Monsieur Nicolas Sarkozy, drapé d'arrogance, assomme les classes moyennes et populaires. La France, par l'entremise de son Président, devient un pays où règne l'inégalité.

Le RSA sera calibré en fonction des disponibilités financières, qui sont les nôtres… Quel paradoxe, alors que 800 soldats français sont expédiés en Afghanistan ou d'autres poursuivent une politique d'assistanat au Tchad…

La récession s'invite et comme toujours ce sont aux classes moyennes et populaires de payer l'addition. Après la santé, le pouvoir d'achat, une nouvelle augmentation du gaz, la culture, l'éducation, la retraite, etc…

Où va s'arrêter le processus de mise à l'écart d'une partie de la société ?

 

La suppression des tarifs sociaux à la SNCF, une mesure inappropriée qui ne peut que soulever l'indignation.

La politique sarkozienne est en passe d'atteindre les sommets de l'incompétence. Et il ne faut pas oublier également, que Monsieur le Président s'est gratifié d'une augmentation de salaire, à la hauteur de son amour immodéré pour l'argent et les nantis. Tout simplement inacceptable !

Nous voila revenu dans des temps lointains, le Seigneur trônant, drapé dans un mépris profond, asservir la populace qui courbe l'échine sous le poids du joug., à la seule fin de remplir les caisses du royaume.

Une nouvelle victime…Le revenu de solidarité active (RSA), qui risque bien de se conjuguer au passé…composé. Martin Hirsch doit maintenant se rendre à l'évidence et ne pas accentuer l'imposture de la politique d'ouverture, en refusant de se soumettre à l'éventuelle remise en cause de ce processus de solidarité. Je ne suis pas partisan de la politique d'assistanat, mais je pense sincèrement que la formule proposée par Martin Hirsch avait tout lieu de redonner de la dignité, du courage, de la volonté aux personnes les plus démunies.

On ne peut plus cautionner un tel gouvernement. Des mesures indignes au principe même de la République…LIBERTE…EGALITE…FRATERNITE…

L'exclusion devient monnaie courante. Le projet de réforme touchant l'ANPE, encore un moyen de baisser les statistiques par des pressions sur des personnes traversant déjà des zones de turbulence, fragilisées par la perte d'un emploi.

NON. On ne peut accepter cette dérive…pendant que d'autres festoient, aux frais de l'ETAT…

Bienvenue chez les pauvres.