Pourquoi il est important d’apprendre à cuisiner ?

 

 

 

Il existe une diversité de sites et de blogs sur la cuisine. L’engouement pour cette activité n’est plus à démontrer. La cuisine attire les hommes comme les femmes. Pourquoi donc cet engouement, pourquoi c’est important d’apprendre à cuisiner ?

Nous avons noté 3 raisons. Il est important d’apprendre à cuisiner pour être autonome, pour la satisfaction personnelle et l’estime de soi et aussi pour pouvoir mieux se nourrir nutritivement parlant.

 

 

 

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Des méduses au menu ! Cela vous tente ?

Après les grillons caramélisés, les sauterelles façon vapeur, les vers sautés et autres insectes en tout genre, et si on mettait des méduses dans notre assiette ! Cette idée a germé dans l’esprit inventif d’une femme chef en restauration espagnole, Carme Ruscalleda. Selon cette professionnelle aux idées larges, les méduses seraient un produit gastronomique exceptionnel, un met appétissant, « une merveille » dit-on !

 

Les méduses, appelés plus scientifiquement les cnidaires, ne sont pas aimées, surtout dans la mer, car elles piquent ! Certaines méduses, rares heureusement, seraient même mortelles pour l’homme. En tout cas, elles rappellent sûrement de mauvais souvenirs à certains car elles ont des cellules urticantes qui irritent la peau. Ces animaux du milieu marin sont caractérisés par la présence de cellules capables d’injecter du venin plus au moins puissant selon la catégorie. On n’aime pas les retrouver sous nos pieds, mais elles sont très appréciées dans les assiettes depuis longtemps en Asie, surtout en Corée, Chine et Japon. Ils ont su les préparer à divers sauces et sous différentes formes.

 

Pourquoi pas en Europe, et dans nos menus français ? 

 

Leur consommation massive pourrait être une solution à leur forte invasion dans nos eaux salées. L’Organisation des Nations Unis pour l’alimentation et l’agriculture approuve d’ailleurs cette idée qui pourrait apporter une solution à la prolifération dévastatrice des méduses en mer Noire et en Méditerranée. 

Mais pour l’instant les méduses restent encore un plat d’exception. En effet, la préparation en cuisine pour les rendre consommables est long et minutieuse. De plus, la faible quantité de matière organique qu’elles contiennent, soit 1 % de matière organique contre 99 % d’eau, en font un aliment encore trop onéreux : trop de quantité à préparer pour faire une assiette de qualité et appétissante. 

 

Accommodons nos restes

 

Ca ne vous arrive jamais? L’autre jour vos ogres d’enfants et mari ont mangé jusqu’à la dernière miette du repas que vous aviez préparé, et ce soir, il y a des restes à n’en plus finir. Ou encore que vous vous rendiez compte qu’il ne reste que des "petits bouts de tout" dans le frigidaire

Plusieurs solution:

  -la poubelle: pas très économique ni écologique et plutôt pesant sur notre morale en pensant à tous ceux qui n’ont rien dans leurs assiettes.

 -resservir la même chose le lendemain midi, mais nos chère têtes blondes vont elles, vous servir la soupe à la grimace et du"encoooreee ça mamannnn!!!"

 -ou alors, utiliser une super méthode selon moi: l’art d’accommoder les restes

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Oeufs : séparer le jaune du blanc avec la pipetteYolker

L’œuf de Christophe Colomb… Certes il tient debout… Mais s’il faut ensuite séparer le blanc du jaune d’œuf pour des préparations culinaires, mieux vaut employer une autre méthodes.
Le site WikiHow recense six façons de ce faire. La septième, qui vient de sortir, est bien moins fastidieuses et beaucoup plus ingénieuse : aspirer le jaune avec une sorte de « pipette ».
Ce procédé vient d’être mis au point par un ingénieur néo-zélandais improvisé, Hamish Dobbie : c’est le Yolkr (yolker), un ustensile ménager qui simplifie vraiment le processus.

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Les uns cuisinent, les autres dégustent !

 Et si vous mangiez des repas à moins de 4 euros, ou même seulement 2 euros ? Et si, pour vous faire encore plus saliver, je vous disais qu’il s’agit de bons petits plats fait maison, vous en pensez-quoi ? Oui, je sais, vous allez me dire que ce n’est pas toujours possible de cuisiner bien et bon pas cher, par manque d’envie, de temps et de savoir-faire. 

 

 Et vous avez raison, sauf que, maintenant, vous pouvez tout de même en profiter et vous régaler avec des menus proposés et préparés par des particuliers. En France, des sites internet se sont lancé sur le créneau gourmet et gourmand de la restauration pour les particuliers.

 

 le principe est simple : les particuliers postent des annonces sur ces sites avec, à la clé, des propositions de petits plats faits maison pour les internautes qui souhaitent bien manger et pas cher. Une formule qui devrait faire mouche et plaire à beaucoup de monde, surtout dans les grandes villes. Un bon compromis en tout cas pour les cuisiniers amateurs et les gourmets qui n’ont pas toujours le temps pour cuisiner.

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« Top Chef », c’est bien comme émission, non ?

"Top Chef" est une émission qui me plaît beaucoup. La téléréalité je trouve ça en général plutôt bof mais "Top Chef", ça me captive. Je ne dois pas être le seul à penser cela. M6 diffuse actuellement la quatrième saison et je ne m’en lasse pas. Je suis très enthousiaste à chaque nouvelle émission : nouvelles épreuves, nouvelles éliminations, reportages sur les candidats, …

Je préfère néanmoins le jury de "Masterchef" à celui de "Top Chef". Les quatre chefs sont trop sérieux et gardent toujours une certaine distance avec les candidats là où Frédéric Anton, Yves Candeborde et Sébastien Demorand font sauter certaines barrières tout en conservant le respect et l’admiration.

Le casting est de qualité.  Le candidat retenu est en général très bon et doté d’une forte personnalité. Il n’y a pas de candidat type. Chacun a son parcours, son style, ses motivations, … Un seul point en commun : la passion de la cuisine.

Seul bémol peut-être, on peut regretter un manque de mixité qui illustre une tendance dans le milieu de la restauration : il y a beaucoup plus d’hommes que de femmes. Paradoxalement Stéphanie Le Quellec, qui a gagné la deuxième saison, est peut-être à ce jour le meilleur candidat à avoir participé à l’émission.

Mon candidat préféré reste Brice Morvent de la première saison parce que je le trouvais entier et très touchant. J’ai aussi adoré Pierre Augé : son accent tiré au couteau qui fait inévitablement penser au rugby, sa personnalité, … Et comme l’Olympique de Marseille en Coupe d’Europe des Clubs Champions en 1991, tout le monde croit que c’est lui qui a gagné.

D’autres cuisiniers m’ont aussi marqué : Norbert le maboule de la saison 3, Pierre-Sang "la trace de frein" de la saison 2 ou encore Joris le "Cuisinator" cette année.

"Top Chef" est proche de ce qu’on peut faire de mieux en terme d’émission culinaire. Chaque recette est disponible en ligne et les astuces des chefs sont révélées. Seul le fait qu’un candidat soit éliminé à chaque émission rappelle qu’il s’agit avant tout d’un concours.

On est à des années lumière des émissions culinaires d’antan. Je me souviens de "La Cuisine des Mousquetaires" dont le seul intérêt résidait dans la forte personnalité de Maïté. "Bon appétit bien sûr" avait l’avantage d’être présentée par un très grand Chef mais je reste persuadé que Joël Robuchon n’était pas fait pour ce job.

"Un dîner presque parfait" a remis la cuisine au goût du jour même si on peut regretter que l’accent soit de moins en moins mis sur les préparations culinaires. C’est véritablement Cyril Lignac qui a fait de la cuisine quelque chose de "branché". Je me souviens de "Chef, la recette !", une de ses premières émissions. On découvrait alors un jeune chef charismatique, fashion, avec un physique pour faire de la télévision.

Cette émission est une fierté. Elle fait l’apologie du travail et du respect de la hiérarchie. Les Chefs sont écoutés, vouvoyés, admirés. Je trouve que le message véhiculé est excellent pour la jeunesse et j’espère qu’elle suscitera de nombreuses vocations.

 

Cuisiner chez soi : A la recherche de recettes facile et rapide à concevoir

 Il n’est un secret pour personne que nos vies actuelles ne laissent guère de place au temps libre et aux moments de complète « zénitude ». Toujours à courir, à enchaîner les activités, à jongler entre responsabilités professionnelles et vie privée et familiale. Comment, dans ce contexte, réussir à prendre le temps nécessaire pour concocter de bons petits plats, surtout dans le cas où, comme c’est le cas pour moi, l’art culinaire n’est pas une qualité innée ?

Au sein de mon foyer, j’ai la lourde tâche de réaliser les repas du soir et croyez-moi, après une dure journée de travail, il n’est pas toujours évident d’avoir une idée de génie pour réussir à surprendre l’autre et à lui offrir des plats dignes de ce nom.

Les émissions de cuisine à la télévision me renvoient quotidiennement en pleine figure à quel point le fait de cuisiner peut être une activité attractive et agréable, aussi bien pour le cuisinier que pour celui ou celle qui déguste ses plats, du moment qu’il s’agisse d’une bonne idée de menus.

Et c’est précisément là où le bat blesse. Je me confronte à deux difficultés majeures : je ne fais pas preuve d’une imagination débordante en terme de repas et je manque cruellement de temps pour pouvoir prétendre à passer dans ma cuisine tous les soirs plus de temps qu’il n’en est nécessaire.

Après avoir usé jusqu’à la corde certains types de menus « classique », tels que les pates au jambon et autres soupes de carottes, j’aimerai bien pouvoir continuer à surprendre ma conjointe en lui proposant chaque soir des diners qui, outre le fait d’être bons à manger, seraient tout aussi rapides à réaliser dans un temps contraint.

C’est pour cela que je me tourne vers vous, une fois de plus, chers lecteurs de ce modeste article.  Auriez-vous des idées de recettes faciles et rapides à réaliser pour que je conserve mon statut de petit-ami idéal pendant encore de longues années ? Et puis, je me dis que vos précieux conseils pourraient également servir à d’autres lecteurs. Je ne doute pas une seule seconde que parmi vous figurent de véritables cordons bleus qui présentent des aptitudes significatives en matière de cuisine.

A la rédaction de cet article, le stress s’empare de moi. Le temps presse. Dans quelques heures, la journée sera déjà terminée et je ne dispose pas de la moindre idée lumineuse pour cuisiner ce soir. Il faut dire que mes œufs brouillés et pâtes d’hier soir n’ont eu qu’un succès plus que mitigé.

J’attends vos commentaires avec une impatience certaine. N’est-ce pas là aussi tout l’intérêt de C4N que de pouvoir échanger entre internautes sur divers sujets qui nous touchent de près ou de loin ?

La cuisine, même si on lui accorde de moins en moins de temps dans notre société actuelle, mérite qu’on s’y attarde. Les repas sont un moment privilégié d’échanges et de dialogues qu’il convient de soigner, notamment en proposant, lorsqu’on a la charge d’organiser les menus, de délicieux plans, alliant originalité et goût agréable.

J’attends vos contributions et je ne doute pas un seul instant que je ne serai pas déçu. Qui sait, je vais peut-être mettre en œuvre vos conseils pas plus tard que ce soir…

Malbouffe, De Funès et Coluche avec 35 ans d’avance…

La "malbouffe", thème récurrent de l’actualité médiatique depuis quelques mois est-elle en soit réellement une grande surprise? Non, à coups sûrs. Pourquoi s’étonner devant tant de carences au sein de la production alimentaire? En voilà une question intéressante. 


Entre les divers objets et matières retrouvés dans les aliments de grande consommation, et les produits chimiques, sans oublier les mensonges sur la provenance et l’identité des produits, l’Alimentation est en passe de devenir "LE" sujet explosif de l’année. Pourtant, ils vous avaient prévenus il y a 35 ans…en vain.

 

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Vive les lasagnes-maison !

 Vous ne voulez pas manger du cheval dans vos lasagnes ? Facile, faites-les vous-mêmes, vous éviterez les mauvaises surprises. Et en plus, c’est très facile.

En matière de cuisine, je suis partisan de « faire soi-même » quand c’est possible. Donc les produits tout prêts qu’on fait réchauffer dans un micro-onde, c’est proscrit. Pour plusieurs raisons : la première pour le prix, ça coûte souvent beaucoup moins cher. Deuxièmement pour le goût, là il n’y a pas photo. Troisièmement pour la qualité des produits utilisés et leur traçabilité: regardez l’étiquette et vous serez édifiés : qu’est-ce qu’ils ne nous font pas ingurgiter, les industriels de la « bouffe » ! Certains me répondront : « il faut avoir le temps pour cuisiner ». C’est vrai mais il faut savoir ce qu’on veut. 

Si Findus achetait du bœuf français, il n’y aurait pas de problème mais ça coûterait trop cher. Déjà qu’elles ne sont pas bon marché, leurs lasagnes soi-disant 100 % pur bœuf, à 4,56 euros la barquette de 600 grammes ! Et pour le goût, on dira que c’est mangeable mais « peut mieux faire ».

Prenons donc l’exemple des lasagnes, puisqu’il en est question en ce moment. Personnellement, je fais la pâte moi-même avec de la semoule de blé dur et une machine à faire les pâtes. Ca me prend une demi-heure pour façonner 300 grammes de pâte, ce qui est suffisant pour faire deux grands plats. Si je fais des lasagnes avec du hachis de bœuf, je vais chez mon boucher qui hache la viande devant moi, comme ça, pas de surprise. J’utilise des tomates fraiches et des tomates pelées en boites. On peut laisser son imagination faire le reste, on peut tout mettre dans les lasagnes : du saumon, du bœuf, des épinards … sauf du cheval ! En tout cas le résultat ne souffre pas la comparaison. Regardez la mine réjouie de vos convives quand ils goûtent à votre création.

Qui prend encore le temps de faire une mayonnaise-maison ? C’est tellement plus simple d’acheter un pot et pourtant ça n’a rien à voir. On finit par perdre le vrai goût des aliments. C’est la raison pour laquelle j’essaye de « faire moi-même » autant que possible. C’est devenu une attitude presque militante. 

Si ce fait-divers gastronomique pouvait influer sur les habitudes d’achat des Français(es), ce serait une bénédiction.