L'union Européenne avait envisagé de créer "une journée européenne contre la peine de mort", à la date du 10 octobre,  mais a dû y renoncer n'ayant pas trouvé de compromis avec la présidence polonaise, qui souhaitait en effet qu'y soient condamnés également l'avortement et l'euthanasie.
Les frères Kaczinsky, qui avaient autrefois regretté que la peine de mort soit abolie en Europe et avaient souhaité que soit modifiée la Convention européenne qui la proscrit pour tous les pays européens, ont émis la remarque que la peine de mort étant abolie, cette journée n'avait plus vraiment de sens, à moins d'en faire une "Journée pour la vie", dans laquelle seraient condamnés aussi l'avortement et l'euthanasie.
Or dans l'organisation de l'Europe, il n'est pas possible si un pays s'y oppose de décréter quoi que ce soit, l'UE doit donc y renoncer, tandis que le Portugal tiendra une conférence internationale le 9 octobre pour l'abolition universelle de la peine de mort, et espérait que la signature instituant cette journée ait lieu ce jour précis à Lisbonne.