Red bull crashed ic

Mars 2009, les habitants du vieux Québec font une plainte à la compagnie de boissons énergisantes Red bull pour faire retirer l’événement de la ville. La compagnie n’aillant rien à perdre en retirant l’événement annonce que Red bull crashed ice n’aurait plus lieu à Québec. Un animateur de radio contre cette décision affirmant que cet événement amenait de la vie dans le vieux Québec eux l’idée de lancer une campagne pour sauver le crashed ice. L’animateur a invité la population de Québec à «vider les tablette» de Red Bull pour démontrer son appréciation dans l’espoir de favoriser le retour du crashed Ice. De plus le maire de Québec brandît une canette de la boisson en pleine salle du conseil municipale affirmant qu’il faut encourager cette initiative.

Je suis d’accord avec le fait de ramener l’événement à Québec car il n’apporte que du bien à la ville autant du coté tourisme que de l’économie. Mais je ne vois pas le rapport d’acheter des canettes de Red Bull pour appuyer l’événement. De plus je ne suis pas d’accord avec le fait que le maire de Québec fasse de la publicité en pleine salle du conseil municipale. Les principaux consommateurs de boissons étant les adolescents et ce message lancé à la radio et par le maire de Québec encourage ces jeunes à la consommation de ce produit nocif à la santé. Puis, Red Bull ne fait que financer l’événement et se fout pas mal de la ville où l’événement à lieux. Donc encourager cette campagne est de la «publicité de publicité» de Red bull.

Une pétition sur facebook à été lancé et à été remis au Conseil de la ville, puis certaine personnes ont eux l’idée de faire une manifestation mais elle n’a jamais eu lieux. Ces initiatives sont beaucoup plus louables et on finalement porté leur fruit. En effet, Red bull affirma que l’événement reviendrait en 2010.

Une réflexion sur « Red bull crashed ic »

  1. Il est vraiment surprenant que le maire d’une commune fasse de la publicité pour une boisson (une telle boisson)en pleine salle du conseil municipal.

    C’est les concurrents qui ne doivent guère apprécier.

    Mais bons si c’est bon pour sa ville, on le comprend

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