains de vos Ministres. Espérons seulement, que vos choix seront judicieux et que dorénavant nous aurons une France bien gouvernée, avec des lois appropriées et qui ne partent pas dans tous les sens.
Mais en sera-t-il ainsi ? Pas sûr.
De plus, il paraîtrait qu’au sein du parti de l’UMP, de nombreuses frictions, ont vu le jour.
Ainsi, un membre de la Direction actuelle de l’UMP, précise que cet accouchement s’est effectué dans la douleur.
Alors espérons que le bébé comblera, nos attentes.
RACHIDA DATI : Bientôt les prisons en papier ??
Rachida, vous êtes à peine remise de la naissance de votre petite Zohra et vous voilà à nouveau confrontée, à cette polémique des suicides en prison.
Que de souci pour cette année 2009 !
Aviez-vous vraiment besoin de cela ? Non bien sûr, et vous allez devoir être à la hauteur dorénavant.
Car le remaniement ministériel n’est pas terminé et vous le savez très bien.
Ainsi, pour ce début de janvier 2009, ce ne sont pas moins de treize détenus, qui se sont donnés la mort en France.
Rendez-vous compte, cela fait presque un détenu par jour qui décède.
Cette situation devient vraiment très préoccupante, car cette recrudescence des suicides en prison, a bien une raison légitime.
Alors que l’on recensait 96 décès par suicide en prison en 2007, c’est 115 pour l’année 2008, cela fait une augmentation de 20%.
Vous êtes critiquée par la gauche, pour votre manque d’énergie.
Ne croyez-vous pas qu’il faudrait revoir les conditions de détention des prévenus, plutôt que de créer quelques réglements, somme toute, peu efficaces.
Vous le savez très bien, les détenus sont trop nombreux par cellule et quelque soit leur crime, ils méritent dans le Pays des droits de l’homme, un traitement décent.
Trop souvent les plus faibles, sont maltraités, martyrisés, par les plus forts, les plus brutaux.
Ne serait-ce pas là, la principale raison de ces suicides ?
Vous ne devez sûrement pas avoir la même opinion que la plupart des français sur le sujet, puisque vous attendez les résultats de la mission que vous avez confiée en novembre, au Docteur Louis Albrand au lieu de vous attaquer au réel problème des prisons.
Ainsi le Docteur Albrand a pour principal objectif :
– De faire l’évaluation du dispositif de lutte contre le suicide dans les prisons.
– Et d'analyser les moyens de rendre ce dispositif, plus efficace.
Ce médecin de cinquante huit ans, devra vous remettre un rapport avec ses préconisations, pour améliorer le système, avant la fin de ce mois de janvier.
Le rapport doit insister sur le fait, d’améliorer la prise en charge psychiatrique des détenus, avec un suivi entre le personnel pénitentiaire et médical.
Mais aussi, avec un renforcement de la surveillance des nouveaux arrivants.
Puisque l’on sait que la majorité des suicides, ont lieu dans les cent jours suivant l’incarcération.
Aujourd’hui, un film est diffusé dans toutes les prisons pour sensibiliser les gardiens à ce fait dramatique et pour prévenir les risques dans ces établissements.
Désormais, et c'est une de vos propositions, les détenus ne devraient plus avoir de bon drap en coton pour éviter le suicide par pendaison, mais devraient subir la dure réalité des draps en papier.
Mais Rachida, pourquoi ces nouveaux draps ?
Laissez-les dormir carrément sur le matelas, se sera plus simple et économisera de l’argent à l’Etat.
Avez-vous pensé qu’avec cette sorte de drap, à peine le détenu remuera-t-il, dans son lit, que celui-ci va se déchirer.
A mon avis, les prisonniers, ne dormant plus très bien grâce à votre idée géniale, vous risquez de vous retrouvez avec encore plus de problème à résoudre qu'auparavant, dont ceux liés à l’insomnie. Mal qui sévit déjà beaucoup trop, dans les prisons.
Et pour les couvertures ?
Et oui, si vous supprimez les draps, il vous faut aussi supprimer les couvertures, car la pendaison peut aussi ce faire à l’aide de celles-ci.
De plus il en faut une ou deux pour passer l’hiver, vont-elles être, elles aussi en papier ? Chouette le sommeil !
Surtout, n’oubliez pas que le manque de sommeil entraîne un certain mal être, et que les détenus risquent d’être beaucoup plus irascibles.
Lorsque l’on ne dort pas assez ou pas bien, on devient vite, très nerveux.
Vous désirez aussi supprimer les fixations murales susceptibles de servir d’attache, pour le suicide par pendaison.
Vous devriez aussi leur enlever les toilettes, on ne sait jamais, des fois, qu’ils aient l’idée de se noyer dedans.
Et les barreaux, avez-vous pensé aux barreaux ?
Non !! Alors là, je pense que vous devriez songer à les enlever. Eh!! Peut-être que tout compte fait, elle est là, la solution à tous vos soucis.
Vous désirez ainsi, éviter un trop grand accroissement des suicides en prison et ne pas en rajouter pour ce début d’année 2009, puis certainement cacher aux citoyens la dure réalité des prisons françaises, que d’ailleurs ils ne comprennent pas.
C’est exact, la réalité fait que 90% des décès se font par pendaison. Mais vous avez oublié une toute petite chose, en ne résolvant pas le vrai problème des centres pénitentiaires, les détenus se suiciderons d’une autre façon.
Votre idée, n'est pas la bonne solution, une personne qui veut mourir trouvera toujours une parade.
En effet, les détenus maltraités par des codétenus ou en surnombre dans les cellules.
Pourront toujours avoir des entretiens, un suivi régulier avec un psychiatre, des draps en papier.
Si les causes principales ne sont pas résolues, les suicides seront toujours présents dans les prisons.
Donc ! Aussi bonnes, soient, vos réflexions ? Vos idées ? Vous vous retrouverez toujours face au mur.
