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La semaine dernière comme il y a 15 jours, des nouvelles reprises par les médias faisaient état d’espoirs prometteurs pour soulager des pathologies graves. Pourtant, lorsque l’on creuse l’information, il s’avère qu’il est largement prématuré de relater ces résultats non validés sur l’espèce humaine. Une communication proche du coup de pub contre laquelle nous mettons en garde.
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Et si je venais vous dire qu’un petit médecin, curieux de tout, qui ne supportait plus de voir ses patients mourir du cancer et s’étonnait dans le même temps d’en voir d’autres pour lesquels il régressait, s’était intéressé au phénomène, pour obtenir de surprenants résultats ?
Un peu d’histoire…
Le Docteur William Coley, un jour de 1890, vient de voir décéder à New-York une de ses patientes, emportée par un cancer des os. Sans doute était-il plus proche d’elle que de ses autres malades, en tout cas décida-t-il de se rendre plutôt qu’au New-York Cancer Hospital où il exerce, dans les locaux de l’université de Yale, mondialement réputée pour les archives sur nombre de maladies, conservées au sein de sa faculté de médecine.
Après quelques nuits d’insomnies passées à étudier des cas de "sarcomes" (même type de cancer que sa patiente décédée) et alors qu’il allait renoncer, il "tombe" sur le cas d’un homme dont le "sarcome" a tout bonnement disparu ! Cette guérison coïncidait avec la contraction d’une maladie infectieuse, quasiment disparue de nos jours, appelée l’érysipèle. Il s’agit en fait d’une maladie de peau qui n’est pas grave, due à un streptocoque, qui provoque en plus de plaques rouges, des poussées de fièvre.
En fouillant plus en avant, le Docteur William Coley s’aperçut que le cas de cet homme était loin d’être isolé.
D’ailleurs, certains de ses illustres prédécesseurs tels que Robert Koch, ou encore Louis Pasteur pour ne citer qu’eux, avaient eux aussi en leur temps, constaté des régressions de cancers, coïncidant avec la contraction de "l’érysipèle".
Il n’en fallut pas plus pour que ce médecin décide d’inoculer le streptocoque responsable de la maladie à un de ses patients qui souffrait d’un cancer avancé de la gorge.
Miracle ! Monsieur Zola (c’était son nom) vit son cancer régresser de façon spectaculaire et son état de santé s’améliora de telle manière, qu’il vécut huit ans et demi de plus !
Le Docteur Coley élabora dès lors une mixture composée de bactéries mortes, donc moins dangereuses, qui une fois administrée à des patients souffrant de cancers même métastasés, en provoquant de la fièvre, permettait à la maladie de régresser et de repousser parfois considérablement l’échéance de la mort.
On relate même le cas d’un jeune américain de 16 ans (John Ficken), qui fut carrément sauvé et qui pourtant souffrait d’une énorme et inquiétante tumeur abdominale.
Mais alors me direz-vous, qu’en est-il de nos jours de ce que l’on avait baptisé la "toxine de Coley" ? Eh bien le développement des machines à rayons radioactifs a tout simplement relégué cette technique pourtant prometteuse, au placard.
Le Docteur Coley, croyant là à une avancée scientifique majeure, s’équipa de 2 machines de radiothérapie et conclut rapidement que ces dernières étaient bien moins efficaces que l’emploi moins onéreux de surcroît de sa toxine.
Hélas, les intérêts financiers jouant, il ne fut pas écouté et sa méthode enterrée avec lui.
En 1999, une audacieuse équipe de scientifiques français a dépoussiéré les manuels d’études du Docteur Coley et Charlie Starnes, éminent chercheur chez Amgen a déclaré, je cite : "ce que Coley faisait pour les malades du sarcome à l’époque était plus efficace que ce que nous faisons pour ces mêmes malades aujourd’hui" et de rajouter que la toxine de Coley s’avérerait 38 % plus efficace que la plus moderne thérapie actuelle.
Une société américaine (MBVax) aurait repris des recherches sur le sujet et on annonce qu’entre 2007 et 2012, 70 patients ont bénéficié de la technique de Coley,
La très sérieuse revue scientifique Nature a assuré en 2013 dans un rapport, que les effets avaient été positifs et prometteurs.
Il faut savoir, que ces 70 patients étaient en phase terminale et volontaires pour tenter l’expérience.
Seul problème, car il y en a un et de taille, c’est que la construction d’une unité de production coûterait des millions de dollars et n’est donc pas prête de voir le jour.
De plus, les scientifiques américains à l’origine de la reprise discrète des travaux du Docteur Coley auraient déclaré, je cite : "ce qui était possible en 1890 dans le cabinet d’un simple médecin new-yorkais passionné par sa mission, est aujourd’hui devenu quasi-impossible dans notre monde hyper-technologique et hyper étouffé par les réglementations".
(Sources Science et vie, globenet.org et sites internet divers)
L’événement est inédit : samedi 28 septembre prochain,une centaine d’écoliers bordelais s’affronteront en trottinette pour la bonne cause, lors du 1er "Bordeaux Challenge Trottinettes".
Initié par l’association "Eva pour la vie" et le Rotary Club de St Médard en Jalles, cet événement sportif et caritatif a en effet pour ambition de sensibiliser le grand public à la situation que vivent les enfants souffrant de cancers : un manque cruel de moyens pour encourager la recherche et développer des traitements curatifs (seuls 2% des fonds anti-cancers vont à la recherche sur la totalité des cancers de l’enfant, soit 60 maladies différentes !).
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Combien d’entre nous ne se sont jamais retrouvés dans le cabinet d’un radiologue, ou encore sur une table de scanner suite à des douleurs ou fractures ?
Je pense ne pas m’avancer de trop en disant qu’il y en a très peu.
En fait, pour des raisons diverses nous devons beaucoup à l’imagerie médicale car elle permet de détecter suffisamment tôt de multiples soucis médicaux et de les traiter de la meilleure façon qu’il soit.
Par contre pour que le procédé fonctionne, il n’y a pas d’autre solution que d’user des radiations.
Rien ne serait possible sans les rayons X, pour les radios et scanners, au contraire de l’IRM qui fonctionne avec un champ magnétique.
D’autres types d’examens plus spécifiques comme les scintigraphies utilisent un rayonnement de type radioactif.
Eh bien, selon une étude récente publiée dans le célèbre Lancet, abuser de l’imagerie médicale, pourrait nuire à notre santé.
Bien entendu au quotidien, nous sommes exposés à ce que l’on appelle des radiations ionisantes dans notre propre environnement… Mais dans le cas d’un scanner de la tête un patient recevrait une dose équivalente à 8 mois d’exposition, en une seule fois bien sûr…
Un scanner du bassin ? Là, on parlerait de 4 ans d’exposition !
Bref, les auteurs de l’étude affirment que le risque de cancer du cerveau est multiplié par 3 en cas de scanners multiples.
Les femmes enceintes doivent redoubler de vigilance, car si les jeunes sont plus sensibles aux radiations, les fœtus le sont davantage… Il faut donc prévenir tous les professionnels de santé susceptibles d’utiliser l’imagerie médicale (médecins et aussi dentistes) lorsque l’on attend un enfant, même en tout début de grossesse.
Des précautions seront alors prises.
Information :
Saviez-vous, que les doses de radiations auxquelles nous avons été exposés durant notre existence s’additionnent ?
Ce qu’il faut retenir de cette étude, c’est que nul examen médical n’est anodin, surtout si l’on doit être soumis à des radiations.
Ainsi, si votre médecin rechigne à vous faire passer un scanner par exemple, c’est qu’en bon professionnel, il ne veut pas vous exposer inutilement.
Bien sûr, nous avons tous pesté contre nos praticiens : "Ils pourraient nous faire passer un scanner tout de même !"
Alors que s’il ne l’a pas fait, dans la majorité des cas, c’est qu’il avait ses raisons.
Nombre de ces examens, sont prescrits inutilement à des personnes qui ne cherchent en fait qu’à se rassurer et à force de harceler leur médecin, celui-ci exaspéré, finit par céder.
9 fois sur 10, on en arrive à cette conclusion : "vous voyez vous n’avez rien !"
Hélas, il est trop tard… Vous avez pris un risque !
Pour terminer, voici un petit conseil :
Si dans votre lieu de résidence, vous disposez de plusieurs cabinets de radiologies, optez pour celui qui est le plus récent. En effet plus le matériel est moderne et moins il produit de radiations.
Gros coup dur en Espagne et plus précisément pour le club catalan du FC Barcelone qui va devoir trouver un nouvel entraîneur pour la saison à venir. Tito Vilanova, qui entraînait le Barça depuis l’an dernier et le départ de Pep Guardiola, est malheureusement victime d’une rechute de son cancer et le traitement qu’il devra suivre pour espérer guérir est incompatible avec ses fonctions d’entraîneur. C’est ce vendredi soir que le club barcelonais a annoncé la triste nouvelle lors d’une conférence de presse en présence du président du club et des joueurs du club.
Âgé de 44 ans, Tito Vilanova a été l’adjoint de Pep Guardiola puis lui a succédé lorsque celui-ci a quitté le club pour rejoindre finalement le club allemand du Bayern Munich. Tito Vilanova est malheureusement aujourd’hui contraint de quitter son poste afin de privilégier ce qui est le plus cher à tout homme, la santé. L’entraîneur du Barça a passé des examens de routine cette semaine et les résultats obtenus ne sont pas ceux que l’on attendait. Conséquence, Tito Vilanova va devoir suivre un traitement en raison de cette rechute du cancer des glandes salivaires.
Selon un quotidien proche du club, Tito Vilanova aurait proposé sa démission ce vendredi matin après avoir appris les mauvais résultats de ses examens médicaux. Une nouvelle épreuve attend donc cet homme qui avait déjà été opéré d’une tumeur de la glande parotide en Novembre 2011. Malheureusement, une première rechute a eu lieu au début de cette année et Tito Vilanova est parti se soigner à New-York, laissant ainsi le club catalan sous la responsabilité de Jordi Roura, son adjoint au FC Barcelone.
Conséquences de ce départ contraint et forcé, le FC Barcelone va se mettre en quête de trouver un nouvel entraîneur et cela ne devrait pas poser de problèmes tant les candidatures doivent être nombreuses. Néanmoins, cela reste un coup dur pour le Barça qui a d’ailleurs annulé rapidement le match amical que le club devait disputer ce samedi en Pologne face au club du Legia Gdansk. En effet, jouer au football le lendemain d’une telle annonce est un peu difficile pour tous les joueurs de l’effectif barcelonais.
Le nom du nouveau coach du Barça devrait être rapidement connu et selon les rumeurs, toujours les rumeurs, Joan Francesc Ferrer Sicilia (alias Rubi), entraîneur de Gérone en seconde division espagnole, est pressenti pour succéder à Tito Vilanova à qui l’on souhaite un bon et prompt rétablissement.
"La fille qui ne croyait pas aux miracles" est un roman qui mélange plusieurs genres pour nous donner un récit unique et inoubliable. La romancière va nous présenter une jeune fille de dix-sept ans qui s’appelle Cameron. Elle est gravement malade et sait que ses jours sont comptés. D’ailleurs, elle croit dur comme fer qu’elle s’éteindra avant ses dix-huit ans. Mais cette perspective n’enchante guère sa mère qui décide de l’emmener dans une ville étrange et magique à la fois…
Il paraitrait que, là-bas, il se passe de drôles de choses. De véritables miracles peuvent y éclore. Cameron y trouvera-t-elle la paix ?
Ce roman est accrocheur grâce au charisme et à la malice de la jeune Cameron. Malgré son état critique, elle a toujours le mot pour rire et ne passe pas son temps à s’apitoyer sur son sort. Très rapidement, on va s’attacher à cette jeune fille qui se dévoilera petit à petit au fil des chapitres.
Puis, le surnaturel va s’inviter dans son quotidien. Quelle est donc cette ville qui lui fait miroiter tant de promesses ? Peut-elle guérir de son cancer ou pas ?
L’histoire oscillera constamment entre légèreté et drame. Le lecteur passera du rire aux larmes avec une facilité déconcertante. Certains passages du livre pourraient paraître déroutants voire saugrenus mais on continue à s’intéresser à l’existence de cette jeune fille tellement attachante.
Même si on s’y attend, le dénouement du livre fait l’effet d’un coup de poignard dans le ventre. C’est si injuste qu’on ne peut s’empêcher d’être secoué en refermant le roman.
Cette fille qui ne croyait pas aux miracles a su nous toucher et nous émouvoir à travers son histoire intense, drôle et triste à la fois. La romancière Wendy Wunder a réussi le pari fou de nous concocter un récit à la hauteur de toutes nos attentes.
Plus qu’une histoire, c’est une formidable leçon de vie et de courage qui nous attend au fil des pages.
Il y a des films qui marquent au fer rouge… Des films qui ne laissent pas indifférents, qui semblent nous poignarder en plein coeur. "Ma vie pour la tienne" de Nick Cassavetes en fait partie. C’est sur un sujet douloureux et poignant que le réalisateur a décidé de construire sa trame scénaristique. Force est de constater que l’histoire prend aux tripes et ceci bien après le film. Le spectateur est plongé dans une sorte de drame intimiste et poignant.
Kate est une jeune fille condamnée par une leucémie. Mais, Sara, sa mère, refuse cette fatalité. Elle ne veut pas perdre cet enfant qu’elle aime plus que tout. Alors, elle a décidé de mettre en route Anna, une enfant-médicament, conçue pour sauver Kate de cette mort injuste et douloureuse.
C’est dans cette atmosphère embrouillée et triste que grandit Anna. Elle fait de fréquents allers et retours à l’hôpital pour y faire des tests et subir des tas d’examens. Elle est épuisée et n’en peut plus de cette existence qui n’a plus aucun sens. Alors, un jour, alors qu’elle devait subir une énième opération chirurgicale pour sauver sa soeur Kate, Anna se rebelle. Elle ne veut plus être cet enfant-médicament et désire, plus que tout, disposer librement de son corps. Commence alors une douloureuse bataille juridique.
Plus rien ne sera comme avant d’autant plus que la jeune Anna sera au coeur d’un véritable dilemme…
Ce film est poignant et fera verser pas mal de larmes car il soulèvera des tas de questions douloureuses. Que ferions-nous si nous étions à la place de Sara ? Serions-nous prêts à sacrifier la vie d’un enfant afin de sauver celle de sa soeur ainée ? A n’en pas douter, le réalisateur s’est attaqué à un sujet épineux où les hommes n’ont plus tout à fait leur place.
La prestation des actrices principales est incroyablement crédible. Cameron Diaz a su nous offrir le meilleur d’elle-même dans ce rôle de mère courage, prête à tout pour sauver son enfant. Quant à la jeune Sofia Vassilieva, découverte dans la série Médium, elle est très touchante dans son personnage de jeune fille affaiblie par la maladie.
Ce film n’est pas à réserver aux âmes sensibles car il fera pleurer dans les chaumières…
Et les spectateurs ne pourront jamais oublier le tendre sourire de la jeune et courageuse Kate…
Je suis parfaitement conscient que le sujet n’est pas nouveau et qu’il a fait l’objet de nombreuses mises en garde, alertes à la prudence et autres, aussitôt controversées, mais il semble aux yeux d’éminents spécialistes que le problème soit bien réel…
Je veux parler des méfaits sur la santé du téléphone portable.
La très sérieuse agence européenne de l’environnement (AEE), vient en effet de consacrer non moins de 800 pages à un rapport sur divers facteurs à risques et en particulier sur les probabilités de tumeurs au cerveau, liées à une utilisation par trop fréquente des téléphones portables…
Il s’agit là du second rapport, le premier datant de 2001.
Elle aurait donc demandé une application du principe de précaution aux instances sanitaires.
Toutefois les études sont contradictoires, quant à la dangerosité réelle de ces appareils, ce qui ne permet pas encore d’établir de rapport formel.
L’AEE quant à elle insiste et prétend que les ondes électromagnétiques des portables seraient néfastes et provocatrices de tumeurs, au niveau du cerveau mais également des glandes salivaires. De plus les premiers touchés seraient les adolescents, dont la "maturation" de l’encéphale n’est pas aboutie.
L’OMS avait déjà mis en garde les gouvernements et industriels, des dangers potentiels des téléphones portables, mais ces derniers n’auraient pas pris connaissance des travaux des scientifiques sur le sujet et de leurs conclusions, qui classent pourtant ces appareils, dans la catégorie 2B (les cancérigènes) des systèmes à ondes électromagnétiques à risques.
Incontestablement, les recommandations sont boudées par les plus hautes autorités, mais la commission européenne aurait réagi récemment à la publication du rapport et assuré, qu’elle prendrait prochainement des mesures.
La nouvelle ferait déjà grincer les dents des principaux fabricants de téléphones mobiles, qui craignent que leurs ventes ne deviennent moins importantes, alors qu’il suffirait peut-être qu’ils se rapprochent des scientifiques, pour rechercher avec eux des moyens, qui permettent de limiter la dangerosité des ondes électromagnétiques, en innovant en matière de technologie par exemple.
Hélas… Il faut garder présent à l’esprit, que l’industrie de la téléphonie pèse des milliards d’euros et qu’elle mettra certainement tout en œuvre, par quelque moyen que ce soit, pour retarder au maximum l’aboutissement des rapports gênants des chercheurs.
On pourrait classer cet article dans les deux catégories que sont le sport et la santé. En effet, l’entraîneur du club de football espagnol de Barcelone vient de faire une rechute, lui qui est atteint d’un cancer. Tito Vilanova, c’est son nom, entraîne l’un des plus grands clubs de foot au monde depuis le départ de Pep Guardiola qui a tout connu et tout remporté avec ce club comme la fameuse Ligue des Champions.
Il y a encore un an, Tito Vilanova alors entraîneur adjoint du FC Barcelone subissait une opération en raison de la présence d’une tumeur à une glande salivaire. Il s’est rapidement remis sur pied et a pu reprendre ses fonctions au sein du club avant d’être promu à la tête de l’équipe catalane. Malheureusement, ces soucis de santé sont à nouveau d’actualité puisque le coach espagnol devrait être rapidement opéré. Le poste d’entraîneur du club est alors remis en question, un coach intérimaire devrait le remplacer pendant cette terrible épreuve. Son entraîneur adjoint, Jordi Roura, devrait naturellement le remplacer.
Le Real Madrid, grand club rival du FC Barcelone qui est en tête du championnat espagnol, a tenu à exprimer son soutien au club catalan et plus précisément à son entraîneur. Beau geste !
Pep Guardiola, l’ancien coach barcelonais et Tito Vilanova sont très liés et unis par le club du FC Barcelone. Tito Vilanova a été pendant de longues années l’adjoint de Guardiola, notamment au sein de l’équipe B du FC Barcelone avant de prendre la tête du club en 2008. C’est seulement depuis quelques mois, au printemps 2012, que leur séparation s’est faite, Guardiola laissant alors la place à son collègue, adjoint et ami.
14, c’est le nombre de titres que Tito Vilanova a remporté en étant l’adjoint de Pep Guardiola et nul doute que ce nombre de titres devrait augmenter maintenant que Tito Vilanova a pris le poste d’entraîneur.
Souhaitons un bon rétablissement à cet entraîneur en espérant qu’il revienne au plus vite sur les bancs des pelouses de football.
