Quelle vie amoureuse pour les personnes séropositives ?

Voici le résumé de l'émission de Jean Luc Delarue, où notre association  SIDAVENTURE a participé : (Christian) est KRIS24

· Olivier, 41 ans, marié, un enfant, préparateur de commande et Manuela, 44 ans, mariée, un enfant

Ils se connaissent depuis l’âge de 12 ans. Ils ont grandi dans la même cité. Après avoir mené une jeunesse de « débauche », Olivier apprend à l’âge de 18 ans qu’il est atteint du VIH. Mais pour lui, la vie continue. Manuela reconnaît sa maladie, ça ne lui fait pas peur, Manuela s’est renseignée. Peu à peu, une grande histoire d’amour naît. En 1994, ils se marient. Suivi par un médecin, Manuela et Olivier décident d’avoir un enfant, sans traitement particulier. Six ans plus tard, Mathis naît, séronégatif.

Stella, 51 ans, 2 enfants, divorcée

Suite à un grave accident de la route, Stella subit plusieurs transfusions. Plus tard, elle apprend qu’elle est séropositive. Elle rencontre alors Eric, de dix ans son cadet. C’est sa plus belle histoire d’amour. Une belle histoire avortée à cause de la maladie. Stella ne supporte pas de gâcher la vie du jeune homme. Elle le quitte alors qu’elle en est follement amoureuse…

Valérie, 42 ans, mariée, 1 enfant, secrétaire

Valérie et son petit ami ont appris leur séropositivité à l’âge de 19 ans. Enceinte de 4 mois, elle est obligée d’avorter… Un an plus tard, le couple se sépare. Puis elle rencontre Jean Michel avec qui elle décide d’avoir un enfant. Le petit Léo a aujourd’hui huit ans et est séronégatif. Après 6 ans de vie commune, elle reconnaît que sa maladie altère ses relations de couple : faire l’amour avec un préservatif est très contraignant. De plus, la prise de médicaments entraîne une baisse de libido. Elle est prête à accepter que son mari aille voir ailleurs. Elle y songe de plus en plus.

Sylvie, 41 ans, mariée, 2 enfants, caissière

Sylvie et son conjoint vivent ensemble depuis plus de 20 ans et ont un enfant. En 1999, David tombe gravement malade. Il est hospitalisé pendant un mois et ils apprennent qu’il a le sida. Sylvie effondrée, est enceinte de deux mois. Elle veut avorter mais les médecins la raisonnent. Aujourd’hui, Sylvie ne veut pas quitter David à cause de sa maladie. En revanche, elle se refuse toute intimité avec lui, par peur de la mort.

· Christian, 56 ans, divorcé, 2 enfants, responsable de l’association sidaventure

Colette, 48 ans, divorcée, 2 enfants, retraité Christian est déjà venu dans Toute Une Histoire pour nous raconter qu’il avait caché sa maladie à ses proches. Depuis, il a rencontré Colette. Elle savait que Christian était séropositif et pourtant… C’est sans même penser une seconde à la maladie qu’elle a plongée dans cette histoire d’amour. Avant de rencontrer Colette, Christian a connu beaucoup de déboires sentimentaux à cause de la maladie. Il n’y croyait plus. Pour eux, la maladie ne leur pose aucun problème de couple. Ils vivent leur amour en plein jour. 

L’avis de l’expert :

 AVEC SABRINA PHILIPPE, PSYCHOLOGUE :

Y a t’il beaucoup de couples qui se forment entre personnes séropositives et personnes non séropositives ?

S.P : Non, même si le regard sur la Séropositivité tend à changer, cette dernière fait encore peur. La distinction entre Séropositivité et Sida n’est pas évidente pour tout le monde. De toute façon lors d’une telle rencontre, la question se pose dès les premiers instants.

Alors pourquoi certains couples arrivent à surmonter cet obstacle ?

S.P : Quand on a le sentiment d’avoir rencontré la personne qui nous correspond, que l’on attendait ; peu d’obstacles y résistent. Ce que j’ai pu constater dans ma pratique, c’est que "l’Amour" permet de passer outre la maladie, le handicap et plus généralement les épreuves de la vie. 

Quel conseil pourriez vous donner à ceux qui sont confrontés à cette situation ?

S.P : Il est important de toujours faire cette distinction : "je ne suis pas une maladie, je ne suis pas un handicap ; je vis avec, c’est différent !"
Nous vivons tous avec quelque chose qui entrave notre vie, visible ou non, aux yeux des autres.
La question du "Va t-il (elle) m’aimer comme je suis ?" se pose pour tous. Et quand la réponse est oui, c’est qu’il s’agit vraiment d’amour.

 

10 réflexions sur « Quelle vie amoureuse pour les personnes séropositives ? »

  1. être séropositif ne veut plus dire la même chose qu’il y a 10 ans!
    Les informations que vous diffusez ne sont pas justes pour les séropositifs, vous devez plus nuancer cette « ma-information » ou « désinformation ».
    La Suisse a fait paraître, fort heureusement, il y a quelques mois une nuance qui médicalement parlant change toute la « donne » des séropositif et de leur « vie sexuelle »: « Si en charge virale indétectable (comme c’est le cas pour beaucoup de séropositif sous traitement), depuis + de 6 mois et même partenaire sexuel fiable, et pas d’autres MST: Le HIV ne se transmet pas = vie sexuelle normale, sans préservatif….sans risques
    Mon partenaire et moi avons une sexualité normale depuis 1 an et je revendique ce droit à une sexualité normale!
    Kat.

  2. http://www.sidaventure.asso.fr
    On parle peu de souffrance, en tout cas en ces termes. On traite de la précarité économique mais on distingue rarement la souffrance qu’elle pourrait susciter, notamment le désarroi, la « souffrance morale ». Pourquoi la souffrance reste-t-elle dans le non-dit ? Est-elle méconnaissable ou non reconnue ?
    C’est à partir d’une enquête faite auprès de malades du sida rencontrés, que nous appuierons nos propos sur une souffrance non entendue par les chercheurs et rarement ouvertement exprimée par les malades. Mais il y a d’autres espaces voilés, d’autres souffrances qui s’égarent.
    Le voile posé par les chercheurs sur la souffrance de l’autre n’est qu’un nuage de plus sur la brume formée par le silence des malades. C’est là un ciel immense, d’abord la brume du silence dans laquelle se confondent aisément quelques nuages qui se retrouvent dans le silence, le renforcent, s’y confortent.
    Si les chercheurs font peut-être davantage part de la souffrance d’ici, de cet alter qui habite à quelques kilomètres de chez eux, ils témoignent rarement de la souffrance de l’autre. L’autre, c’est la personne enquêtée, celle qui répond aux questions et informe. L’autre, c’est d’abord l’altérité, celui que l’on identifie par sa différence, et ce sont en premier lieu les conditions de vie qui le différencient et qui marquent l’impuissance du chercheur, sa culpabilité.
    Les répercussions du sida sont également un thème largement étudié, mais bien souvent les études comme c’est fréquemment le cas pour les travaux sur la vulnérabilité des séropositifs infectés s’appuient sur une analyse du contexte global de la société, et les malades n’ont pas été rencontrés. Les conséquences du sida sont d’abord étudiées en termes économiques, et les répercussions psychosociales sont souvent négligées.
    Pour avoir rarement mené des entretiens auprès de malades, les chercheurs ont encore peu saisi la complexité de leur vécu, le ton de leur témoignage, l’implicite et l’intime.
    En effet, le silence sur la souffrance se nourrit d’une non-reconnaissance par celui qui l’entend, par celui qui la vit. Mais pourquoi faudrait-il l’entendre ? Pour connaître une réalité, pour la combattre aussi. Mais cela reste complexe pour l’entourage du malade parce que si le silence est en soi une souffrance, parfois le rompre est plus difficile encore. Parce que c’est le silence qui permet de soutenir une réalité, parce que dire c’est admettre, c’est affirmer, et vivre encore une fois la difficulté. Face à cet ambigu silence, des malades laissent le sida implicite. Le parent se doute du sida du malade, mais il est pris dans l’ambiguïté de ce silence : il ne sait si ses questions aident ou ennuient, si elles bouleversent la stratégie de survie du malade. Alors comment soutenir ? Et qui aide-t-on ? S’aide-t-on soi-même en laissant l’autre dans le silence ou aide-t-on le malade ?

  3. Les conseils sont plus importants dans toute vie sexuelle et surtout dans les foyers conjugaux où d’autres partenaires s’obstinent à toujours perdre de ligne.Mais tout ce qui compte c’est la parfaite confiance à son (sa) conjoint(e) impliquant à cet effet la fidélité…Beaucoup de personnes ont compris que le vhi/sida n’est plus une chute à mal prendre ,mais plutôt la conséquence d’un dérapage sexuel qui, ma foi devient alors chose de l’Etat à propement dit et qui ne concerne pas seulementl’individu en question…
    L’on a compris que la maladie n’est pas égale à la mort et que l’enfant résultant de cet accoupelement peut tout à fait être sauvé.

  4. LE-RACISME-EST-A-TOUS-LES-ETAGES
    CE JEUNISME-de tous les jours,est afligeant,pour les vieux,les roms les homos les handicappers,les negres,c-v-anonymes,de l’expressions,de classes de quartier tel 9-3 et que sais-je ou ce trouve le citoyens tant decrier par cette france de l’empire,et des lumiere,nous sommes une societee humaniste heritage de 1789!!! je dirai que la france dans L’OTAN EST UNE PROUESSE forte et fraternelle des droits pour l’universl,rien de bien grave,met reflechie

  5. Phase 2 pour les Chinois !
    PEKIN (AFP) — Les scientifiques chinois recherchent des volontaires pour passer à la deuxième phase de tests sur humains d’un vaccin contre le sida, a annoncé samedi l’agence Chine Nouvelle.

    Le premier groupe de 49 volontaires, âgés de 18 à 50 ans et composé d’étudiants en médecine et de fonctionnaires, avait reçu le vaccin expérimental en mai 2005, neuf ans après le début de la recherche dans ce secteur en Chine, selon l’agence officielle.

    « Ils n’ont montré aucun signe d’effets adverses. Les tests d’immunisation ont obtenu des résultats favorables », a déclaré l’un des chercheurs en charge du programme, Kong Wei, cité par l’agence.

    Un vaccin doit passer par trois phases d’essais cliniques avant d’être approuvé: le premier est axé plus particulièrement sur la sécurité, le second sur le taux d’immunisation, le troisième sur le taux de protection pour les groupes à hauts risques, a expliqué Chine Nouvelle.

    Les premiers tests avaient été conduits dans la Région autonome Zhuang, au Guangxi, une province du sud du pays.

    Selon les chiffres officiels, jugés très sous-évalués par des experts, la Chine avait enregistré fin 2008 276.630 cas de sida, dont 38.100 morts.

    Selon l’Onusida, entre 30 et 50 millions de personnes sont menacées par le virus en Chine, où la transmission par voie sexuelle est de plus en plus importante

  6. SIDA IMPOSTURE
    Pour chercher un remède contre le sida, il faudrait qu’il y ait quelque chose à trouver.

    Le préservatif ne protège pas du Sida, l’abstinence non plus.

    SIDA IMPOSTURE

    Le premier à avoir dénoncé et démontré l’imposture du Sida est un certain « Montagnier » (Il y a bien longtemps).

    Montagnier a rapidement compris que s’il voulait avoir droit au chapitre, il lui fallait répéter les récitations imbéciles de niaise de la télé. (Le Sida se transmet par les journaux.)

    La recherche sur le Sida.
    La recherche ne trouvera rien là où elle cherche.

    Le Sida n’est pas affaire médicale mais une affaire politique.
    Les virus imaginaires ne ciblent que des cerveaux morts.
    Quand on croit à des dieux imaginaires, on croit pareillement à des virus imaginaires.

    Le teste de sérologie ne démontre rien. Il démontre seulement qu’un organisme en bonne santé réagit normalement pour se débarrasser d’un intrus. Cela ne désigne pas un virus.

    L’Afrique
    Contrairement à la croyance imposée, l’avènement du virus imaginaire n’a en rien changé les chiffres de la mortalité.

    La mortalité exceptionnellement élevée en Afrique est due au manque d’hygiène, à une croissance démographique incompatible, aux conditions climatiques qui génèrent de multiples parasites (Microbes, bactéries, Etc. Mais pas de virus).

    Quand les journalistes affirment que 80 % des Africains sont séropositifs, les journalistes ont parlé pour ne rien dire. Mais, est-ce encore à démontrer ?

    Conclusion :
    Dans cette immonde poubelle d’obscurantisme que l’on doit aux curés et que l’on nomme « Sida », le seul à avoir raison, c’est le Pape. C’est un comble !

    L’objectif de cette poubelle d’obscurantisme religieux étant d’inciter les femmes à abandonner la contraception au profit du préservatif. Contrairement à ce les intellectuels affirment, le résultat n’est pas le même.

    La cuisine diabolique des croyances (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.)
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/25/la-cuisine-diabolique-des-croyances/

    L’IMPOSTURE DU SIDA
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/24/le-sida/

    Sida, Garretta, virus fantôme et manipulation.
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/24/sida-garretta-virus-fantome-politique/

    SIDA, le dossier
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/23/sida-le-dossier/

    Le virus machin (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.)
    http://levirusmachin.hautetfort.com/

    Le remplissage des hôpitaux, La morale est sauve
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/25/le-remplissage-des-hopitaux-la-morale-est-sauve/

    Les supermarchés de la bonne conscience
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/26/les-supermarches-de-la-bonne-conscience/

  7. slt moi cest dolvie jai 28ans je suis sero il ya 4ans jai etais infectée faute dun accident de travail .jai ete laboratine il ya 4ans et cest lors dun bilan de sante dun partien que je me suis faire piquet serverement par une larme malade et cest apres 4 mois plus tard que je constaste que je suis sero cest tres dure pr que faire;;

  8. [b][/b] ;)J e suis passée a toute une histoire avec mon époux Olivier, car en regardent l’émission mon époux tombe sur une annonce qui nous concernée, Olivier a appeler le numéro indiqué, et la on lui a répondu que nôtre histoire les intéresser, donc on a pris rendez vous, les caméras son venu a la maison sa a pris la matinée, ensuite on ses rendu en taxi payer par la production chez France 2 et le jour de l’émission on a pu discuté mes pas au temps que je pensée car pour raconté une vie quelques minute ne suffisent pas, ses pour cela que Monsieur delarue me demande de cessé de parler, qu’on allée y revenir si nous avons dit oui ces tes juste pour dire a toute les femmes qui son avec un homme malade quelle peuvent tenté d’avoir un enfant il faut juste bien se faire suivre faire des prises de sang tout les mois pour voir si la maladie n’est pas la dans vôtre sang, et dire aussi que nous vivons comme tout les autres couple avec des hauts et des bas, mes nôtre amour et différent car on a eu se bébé, le jour de mon accouchement Olivier était la prés de moi et a dit une phrase comme je respect toutes les femme car ses dure d’accouché il ma vu souffrir avoir peur hurler, et en final avoir un magnifique petit bébé. Et quelques mois plus tard l’émission nous recontacter pour avoir de nos nouvelles et la il et vrai que nous avions décidé d’avoir un autre bébé, mes après réflections j’ai eux peur et on na pas fait de deuxième enfant. On a NÖTRE PETIT CHEDEUFRE EN BON SANTE SES COOL.

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