Psy, c’est LE chanteur incontournable de l’été, notamment avec son titre endiablé "Gagnam Style" ! Et comme toute star, le chanteur sud coréen âgé de trente-cinq ans a des travers et pas des moindres… Celui de Psy, dont le véritable nom est Park Jae Sang, est l’alcool…
C’est lors d’une interview pour le magazine "Sunday Times" que le chanteur revient sur son problème de dépendance. Afin de trouver la source de son mal-être, il faut retourner durant l’enfance difficile d’un jeune Park Jae Sang, totalement inconnu, élevé sous l’autorité d’un père extrêmement strict et intransigeant. En effet, il explique qu’il aurait "osé" affronter son père alors que ce dernier souhaitait qu’il reprenne l’entreprise familiale. Une prise de bec relativement violente qui aurait laissé des séquelles… Bien décidé à assouvir ses rêves, le jeune homme est donc parti aux Etats Unis afin de suivre des études supérieures en musique à l’université de Boston. Néanmoins, il échouera et retournera en Corée. C’est à ce moment précis que tout aurait basculé pour lui. Sombrant dans la drogue et l’alcool, il aurait été interpelé en possession de produits stupéfiants et aurait même effectué un séjour d’un mois en prison.
Loin d’être refroidi par cette "expérience", le jeune homme continua à consommer de la drogue. Néanmoins, son penchant le plus important est celui pour l’alcool. Il en consomme en quantité excessive, quelque soit son état… Il avoue même que son meilleur ami n’est autre que l’alcool coréen très fort, le soju.
On peut avoir un succès fou, être adulé et suivi par un nombre record de personnes sans pour autant être bien dans ses baskets. Mon fils d’ailleurs (à mon grand damne) est un fan invétéré de ce titre sans queue ni tête… La chorégraphie est connue de tous, elle passe en boucle dans toutes les boîtes de nuit et que dire du nombre incroyable de vues accumulées sur Youtube. Et pourtant, l’interprète n’est autre qu’un homme qui sombre chaque jour plus profondément dans le gouffre…
Miam !
Un délice, cet alcool de riz !
Puis-je vous tendre mon verre à deux mains ? Je le viderai d’un trait en pensant bien fort à votre santé, dame Guylaine !
Mais, bon, personnellement, je me contente d’un seul verre, au risque de fâcher mes hôtes…