Syrie : Jean-Marie Le Pen embarrasse Gollnisch

Voyant peut-être que sa fille n’en s’en était pas si bien tirée devant Mélenchon à la télévision, Jean-Marie Le Pen a ressorti la vieille artillerie du Front national (« descend un peu de ton pédalo si t’es un homme, viens, je te prends à mains nues »). Un peu dérisoire, mais, bah, c’est la campagne électorale. Plus ennuyeux, parce que maladroite, sa sortie sur la Syrie, qui oblige Bruno Gollnisch, décidément rangé sur la ligne de Marine, à argumenter en touche. Pour lui, les journalistes à Homs seraient utilisés en temps que boucliers humains par l’armée rebelle syrienne. Peut-être pas vraiment faux… peut-être un peu trop vite dit : ils seraient, selon France Info, à présent au Liban. Puis, patatras, quelques heures après, on ne savait plus trop.

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