La dérive totalitaire des démocraties à travers le pouvoir d'un seul homme (Le Parlement n'est plus une Chambre de débats, mais d'enregistrement + effacement du premier Ministre) correspond malheureusement à la perception de la vie par la plupart d'entre nous, séparés les uns des autres par un égoïsme sciemment cultivé à travers la laïcité et la société du spectacle, de la consommation (le Conditionnement)… et dont l'irrespect de l'autre fait partie : se comparer à son voisin, un des interdits divins largement pratiqué.
Le Président Sarkozy, qui a par ailleurs reconnu qu'il n'était pas si intelligent que ça, voilà peut être pourquoi il ne tient compte de l'avis de personne, est le pic le plus visible de cette marche en avant de notre société vers la « déloyauté envers sa famille, son entreprise, sa nation » (J. Attali).
Nous tous qui sommes pour une vie morale en politique et pas seulement pour une vie politique en terme d'exemple moral, nous n'allons pas laisser « le plus mauvais élève de la classe » nous imposer son style : la force extérieure et l'irresponsablilté d'un Ponce pilate doublée à l'intérieur de la conscience de Juda ?!
La Force intérieure est bien plus grande que toutes les adversités : c'est elle qui enveloppe les valeurs éternelles comme la graine tous les pétales colorés de la fleur. Encore faut-il lui accorder l'attention qu'elle mérite et que l'on réserve en général aux médias ou aux sens, afin qu'elle grandisse dans notre vie.
"Ce n'est pas la mauvaise herbe qui étouffe les bonnes semences, mais la négligence du cultivateur"
Lorsque l'un(e) d'entre nous prendra sur lui (elle) de défendre les vraies valeurs de la France, celles dans lesquelles les français veulent se voir représenter, nous la soutiendrons.
Pourquoi ? Parce que la République est une grandeur héritée de la Monarchie dont elle a cherché a expulser les excès. La Royauté française était aussi basée sur un Ordre religieux et spirituel que la Révolution n'a pas désavoué à travers le culte de l'Être suprême de Robespierre.
La République est une continuité de la Monarchie : en arrière-plan se situe, invisible, le continuum de l'Esprit qui ensemence ce pays d'idéaux à la hauteur de sa Mission. La Monarchie a disparu, les semences spirituelles sont toujours-là, au coeur de la conscience de chacun.
Le secret français, ce n'est pas sa cuisine, ses intellectuels, son industrie : c'est son âme, sa vibration dans l'éther des peuples, l'affirmation de la Fraternité qui est le but de toute liberté et égalité bien comprises.
Peu importe le contenant (le corps), nous sommes tous et chacun son héritage.
Or, aujourd'hui, la laïcité est devenu autre chose qu'un rempart vis à vis de la religion, elle formate le diktat des consciences après celui des soutanes.
Le prélat laïc veille au maintien des « bonnes valeurs » comme le « casse-toi pov'con » destiné à passer à la postérité avant « abracadabrantesque » ! Le C précède désormais le A dans le dictionnaire des mots présidentiels ! Plus rien n'est respecté.
Le respect est ringard, l'irrespect devient le moteur, le standard : inutile de dire que la jeunesse ne parle pas aussi mal !
Elle lutte contre une négation de son droit à exister et à prendre sa place dans la société et la pyramide des générations.
La vulgarité en question est celle de la génération au pouvoir qui voit le corps social comme un frigo plein de ressources.
N'ayez pas un combat contre le fascisme de retard : JM LEPEN n'est pas une menace ! La manipulation de cette peur par les médias a offert à Sarkozy d'accéder avec son clan au pouvoir central.
La dictature peut prendre bien des apparences sans revêtir jamais celles de l'Histoire.
Il nous a promis la disparition du FN, il n'a fait que lui voler les électeurs et les idées quand il en avait besoin.
Les lois anti-racisme font peser sur la France un vrai bâillon d'étranglement de la parole et de l'écriture. Les victimes sont toujours-ici ou là, les coupables sont partout désormais.
En trois lois, on a tué la liberté d'expression et inventé le délit d'intention cher à Israël pour enfermer indéfiniment ses citoyens arabes sur simple supposition d'intention !
Les anti-racistes imitent souvent les méthodes de leurs adversaires : camisole de force, retrait des droits civiques, attaques physiques, check-point…
Ne croyez pas au Sauveur présidentiel, d'où qu'il vienne.
Il n'y aura désormais plus de démocratie réelle sans un contrôle citoyen à de nombreux niveaux de la société.
Merci Ségolène de l'avoir formulé la première.
Finies l'hypocrisie et la peur.
La minorité qui tyrannisait les autres pendant la récrée a grandi et continue de nous terroriser… Les mêmes qui embêtaient tous les autres sévissent encore, en politique comme en économie. Ils ne sont pas à un coup près, et ça marche !
Voilà que leur vulgarité doit devenir le symbole de la France soumise à l'Europe marchande des biens, hommes et capitaux.
Ils veulent mettre les enfants en prison, repérer les « comportements délinquants » en maternelle… teaser toute la population au moindre frémissement contre leur Ordre nouveau et implacable : la tyrannie du pouvoir unique et personnalisé.
Même la mafia a un sens ténu de l'honneur.
Comportements mafieux ne signifient pas forcément « Mafia » chez les bonnes gens, mais plutôt « sociétés secrètes » : les sociétés secrètes et souterraines permettent à l'homme ordinaire, par connivence avec ses pairs, d'étendre le champ de son influence (pensée et action) au-delà des limites imposées par la loi en surface.
Ainsi, ce ne sont pas les sociétés secrètes qui servent le plus souvent les mafias, mais les mafias dont le service se trouve coopté par les sociétés secrètes : le donneur d'ordre (pousse-au-crime) et l'exécutant n'est pas le même.
En effet, les mafias ne s'occupent pas de politique. Leurs revendications ne sont pas idéologiques mais pragmatiques : le pouvoir matériel par la force, non sur les esprits par la propagande.
Les lois iniques dépendent de la volonté d'un seul homme : la représentation nationale joue contre son camp par peur de mort politique comme si le mandat était offert par le président aux députés ! .
On ne peut pas, comme cette rédactrice sur C4N, @Sophy, écrire sur les valeurs d'antan et en même temps se gausser de ceux et celles qui tentent de les actualiser. Mais certains ne sont pas à une contradiction près ! C'est la magie de l'écriture : on peut tout affirmer, et l'instant d'après écrire son contraire. Là, c'est le respect de l'intelligence du lecteur qui en prend un coup !
Plus fréquent est le mensonge : comme De Villiers qui tente à travers divers clips de nous faire croire qu'il est anti-européen.
L'image et le son mettent en scène ce que l'on veut que les gens perçoivent comme à l'intérieur d'un cinéma plongé en permanence dans le noir : ne regardez surtout pas ailleurs bonnes gens !
Mais les actes véritables des uns et des autres sont à des années-lumières de leurs paroles.
Tromper le peuple est devenu la seule logique en cours.
Nous serions les briques aveugles de cette pyramide au sommet de laquelle l'élite léviterait, loin de la notion d'intérêt général.
« La loi devient scélérate quand elle oblige l'homme a fonctionner pour elle plutôt qu'elle fonctionne pour l'homme » (F. Lalanne)
« Le pouvoir corrompt toujours, le pouvoir absolu corrompt toujours absolument. »
Une pensée aux mouvements Anarchistes dont les actions sont en pointe de nombreuses manifestations : « L'anarchie n'est pas le désordre, c'est juste l'absence de Hiérarchie(invisible ou non) ».
« Je vais vous l’dire Jean Daniel, y a pas grand-chose qui nous sépare.
La seule chose qui nous sépare: vous n’aimez pas l’argent et moi oui! »
Jean Daniel a vu bon nombre de présidents de la République.
Il a rencontré Nicolas Sarkozy trois fois.
« J’ai rencontré trois fois Nicolas Sarkozy, et deux fois,
je l’ai trouvé incongru dans sa fonction de Président.
La première fois, il m’avait invité à son déplacement officiel en Algérie .
Dans l’avion, il m’avait tutoyé, ça m’a déplu!
Un seul homme politique m’a impressionné, c’était Léon Blum,
que j’ai rencontré tout jeune. »
« Sarkozy, je l’ai revu à un déjeuner, où il essayait de célébrer l’anniversaire de Camus , Il m’a interpellé:
‘Je vais vous dire Jean Daniel, il n’y a pas grand-chose qui nous sépare.
La seule chose qui nous sépare: vous n’aimez pas l’argent et moi oui!’
Il parlait très fort, devant 20 personnes. C’était étrange, déplaisant. »