La cote de popularité du Président de la République ne se dément pas, malgré l’hostilité affichée par un déballage médiatique, digne de la presse people.

L’amitié franco-américaine doit-elle se fracturer, pour ne pas cautionner la politique de Georges W Bush ?

 

Le devoir de mémoire, tant agité par le parti socialiste, semble être victime d’une amnésie. L’amitié franco-américaine, depuis Lafayette ne s’est démentie. Les GI’S tombés en Normandie, pour nous affranchir du joug nazi, sont les témoins de cette amitié. La politique de Georges Bush se discrédite d’elle même mais ne remet pas en question, une amitié de 250 ans…

Pierre Moscovici, en déclarant son hostilité, ne fait qu’agrandir le trou ou le Parti Socialiste s’enfonce. Un repas informel n’est pas un cautionnement de la politique du Président des Etats-Unis. A force d’abreuver la presse de déclarations sans fondements, étalant des rancoeurs de mauvais aloi, le PS ne fait que se discréditer lui même. La surenchère médiatique refléte l’incapacité des dirigeants socialistes à promouvoir le renouveau.

Cécilia absente du repas, de suite une déferlante s’empare frénétiquement d’une presse avide d’étaler la vie privée du couple présidentiel. Les rumeurs enflent, à la plus grande joie des médisants, qui feraient bien mieux de balayer devant chez eux. Larmoyant !!

L’effervescence médiatique devient un cloaque, ou s’engouffre une spirale de surenchère. L’opinion publique ne semble pas suivre l’itinéraire d’un parti perdu. L’incohérence devient le compagnon d’une propagande, qui fleure le parfum des illusions perdues…