Le candidat à l’élection présidentielle a déclaré qu’il était en faveur d’une allocation familiale dès le premier enfant.

D’après Sarkozy, les jeunes parents se trouvent souvent confrontés à la précarité. S’il est élu président, il se dit prêt à s’engager à "aider les familles qui n'arrivent pas à s'en sortir".

 

En revanche, des sanctions telles que la suppression des allocations et la mise sous tutelle sont prévues à l’encontre des "familles qui ne s'occupent pas de leurs enfants mineurs, qui les laissent traîner dans la rue, qui les laissent commettre des délits, qui ne respectent pas l'obligation de les scolariser".

 

L’actuel ministre de l’intérieur s’est également penché sur le problème de la qualité de la scolarité. Il se déclare pour l’instauration d’études surveillées après les cours. Pour lui, la situation de l’Education nationale a été causé par "l'idéologie de mai 1968".

 

Il défend ainsi les enseignants qui, selon lui, sont "les boucs émissaires d'un désastre dont la politique est seule responsable".